Patrimoine  Mondial  de la pensée

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Littérature

114 citations | Page 1 / 5




C e que nous ne savons point nous nuit beaucoup moins que ce le nous croyons savoir.


Citation 5307  | 




O ce mot mystérieux, comment pourrais-je jamais le prononcer ?
Oh comment puis-je dire : Il n’est pas comme ceci et Il est comme cela ?
Si je dis qu’il est en moi, l’Univers a honte de mes paroles ;
Si je dis qu’Il est en dehors de moi, je mens.
Des mondes inférieurs et extérieurs il fait une indivisible unité :
Le conscient et l’inconscient sont les tabourets de ses pieds.
Il n’est ni manifesté ni caché ;
Il n’est ni révélé ni irrévélé.
Il n’y a pas de mot pour dire ce qu’Il est.


Citation 5255  | 




I l n’est pas plus étonnant de naître deux fois qu’une.


Citation 5154  | 
Aphorismes dans "Voltaire en sa correspondance", réunis par Raphael Roche et Martine Rehby, Ed. L'Escampette 




T ous ceux qui aiment Dieu, et leurs prochains, sont de la même religion.


Citation 5153  | 
Aphorismes dans "Voltaire en sa correspondance", réunis par Raphael Roche et Martine Rehby, Ed. L'Escampette 




J ’ai fait un peu de bien, c’est mon meilleur ouvrage.


Citation 5152  | 
Aphorismes dans "Voltaire en sa correspondance", réunis par Raphael Roche et Martine Rehby, Ed. L'Escampette 




O n ne fera jamais de bien à Dieu en faisant du mal aux hommes.


Citation 5151  | 
Aphorismes dans "Voltaire en sa correspondance", réunis par Raphael Roche et Martine Rehby, Ed. L'Escampette 




L orsque nous admirons ce que disent les sages, Le vent de l’infini souffle sur nos visages.


Citation 4396  |   Citations Personelles
Distique - Édition La Licorne Ailée 




A ucune grâce extérieure n’est complète, si la beauté intérieure ne la vivifie pas.
La beauté de l’âme se répand comme une lumière mystérieuse sur la beauté du corps.
Victor Hugo
Post-scriptum de ma vie


Citation 4395  |   Citations Personelles




T ablette à Ahmad

Les prières prescrites au quotidien et quelques autres, comme « La prière de guérison », « La tablette à Ahmad », ont été dotées par Bahá’u’lláh d’une puissance et d’une signification particulières ; elles devraient donc être acceptées comme telles et récitées par les croyants avec une foi et une confiance absolue afin de communier plus intimement avec Dieu, et de se conformer davantage à ses lois et à ses préceptes.

Il est le Roi, l’Omniscient, le Sage ! Écoute !

Le Rossignol du paradis lance de saintes et douces mélodies sur les branches de l’Arbre d’éternité. Il proclame aux âmes sincères la bonne nouvelle de la proximité de Dieu ; il convoque les croyants en l’unité divine à la cour de la présence du Généreux ; il annonce aux êtres détachés le message révélé par Dieu, le Roi, le Glorieux, l’Incomparable ; il guide les adorateurs vers le siège de sainteté et vers cette resplendissante Beauté.

En vérité, voici la Beauté suprême, annoncée dans les livres des messagers, qui vient distinguer la vérité de l’erreur et juger de la sagesse de tout commandement. Voici l’Arbre de vie qui porte les fruits de Dieu, l’Éminent, le Puissant, le Glorifié.

Ô Ahmad, témoigne qu’en vérité il est Dieu, qu’il n’est pas d’autre Dieu que lui, le Roi, le Protecteur, l’Incomparable, l’Omnipotent, et que celui qu’il envoya sous le nom de ‘Alí fut le véritable envoyé de Dieu, aux commandements de qui nous nous conformons tous.

Dis : Ô peuple, obéissez aux ordonnances divines qu’il vous prescrit dans le Bayán, lui, le Glorieux, le Sage. En vérité, il est le Roi des messagers et son livre est le Livre-Mère, si seulement vous le saviez.

Ainsi, de cette prison, le Rossignol lance vers vous son appel. Il lui appartient seulement de proclamer ce clair message. Que celui qui le désire rejette ce conseil et que celui qui le désire choisisse le chemin de son Seigneur !

Ô peuple, si vous reniez ces versets, sur quelle preuve fondez-vous votre foi en Dieu ? Produisez-la donc, assemblée de fourbes ! Non, par celui qui tient mon âme en sa main, ils ne le peuvent et ne le pourront jamais, dussent-ils s’unir et s’entraider.

Ô Ahmad, n’oublie pas mes bienfaits en mon absence. Souviens-toi de mes jours durant tes jours, de ma détresse et de mon bannissement en cette prison lointaine. Demeure si ferme en mon amour que ton cœur ne fléchisse pas, dussent les épées ennemies faire pleuvoir leurs coups sur toi, et le ciel et la terre se soulever contre toi.

Sois pour mes ennemis comme une flamme ardente, pour mes bien-aimés comme un fleuve de vie éternelle et ne sois pas de ceux qui doutent. Et si la douleur te frappe en mon sentier ou si pour l’amour de moi tu es humilié, ne t’en émeus pas.

Aie confiance en Dieu, ton Dieu et le Seigneur de tes pères, car les hommes s’égarent sur les chemins de l’illusion, incapables de voir Dieu de leurs propres yeux ou d’entendre sa mélodie de leurs propres oreilles. Ainsi les avons-nous trouvés, comme tu peux en témoigner. Et leurs superstitions sont devenues des voiles entre eux et leur propre cœur, elles les tiennent éloignés du chemin de Dieu, le Glorifié, le Grand.

Sois-en assuré au plus profond de toi-même, celui qui se détourne de cette Beauté se détourne aussi des messagers du passé et fait preuve d’orgueil envers Dieu de toute éternité, en toute éternité.

Grave en ton cœur cette épître, ô Ahmad. Chante-la durant tes jours et ne t’en écarte pas. En vérité Dieu réserve à celui qui la chante la récompense de cent martyrs et le privilège de servir dans les deux mondes. Ces faveurs, nous te les avons accordées, en signe de clémence et de générosité afin que tu sois de ceux qui sont reconnaissants.

Par Dieu ! Que celui qui est dans l’affliction et le chagrin lise cette épître avec une absolue sincérité et Dieu dissipera sa tristesse, résoudra ses difficultés et le libèrera de ses malheurs !

En vérité, il est le Miséricordieux, le Compatissant. Loué soit Dieu, le Seigneur de tous les mondes !

#9298Bahá’u’lláh


Citation 4392  |   Citations Personelles




S ’excuser ne signifie pas toujours que tu as tort et que l’autre a raison. Cela signifie simplement que tu considères ta relation plus importante que toi m-même … »


Citation 4377  |   Citations Personelles




T igre, Tigre, brûlant brillant,
Dans les forêts de la nuit,
Quelle main, quel oeil si puissant
A forgé ton effroyable symétrie ?

Dans quels cieux ou abîmes insondés
A brûlé le feu de tes yeux ?
Quelles ailes peuvent l'emmener ?
Quelle main a osé en saisir le feu ?

Mais quel bras, et quel art
Purent façonner les muscles de ton coeur ?
Écoute comme il bat !
Que des mains, que des pieds de terreur ?

Quelle chaîne, quel marteau ?
De quelle fournaise sortit ton cerveau
Et l'enclume ? Quelle poigne cruelle
Osa étreindre ses terreurs mortelles ?

Quand les étoiles eurent abandonné leurs armes,
Et trempé le ciel de leurs larmes,
A-t-il souri son forfait accompli ?
Celui qui créa l'agneau t'as-t-il fait aussi ?

Tigre, Tigre, brûlant brillant,
Dans les forêts de la nuit,
Quelle main, quel oeil si puissant
A forgé ton effroyable symétrie ?


Citation 4257  | 






T on amitié m'a souvent fait souffrir; sois mon ennemi, au nom de l'amitié.


Citation 3415  | 






S i j'avais eu la conscience suffisamment claire et les mots suffisamment nuancés pour l'exprimer, j'aurais aimé te dire que nous sommes là pour explorer, découvrir et partager ce qu'il y a de meilleur en nous. Chacun possède un trésor. Sois conscient et généreux de ton trésor et, en même temps, reste ouvert, attentif à recevoir le trésor des autres, disposé à apprendre et à te remettre en question. Cherche la beauté, la vérité, l'excellence en accueillant aussi ta fragilité, ta vulnérabilité et ton ombre, de sorte d'être à même d'accueillir celles des autres. Occupe joyeusement ta place: il y a de la place pour chacun, sinon ni toi ni moi ne serions là. Pense que ta place que tu n'occupes pas pour ne pas déranger reste vide à jamais et réjouis-toi que chacun occupe pleinement la sienne autour de toi .


Citation 3259  | 
le jardinier de l'amour 




T u es le scrutateur sans connaissance, le magistrat sans jurisdiction, et apres tout, le badin de la farce.


Citation 2989  | 
Essais 




M ais nous ne récupérons jamais notre jeunesse. L'impulsion de la joie qui bat en nous à vingt ans devient lente. Nos membres nous trahissent, nos sens se décomposent. nous devenons des marionnettes affreuses, hantées par la mémoire des passions dont nous avions trop peur, et les tentations exquises auxquelles nous n'avons pas eu le courage de nous abandonner.


Citation 2764  | 
Le portrait de Dorian Gray 




J e suis beau comme un printemps d'autonne.


Citation 2758  | 
le fantôme de canterville 




L ’AN NEUF DE L’HEGIRE

Comme s’il pressentait que son heure était proche,
Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ;
Il marchait en rendant aux passants leur salut ;
On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût
A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;
Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,
Se souvenant du temps qu’il était chamelier.
Il semblait avoir vu l’Eden, l’âge de d’amour,
Les temps antérieurs, l’ère immémoriale.
Il avait le front haut, la joue impériale,
Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent,
Le cou pareil au col d’une amphore d’argent,
L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge.
Si des hommes venaient le consulter, ce juge
Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier,
Ecoutait en silence et parlait le dernier.
Sa bouche était toujours en train d’une prière ;
Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;
Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ;
Il s’asseyait à terre et cousait ses habits.
Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne,
Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune.
A soixante-trois ans une fièvre le prit.
Il relut le Coran de sa main même écrit,
Puis il remit au fils de Séid la bannière,
En lui disant : " Je touche à mon aube dernière.
Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. "
Et son œil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui
D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire.
Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,
Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;
Et l’étendard sacré se déployait au vent.
Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ;
" Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ;
La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand.
Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant.
Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. "
Un cheikh lui dit : " o chef des vrais croyants ! le monde,
Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ;
Le jour où tu naquit une étoile apparut,
Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. "
Lui, reprit : " Sur ma mort les Anges délibèrent ;
L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous
Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous
Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe ;
Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe. "
Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.
Une vieille, tondant la laine d’un mouton,
Assise sur un seuil, lui cria : " Dieu t’assiste ! "
Il semblait regarder quelque vision triste,
Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : " voilà,
Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ;
Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause.
Il est né d’une Vierge aspirant une rose.
Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
Je ne suis qu’un limon par les vices noirci ;
J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange ;
Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,
Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
O vous tous, je serais bien vite dévoré
Si dans l’obscurité du cercueil solitaire
Chaque faute engendre un ver de terre.
Fils, le damné renaît au fond du froid caveau
Pour être par les vers dévoré de nouveau ;
Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine,
Finie ouvre à son vol l’immensité sereine.
Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,
Tantôt l’homme d’en haut, tantôt l’homme d’en bas,
Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne
Comme dans le désert le sable et la citerne ;
Ce qui n’empêche pas que je n’aie, ô croyants !
Tenu tête dans l’ombre au x Anges effrayants
Qui voudraient replonger l’homme dans les ténèbres ;
J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;
Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas,
Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ;
Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;
Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,
Et, comme je sentais en moi la vérité,
Je les ai combattus, mais sans être irrité,
Et, pendant le combat je criais : " laissez faire !
Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.
Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !
Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis
Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite,
Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,
Ils ne me feraient point reculer ! " C’est ainsi
Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici
Arrivé sur le bord de la tombe profonde,
Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde.
Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi,
Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,
Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore.
Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ;
Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua
Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,
Les perles à la mer et les astres à l’ombre,
Peut bien donner un peu de joie à l’homme sombre. "
Il ajouta ; " Croyez, veillez ; courbez le front.
Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront
Sur le mur qui sépare Eden d’avec l’abîme,
Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;
Presque personne n’est assez pur de péchés
Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,
En priant, que vos corps touchent partout la terre ;
L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère
Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu
A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;
Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;
Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,
Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept dieux,
Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;
Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,
Habite un pavillon fait d’une perle creuse ;
Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !
Ils auront des souliers de feu dont la chaleur
Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière.
La face des élus sera charmante et fière. "
Il s’arrêta donnant audience à l’espoir.
Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :
" O vivants ! Je répète à tous que voici l’heure
Où je vais me cacher dans une autre demeure ;
Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,
Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu,
Et que, si j’ai des torts, on me crache aux visages. "
La foule s’écartait muette à son passage.
Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia.
Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya,
Disant : " Mieux vaut payer ici que dans la tombe. "
L’œil du peuple était doux comme un œil de colombe
En le regardant cet homme auguste, son appui ;
Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,
Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,
Et passèrent la nuit couchés sur une pierre
Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ;
" Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,
Tu vas prendre le livre et faire la prière. "
Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;
Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait,
Et souvent à voix basse achevait le verset ;
Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte.
Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte
Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer.
" Qu’il entre. " On vit alors son regard s’éclairer
De la même clarté qu’au jour de sa naissance ;
Et l’Ange lui dit : " Dieu désire ta présence.
- Bien ", dit-il. Un frisson sur les tempes courut,
Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.
Victor Hugo, le 15 janvier 1858.


Citation 2718  | 




A h! s'il nous faut des fables, que ces fables soient du moins l'emblëme de la vérité! J'aime les fables des philosophes, je ris de celles des enfants, je hais celles des imposteurs.


Citation 2606  | 
L'Ingénu 




J e est un autre.


Citation 2599  |   Rimbaud
lettre à Paul Demeny 




M EME L'EXES DES CHOSES LES PLUS SUCRES APPORTE A L ESTOMAC LE PLUS PROFOND DEGOUT


Citation 2348  | 
LE SONGE D UNE NUIT D ETE 




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