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(Version J.N. Darby)


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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅵ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


5. 1  
Je suis venu dans mon jardin, ma sœur, ma fiancée! J’ai cueilli ma myrrhe avec mes aromates, j’ai mangé mon rayon de miel avec mon miel, j’ai bu mon vin avec mon lait. Mangez, amis; buvez, buvez abondamment, bien-aimés!
- (L'Epoux:) Je suis entré dans mon jardin, ma soeur fiancée, j'ai cueilli ma myrrhe avec mon baume ; j'ai mangé mon rayon avec mon miel, j'ai bu mon vin avec mon lait ! Mangez, amis, buvez, enivrez-vous, mes bien-aimés. (Ⅰ)
- J'entre dans mon jardin, ma soeur, ma fiancée; Je cueille ma myrrhe avec mes aromates, Je mange mon rayon de miel avec mon miel, Je bois mon vin avec mon lait... -Mangez, amis, buvez, enivrez-vous d'amour! - (Ⅱ)
- εἰση̃λθον εἰς κη̃πόν μου ἀδελφή μου νύμφη ἐτρύγησα σμύρναν μου μετὰ ἀρωμάτων μου ἔφαγον ἄρτον μου μετὰ μέλιτός μου ἔπιον οἰ̃νόν μου μετὰ γάλακτός μου φάγετε πλησίοι καὶ πίετε καὶ μεθύσθητε ἀδελφοί (Ⅳ)
- Veniat dilectus meus in hortum suum,/ et comedat fructum pomorum suorum./ Veni in hortum meum, soror mea, sponsa ;/ messui myrrham meam cum aromatibus meis ;/ comedi favum cum melle meo ;/ bibi vinum meum cum lacte meo ;/ comedite, amici, et bibite,/ et inebriamini, carissimi./ (Ⅴ)
- ‫ 1  ׃5   באתי לגני אחתי כלה אריתי מורי עם בשמי אכלתי יערי עם דבשי שתיתי ייני עם חלבי אכלו רעים שתו ושכרו דודים ס‬ (Ⅵ)
- Je suis venu dans mon jardin, ma sœur, mon épouse ; j’ai cueilli ma myrrhe, avec mes drogues aromatiques ; j’ai mangé mes rayons de miel, et mon miel ; j’ai bu mon vin et mon lait ; Mes amis, mangez, buvez ; faites bonne chère, mes bien-aimés. (Ⅶ)
- Je suis venu dans mon jardin, ma sœur, mon épouse; j'ai cueilli ma myrrhe, avec mes plantes aromatiques; j'ai mangé mes rayons de miel et mon miel; j'ai bu mon vin et mon lait. Mes amis, mangez, buvez; faites bonne chère, mes bien-aimés. (Ⅷ)
5. 2  
Je dormais, mais mon cœur était réveillé. C’est la voix de mon bien-aimé qui heurte: Ouvre-moi, ma sœur, mon amie, ma colombe, ma parfaite! Car ma tête est pleine de rosée, mes boucles, des gouttes de la nuit.
- (L'Epouse:) Je dors mais mon coeur veille. C'est la,voix de mon bien-aimé ! Il frappe : " Ouvre-moi, ma soeur, mon amie, ma colombe, mon immaculée ; car ma tête est couverte de rosée; les boucles de mes cheveux sont trempées des gouttes de la nuit. " (Ⅰ)
- J'étais endormie, mais mon coeur veillait... C'est la voix de mon bien-aimé, qui frappe: -Ouvre-moi, ma soeur, mon amie, Ma colombe, ma parfaite! Car ma tête est couverte de rosée, Mes boucles sont pleines des gouttes de la nuit. - (Ⅱ)
- ἐγὼ καθεύδω καὶ ἡ καρδία μου ἀγρυπνει̃ φωνὴ ἀδελφιδου̃ μου κρούει ἐπὶ τὴν θύραν ἄνοιξόν μοι ἀδελφή μου ἡ πλησίον μου περιστερά μου τελεία μου ὅτι ἡ κεφαλή μου ἐπλήσθη δρόσου καὶ οἱ βόστρυχοί μου ψεκάδων νυκτός (Ⅳ)
- Ego dormio, et cor meum vigilat./ Vox dilecti mei pulsantis :/ Aperi mihi, soror mea, amica mea,/ columba mea, immaculata mea,/ quia caput meum plenum est rore,/ et cincinni mei guttis noctium./ (Ⅴ)
- ‫ 2  ׃5   אני ישנה ולבי ער קול דודי דופק פתחי לי אחתי רעיתי יונתי תמתי שראשי נמלא טל קוצותי‪[U]‬ רסיסי לילה ‬ (Ⅵ)
- J’étais endormie, mais mon cœur veillait ; et voici la voix de mon bien-aimé qui heurtait, [en disant] : Ouvre-moi, ma sœur, ma grande amie, ma colombe, ma parfaite ; car ma tête est pleine de rosée ; et mes cheveux de l’humidité de la nuit. (Ⅶ)
- J'étais endormie, mais mon cœur veillait; et voici la voix de mon bien-aimé qui heurtait: Ouvre-moi, ma sœur, ma bien-aimée, ma colombe, ma parfaite! Car ma tête est pleine de rosée, et mes cheveux des gouttes de la nuit. (Ⅷ)
5. 3  
— Je me suis dépouillée de ma tunique, comment la revêtirais-je? J’ai lavé mes pieds, comment les salirais-je?
- J'ai ôté ma tunique, comment la remettre? J'ai lavé mes pieds, comment les salirais-je? (Ⅰ)
- J'ai ôté ma tunique; comment la remettrais-je? J'ai lavé mes pieds; comment les salirais-je? (Ⅱ)
- ἐξεδυσάμην τὸν χιτω̃νά μου πω̃ς ἐνδύσωμαι αὐτόν ἐνιψάμην τοὺς πόδας μου πω̃ς μολυνω̃ αὐτούς (Ⅳ)
- Expoliavi me tunica mea : quomodo induar illa ?/ lavi pedes meos : quomodo inquinabo illos ?/ (Ⅴ)
- ‫ 3  ׃5   פשטתי את כתנתי איככה אלבשנה רחצתי את רגלי איככה אטנפם ‬ (Ⅵ)
- J’ai dépouillé ma robe, [lui dis-je], comment la revêtirais-je ? J’ai lavé mes pieds, comment les souillerais-je ? (Ⅶ)
- J'ai dépouillé ma robe, comment la revêtirais-je? J'ai lavé mes pieds, comment les souillerais-je? (Ⅷ)
5. 4  
— Mon bien-aimé a avancé sa main par le guichet, et mes entrailles se sont émues à cause de lui.
- Mon bien-aimé a passé la main par le trou de la serrure, et mes entrailles se sont émues sur lui. (Ⅰ)
- Mon bien-aimé a passé la main par la fenêtre, Et mes entrailles se sont émues pour lui. (Ⅱ)
- ἀδελφιδός μου ἀπέστειλεν χει̃ρα αὐτου̃ ἀπὸ τη̃ς ὀπη̃ς καὶ ἡ κοιλία μου ἐθροήθη ἐπ' αὐτόν (Ⅳ)
- Dilectus meus misit manum suam per foramen,/ et venter meus intremuit ad tactum ejus./ (Ⅴ)
- ‫ 4  ׃5   דודי שלח ידו מן החר ומעי המו עליו ‬ (Ⅵ)
- Mon bien-aimé a avancé sa main par le trou de la porte, et mes entrailles ont été émues à cause de lui. (Ⅶ)
- Mon bien-aimé a avancé sa main par le trou de la porte, et mes entrailles se sont émues pour lui. (Ⅷ)
5. 5  
Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé, et de mes mains a dégoutté la myrrhe, et de mes doigts, la myrrhe limpide, sur les poignées du verrou.
- Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé, et de mes mains a dégoutté la myrrhe, de mes doigts la myrrhe exquise, sur la poignée du verrou. (Ⅰ)
- Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé; Et de mes mains a dégoutté la myrrhe, De mes doigts, la myrrhe répandue Sur la poignée du verrou. (Ⅱ)
- ἀνέστην ἐγὼ ἀνοι̃ξαι τω̨̃ ἀδελφιδω̨̃ μου χει̃ρές μου ἔσταξαν σμύρναν δάκτυλοί μου σμύρναν πλήρη ἐπὶ χει̃ρας του̃ κλείθρου (Ⅳ)
- Surrexi ut aperirem dilecto meo ;/ manus meæ stillaverunt myrrham,/ et digiti mei pleni myrrha probatissima./ (Ⅴ)
- ‫ 5  ׃5   קמתי אני לפתח לדודי וידי נטפו מור ואצבעתי מור עבר על כפות המנעול ‬ (Ⅵ)
- Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé, et la myrrhe a distillé de mes mains, et la myrrhe franche de mes doigts, sur les garnitures du verrou. (Ⅶ)
- Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé, et la myrrhe a distillé de mes mains, et la myrrhe la plus pure de mes doigts, sur la poignée du verrou. (Ⅷ)
5. 6  
J’ai ouvert à mon bien-aimé, mais mon bien-aimé s’était retiré, il avait passé plus loin; mon âme s’en était allée pendant qu’il parlait. Je le cherchai, mais je ne le trouvai pas; je l’appelai, mais il ne me répondit pas.
- J'ouvre à mon bien-aimé ; mais mon bien-aimé avait disparu, il avait fui. J'étais hors de moi quand il me parlait. Je l'ai cherché, et ne l'ai pas trouvé ; je l'ai appelé, il ne m'a pas répondu. Les gardes m'ont rencontrée, ceux qui font la ronde dans la ville ; ils m'ont frappée, ils m'ont meurtrie ; (Ⅰ)
- J'ai ouvert à mon bien-aimé; Mais mon bien-aimé s'en était allé, il avait disparu. J'étais hors de moi, quand il me parlait. Je l'ai cherché, et je ne l'ai point trouvé; Je l'ai appelé, et il ne m'a point répondu. (Ⅱ)
- ἤνοιξα ἐγὼ τω̨̃ ἀδελφιδω̨̃ μου ἀδελφιδός μου παρη̃λθεν ψυχή μου ἐξη̃λθεν ἐν λόγω̨ αὐτου̃ ἐζήτησα αὐτὸν καὶ οὐχ εὑ̃ρον αὐτόν ἐκάλεσα αὐτόν καὶ οὐχ ὑπήκουσέν μου (Ⅳ)
- Pessulum ostii mei aperui dilecto meo,/ at ille declinaverat, atque transierat./ Anima mea liquefacta est, ut locutus est ;/ quæsivi, et non inveni illum ;/ vocavi, et non respondit mihi./ (Ⅴ)
- ‫ 6  ׃5   פתחתי אני לדודי ודודי חמק עבר נפשי יצאה בדברו בקשתיהו ולא מצאתיהו קראתיו ולא ענני ‬ (Ⅵ)
- J’ai ouvert à mon bien-aimé, mais mon bien-aimé s’était retiré, il avait passé ; mon âme se pâma de l’avoir ouï parler ; je le cherchai, mais je ne le trouvai point ; je l’appelai, mais il ne me répondit point. (Ⅶ)
- J'ouvris à mon bien-aimé; mais mon bien-aimé s'était retiré, il avait passé; mon âme se pâma de l'avoir entendu parler; je le cherchai, mais je ne le trouvai point; je l'appelai, mais il ne me répondit pas. (Ⅷ)
5. 7  
Les gardes qui font la ronde par la ville me trouvèrent; ils me frappèrent, ils m’ont blessée; les gardes des murailles m’ont ôté mon voile de dessus moi.
- Ils m'ont enlevé mon manteau, ceux qui gardent la muraille. (Ⅰ)
- Les gardes qui font la ronde dans la ville m'ont rencontrée; Ils m'ont frappée, ils m'ont blessée; Ils m'ont enlevé mon voile, les gardes des murs. (Ⅱ)
- εὕροσάν με οἱ φύλακες οἱ κυκλου̃ντες ἐν τη̨̃ πόλει ἐπάταξάν με ἐτραυμάτισάν με ἠ̃ραν τὸ θέριστρόν μου ἀπ' ἐμου̃ φύλακες τω̃ν τειχέων (Ⅳ)
- Invenerunt me custodes qui circumeunt civitatem ;/ percusserunt me, et vulneraverunt me./ Tulerunt pallium meum mihi custodes murorum./ (Ⅴ)
- ‫ 7  ׃5   מצאני השמרים הסבבים בעיר הכוני פצעוני נשאו את רדידי מעלי שמרי החמות ‬ (Ⅵ)
- Le guet qui faisait la ronde par la ville me trouva, ils me battirent, ils me blessèrent ; les gardes des murailles m’ôtèrent mon voile de dessus moi. (Ⅶ)
- Le guet qui faisait la ronde par la ville me trouva; ils me frappèrent, ils me blessèrent; les gardes des murailles m'ôtèrent mon voile. (Ⅷ)
5. 8  
Je vous adjure, filles de Jérusalem, si vous trouvez mon bien-aimé, que lui direz-vous? Que je suis malade d’amour.
- Je vous en conjure, filles de Jérusalem, si vous trouvez mon bien-aimé, que lui direz-vous ? Que je suis malade d'amour! (Ⅰ)
- Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Si vous trouvez mon bien-aimé, Que lui direz-vous?... Que je suis malade d'amour. - (Ⅱ)
- ὥρκισα ὑμα̃ς θυγατέρες Ιερουσαλημ ἐν ται̃ς δυνάμεσιν καὶ ἐν ται̃ς ἰσχύσεσιν του̃ ἀγρου̃ ἐὰν εὕρητε τὸν ἀδελφιδόν μου τί ἀπαγγείλητε αὐτω̨̃ ὅτι τετρωμένη ἀγάπης εἰμὶ ἐγώ (Ⅳ)
- Adjuro vos, filiæ Jerusalem,/ si inveneritis dilectum meum,/ ut nuntietis ei quia amore langueo./ (Ⅴ)
- ‫ 8  ׃5   השבעתי אתכם בנות ירושלם אם תמצאו את דודי מה תגידו לו שחולת אהבה אני ‬ (Ⅵ)
- Filles de Jérusalem, je vous adjure, si vous trouvez mon bien-aimé, que vous lui rapportiez ; et quoi ? Que je me pâme d’amour. (Ⅶ)
- Filles de Jérusalem, je vous adjure, si vous trouvez mon bien-aimé, que lui direz-vous? Que je languis d'amour. (Ⅷ)
5. 9  
Ton bien-aimé qu’est-il de plus qu’un autre bien-aimé, ô la plus belle parmi les femmes? Ton bien-aimé qu’est-il de plus qu’un autre bien-aimé, que tu nous adjures ainsi?
- (Le Choeur:) Qu'a donc ton bien-aimé de plus qu'un autre bien-aimé, ô la plus belle des femmes ? Qu'a donc ton bien-aimé de plus qu'un autre bien-aimé, pour que tu nous conjures de la sorte ? (Ⅰ)
- Qu'a ton bien-aimé de plus qu'un autre, O la plus belle des femmes? Qu'a ton bien-aimé de plus qu'un autre, Pour que tu nous conjures ainsi? - (Ⅱ)
- τί ἀδελφιδός σου ἀπὸ ἀδελφιδου̃ ἡ καλὴ ἐν γυναιξίν τί ἀδελφιδός σου ἀπὸ ἀδελφιδου̃ ὅτι οὕτως ὥρκισας ἡμα̃ς (Ⅳ)
- Qualis est dilectus tuus ex dilecto, o pulcherrima mulierum ?/ qualis est dilectus tuus ex dilecto, quia sic adjurasti nos ?/ (Ⅴ)
- ‫ 9  ׃5   מה דודך מדוד היפה בנשים מה דודך מדוד שככה השבעתנו ‬ (Ⅵ)
- Qu’est-ce de ton bien-aimé plus que d’un autre, ô la plus belle d’entre les femmes ? Qu’est-ce de ton bien-aimé plus que d’un autre, que tu nous aies ainsi conjurées ? (Ⅶ)
- Qu'est ton bien-aimé plus qu'un autre, ô la plus belle d'entre les femmes? Qu'est ton bien-aimé plus qu'un autre, que tu nous adjures ainsi? (Ⅷ)
5. 10  
Mon bien-aimé est blanc et vermeil, un porte-bannière entre dix mille.
- (L'Epouse:) Mon bien-aimé est frais et vermeil ; il se distingue entre dix mille. (Ⅰ)
- Mon bien-aimé est blanc et vermeil; Il se distingue entre dix mille. (Ⅱ)
- ἀδελφιδός μου λευκὸς καὶ πυρρός ἐκλελοχισμένος ἀπὸ μυριάδων (Ⅳ)
- Dilectus meus candidus et rubicundus ;/ electus ex millibus./ (Ⅴ)
- ‫ 10 ׃5   דודי צח ואדום דגול מרבבה ‬ (Ⅵ)
- Mon bien-aimé est blanc et vermeil, un porte-enseigne [choisi] entre dix mille. (Ⅶ)
- Mon bien-aimé est blanc et vermeil; il porte l'étendard entre dix mille. (Ⅷ)
5. 11  
Sa tête est un or très fin; ses boucles sont flottantes, noires comme un corbeau;
- Sa tête est de l'or pur, ses boucles de cheveux, flexibles comme des palmes, sont noires comme le corbeau. (Ⅰ)
- Sa tête est de l'or pur; Ses boucles sont flottantes, Noires comme le corbeau. (Ⅱ)
- κεφαλὴ αὐτου̃ χρυσίον καὶ φαζ βόστρυχοι αὐτου̃ ἐλάται μέλανες ὡς κόραξ (Ⅳ)
- Caput ejus aurum optimum ;/ comæ ejus sicut elatæ palmarum, nigræ quasi corvus./ (Ⅴ)
- ‫ 11 ׃5   ראשו כתם פז קוצותיו‪[U]‬ תלתלים שחרות כעורב ‬ (Ⅵ)
- Sa tête est un or très-fin ; ses cheveux sont crépus, noirs comme un corbeau. (Ⅶ)
- Sa tête est de l'or pur; ses cheveux flottants sont noirs comme le corbeau. (Ⅷ)
5. 12  
ses yeux, comme des colombes près des ruisseaux d’eau, baignés dans le lait, bien enchâssés;
- Ses yeux sont comme des colombes au bord des ruisseaux, se baignant dans le lait, posées sur les rives. (Ⅰ)
- Ses yeux sont comme des colombes au bord des ruisseaux, Se baignant dans le lait, Reposant au sein de l'abondance. (Ⅱ)
- ὀφθαλμοὶ αὐτου̃ ὡς περιστεραὶ ἐπὶ πληρώματα ὑδάτων λελουσμέναι ἐν γάλακτι καθήμεναι ἐπὶ πληρώματα ὑδάτων (Ⅳ)
- Oculi ejus sicut columbæ super rivulos aquarum,/ quæ lacte sunt lotæ, et resident juxta fluenta plenissima./ (Ⅴ)
- ‫ 12 ׃5   עיניו כיונים על אפיקי מים רחצות בחלב ישבות על מלאת ‬ (Ⅵ)
- Ses yeux sont comme ceux des colombes sur les ruisseaux des eaux courantes, lavés dans du lait, et [comme] enchâssés dans des chatons d’[anneau.] (Ⅶ)
- Ses yeux sont comme ceux des colombes aux bords des ruisseaux, lavés dans du lait, et enchâssés dans des chatons. (Ⅷ)
5. 13  
ses joues, comme des parterres d’aromates, des corbeilles de fleurs parfumées; ses lèvres, des lis distillant une myrrhe limpide;
- Ses joues sont comme des parterres de baumiers, des carrés de plantes odorantes ; ses lèvres sont des lis, d'où découle la myrrhe la plus pure. (Ⅰ)
- Ses joues sont comme un parterre d'aromates, Une couche de plantes odorantes; Ses lèvres sont des lis, D'où découle la myrrhe. (Ⅱ)
- σιαγόνες αὐτου̃ ὡς φιάλαι του̃ ἀρώματος φύουσαι μυρεψικά χείλη αὐτου̃ κρίνα στάζοντα σμύρναν πλήρη (Ⅳ)
- Genæ illius sicut areolæ aromatum,/ consitæ a pigmentariis./ Labia ejus lilia,/ distillantia myrrham primam./ (Ⅴ)
- ‫ 13 ׃5   לחיו כערוגת הבשם מגדלות מרקחים שפתותיו שושנים נטפות מור עבר ‬ (Ⅵ)
- Ses joues sont comme un carreau de drogues aromatiques, et [comme] des fleurs parfumées, ses lèvres sont [comme] du muguet ; elles distillent la myrrhe franche. (Ⅶ)
- Ses joues sont comme un parterre de plantes aromatiques, et comme des fleurs parfumées; ses lèvres sont des lis, elles distillent la myrrhe la plus pure. (Ⅷ)
5. 14  
ses mains, des rondelles d’or, où sont enchâssés des chrysolites; son ventre, un ivoire poli, couvert de saphirs;
- Ses mains sont des cylindres d'or, émaillés de pierres de Tharsis ; son sein est un chef-d'oeuvre d'ivoire, couvert de saphirs. (Ⅰ)
- Ses mains sont des anneaux d'or, Garnis de chrysolithes; Son corps est de l'ivoire poli, Couvert de saphirs; (Ⅱ)
- χει̃ρες αὐτου̃ τορευταὶ χρυσαι̃ πεπληρωμέναι θαρσις κοιλία αὐτου̃ πυξίον ἐλεφάντινον ἐπὶ λίθου σαπφείρου (Ⅳ)
- Manus illius tornatiles, aureæ,/ plenæ hyacinthis./ Venter ejus eburneus,/ distinctus sapphiris./ (Ⅴ)
- ‫ 14 ׃5   ידיו גלילי זהב ממלאים בתרשיש מעיו עשת שן מעלפת ספירים ‬ (Ⅵ)
- Ses mains sont [comme] des anneaux d’or, où il y a des chrysolithes enchâssées ; son ventre est comme d’un ivoire bien poli, couvert de saphirs. (Ⅶ)
- Ses mains sont des anneaux d'or, garnis de chrysolithes; son corps est de l'ivoire poli, couvert de saphirs. (Ⅷ)
5. 15  
ses jambes, des colonnes de marbre blanc, reposant sur des socles d’or fin; son port, comme le Liban, distingué comme les cèdres;
- Ses jambes sont des colonnes d'albâtre, posées sur des bases d'or pur. Son aspect est celui du Liban, élégant comme le cèdre. (Ⅰ)
- Ses jambes sont des colonnes de marbre blanc, Posées sur des bases d'or pur. Son aspect est comme le Liban, Distingué comme les cèdres. (Ⅱ)
- κνη̃μαι αὐτου̃ στυ̃λοι μαρμάρινοι τεθεμελιωμένοι ἐπὶ βάσεις χρυσα̃ς εἰ̃δος αὐτου̃ ὡς Λίβανος ἐκλεκτὸς ὡς κέδροι (Ⅳ)
- Crura illius columnæ marmoreæ/ quæ fundatæ sunt super bases aureas./ Species ejus ut Libani,/ electus ut cedri./ (Ⅴ)
- ‫ 15 ׃5   שוקיו עמודי שש מיסדים על אדני פז מראהו כלבנון בחור כארזים ‬ (Ⅵ)
- Ses jambes sont [comme] des piliers de marbre, fondés sur des soubassements de fin or ; son port est [comme] le Liban ; il est exquis comme les cèdres. (Ⅶ)
- Ses jambes sont des colonnes de marbre, posées sur des bases d'or pur; son aspect est comme le Liban, il est beau comme les cèdres. (Ⅷ)
5. 16  
son palais est plein de douceur, et toute sa personne est désirable. Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, filles de Jérusalem!
- Son palais n'est que douceur, et toute sa personne n'est que charme. Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, filles de Jérusalem. (Ⅰ)
- Son palais n'est que douceur, Et toute sa personne est pleine de charme. Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, Filles de Jérusalem! - (Ⅱ)
- φάρυγξ αὐτου̃ γλυκασμοὶ καὶ ὅλος ἐπιθυμία οὑ̃τος ἀδελφιδός μου καὶ οὑ̃τος πλησίον μου θυγατέρες Ιερουσαλημ (Ⅳ)
- Guttur illius suavissimum,/ et totus desiderabilis./ Talis est dilectus meus,/ et ipse est amicus meus, filiæ Jerusalem./ (Ⅴ)
- ‫ 16 ׃5   חכו ממתקים וכלו מחמדים‪[Q]‬‪[n]‬‪[p]‬ זה דודי וזה רעי בנות ירושלם ‬ (Ⅵ)
- Son palais n’est que douceur ; tout ce qui est en lui est aimable. Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, filles de Jérusalem. (Ⅶ)
- Son palais n'est que douceur, tout ce qui est en lui est aimable. Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, filles de Jérusalem. (Ⅷ)


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