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(Version J.N. Darby)


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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


13. 1  
Que toute âme se soumette aux autorités qui sont au-dessus d’elle; car il n’existe pas d’autorité, si ce n’est de par Dieu; et celles qui existent sont ordonnées de Dieu;
- Que toute âme soit soumise aux autorités supérieures; car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de Dieu, et celles qui existent ont été instituées par lui. (Ⅰ)
- Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu. (Ⅱ)
- Πᾶσα ψυχὴ ἐξουσίαις ὑπερεχούσαις ὑποτασσέσθω, οὐ γὰρ ἔστιν ἐξουσία εἰ μὴ ὑπὸ θεοῦ, αἱ δὲ ⸀οὖσαι ⸀ὑπὸ θεοῦ τεταγμέναι εἰσίν. (Ⅳ)
- Omnis anima potestatibus sublimioribus subdita sit : non est enim potestas nisi a Deo : quæ autem sunt, a Deo ordinatæ sunt. (Ⅴ)
- Que toute personne soit soumise aux Puissances supérieures : car il n’y a point de Puissance qui ne vienne de Dieu, et les Puissances qui subsistent, sont ordonnées de Dieu. (Ⅶ)
- Que toute personne soit soumise aux puissances supérieures; car il n'y a point de puissance qui ne vienne de Dieu; et les puissances qui subsistent, ont été établies de Dieu. (Ⅷ)
13. 2  
de sorte que celui qui résiste à l’autorité résiste à l’ordonnance de Dieu; et ceux qui résistent feront venir un jugement sur eux-mêmes.
- C'est pourquoi celui qui résiste à l'autorité, résiste à l'ordre que Dieu a établi et ceux qui résistent, attireront sur eux-mêmes une condamnation. (Ⅰ)
- C'est pourquoi celui qui s'oppose à l'autorité résiste à l'ordre que Dieu a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-mêmes. (Ⅱ)
- ὥστε ὁ ἀντιτασσόμενος τῇ ἐξουσίᾳ τῇ τοῦ θεοῦ διαταγῇ ἀνθέστηκεν, οἱ δὲ ἀνθεστηκότες ἑαυτοῖς κρίμα λήμψονται. (Ⅳ)
- Itaque qui resistit potestati, Dei ordinationi resistit. Qui autem resistunt, ipsi sibi damnationem acquirunt : (Ⅴ)
- C’est pourquoi celui qui résiste à la Puissance, résiste à l’ordonnance de Dieu ; et ceux qui y résistent, feront venir la condamnation sur eux-mêmes. (Ⅶ)
- C'est pourquoi, celui qui s'oppose à la puissance, s'oppose à l'ordre que Dieu a établi; or ceux qui s'y opposent, attireront la condamnation sur eux-mêmes. (Ⅷ)
13. 3  
Car les magistrats ne sont pas une terreur pour une bonne œuvre, mais pour une mauvaise. Or veux-tu ne pas craindre l’autorité? fais le bien, et tu recevras d’elle de la louange;
- Car les magistrats ne sont point à redouter pour les bonnes actions, mais pour les mauvaises. Veux-tu ne pas craindre l'autorité? Fais le bien, et tu auras son approbation; (Ⅰ)
- Ce n'est pas pour une bonne action, c'est pour une mauvaise, que les magistrats sont à redouter. Veux-tu ne pas craindre l'autorité? Fais-le bien, et tu auras son approbation. (Ⅱ)
- οἱ γὰρ ἄρχοντες οὐκ εἰσὶν φόβος ⸂τῷ ἀγαθῷ ἔργῳ⸃ ἀλλὰ ⸂τῷ κακῷ⸃. θέλεις δὲ μὴ φοβεῖσθαι τὴν ἐξουσίαν; τὸ ἀγαθὸν ποίει, καὶ ἕξεις ἔπαινον ἐξ αὐτῆς· (Ⅳ)
- nam principes non sunt timori boni operis, sed mali. Vis autem non timere potestatem ? Bonum fac : et habebis laudem ex illa : (Ⅴ)
- Car les Princes ne sont point à craindre pour de bonnes actions, mais pour de mauvaises. Or veux-tu ne point craindre la Puissance ? fais bien, et tu en recevras de la louange. (Ⅶ)
- Car ceux qui gouvernent ne sont pas à craindre lorsqu'on fait de bonnes actions; mais seulement lorsqu'on en fait de mauvaises. Veux-tu donc ne point craindre les puissances? Fais le bien, et tu en seras loué. (Ⅷ)
13. 4  
car le magistrat est serviteur de Dieu pour ton bien; mais si tu fais le mal, crains; car il ne porte pas l’épée en vain; car il est serviteur de Dieu, vengeur pour exécuter la colère sur celui qui fait le mal.
- car le prince est pour toi ministre de Dieu pour le bien. Mais si tu fais le mal, crains; car ce n'est pas en vain qu'il porte l'épée, étant ministre de Dieu pour tirer vengeance de celui qui fait le mal, et le punir. (Ⅰ)
- Le magistrat est serviteur de Dieu pour ton bien. Mais si tu fais le mal, crains; car ce n'est pas en vain qu'il porte l'épée, étant serviteur de Dieu pour exercer la vengeance et punir celui qui fait le mal. (Ⅱ)
- θεοῦ γὰρ διάκονός ἐστιν σοὶ εἰς τὸ ἀγαθόν. ἐὰν δὲ τὸ κακὸν ποιῇς, φοβοῦ· οὐ γὰρ εἰκῇ τὴν μάχαιραν φορεῖ· θεοῦ γὰρ διάκονός ἐστιν, ἔκδικος εἰς ὀργὴν τῷ τὸ κακὸν πράσσοντι. (Ⅳ)
- Dei enim minister est tibi in bonum. Si autem malum feceris, time : non enim sine causa gladium portat. Dei enim minister est : vindex in iram ei qui malum agit. (Ⅴ)
- Car [le Prince] est le serviteur de Dieu pour ton bien ; mais si tu fais le mal, crains ; parce qu’il ne porte point vainement l’épée, car il est le serviteur de Dieu, ordonné pour faire justice en punissant celui qui fait le mal. (Ⅶ)
- Car le prince est le ministre de Dieu pour ton bien; mais, si tu fais le mal, crains, car il ne porte point l'épée en vain; parce qu'il est ministre de Dieu, pour faire justice en punissant celui qui fait le mal. (Ⅷ)
13. 5  
C’est pourquoi il est nécessaire d’être soumis, non seulement à cause de la colère, mais aussi à cause de la conscience.
- Il est nécessaire d'être soumis, non seulement par crainte du châtiment, mais aussi par motif de conscience. (Ⅰ)
- Il est donc nécessaire d'être soumis, non seulement par crainte de la punition, mais encore par motif de conscience. (Ⅱ)
- διὸ ἀνάγκη ὑποτάσσεσθαι, οὐ μόνον διὰ τὴν ὀργὴν ἀλλὰ καὶ διὰ τὴν συνείδησιν, (Ⅳ)
- Ideo necessitate subditi estote non solum propter iram, sed etiam propter conscientiam. (Ⅴ)
- C’est pourquoi il faut être soumis, non seulement à cause de la punition, mais aussi à cause de la conscience. (Ⅶ)
- C'est pourquoi il est nécessaire d'être soumis, non seulement à cause de la punition, mais aussi à cause de la conscience. (Ⅷ)
13. 6  
Car c’est pour cela que vous payez aussi les tributs; — car ils sont ministres de Dieu, s’employant constamment à cela même.
- C'est aussi pour cette raison que vous payez les impôts; car les magistrats sont des ministres de Dieu, entièrement appliqués à cette fonction. Rendez [donc] à tous ce qui leur est dû : (Ⅰ)
- C'est aussi pour cela que vous payez les impôts. Car les magistrats sont des ministres de Dieu entièrement appliqués à cette fonction. (Ⅱ)
- διὰ τοῦτο γὰρ καὶ φόρους τελεῖτε, λειτουργοὶ γὰρ θεοῦ εἰσιν εἰς αὐτὸ τοῦτο προσκαρτεροῦντες. (Ⅳ)
- Ideo enim et tributa præstatis : ministri enim Dei sunt, in hoc ipsum servientes. (Ⅴ)
- Car c’est aussi pour cela que vous [leur] payez les tributs, parce qu’ils sont les ministres de Dieu, s’employant à rendre la justice. (Ⅶ)
- C'est aussi pour cela que vous payez des impôts, parce qu'ils sont les ministres de Dieu, en s'appliquant à ces devoirs. (Ⅷ)
13. 7  
Rendez à tous ce qui leur est dû: à qui le tribut, le tribut; à qui le péage, le péage; à qui la crainte, la crainte; à qui l’honneur, l’honneur.
- à qui l'impôt, l'impôt; à qui le tribut, le tribut; à qui la crainte, la crainte; à qui l'honneur, l'honneur. (Ⅰ)
- Rendez à tous ce qui leur est dû: l'impôt à qui vous devez l'impôt, le tribut à qui vous devez le tribut, la crainte à qui vous devez la crainte, l'honneur à qui vous devez l'honneur. (Ⅱ)
- ⸀ἀπόδοτε πᾶσι τὰς ὀφειλάς, τῷ τὸν φόρον τὸν φόρον, τῷ τὸ τέλος τὸ τέλος, τῷ τὸν φόβον τὸν φόβον, τῷ τὴν τιμὴν τὴν τιμήν. (Ⅳ)
- Reddite ergo omnibus debita : cui tributum, tributum : cui vectigal, vectigal : cui timorem, timorem : cui honorem, honorem.\ (Ⅴ)
- Rendez donc à tous ce qui leur est dû : à qui le tribut, le tribut ; à qui le péage, le péage ; à qui crainte, la crainte ; à qui honneur, l’honneur. (Ⅶ)
- Rendez donc à tous ce qui leur est dû: le tribut, à qui vous devez le tribut; les impôts, à qui les impôts; la crainte, à qui la crainte; l'honneur, à qui l'honneur. (Ⅷ)
13. 8  
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres, car celui qui aime les autres a accompli la loi.
- Ne soyez en dette avec personne, si ce n'est de l'amour mutuel; car celui qui aime son prochain a accompli la loi. (Ⅰ)
- Ne devez rien à personne, si ce n'est de vous aimer les uns les autres; car celui qui aime les autres a accompli la loi. (Ⅱ)
- Μηδενὶ μηδὲν ὀφείλετε, εἰ μὴ τὸ ⸂ἀλλήλους ἀγαπᾶν⸃· ὁ γὰρ ἀγαπῶν τὸν ἕτερον νόμον πεπλήρωκεν. (Ⅳ)
- Nemini quidquam debeatis, nisi ut invicem diligatis : qui enim diligit proximum, legem implevit. (Ⅴ)
- Ne devez rien à personne, sinon que vous vous aimiez l’un l’autre ; car celui qui aime les autres, a accompli la Loi. (Ⅶ)
- Ne devez rien à personne, si ce n'est de vous aimer les uns les autres; car celui qui aime les autres, a accompli la loi. (Ⅷ)
13. 9  
Car ce qui est dit: «Tu ne commettras point adultère, tu ne tueras point, tu ne déroberas point, tu ne convoiteras point», et tout autre commandement qu’il puisse y avoir, est résumé dans cette parole-ci: «Tu aimeras ton prochain comme toi-même».
- En effet, ces commandements: "Tu ne commettras point d'adultère; tu ne tueras point; tu ne déroberas point; [tu ne diras point de faux témoignage]; tu ne convoiteras point, " et ceux qu'on pourrait citer encore, se résument dans cette parole : " Tu aimeras ton prochain comme toi-même. " (Ⅰ)
- En effet, les commandements: Tu ne commettras point d'adultère, tu ne tueras point, tu ne déroberas point, tu ne convoiteras point, et ceux qu'il peut encore y avoir, se résument dans cette parole: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. (Ⅱ)
- τὸ γάρ· Οὐ μοιχεύσεις, Οὐ φονεύσεις, Οὐ κλέψεις, Οὐκ ἐπιθυμήσεις, καὶ εἴ τις ἑτέρα ἐντολή, ἐν ⸂τῷ λόγῳ τούτῳ⸃ ἀνακεφαλαιοῦται, ⸂ἐν τῷ⸃· Ἀγαπήσεις τὸν πλησίον σου ὡς σεαυτόν. (Ⅳ)
- Nam : Non adulterabis : non occides : non furaberis : non falsum testimonium dices : non concupisces : et si quod est aliud mandatum, in hoc verbo instauratur : diliges proximum tuum sicut teipsum. (Ⅴ)
- Parce que ce [qui est dit] : Tu ne commettras point adultère, Tu ne tueras point, Tu ne déroberas point, Tu ne diras point de faux témoignage, Tu ne convoiteras point, et tel autre commandement, est sommairement compris dans cette parole : Tu aimeras ton Prochain comme toi-même. (Ⅶ)
- En effet, les commandements: Tu ne commettras point adultère; tu ne tueras point; tu ne déroberas point; tu ne diras point de faux témoignage; tu ne convoiteras point; et tout autre commandement, tout cela se résume dans cette parole: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. (Ⅷ)
13. 10  
L’amour ne fait point de mal au prochain; l’amour donc est la somme de la loi.
- L'amour ne fait point de mal au prochain; l'amour est donc la plénitude de la loi. (Ⅰ)
- L'amour ne fait point de mal au prochain: l'amour est donc l'accomplissement de la loi. (Ⅱ)
- ἡ ἀγάπη τῷ πλησίον κακὸν οὐκ ἐργάζεται· πλήρωμα οὖν νόμου ἡ ἀγάπη. (Ⅳ)
- Dilectio proximi malum non operatur. Plenitudo ergo legis est dilectio.\ (Ⅴ)
- La charité ne fait point de mal au Prochain : l’accomplissement donc de la Loi, c’est la charité. (Ⅶ)
- L'amour ne fait point de mal au prochain; l'amour est donc l'accomplissement de la loi. (Ⅷ)
13. 11  
Et encore ceci: connaissant le temps, que c’est déjà l’heure de nous réveiller du sommeil, car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru:
- Cela importe d'autant plus, que vous savez en quel temps nous sommes : c'est l'heure de nous réveiller enfin du sommeil; car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons embrassé la foi. (Ⅰ)
- Cela importe d'autant plus que vous savez en quel temps nous sommes: c'est l'heure de vous réveiller enfin du sommeil, car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru. (Ⅱ)
- Καὶ τοῦτο εἰδότες τὸν καιρόν, ὅτι ὥρα ⸂ἤδη ὑμᾶς⸃ ἐξ ὕπνου ἐγερθῆναι, νῦν γὰρ ἐγγύτερον ἡμῶν ἡ σωτηρία ἢ ὅτε ἐπιστεύσαμεν. (Ⅳ)
- Et hoc scientes tempus : quia hora est jam nos de somno surgere. Nunc enim propior est nostra salus, quam cum credidimus. (Ⅴ)
- Même vu la saison, parce qu’il est déjà temps de nous réveiller du sommeil ; car maintenant le salut est plus près de nous, que lorsque nous avons cru. (Ⅶ)
- Et vous devez faire cela, vu le temps où nous sommes; car c'est ici l'heure de nous réveiller enfin du sommeil, puisque le salut est maintenant plus près de nous, que lorsque nous avons cru. (Ⅷ)
13. 12  
la nuit est fort avancée, et le jour s’est approché; rejetons donc les œuvres des ténèbres, et revêtons les armes de la lumière.
- La nuit est avancée, et le jour approche. Dépouillons-nous donc des œuvres des ténèbres et revêtons les armes de la lumière. (Ⅰ)
- La nuit est avancée, le jour approche. Dépouillons-nous donc des oeuvres des ténèbres, et revêtons les armes de la lumière. (Ⅱ)
- ἡ νὺξ προέκοψεν, ἡ δὲ ἡμέρα ἤγγικεν. ⸀ἀποβαλώμεθα οὖν τὰ ἔργα τοῦ σκότους, ⸂ἐνδυσώμεθα δὲ⸃ τὰ ὅπλα τοῦ φωτός. (Ⅳ)
- Nox præcessit, dies autem appropinquavit. Abjiciamus ergo opera tenebrarum, et induamur arma lucis. (Ⅴ)
- La nuit est passée et le jour est approché ; rejetons donc les œuvres de ténèbres, et soyons revêtus des armes de lumière. (Ⅶ)
- La nuit est avancée, et le jour approche; dépouillons-nous donc des ouvres de ténèbres, et revêtons-nous des armes de lumière. (Ⅷ)
13. 13  
Conduisons-nous honnêtement, comme de jour; non point en orgies ni en ivrogneries; non point en impudicités ni en débauches; non point en querelles ni en envie.
- Marchons honnêtement, comme en plein jour, ne nous laissant point aller aux excès de la table et du vin, à la luxure et à l'impudicité, aux querelles et aux jalousies. (Ⅰ)
- Marchons honnêtement, comme en plein jour, loin des excès et de l'ivrognerie, de la luxure et de l'impudicité, des querelles et des jalousies. (Ⅱ)
- ὡς ἐν ἡμέρᾳ εὐσχημόνως περιπατήσωμεν, μὴ κώμοις καὶ μέθαις, μὴ κοίταις καὶ ἀσελγείαις, μὴ ἔριδι καὶ ζήλῳ, (Ⅳ)
- Sicut in die honeste ambulemus : non in comessationibus, et ebrietatibus, non in cubilibus, et impudicitiis, non in contentione, et æmulatione : (Ⅴ)
- Conduisons-nous honnêtement [et] comme en plein jour ; non point en gourmandises, ni en ivrogneries ; non point en couches, ni en insolences ; non point en querelles, ni en envie. (Ⅶ)
- Marchons honnêtement comme de jour, et non dans les débauches et dans l'ivrognerie, dans la luxure et dans les impudicités, dans les querelles et dans l'envie; (Ⅷ)
13. 14  
Mais revêtez le seigneur Jésus Christ, et ne prenez pas soin de la chair pour satisfaire à ses convoitises.
- Mais revêtez-vous du Seigneur Jésus-Christ, et ne prenez pas soin de la chair, de manière à en exciter les convoitises. (Ⅰ)
- Mais revêtez-vous du Seigneur Jésus Christ, et n'ayez pas soin de la chair pour en satisfaire les convoitises. (Ⅱ)
- ἀλλὰ ἐνδύσασθε τὸν κύριον Ἰησοῦν Χριστόν, καὶ τῆς σαρκὸς πρόνοιαν μὴ ποιεῖσθε εἰς ἐπιθυμίας. (Ⅳ)
- sed induimini Dominum Jesum Christum, et carnis curam ne feceritis in desideriis. (Ⅴ)
- Mais soyez revêtus du Seigneur Jésus-Christ ; et n’ayez point soin de la chair pour [accomplir] ses convoitises. (Ⅶ)
- Mais revêtez-vous du Seigneur Jésus-Christ, et ne flattez point la chair dans ses convoitises. (Ⅷ)


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Chapitre 13
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