Pleurer, cependant, est une passion qui, comme toute autre passion, est impossible aux défunts; étant devenus esprit et souffle, ils n'ont plus ni chair ni sang : leur nature, de ce fait, les empêche d’être vus par ceux qui sont enterrés sous l’épaisseur du corps (1), ni avertir d’eux-mêmes les hommes de leur erreur de jugement sur la réalité.
(Saint Grégoire de Nysse)
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