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17 Verses | Page 1 / 1
(Version Louis Segond 1910)


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(Ⅰ)
(Ⅲ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅵ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


2. 1  
Je suis un narcisse de Saron, Un lis des vallées. -
- (L'Epouse:) Je suis le narcisse de Saron, le lis des vallées. (Ⅰ)
- ἐγὼ ἄνθος του̃ πεδίου κρίνον τω̃ν κοιλάδων (Ⅲ)
- Ego flos campi,/ et lilium convallium./ (Ⅳ)
- ‫ 1  ׃2   אני חבצלת השרון שושנת העמקים ‬ (Ⅴ)
- Je suis le narcisse de Saron, le lis des vallées. (Ⅵ)
- Je suis la rose de Saron, et le muguet des vallées. (Ⅶ)
- Je suis la rose de Saron et le lis des vallées. (Ⅷ)
2. 2  
Comme un lis au milieu des épines, Telle est mon amie parmi les jeunes filles. -
- (L'Epoux:) Comme un lis au milieu des épines, telle est mon amie parmi les jeunes filles. (Ⅰ)
- ὡς κρίνον ἐν μέσω̨ ἀκανθω̃ν οὕτως ἡ πλησίον μου ἀνὰ μέσον τω̃ν θυγατέρων (Ⅲ)
- Sicut lilium inter spinas,/ sic amica mea inter filias./ (Ⅳ)
- ‫ 2  ׃2   כשושנה בין החוחים כן רעיתי בין הבנות ‬ (Ⅴ)
- Comme le lis entre les épines, telle est mon amie entre les filles. (Ⅵ)
- Tel qu’est le muguet entre les épines, telle est ma grande amie entre les filles. (Ⅶ)
- Comme le lis au milieu des épines, telle est ma bien-aimée parmi les jeunes filles. (Ⅷ)
2. 3  
Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, Tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J'ai désiré m'asseoir à son ombre, Et son fruit est doux à mon palais.
- (L'Epouse:) Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J'ai désiré m'asseoir à son ombre, et son fruit est doux à mon palais. (Ⅰ)
- ὡς μη̃λον ἐν τοι̃ς ξύλοις του̃ δρυμου̃ οὕτως ἀδελφιδός μου ἀνὰ μέσον τω̃ν υἱω̃ν ἐν τη̨̃ σκια̨̃ αὐτου̃ ἐπεθύμησα καὶ ἐκάθισα καὶ καρπὸς αὐτου̃ γλυκὺς ἐν λάρυγγί μου (Ⅲ)
- Sicut malus inter ligna silvarum,/ sic dilectus meus inter filios./ Sub umbra illius quem desideraveram sedi,/ et fructus ejus dulcis gutturi meo./ (Ⅳ)
- ‫ 3  ׃2   כתפוח בעצי היער כן דודי בין הבנים בצלו חמדתי וישבתי ופריו מתוק לחכי ‬ (Ⅴ)
- Comme le pommier entre les arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé entre les fils; j’ai pris plaisir à son ombre, et je m’y suis assise; et son fruit est doux à mon palais. (Ⅵ)
- Tel qu’est le pommier entre les arbres d’une forêt, tel est mon bien-aimé entre les jeunes hommes ; j’ai désiré son ombre, et m’y suis assise, et son fruit a été doux à mon palais. (Ⅶ)
- Comme le pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes; j'ai désiré son ombrage, et m'y suis assise, et son fruit a été doux à mon palais. (Ⅷ)
2. 4  
Il m'a fait entrer dans la maison du vin; Et la bannière qu'il déploie sur moi, c'est l'amour.
- Il m'a fait entrer dans son cellier, et la bannière qu'il lève sur moi, c'est l'amour. (Ⅰ)
- εἰσαγάγετέ με εἰς οἰ̃κον του̃ οἴνου τάξατε ἐπ' ἐμὲ ἀγάπην (Ⅲ)
- Introduxit me in cellam vinariam ;/ ordinavit in me caritatem./ (Ⅳ)
- ‫ 4  ׃2   הביאני אל בית היין ודגלו עלי אהבה ‬ (Ⅴ)
- Il m’a fait entrer dans la maison du vin; et sa bannière sur moi, c’est l’amour. (Ⅵ)
- Il m’a menée dans la salle du festin ; et sa livrée, laquelle je porte, c’est AMOUR. (Ⅶ)
- Il m'a mené dans la salle du festin, et l'étendard qu'il lève sur moi, porte: AMOUR. (Ⅷ)
2. 5  
Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, Fortifiez-moi avec des pommes; Car je suis malade d'amour.
- Soutenez-moi avec des gâteaux de raisin, fortifiez-moi avec des pommes, car je suis malade d'amour. (Ⅰ)
- στηρίσατέ με ἐν ἀμόραις στοιβάσατέ με ἐν μήλοις ὅτι τετρωμένη ἀγάπης ἐγώ (Ⅲ)
- Fulcite me floribus,/ stipate me malis,/ quia amore langueo./ (Ⅳ)
- ‫ 5  ׃2   סמכוני באשישות רפדוני בתפוחים כי חולת אהבה אני ‬ (Ⅴ)
- Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, ranimez-moi avec des pommes; car je suis malade d’amour. (Ⅵ)
- Faites-moi revenir [les forces] avec les liqueurs ; faites-moi un lit de pommes ; car je me pâme d’amour. (Ⅶ)
- Ranimez-moi avec du raisin; fortifiez-moi avec des pommes, car je me pâme d'amour. (Ⅷ)
2. 6  
Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m'embrasse! -
- Que sa main gauche soutienne ma tête, et que sa droite me tienne embrassée. (Ⅰ)
- εὐώνυμος αὐτου̃ ὑπὸ τὴν κεφαλήν μου καὶ ἡ δεξιὰ αὐτου̃ περιλήμψεταί με (Ⅲ)
- Læva ejus sub capite meo,/ et dextera illius amplexabitur me./ (Ⅳ)
- ‫ 6  ׃2   שמאלו תחת לראשי וימינו תחבקני ‬ (Ⅴ)
- Sa main gauche est sous ma tête, et sa droite m’embrasse. (Ⅵ)
- Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m’embrasse. (Ⅶ)
- Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m'embrasse! (Ⅷ)
2. 7  
Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Par les gazelles et les biches des champs, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour, Avant qu'elle le veuille. -
- (L'Epoux:) Je vous en conjure, filles de Jérusalem; par les gazelles et les biches des champs; n'éveillez pas, ne réveillez pas la bien-aimée, avant qu'elle le veuille. (Ⅰ)
- ὥρκισα ὑμα̃ς θυγατέρες Ιερουσαλημ ἐν ται̃ς δυνάμεσιν καὶ ἐν ται̃ς ἰσχύσεσιν του̃ ἀγρου̃ ἐὰν ἐγείρητε καὶ ἐξεγείρητε τὴν ἀγάπην ἕως οὑ̃ θελήση̨ (Ⅲ)
- Adjuro vos, filiæ Jerusalem,/ per capreas cervosque camporum,/ ne suscitetis, neque evigilare faciatis dilectam,/ quoadusque ipsa velit./ (Ⅳ)
- ‫ 7  ׃2   השבעתי אתכם בנות ירושלם בצבאות או באילות השדה אם תעירו ואם תעוררו את האהבה עד שתחפץ ס‬ (Ⅴ)
- Je vous adjure, filles de Jérusalem, par les gazelles ou par les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas mon amour, jusqu’à ce qu’elle le veuille. (Ⅵ)
- Filles de Jérusalem, je vous adjure par les chevreuils et par les biches des champs, que vous ne réveilliez point celle que j’aime, que vous ne la réveilliez point, jusqu’à ce qu’elle le veuille. (Ⅶ)
- Filles de Jérusalem, je vous adjure par les gazelles et les biches des champs, ne réveillez pas, ne réveillez pas celle que j'aime, avant qu'elle le veuille. (Ⅷ)
2. 8  
C'est la voix de mon bien-aimé! Le voici, il vient, Sautant sur les montagnes, Bondissant sur les collines.
- (L'Epouse:) La voix de mon bien-aimé ! Voici qu'il vient, bondissant sur les montagnes, sautant sur les collines. (Ⅰ)
- φωνὴ ἀδελφιδου̃ μου ἰδοὺ οὑ̃τος ἥκει πηδω̃ν ἐπὶ τὰ ὄρη διαλλόμενος ἐπὶ τοὺς βουνούς (Ⅲ)
- Vox dilecti mei ; ecce iste venit,/ saliens in montibus, transiliens colles./ (Ⅳ)
- ‫ 8  ׃2   קול דודי הנה זה בא מדלג על ההרים מקפץ על הגבעות ‬ (Ⅴ)
- La voix de mon bien-aimé! le voici qui vient, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines. (Ⅵ)
- C’est ici la voix de mon bien-aimé ; le voici qui vient, sautelant sur les montagnes, et bondissant sur les coteaux. (Ⅶ)
- C'est ici la voix de mon bien-aimé; le voici qui vient, sautant sur les montagnes, et bondissant sur les coteaux. (Ⅷ)
2. 9  
Mon bien-aimé est semblable à la gazelle Ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, Il regarde par la fenêtre, Il regarde par le treillis.
- Mon bien-aimé est semblable à la gazelle, ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, regardant par la fenêtre, épiant par le treillis. (Ⅰ)
- ὅμοιός ἐστιν ἀδελφιδός μου τη̨̃ δορκάδι ἢ νεβρω̨̃ ἐλάφων ἐπὶ τὰ ὄρη Βαιθηλ ἰδοὺ οὑ̃τος ἕστηκεν ὀπίσω του̃ τοίχου ἡμω̃ν παρακύπτων διὰ τω̃ν θυρίδων ἐκκύπτων διὰ τω̃ν δικτύων (Ⅲ)
- Similis est dilectus meus capreæ,/ hinnuloque cervorum./ En ipse stat post parietem nostrum,/ respiciens per fenestras,/ prospiciens per cancellos./ (Ⅳ)
- ‫ 9  ׃2   דומה דודי לצבי או לעפר האילים הנה זה עומד אחר כתלנו משגיח מן החלנות מציץ מן החרכים ‬ (Ⅴ)
- Mon bien-aimé est semblable à la gazelle, ou au faon des biches. Le voici, il se tient derrière notre mur, il regarde par les fenêtres, il regarde à travers les treillis. (Ⅵ)
- Mon bien-aimé est semblable au chevreuil, ou au faon des biches ; le voilà qui se tient derrière notre muraille ; il regarde par les fenêtres, il se fait voir par les treillis. (Ⅶ)
- Mon bien-aimé est semblable à la gazelle, ou au faon des biches; le voilà qui se tient derrière notre muraille; il regarde par les fenêtres, il s'avance par les treillis. (Ⅷ)
2. 10  
Mon bien-aimé parle et me dit: Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!
- Mon bien-aimé a pris la parole, il m'a dit : " Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (Ⅰ)
- ἀποκρίνεται ἀδελφιδός μου καὶ λέγει μοι ἀνάστα ἐλθέ ἡ πλησίον μου καλή μου περιστερά μου (Ⅲ)
- En dilectus meus loquitur mihi./ Surge, propera, amica mea,/ columba mea, formosa mea, et veni :/ (Ⅳ)
- ‫ 10 ׃2   ענה דודי ואמר לי קומי לך רעיתי יפתי ולכי לך ‬ (Ⅴ)
- Mon bien-aimé m’a parlé, et m’a dit: Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens! (Ⅵ)
- Mon bien-aimé a pris la parole, et m’a dit : Lève-toi, ma grande amie, ma belle, et t’en viens. (Ⅶ)
- Mon bien-aimé parle et me dit: Lève-toi, ma bien-aimée, ma belle, et viens! (Ⅷ)
2. 11  
Car voici, l'hiver est passé; La pluie a cessé, elle s'en est allée.
- Car voici que l'hiver est fini ; la pluie a cessé, elle a disparu. (Ⅰ)
- ὅτι ἰδοὺ ὁ χειμὼν παρη̃λθεν ὁ ὑετὸς ἀπη̃λθεν ἐπορεύθη ἑαυτω̨̃ (Ⅲ)
- jam enim hiems transiit ;/ imber abiit, et recessit./ (Ⅳ)
- ‫ 11 ׃2   כי הנה *הסתו **הסתיו עבר הגשם חלף הלך לו ‬ (Ⅴ)
- Car voici, l’hiver est passé, la pluie a cessé, elle s’en est allée; (Ⅵ)
- Car voici, l’hiver est passé, la pluie est passée, elle s’en est allée. (Ⅶ)
- Car voici, l'hiver est passé, la pluie a cessé, elle s'en est allée; (Ⅷ)
2. 12  
Les fleurs paraissent sur la terre, Le temps de chanter est arrivé, Et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes.
- Les fleurs ont paru sur la terre, le temps des chants est arrivé ; la voix de la tourterelle s'est fait entendre dans nos campagnes ; (Ⅰ)
- τὰ ἄνθη ὤφθη ἐν τη̨̃ γη̨̃ καιρὸς τη̃ς τομη̃ς ἔφθακεν φωνὴ του̃ τρυγόνος ἠκούσθη ἐν τη̨̃ γη̨̃ ἡμω̃ν (Ⅲ)
- Flores apparuerunt in terra nostra ;/ tempus putationis advenit :/ vox turturis audita est in terra nostra ;/ (Ⅳ)
- ‫ 12 ׃2   הנצנים נראו בארץ עת הזמיר הגיע וקול התור נשמע בארצנו ‬ (Ⅴ)
- les fleurs paraissent sur la terre, la saison des chants est arrivée, et la voix de la tourterelle s’entend dans notre pays; (Ⅵ)
- Les fleurs paraissent en la terre, le temps des chansons est venu, et la voix de la tourterelle a déjà été ouïe dans notre contrée. (Ⅶ)
- Les fleurs paraissent sur la terre, le temps des chansons est venu, et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes. (Ⅷ)
2. 13  
Le figuier embaume ses fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!
- le figuier pousse ses fruits naissants, la vigne en fleur donne son parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! (Ⅰ)
- ἡ συκη̃ ἐξήνεγκεν ὀλύνθους αὐτη̃ς αἱ ἄμπελοι κυπρίζουσιν ἔδωκαν ὀσμήν ἀνάστα ἐλθέ ἡ πλησίον μου καλή μου περιστερά μου (Ⅲ)
- ficus protulit grossos suos ;/ vineæ florentes dederunt odorem suum./ Surge, amica mea, speciosa mea, et veni :/ (Ⅳ)
- ‫ 13 ׃2   התאנה חנטה פגיה והגפנים סמדר נתנו ריח קומי *לכי **לך רעיתי יפתי ולכי לך ס‬ (Ⅴ)
- le figuier embaume ses figues d’hiver, et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens! (Ⅵ)
- Le figuier a poussé ses figons, et les vignes leurs grappes, et elles rendent de l’odeur. Lève-toi, ma grande amie, ma belle, et t’en viens. (Ⅶ)
- Le figuier a poussé ses premières figues, et les vignes ont des grappes et exhalent leur odeur. Lève-toi, ma bien-aimée, ma belle, et viens! (Ⅷ)
2. 14  
Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, Qui te caches dans les parois escarpées, Fais-moi voir ta figure, Fais-moi entendre ta voix; Car ta voix est douce, et ta figure est agréable.
- Ma colombe, qui te tiens dans la fente du rocher, dans l'abri des parois escarpées. montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix ; car ta voix est douce, et ton visage charmant. (Ⅰ)
- καὶ ἐλθὲ σύ περιστερά μου ἐν σκέπη̨ τη̃ς πέτρας ἐχόμενα του̃ προτειχίσματος δει̃ξόν μοι τὴν ὄψιν σου καὶ ἀκούτισόν με τὴν φωνήν σου ὅτι ἡ φωνή σου ἡδει̃α καὶ ἡ ὄψις σου ὡραία (Ⅲ)
- columba mea, in foraminibus petræ, in caverna maceriæ,/ ostende mihi faciem tuam,/ sonet vox tua in auribus meis :/ vox enim tua dulcis, et facies tua decora./ (Ⅳ)
- ‫ 14 ׃2   יונתי בחגוי הסלע בסתר המדרגה הראיני את מראיך‪[Q]‬‪[n]‬‪[p]‬ השמיעיני את קולך כי קולך ערב ומראיך נאוה ס‬ (Ⅴ)
- Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, dans les cachettes des lieux escarpés, montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix; car ta voix est douce, et ton visage est agréable. (Ⅵ)
- Ma colombe, qui te tiens dans les fentes de la roche, dans les enfoncements des lieux escarpés, fais-moi voir ton regard, fais-moi ouïr ta voix ; car ta voix est douce, et ton regard est gracieux. (Ⅶ)
- Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, qui te caches dans les lieux escarpés, fais-moi voir ton regard, et fais-moi entendre ta voix; car ta voix est douce, et ton regard est gracieux. (Ⅷ)
2. 15  
Prenez-nous les renards, Les petits renards qui ravagent les vignes; Car nos vignes sont en fleur.
- Prenez-nous les renards, les petits renards, qui ravagent les vignes, car nos vignes sont en fleur. " (Ⅰ)
- πιάσατε ἡμι̃ν ἀλώπεκας μικροὺς ἀφανίζοντας ἀμπελω̃νας καὶ αἱ ἄμπελοι ἡμω̃ν κυπρίζουσιν (Ⅲ)
- Capite nobis vulpes parvulas/ quæ demoliuntur vineas :/ nam vinea nostra floruit./ (Ⅳ)
- ‫ 15 ׃2   אחזו לנו שועלים שועלים קטנים מחבלים כרמים וכרמינו סמדר ‬ (Ⅴ)
- — Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes, car nos vignes sont en fleur. (Ⅵ)
- Prenez-nous les renards, et les petits renards, qui gâtent les vignes, depuis que nos vignes ont poussé des grappes. (Ⅶ)
- Prenez-nous les renards, les petits renards, qui gâtent les vignes, depuis que nos vignes ont des grappes. (Ⅷ)
2. 16  
Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui; Il fait paître son troupeau parmi les lis.
- Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui il fait paître son troupeau parmi les lis. (Ⅰ)
- ἀδελφιδός μου ἐμοί κἀγὼ αὐτω̨̃ ὁ ποιμαίνων ἐν τοι̃ς κρίνοις (Ⅲ)
- Dilectus meus mihi, et ego illi,/ qui pascitur inter lilia,/ (Ⅳ)
- ‫ 16 ׃2   דודי לי ואני לו הרעה בשושנים ‬ (Ⅴ)
- — Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui, qui paît parmi les lis, (Ⅵ)
- Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ; il paît [son troupeau] parmi les muguets. (Ⅶ)
- Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui; il paît son troupeau parmi les lis. (Ⅷ)
2. 17  
Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient, Reviens!... sois semblable, mon bien-aimé, A la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes qui nous séparent.
- Avant que vienne la fraîcheur du jour, et que les ombres fuient, reviens !... Sois semblable, mon bien-aimé, à la gazelle ou au faon des biches, sur les montagnes ravinées. (Ⅰ)
- ἕως οὑ̃ διαπνεύση̨ ἡ ἡμέρα καὶ κινηθω̃σιν αἱ σκιαί ἀπόστρεψον ὁμοιώθητι σύ ἀδελφιδέ μου τω̨̃ δόρκωνι ἢ νεβρω̨̃ ἐλάφων ἐπὶ ὄρη κοιλωμάτων (Ⅲ)
- donec aspiret dies, et inclinentur umbræ./ Revertere ; similis esto, dilecte mi, capreæ,/ hinnuloque cervorum super montes Bether.] (Ⅳ)
- ‫ 17 ׃2   עד שיפוח היום ונסו הצללים סב דמה לך‪[C]‬‪[c]‬ דודי לצבי או לעפר האילים על הרי בתר ס‬ (Ⅴ)
- jusqu’à ce que l’aube se lève et que les ombres fuient. — Tourne-toi; sois semblable, mon bien-aimé, à la gazelle ou au faon des biches sur les montagnes de Béther. (Ⅵ)
- Avant que le vent du jour souffle, et que les ombres s’enfuient, retourne mon bien-aimé, et [sois] comme le chevreuil, ou le faon des biches, sur les montagnes entrecoupées. (Ⅶ)
- Avant que le vent du jour souffle, et que les ombres fuient, reviens, mon bien-aimé, comme la gazelle, ou le faon des biches, sur les montagnes qui nous séparent. (Ⅷ)


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