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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


7. 1  
Ignorez-vous, frères, (car je parle à gens qui entendent ce que c’est que la loi,) que la loi a autorité sur l’homme aussi longtemps qu’il vit?
- Ignorez-vous, mes frères — car je parle à des hommes qui connaissent la Loi, — que l'homme est sous l'empire de la loi aussi longtemps qu'il vit? (Ⅰ)
- Ignorez-vous, frères, -car je parle à des gens qui connaissent la loi, -que la loi exerce son pouvoir sur l'homme aussi longtemps qu'il vit? (Ⅱ)
- Ἢ ἀγνοεῖτε, ἀδελφοί, γινώσκουσιν γὰρ νόμον λαλῶ, ὅτι ὁ νόμος κυριεύει τοῦ ἀνθρώπου ἐφ’ ὅσον χρόνον ζῇ; (Ⅳ)
- An ignoratis, fratres (scientibus enim legem loquor), quia lex in homine dominatur quanto tempore vivit ? (Ⅴ)
- Ne savez-vous pas, mes frères (car je parle à ceux qui entendent ce que c’est que la Loi) que la Loi exerce son pouvoir sur l’homme durant tout le temps qu’il est en vie ? (Ⅶ)
- Frères, ne savez-vous pas, (car je parle à des personnes qui connaissent la loi, ) que la loi n'a de pouvoir sur l'homme que pendant qu'il est en vie? (Ⅷ)
7. 2  
Car la femme qui est soumise à un mari, est liée à son mari par la loi, tant qu’il vit; mais si le mari meurt, elle est déliée de la loi du mari.
- Ainsi une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu'il est vivant; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi qui la liait à son mari. (Ⅰ)
- Ainsi, une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu'il est vivant; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi qui la liait à son mari. (Ⅱ)
- ἡ γὰρ ὕπανδρος γυνὴ τῷ ζῶντι ἀνδρὶ δέδεται νόμῳ· ἐὰν δὲ ἀποθάνῃ ὁ ἀνήρ, κατήργηται ἀπὸ τοῦ νόμου τοῦ ἀνδρός. (Ⅳ)
- Nam quæ sub viro est mulier, vivente viro, alligata est legi : si autem mortuus fuerit vir ejus, soluta est a lege viri. (Ⅴ)
- Car la femme qui est sous la puissance d’un mari, est liée à son mari par la Loi, tandis qu’il est en vie ; mais si son mari meurt, elle est délivrée de la loi du mari. (Ⅶ)
- En effet, la femme qui est mariée, est liée par la loi à son mari, tant qu'il est vivant; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi du mari. (Ⅷ)
7. 3  
Ainsi donc, le mari étant vivant, elle sera appelée adultère si elle est à un autre homme; mais si le mari meurt, elle est libre de la loi, de sorte qu’elle n’est pas adultère en étant à un autre homme.
- Si donc, du vivant de son mari, elle épouse un autre homme, elle sera appelée adultère; mais si son mari meurt, elle est affranchie de la loi, en sorte qu'elle n'est plus adultère en devenant la femme d'un autre mari. (Ⅰ)
- Si donc, du vivant de son mari, elle devient la femme d'un autre homme, elle sera appelée adultère; mais si le mari meurt, elle est affranchie de la loi, de sorte qu'elle n'est point adultère en devenant la femme d'un autre. (Ⅱ)
- ἄρα οὖν ζῶντος τοῦ ἀνδρὸς μοιχαλὶς χρηματίσει ἐὰν γένηται ἀνδρὶ ἑτέρῳ· ἐὰν δὲ ἀποθάνῃ ὁ ἀνήρ, ἐλευθέρα ἐστὶν ἀπὸ τοῦ νόμου, τοῦ μὴ εἶναι αὐτὴν μοιχαλίδα γενομένην ἀνδρὶ ἑτέρῳ. (Ⅳ)
- Igitur, vivente viro, vocabitur adultera si fuerit cum alio viro : si autem mortuus fuerit vir ejus, liberata est a lege viri, ut non sit adultera si fuerit cum alio viro. (Ⅴ)
- Le mari donc étant vivant, si elle épouse un autre mari elle sera appelée adultère ; mais son mari étant mort, elle est délivrée de la Loi ; tellement qu’elle ne sera point adultère si elle épouse un autre mari. (Ⅶ)
- Si donc, durant la vie de son mari, elle épouse un autre homme, elle sera appelée adultère; mais si son mari meurt, elle est affranchie de la loi, de sorte qu'elle n'est point adultère, si elle épouse un autre homme. (Ⅷ)
7. 4  
C’est pourquoi, mes frères, vous aussi, vous avez été mis à mort à la loi par le corps du Christ, pour être à un autre, à celui qui est ressuscité d’entre les morts, afin que nous portions du fruit pour Dieu.
- Ainsi, mes frères, vous aussi vous êtes morts à la Loi, par le corps de Jésus-Christ, pour que vous soyez à un autre, à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions des fruits pour Dieu. (Ⅰ)
- De même, mes frères, vous aussi vous avez été, par le corps de Christ, mis à mort en ce qui concerne la loi, pour que vous apparteniez à un autre, à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions des fruits pour Dieu. (Ⅱ)
- Ὥστε, ἀδελφοί μου, καὶ ὑμεῖς ἐθανατώθητε τῷ νόμῳ διὰ τοῦ σώματος τοῦ Χριστοῦ, εἰς τὸ γενέσθαι ὑμᾶς ἑτέρῳ, τῷ ἐκ νεκρῶν ἐγερθέντι ἵνα καρποφορήσωμεν τῷ θεῷ. (Ⅳ)
- Itaque fratres mei, et vos mortificati estis legi per corpus Christi : ut sitis alterius, qui ex mortuis resurrexit, ut fructificemus Deo. (Ⅴ)
- Ainsi mes frères, vous êtes aussi morts à la Loi par le corps de Christ, pour être à un autre, [savoir] à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous fructifions à Dieu. (Ⅶ)
- Ainsi donc, vous aussi, mes frères, vous êtes morts à la loi, par le corps de Christ, pour être à un autre, savoir, à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions des fruits pour Dieu. (Ⅷ)
7. 5  
Car, quand nous étions dans la chair, les passions des péchés, lesquelles sont par la loi, agissaient dans nos membres pour porter du fruit pour la mort;
- Car, lorsque nous étions dans la chair, les passions qui engendrent les péchés, excitées par la Loi, agissaient dans nos membres, de manière à produire des fruits pour la mort. (Ⅰ)
- Car, lorsque nous étions dans la chair, les passions des péchés provoquées par la loi agissaient dans nos membres, de sorte que nous portions des fruits pour la mort. (Ⅱ)
- ὅτε γὰρ ἦμεν ἐν τῇ σαρκί, τὰ παθήματα τῶν ἁμαρτιῶν τὰ διὰ τοῦ νόμου ἐνηργεῖτο ἐν τοῖς μέλεσιν ἡμῶν εἰς τὸ καρποφορῆσαι τῷ θανάτῳ· (Ⅳ)
- Cum enim essemus in carne, passiones peccatorum, quæ per legem erant, operabantur in membris nostris, ut fructificarent morti. (Ⅴ)
- Car quand nous étions en la chair, les affections des péchés [étant excitées] par la Loi, avaient vigueur en nos membres, pour fructifier à la mort. (Ⅶ)
- Car lorsque nous étions dans la chair, les passions des péchés, excitées par la loi, agissaient dans nos membres, de manière à produire des fruits pour la mort. (Ⅷ)
7. 6  
mais maintenant nous avons été déliés de la loi, étant morts dans ce en quoi nous étions tenus, en sorte que nous servions en nouveauté d’esprit, et non pas en vieillesse de lettre.
- Mais maintenant nous avons été dégagés de la Loi, étant morts à la Loi, sous l'autorité de laquelle nous étions tenus, de sorte que nous servons Dieu dans un esprit nouveau, et non selon une lettre surannée. (Ⅰ)
- Mais maintenant, nous avons été dégagés de la loi, étant morts à cette loi sous laquelle nous étions retenus, de sorte que nous servons dans un esprit nouveau, et non selon la lettre qui a vieilli. (Ⅱ)
- νυνὶ δὲ κατηργήθημεν ἀπὸ τοῦ νόμου, ἀποθανόντες ἐν ᾧ κατειχόμεθα, ὥστε δουλεύειν ἡμᾶς ἐν καινότητι πνεύματος καὶ οὐ παλαιότητι γράμματος. (Ⅳ)
- Nunc autem soluti sumus a lege mortis, in qua detinebamur, ita ut serviamus in novitate spiritus, et non in vetustate litteræ.\ (Ⅴ)
- Mais maintenant nous sommes délivrés de la Loi, [la Loi] par laquelle nous étions retenus étant morte ; afin que nous servions [Dieu] en nouveauté d’esprit, et non point en vieillesse de Lettre. (Ⅶ)
- Mais maintenant que nous sommes délivrés de la loi, étant morts à celle sous laquelle nous étions retenus, nous servons Dieu dans un esprit nouveau, et non selon la lettre, qui a vieilli. (Ⅷ)
7. 7  
Que dirons-nous donc? La loi est-elle péché? — Qu’ainsi n’advienne! Mais je n’eusse pas connu le péché, si ce n’eût été par la loi; car je n’eusse pas eu conscience de la convoitise, si la loi n’eût dit: «Tu ne convoiteras point».
- Que dirons-nous donc? La loi est-elle péché? Loin de là ! Mais je n'ai connu le péché que par la Loi; par exemple, je n'aurais pas connu la convoitise, si la Loi ne disait : " Tu ne convoiteras point. " (Ⅰ)
- Que dirons-nous donc? La loi est-elle péché? Loin de là! Mais je n'ai connu le péché que par la loi. Car je n'aurais pas connu la convoitise, si la loi n'eût dit: Tu ne convoiteras point. (Ⅱ)
- Τί οὖν ἐροῦμεν; ὁ νόμος ἁμαρτία; μὴ γένοιτο· ἀλλὰ τὴν ἁμαρτίαν οὐκ ἔγνων εἰ μὴ διὰ νόμου, τήν τε γὰρ ἐπιθυμίαν οὐκ ᾔδειν εἰ μὴ ὁ νόμος ἔλεγεν· Οὐκ ἐπιθυμήσεις· (Ⅳ)
- Quid ergo dicemus ? lex peccatum est ? Absit. Sed peccatum non cognovi, nisi per legem : nam concupiscentiam nesciebam, nisi lex diceret : Non concupisces. (Ⅴ)
- Que dirons-nous donc ? La Loi est-elle péché ? à Dieu ne plaise ! au contraire je n’ai point connu le péché, sinon par la Loi : car je n’eusse pas connu la convoitise, si la Loi n’eût dit : tu ne convoiteras point. (Ⅶ)
- Que dirons-nous donc? La loi est-elle la cause du péché? Nullement! Au contraire, je n'ai connu le péché que par la loi; car je n'eusse point connu la convoitise, si la loi n'eût dit: Tu ne convoiteras point. (Ⅷ)
7. 8  
Mais le péché, ayant trouvé une occasion par le commandement, a produit en moi toutes les convoitises, car sans la loi le péché est mort.
- Puis le péché, saisissant l'occasion, a fait naître en moi, par le commandement, toutes sortes de convoitises; car, sans la Loi, le péché est mort. (Ⅰ)
- Et le péché, saisissant l'occasion, produisit en moi par le commandement toutes sortes de convoitises; car sans loi le péché est mort. (Ⅱ)
- ἀφορμὴν δὲ λαβοῦσα ἡ ἁμαρτία διὰ τῆς ἐντολῆς κατειργάσατο ἐν ἐμοὶ πᾶσαν ἐπιθυμίαν, χωρὶς γὰρ νόμου ἁμαρτία νεκρά. (Ⅳ)
- Occasione autem accepta, peccatum per mandatum operatum est in me omnem concupiscentiam. Sine lege enim peccatum mortuum erat. (Ⅴ)
- Mais le péché ayant pris occasion par le commandement, a produit en moi toute sorte de convoitise ; parce que sans la Loi le péché est mort. (Ⅶ)
- Mais le péché, prenant occasion du commandement, a produit en moi toute sorte de convoitises. Car sans la loi, le péché est mort. (Ⅷ)
7. 9  
Or moi, étant autrefois sans loi, je vivais; mais le commandement étant venu, le péché a repris vie, et moi je mourus;
- Pour moi, je vivais autrefois sans la Loi; mais le commandement étant venu, le péché a pris vie, (Ⅰ)
- Pour moi, étant autrefois sans loi, je vivais; mais quand le commandement vint, le péché reprit vie, et moi je mourus. (Ⅱ)
- ἐγὼ δὲ ἔζων χωρὶς νόμου ποτέ· ἐλθούσης δὲ τῆς ἐντολῆς ἡ ἁμαρτία ἀνέζησεν, (Ⅳ)
- Ego autem vivebam sine lege aliquando : sed cum venisset mandatum, peccatum revixit. (Ⅴ)
- Car autrefois que j’étais sans la Loi, je vivais ; mais quand le commandement est venu, le péché a commencé à revivre. (Ⅶ)
- Pour moi, autrefois sans loi, je vivais; mais le commandement étant venu, le péché a repris vie, (Ⅷ)
7. 10  
et le commandement qui était pour la vie, a été trouvé lui-même pour moi pour la mort.
- et moi, je suis mort. Ainsi le commandement qui devait conduire à la vie, s'est trouvé pour moi conduire à la mort. (Ⅰ)
- Ainsi, le commandement qui conduit à la vie se trouva pour moi conduire à la mort. (Ⅱ)
- ἐγὼ δὲ ἀπέθανον, καὶ εὑρέθη μοι ἡ ἐντολὴ ἡ εἰς ζωὴν αὕτη εἰς θάνατον· (Ⅳ)
- Ego autem mortuus sum : et inventum est mihi mandatum, quod erat ad vitam, hoc esse ad mortem. (Ⅴ)
- Et moi je suis mort ; et le commandement qui [m’était ordonné] pour [être ma] vie, a été trouvé [me tourner] à mort. (Ⅶ)
- Et moi, je suis mort; et il s'est trouvé que le commandement, qui devait me donner la vie, m'a donné la mort. (Ⅷ)
7. 11  
Car le péché, ayant trouvé une occasion par le commandement, me séduisit, et par lui me tua.
- Car le péché, saisissant l'occasion qu'offrait le commandement, m'a séduit et par lui m'a donné la mort. (Ⅰ)
- Car le péché saisissant l'occasion, me séduisit par le commandement, et par lui me fit mourir. (Ⅱ)
- ἡ γὰρ ἁμαρτία ἀφορμὴν λαβοῦσα διὰ τῆς ἐντολῆς ἐξηπάτησέν με καὶ δι’ αὐτῆς ἀπέκτεινεν. (Ⅳ)
- Nam peccatum occasione accepta per mandatum, seduxit me, et per illud occidit. (Ⅴ)
- Car le péché prenant occasion du commandement, m’a séduit, et par lui m’a mis à mort. (Ⅶ)
- Car le péché, prenant occasion du commandement m'a séduit, et par lui m'a fait mourir. (Ⅷ)
7. 12  
La loi donc est sainte, et le commandement est saint, et juste, et bon.
- Ainsi donc la Loi est sainte, et le commandement est saint, juste et bon. (Ⅰ)
- La loi donc est sainte, et le commandement est saint, juste et bon. (Ⅱ)
- ὥστε ὁ μὲν νόμος ἅγιος, καὶ ἡ ἐντολὴ ἁγία καὶ δικαία καὶ ἀγαθή. (Ⅳ)
- Itaque lex quidem sancta, et mandatum sanctum, et justum, et bonum.\ (Ⅴ)
- La Loi donc est sainte, et le commandement est saint, juste, et bon. (Ⅶ)
- Ainsi la loi est sainte, et le commandement est saint, juste et bon. (Ⅷ)
7. 13  
Ce qui est bon est-il donc devenu pour moi la mort? — Qu’ainsi n’advienne! Mais le péché, afin qu’il parût péché, m’a causé la mort par ce qui est bon, afin que le péché devînt par le commandement excessivement pécheur.
- Une chose bonne a donc été pour moi une cause de mort? Loin de là ! Mais c'est le péché qui m'a donné la mort, afin de se montrer péché en me donnant la mort par le moyen du commandement. (Ⅰ)
- Ce qui est bon a-t-il donc été pour moi une cause de mort? Loin de là! Mais c'est le péché, afin qu'il se manifestât comme péché en me donnant la mort par ce qui est bon, et que, par le commandement, il devînt condamnable au plus haut point. (Ⅱ)
- Τὸ οὖν ἀγαθὸν ἐμοὶ ⸀ἐγένετο θάνατος; μὴ γένοιτο· ἀλλὰ ἡ ἁμαρτία, ἵνα φανῇ ἁμαρτία διὰ τοῦ ἀγαθοῦ μοι κατεργαζομένη θάνατον· ἵνα γένηται καθ’ ὑπερβολὴν ἁμαρτωλὸς ἡ ἁμαρτία διὰ τῆς ἐντολῆς. (Ⅳ)
- Quod ergo bonum est, mihi factum est mors ? Absit. Sed peccatum, ut appareat peccatum, per bonum operatum est mihi mortem : ut fiat supra modum peccans peccatum per mandatum. (Ⅴ)
- Ce qui est bon, m’est-il devenu mortel ? nullement ! mais le péché, afin qu’il parût péché, m’a causé la mort par le bien ; afin que le péché fût rendu par le commandement excessivement péchant. (Ⅶ)
- Ce qui est bon m'a-t-il donc donné la mort? Nullement! mais c'est le péché, afin qu'il parût péché, en me donnant la mort par une chose bonne et que le péché devînt excessivement pécheur par le commandement. (Ⅷ)
7. 14  
Car nous savons que la loi est spirituelle: mais moi je suis charnel, vendu au péché;
- Nous savons, en effet, que la Loi est spirituelle; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. (Ⅰ)
- Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. (Ⅱ)
- Οἴδαμεν γὰρ ὅτι ὁ νόμος πνευματικός ἐστιν· ἐγὼ δὲ ⸀σάρκινός εἰμι, πεπραμένος ὑπὸ τὴν ἁμαρτίαν. (Ⅳ)
- Scimus enim quia lex spiritualis est : ego autem carnalis sum, venundatus sub peccato. (Ⅴ)
- Car nous savons que la Loi est spirituelle ; mais je suis charnel, vendu au péché. (Ⅶ)
- En effet, nous savons que la loi est spirituelle; mais moi je suis charnel, vendu au péché. (Ⅷ)
7. 15  
car ce que je fais, je ne le reconnais pas, car ce n’est pas ce que je veux, que je fais, mais ce que je hais, je le pratique.
- Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais pas ce que je veux, et je fais ce que je hais. (Ⅰ)
- Car je ne sais pas ce que je fais: je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. (Ⅱ)
- ὃ γὰρ κατεργάζομαι οὐ γινώσκω· οὐ γὰρ ὃ θέλω τοῦτο πράσσω, ἀλλ’ ὃ μισῶ τοῦτο ποιῶ. (Ⅳ)
- Quod enim operor, non intelligo : non enim quod volo bonum, hoc ago : sed quod odi malum, illud facio. (Ⅴ)
- Car je n’approuve point ce que je fais, puisque je ne fais point ce que je veux, mais je fais ce que je hais. (Ⅶ)
- Car je n'approuve point ce que je fais, je ne fais point ce que je veux, mais je fais ce que je hais. (Ⅷ)
7. 16  
Or si c’est ce que je ne veux pas que je pratique, j’approuve la loi, reconnaissant qu’elle est bonne.
- Or, si je fais ce que je ne voudrais pas, je reconnais par là que la Loi est bonne. (Ⅰ)
- Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. (Ⅱ)
- εἰ δὲ ὃ οὐ θέλω τοῦτο ποιῶ, σύμφημι τῷ νόμῳ ὅτι καλός. (Ⅳ)
- Si autem quod nolo, illud facio : consentio legi, quoniam bona est. (Ⅴ)
- Or si ce que je fais je ne le veux point, je reconnais [par cela même] que la Loi est bonne. (Ⅶ)
- Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. (Ⅷ)
7. 17  
Or maintenant, ce n’est plus moi qui fais cela, mais c’est le péché qui habite en moi.
- Mais alors ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. (Ⅰ)
- Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. (Ⅱ)
- νυνὶ δὲ οὐκέτι ἐγὼ κατεργάζομαι αὐτὸ ἀλλὰ ἡ ⸀οἰκοῦσα ἐν ἐμοὶ ἁμαρτία. (Ⅳ)
- Nunc autem jam non ego operor illud, sed quod habitat in me peccatum. (Ⅴ)
- Maintenant donc ce n’est plus moi qui fais cela ; mais c’est le péché qui habite en moi. (Ⅶ)
- Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. (Ⅷ)
7. 18  
Car je sais qu’en moi, c’est-à-dire en ma chair, il n’habite point de bien; car le vouloir est avec moi, mais accomplir le bien, cela je ne le trouve pas.
- Car je sais que le bien n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair; le vouloir est à ma portée, mais non le pouvoir de l'accomplir. (Ⅰ)
- Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair: j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. (Ⅱ)
- οἶδα γὰρ ὅτι οὐκ οἰκεῖ ἐν ἐμοί, τοῦτ’ ἔστιν ἐν τῇ σαρκί μου, ἀγαθόν· τὸ γὰρ θέλειν παράκειταί μοι, τὸ δὲ κατεργάζεσθαι τὸ καλὸν ⸀οὔ· (Ⅳ)
- Scio enim quia non habitat in me, hoc est in carne mea, bonum. Nam velle, adjacet mihi : perficere autem bonum, non invenio. (Ⅴ)
- Car je sais qu’en moi, c’est-à-dire, en ma chair, il n’habite point de bien ; vu que le vouloir est bien attaché à moi, mais je ne trouve pas le moyen d’accomplir le bien. (Ⅶ)
- Car je sais que le bien n'habite point en moi, c'est-à-dire, dans ma chair, parce que j'ai la volonté de faire le bien; mais je ne parviens pas à l'accomplir. (Ⅷ)
7. 19  
Car le bien que je veux, je ne le pratique pas; mais le mal que je ne veux pas, je le fais.
- Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. (Ⅰ)
- Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. (Ⅱ)
- οὐ γὰρ ὃ θέλω ποιῶ ἀγαθόν, ἀλλὰ ὃ οὐ θέλω κακὸν τοῦτο πράσσω. (Ⅳ)
- Non enim quod volo bonum, hoc facio : sed quod nolo malum, hoc ago. (Ⅴ)
- Car je ne fais pas le bien que je veux, mais je fais le mal que je ne veux point. (Ⅶ)
- Car je ne fais pas le bien que je veux; mais je fais le mal que je ne veux pas faire. (Ⅷ)
7. 20  
Or si ce que je ne veux pas, moi, — je le pratique, ce n’est plus moi qui l’accomplis, mais c’est le péché qui habite en moi.
- Or, si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. (Ⅰ)
- Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. (Ⅱ)
- εἰ δὲ ὃ οὐ ⸀θέλω τοῦτο ποιῶ, οὐκέτι ἐγὼ κατεργάζομαι αὐτὸ ἀλλὰ ἡ οἰκοῦσα ἐν ἐμοὶ ἁμαρτία. (Ⅳ)
- Si autem quod nolo, illud facio : jam non ego operor illud, sed quod habitat in me, peccatum. (Ⅴ)
- Or si je fais ce que je ne veux point, ce n’est plus moi qui le fais, mais [c’est] le péché qui habite en moi. (Ⅶ)
- Que si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. (Ⅷ)
7. 21  
Je trouve donc cette loi pour moi qui veux pratiquer le bien, que le mal est avec moi.
- Je trouve donc cette loi en moi : quand je veux faire le bien, le mal est près de moi. (Ⅰ)
- Je trouve donc en moi cette loi: quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. (Ⅱ)
- Εὑρίσκω ἄρα τὸν νόμον τῷ θέλοντι ἐμοὶ ποιεῖν τὸ καλὸν ὅτι ἐμοὶ τὸ κακὸν παράκειται· (Ⅳ)
- Invenio igitur legem, volenti mihi facere bonum, quoniam mihi malum adjacet : (Ⅴ)
- Je trouve donc cette Loi au-dedans de moi, que quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. (Ⅶ)
- Je trouve donc cette loi en moi; c'est que quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. (Ⅷ)
7. 22  
Car je prends plaisir à la loi de Dieu selon l’homme intérieur;
- Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur; (Ⅰ)
- Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur; (Ⅱ)
- συνήδομαι γὰρ τῷ νόμῳ τοῦ θεοῦ κατὰ τὸν ἔσω ἄνθρωπον, (Ⅳ)
- condelector enim legi Dei secundum interiorem hominem : (Ⅴ)
- Car je prends bien plaisir à la loi de Dieu quant à l’homme intérieur ; (Ⅶ)
- Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur; (Ⅷ)
7. 23  
mais je vois dans mes membres une autre loi qui combat contre la loi de mon entendement et qui me rend captif de la loi du péché qui existe dans mes membres.
- mais je vois dans mes membres une autre loi qui lutte contre la loi de ma raison, et qui me rend captif de la loi du péché qui est dans mes membres. (Ⅰ)
- mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. (Ⅱ)
- βλέπω δὲ ἕτερον νόμον ἐν τοῖς μέλεσίν μου ἀντιστρατευόμενον τῷ νόμῳ τοῦ νοός μου καὶ αἰχμαλωτίζοντά με ⸀ἐν τῷ νόμῳ τῆς ἁμαρτίας τῷ ὄντι ἐν τοῖς μέλεσίν μου. (Ⅳ)
- video autem aliam legem in membris meis, repugnantem legi mentis meæ, et captivantem me in lege peccati, quæ est in membris meis. (Ⅴ)
- Mais je vois dans mes membres une autre loi, qui combat contre la loi de mon entendement, et qui me rend prisonnier à la loi du péché, qui est dans mes membres. (Ⅶ)
- Mais je vois une autre loi dans mes membres, qui combat contre la loi de mon esprit et qui me rend captif sous la loi du péché, qui est dans mes membres. (Ⅷ)
7. 24  
Misérable homme que je suis, qui me délivrera de ce corps de mort?
- Malheureux que je suis ! Qui me délivrera de ce corps de mort? (Ⅰ)
- Misérable que je suis! Qui me délivrera du corps de cette mort?... (Ⅱ)
- ταλαίπωρος ἐγὼ ἄνθρωπος· τίς με ῥύσεται ἐκ τοῦ σώματος τοῦ θανάτου τούτου; (Ⅳ)
- Infelix ego homo, quis me liberabit de corpore mortis hujus ? (Ⅴ)
- [Ha !] misérable que je suis ! qui me délivrera du corps de cette mort ? (Ⅶ)
- Misérable homme que je suis! qui me délivrera de ce fardeau de mort? (Ⅷ)
7. 25  
Je rends grâces à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur. Ainsi donc moi-même, de l’entendement je sers la loi de Dieu; mais de la chair, la loi du péché.
- Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ Notre-Seigneur ! Ainsi donc moi-même, par l'esprit, je suis l'esclave de la loi de Dieu, et par la chair l'esclave de la loi du péché. (Ⅰ)
- Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur!... Ainsi donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché. (Ⅱ)
- ⸀χάρις τῷ θεῷ διὰ Ἰησοῦ Χριστοῦ τοῦ κυρίου ἡμῶν. Ἄρα οὖν αὐτὸς ἐγὼ τῷ μὲν νοῒ δουλεύω νόμῳ θεοῦ, τῇ δὲ σαρκὶ νόμῳ ἁμαρτίας. (Ⅳ)
- gratia Dei per Jesum Christum Dominum nostrum. Igitur ego ipse mente servio legi Dei : carne autem, legi peccati. (Ⅴ)
- Je rends grâces à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur. Je sers donc moi-même de l’entendement à la Loi de Dieu, mais de la chair, à la loi du péché. (Ⅶ)
- Je rends grâces à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur! Je suis donc assujetti moi-même, par l'esprit, à la loi de Dieu, mais par la chair, à la loi du péché. (Ⅷ)


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