La séléction de citations de  Sylvain (Fr)  7 citations | Page 1 / 1




C elui qui vit les regards tournés vers les plaisirs, qui ne maîtrise pas ses sens, dont les appétits sont sans mesure, indolent, dépourvu d'énergie, cet être-là, en vérité, Mara (le roi de la mort) le plie à son pouvoir, comme le vent un arbre frêle.

Celui qui vit les regards détournés des plaisirs, les sens-bien maîtrisés, modéré dans ses appétits, fervent, plein d'énergie, cet être-là, en vérité, Mara ne le plie pas à son pouvoir, non plus que le vent une montagne de roc."


Citation 529  |   Khuddaka Nikaya
Dhammapada (les Stances de la Loi), VII, Arahantavagga, p. 90-99, sq. 7 et 8, traduction G. Martini dans Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p.72 




M éditer, c'est se vider du connu.
Le connu est le passé.


Citation 463  | 
La Révolution du silence, trad. C. Suarès, 1977 / Livre de poche, 1995, Édifions Stock, cité par Jean Biès dans Les Grands Initiés du XXe siècle, p. 128-130 




T elle est la " transmission directe ":
Le Bouddha transmet au Bouddha, et cela jusqu'à maintenant, sans qu'il y ait eu d'interruption. Celui qui a pu s'éveiller, comment ne serait-il pas le Bouddha ?


Citation 456  | 
Gakudoyojin-shu (recueil de l'application de l'esprit à l'étude de la Voie), p. 167, traduit par Hoang-Thi-Bich, Genève-Paris, Droz, 1973 




O n voudrait dire que cela est présence, or on n'en voit pas la forme.
On voudrait dire que cela est absence, or les dix mille êtres en sont issus. On voudrait dire qu'il n'est pas là (wu), et pourtant il accomplit toute chose. On voudrait dire qu'il est là (you), et pourtant on n'en voit pas la forme.


Citation 428  | 
Commentaire au Laozi (Lao Tzeu) 6 et 14, traduit et cité par Anne Cheng, Histoire de la pensée Chinoise, Edition du Seuil, 1997 




L e Spontané est absolument unique. Kanha le reconnaît en toute évidence.
Le benêt récite, écoute de nombreux traités et des écritures, et il ne sait ne rien.


Citation 129  |   Kanha
Dohakosa de Kanha, sq 12, traduit par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p.349-350 




L a pratique mystique (aryacarya)] consiste à exercer l'absence de toute pratique... [Quant aux autres pratiques], bien qu'elles ne présentent pas de défauts au moment où on les exerce, elles en auront plus tard, et les réalités qu'elles poursuivent actuellement apparaîtront toutes fausses... Pour celui qui exerce ainsi l'absence de pratique, plus rien n'existe - les méprises, les tromperies et les passions ne naissent absolument plus, car elles sont purifiées comme l'espace. Il acquiert le vrai caractère des dharma en tenant sa non-acquisition pour une acquisition... Les Bouddhas, par bienveillance et compassion envers les êtres, enseignent des pratiques pour se conformer à l'usage courant, mais il n'y a là rien d'absolu [paramartha].


Citation 128  |   Sutra de l'Eveil parfait
(Yuan Kiue King), t. II, p. 1112, traduit par E. Lamotte, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, note p.413 



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