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(Version David Martin)


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(Ⅰ)
(Ⅰ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


9. 1  
Je dis la vérité en Christ, je ne mens point, ma conscience me rendant témoignage par le Saint-Esprit,
- Je dis la vérité dans le Christ, je ne mens point, ma conscience m'en rend témoignage par l'Esprit-Saint : (Ⅰ)
- Je dis la vérité en Christ, je ne mens point, ma conscience m'en rend témoignage par le Saint Esprit: (Ⅱ)
- Ἀλήθειαν λέγω ἐν Χριστῷ, οὐ ψεύδομαι, συμμαρτυρούσης μοι τῆς συνειδήσεώς μου ἐν πνεύματι ἁγίῳ, (Ⅳ)
- Veritatem dico in Christo, non mentior : testimonium mihi perhibente conscientia mea in Spiritu Sancto : (Ⅴ)
- Je dis la vérité en Christ; je ne mens point, ma conscience me rendant témoignage par l’Esprit Saint, (Ⅶ)
- Je dis la vérité en Christ, je ne mens point; et ma conscience me rend ce témoignage par le Saint-Esprit, (Ⅷ)
9. 2  
Que j’ai une grande tristesse et un continuel tourment en mon cœur.
- j'éprouve une grande tristesse et j'ai au cœur une douleur incessante. (Ⅰ)
- J'éprouve une grande tristesse, et j'ai dans le coeur un chagrin continuel. (Ⅱ)
- ὅτι λύπη μοί ἐστιν μεγάλη καὶ ἀδιάλειπτος ὀδύνη τῇ καρδίᾳ μου· (Ⅳ)
- quoniam tristitia mihi magna est, et continuus dolor cordi meo. (Ⅴ)
- que j’ai une grande tristesse et une douleur continuelle dans mon cœur; (Ⅶ)
- Que j'ai une grande tristesse, et un continuel tourment dans le cœur. (Ⅷ)
9. 3  
Car moi-même je souhaiterais d’être séparé de Christ pour mes frères, qui sont mes parents selon la chair ;
- Car je souhaiterais d'être moi-même anathème, loin du Christ, pour mes frères, mes parents selon la chair, (Ⅰ)
- Car je voudrais moi-même être anathème et séparé de Christ pour mes frères, mes parents selon la chair, (Ⅱ)
- ηὐχόμην γὰρ ⸂ἀνάθεμα εἶναι αὐτὸς ἐγὼ⸃ ἀπὸ τοῦ Χριστοῦ ὑπὲρ τῶν ἀδελφῶν μου τῶν συγγενῶν μου κατὰ σάρκα, (Ⅳ)
- Optabam enim ego ipse anathema esse a Christo pro fratribus meis, qui sunt cognati mei secundum carnem, (Ⅴ)
- car moi-même j’ai souhaité d’être par anathème séparé du Christ, pour mes frères, mes parents selon la chair, (Ⅶ)
- Car je désirerais moi-même d'être anathème, loin de Christ, pour mes frères, mes parents selon la chair; (Ⅷ)
9. 4  
Qui sont Israëlites, desquels sont l’adoption, la gloire, les alliances, l’ordonnance de la Loi, le service divin, et les promesses.
- qui sont Israélites, à qui appartiennent l'adoption, et la gloire, et les alliances, et la Loi, et le culte, et les promesses, (Ⅰ)
- qui sont Israélites, à qui appartiennent l'adoption, et la gloire, et les alliances, et la loi, et le culte, (Ⅱ)
- οἵτινές εἰσιν Ἰσραηλῖται, ὧν ἡ υἱοθεσία καὶ ἡ δόξα καὶ αἱ διαθῆκαι καὶ ἡ νομοθεσία καὶ ἡ λατρεία καὶ αἱ ἐπαγγελίαι, (Ⅳ)
- qui sunt Israëlitæ, quorum adoptio est filiorum, et gloria, et testamentum, et legislatio, et obsequium, et promissa : (Ⅴ)
- qui sont Israélites, auxquels sont l’adoption, et la gloire, et les alliances, et le don de la loi, et le service divin, et les promesses; (Ⅶ)
- Qui sont Israélites, à qui appartiennent l'adoption, la gloire, les alliances, l'établissement de la loi, le service divin et les promesses; (Ⅷ)
9. 5  
Desquels [sont] les pères, et desquels selon la chair [est descendu] Christ, qui est Dieu sur toutes choses, béni éternellement ; Amen !
- et les patriarches, et de qui est issu le Christ selon la chair, lequel est au-dessus de toutes choses, Dieu, béni éternellement. Amen ! (Ⅰ)
- et les promesses, et les patriarches, et de qui est issu, selon la chair, le Christ, qui est au-dessus de toutes choses, Dieu béni éternellement. Amen! (Ⅱ)
- ὧν οἱ πατέρες, καὶ ἐξ ὧν ὁ χριστὸς τὸ κατὰ σάρκα, ὁ ὢν ἐπὶ πάντων, θεὸς εὐλογητὸς εἰς τοὺς αἰῶνας· ἀμήν. (Ⅳ)
- quorum patres, et ex quibus est Christus secundum carnem, qui est super omnia Deus benedictus in sæcula. Amen. (Ⅴ)
- auxquels sont les pères, et desquels, selon la chair, est issu le Christ, qui est sur toutes choses Dieu béni éternellement. Amen! (Ⅶ)
- Qui descendent des pères, et de qui est sorti, selon la chair, Christ, qui est Dieu au-dessus de toutes choses, béni éternellement. Amen! (Ⅷ)
9. 6  
Toutefois il ne se peut pas faire que la parole de Dieu soit anéantie ; mais tous ceux qui sont d’Israël, ne sont pas pourtant Israël.
- Ce n'est pas que la parole de Dieu ait failli. Car tous ceux qui descendent d'Israël ne sont pas le véritable Israël, (Ⅰ)
- Ce n'est point à dire que la parole de Dieu soit restée sans effet. Car tous ceux qui descendent d'Israël ne sont pas Israël, (Ⅱ)
- Οὐχ οἷον δὲ ὅτι ἐκπέπτωκεν ὁ λόγος τοῦ θεοῦ. οὐ γὰρ πάντες οἱ ἐξ Ἰσραήλ, οὗτοι Ἰσραήλ· (Ⅳ)
- Non autem quod exciderit verbum Dei. Non enim omnes qui ex Israël sunt, ii sunt Israëlitæ : (Ⅴ)
- — Ce n’est pas cependant comme si la parole de Dieu avait été sans effet, car tous ceux qui sont issus d’Israël ne sont pas Israël; (Ⅶ)
- Ce n'est pas que la parole de Dieu ait failli; car tous ceux qui descendent d'Israël, ne sont pas Israël; (Ⅷ)
9. 7  
Car pour être de la semence d’Abraham ils ne sont pas tous ses enfants ; mais, c’est en Isaac qu’on doit considérer sa postérité.
- et pour être la postérité d'Abraham, tous ne sont pas ses enfants; mais " C'est la postérité d'Isaac qui sera dite la postérité ", (Ⅰ)
- et, pour être la postérité d'Abraham, ils ne sont pas tous ses enfants; mais il est dit: En Isaac sera nommée pour toi une postérité, (Ⅱ)
- οὐδ’ ὅτι εἰσὶν σπέρμα Ἀβραάμ, πάντες τέκνα, ἀλλ’· Ἐν Ἰσαὰκ κληθήσεταί σοι σπέρμα. (Ⅳ)
- neque qui semen sunt Abrahæ, omnes filii : sed in Isaac vocabitur tibi semen : (Ⅴ)
- aussi, pour être la semence d’Abraham, ils ne sont pas tous enfants; mais «en Isaac te sera appelée une semence»; (Ⅶ)
- Et pour être la postérité d'Abraham, ils ne sont pas tous ses enfants; mais il est dit: En Isaac sera une postérité de ton nom; (Ⅷ)
9. 8  
c’est-à-dire, que ce ne sont pas ceux qui sont enfants de la chair, qui sont enfants de Dieu ; mais que ce sont les enfants de la promesse, qui sont réputés pour semence.
- c'est-à-dire que ce sont les enfants de la promesse qui sont regardés comme la postérité d'Abraham. (Ⅰ)
- c'est-à-dire que ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu, mais que ce sont les enfants de la promesse qui sont regardés comme la postérité. (Ⅱ)
- τοῦτ’ ἔστιν, οὐ τὰ τέκνα τῆς σαρκὸς ταῦτα τέκνα τοῦ θεοῦ, ἀλλὰ τὰ τέκνα τῆς ἐπαγγελίας λογίζεται εἰς σπέρμα· (Ⅳ)
- id est, non qui filii carnis, hi filii Dei : sed qui filii sunt promissionis, æstimantur in semine. (Ⅴ)
- c’est-à-dire, ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu; mais les enfants de la promesse sont comptés pour semence. (Ⅶ)
- C'est-à-dire, que ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu; mais que ce sont les enfants de la promesse qui sont réputés être la postérité. (Ⅷ)
9. 9  
Car voici la parole de la promesse : je viendrai en cette même saison, et Sara aura un fils.
- Voici en effet les termes d'une promesse : " Je reviendrai à cette même époque, et Sara aura un fils. " (Ⅰ)
- Voici, en effet, la parole de la promesse: Je reviendrai à cette même époque, et Sara aura un fils. (Ⅱ)
- ἐπαγγελίας γὰρ ὁ λόγος οὗτος· Κατὰ τὸν καιρὸν τοῦτον ἐλεύσομαι καὶ ἔσται τῇ Σάρρᾳ υἱός. (Ⅳ)
- Promissionis enim verbum hoc est : Secundum hoc tempus veniam : et erit Saræ filius. (Ⅴ)
- Car cette parole est une parole de promesse: «En cette saison-ci, je viendrai, et Sara aura un fils». (Ⅶ)
- Car, voici les termes de la promesse: Je reviendrai en cette même saison, et Sara aura un fils. (Ⅷ)
9. 10  
Et non seulement cela ; mais aussi Rebecca, lorsqu’elle conçut d’un, [savoir] de notre père Isaac.
- Et non seulement Sara; mais il en fut encore ainsi de Rebecca qui conçut deux enfants d'un seul homme, d'Isaac notre père; (Ⅰ)
- Et, de plus, il en fut ainsi de Rébecca, qui conçut du seul Isaac notre père; (Ⅱ)
- οὐ μόνον δέ, ἀλλὰ καὶ Ῥεβέκκα ἐξ ἑνὸς κοίτην ἔχουσα, Ἰσαὰκ τοῦ πατρὸς ἡμῶν· (Ⅳ)
- Non solum autem illa : sed et Rebecca ex uno concubitu habens, Isaac patris nostri. (Ⅴ)
- Et non seulement cela, mais aussi quant à Rebecca, lorsqu’elle conçut d’un, d’Isaac, notre père, (Ⅶ)
- Et non seulement cela; mais il en arriva de même à Rébecca, quand elle eut conçu, en une fois deux enfants, d'Isaac, notre père. (Ⅷ)
9. 11  
Car avant que les enfants fussent nés, et qu’ils eussent fait ni bien ni mal, afin que le dessein arrêté selon l’élection de Dieu demeurât, non point par les œuvres, mais par celui qui appelle ;
- car, avant même que les enfants fussent nés, et qu'ils eussent rien fait, ni bien ni mal, — afin que le dessein électif de Dieu fût reconnu ferme, (Ⅰ)
- car, quoique les enfants ne fussent pas encore nés et ils n'eussent fait ni bien ni mal, -afin que le dessein d'élection de Dieu subsistât, sans dépendre des oeuvres, et par la seule volonté de celui qui appelle, - (Ⅱ)
- μήπω γὰρ γεννηθέντων μηδὲ πραξάντων τι ἀγαθὸν ἢ ⸀φαῦλον, ἵνα ἡ κατ’ ἐκλογὴν πρόθεσις τοῦ θεοῦ μένῃ, (Ⅳ)
- Cum enim nondum nati fuissent, aut aliquid boni egissent, aut mali (ut secundum electionem propositum Dei maneret), (Ⅴ)
- (car avant que les enfants fussent nés et qu’ils eussent rien fait de bon ou de mauvais, afin que le propos de Dieu selon l’élection demeurât, non point sur le principe des œuvres, mais de celui qui appelle,) (Ⅶ)
- Car les enfants n'étaient pas encore nés, et n'avaient fait ni bien ni mal, et afin que le décret d'élection de Dieu demeurât ferme, (Ⅷ)
9. 12  
Il lui fut dit : le plus grand sera asservi au moindre ;
- non en vertu des œuvres, mais par le choix de celui qui appelle, — il fut dit à Rebecca : " L'aîné sera assujetti au plus jeune, " (Ⅰ)
- il fut dit à Rébecca: L'aîné sera assujetti au plus jeune; selon qu'il est écrit: (Ⅱ)
- οὐκ ἐξ ἔργων ἀλλ’ ἐκ τοῦ καλοῦντος, ἐρρέθη αὐτῇ ὅτι Ὁ μείζων δουλεύσει τῷ ἐλάσσονι· (Ⅳ)
- non ex operibus, sed ex vocante dictum est ei quia major serviet minori, (Ⅴ)
- il lui fut dit: «Le plus grand sera asservi au plus petit»; (Ⅶ)
- Non à cause des ouvres, mais à cause de celui qui appelle, il lui fut dit: L'aîné sera assujetti au plus jeune. (Ⅷ)
9. 13  
Ainsi qu’il est écrit : j’ai aimé Jacob, et j’ai haï Esaü.
- selon qu'il est écrit : " J'ai aimé Jacob, et j'ai haï Esaü. " (Ⅰ)
- J'ai aimé Jacob Et j'ai haï Ésaü. (Ⅱ)
- ⸀καθὼς γέγραπται· Τὸν Ἰακὼβ ἠγάπησα, τὸν δὲ Ἠσαῦ ἐμίσησα. (Ⅳ)
- sicut scriptum est : Jacob dilexi, Esau autem odio habui.\ (Ⅴ)
- ainsi qu’il est écrit: «J’ai aimé Jacob, et j’ai haï Ésaü». (Ⅶ)
- Selon qu'il est écrit: J'ai aimé Jacob, et j'ai haï Ésaü. (Ⅷ)
9. 14  
Que dirons-nous donc : y a-t-il de l’iniquité en Dieu ? à Dieu ne plaise !
- Que dirons-nous donc? Y a-t-il de l'injustice en Dieu? Loin de là ! (Ⅰ)
- Que dirons-nous donc? Y a-t-il en Dieu de l'injustice? Loin de là! (Ⅱ)
- Τί οὖν ἐροῦμεν; μὴ ἀδικία παρὰ τῷ θεῷ; μὴ γένοιτο· (Ⅳ)
- Quid ergo dicemus ? numquid iniquitas apud Deum ? Absit. (Ⅴ)
- Que dirons-nous donc? Y a-t-il de l’injustice en Dieu? Qu’ainsi n’advienne! (Ⅶ)
- Que dirons-nous donc? Y a-t il de l'injustice en Dieu? Nullement. (Ⅷ)
9. 15  
Car il dit à Moïse : j’aurai compassion de celui de qui j’aurai compassion ; et je ferai miséricorde à celui à qui je ferai miséricorde.
- Car il dit à Moïse : "Je ferai miséricorde à qui je veux faire miséricorde, et j'aurai compassion de qui je veux avoir compassion. " (Ⅰ)
- Car il dit à Moïse: Je ferai miséricorde à qui je fais miséricorde, et j'aurai compassion de qui j'ai compassion. (Ⅱ)
- τῷ ⸂Μωϋσεῖ γὰρ⸃ λέγει· Ἐλεήσω ὃν ἂν ἐλεῶ, καὶ οἰκτιρήσω ὃν ἂν οἰκτίρω. (Ⅳ)
- Moysi enim dicit : Miserebor cujus misereor : et misericordiam præstabo cujus miserebor. (Ⅴ)
- Car il dit à Moïse: «Je ferai miséricorde à celui à qui je fais miséricorde, et j’aurai compassion de qui j’ai compassion». (Ⅶ)
- Car il a dit à Moïse: Je ferai miséricorde à celui à qui je ferai miséricorde, et j'aurai pitié de celui de qui j'aurai pitié. (Ⅷ)
9. 16  
Ce n’est donc point du voulant, ni du courant : mais de Dieu qui fait miséricorde.
- Ainsi donc l'élection ne dépend ni de la volonté, ni des efforts, mais de Dieu qui fait miséricorde. (Ⅰ)
- Ainsi donc, cela ne dépend ni de celui qui veut, ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde. (Ⅱ)
- ἄρα οὖν οὐ τοῦ θέλοντος οὐδὲ τοῦ τρέχοντος ἀλλὰ τοῦ ἐλεῶντος θεοῦ. (Ⅳ)
- Igitur non volentis, neque currentis, sed miserentis est Dei. (Ⅴ)
- Ainsi donc ce n’est pas de celui qui veut, ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde. (Ⅶ)
- Cela ne vient donc ni de celui qui veut, ni de celui qui court; mais de Dieu qui fait miséricorde. (Ⅷ)
9. 17  
Car l’Ecriture dit à Pharaon : je t’ai fait subsister dans le but de démontrer en toi ma puissance, et afin que mon Nom soit publié dans toute la terre.
- Car l'Ecriture dit à Pharaon : " Je t'ai suscité, pour montrer en toi ma puissance, et pour que mon nom soit célébré sur toute la terre. " (Ⅰ)
- Car l'Écriture dit à Pharaon: Je t'ai suscité à dessein pour montrer en toi ma puissance, et afin que mon nom soit publié par toute la terre. (Ⅱ)
- λέγει γὰρ ἡ γραφὴ τῷ Φαραὼ ὅτι Εἰς αὐτὸ τοῦτο ἐξήγειρά σε ὅπως ἐνδείξωμαι ἐν σοὶ τὴν δύναμίν μου, καὶ ὅπως διαγγελῇ τὸ ὄνομά μου ἐν πάσῃ τῇ γῇ. (Ⅳ)
- Dicit enim Scriptura Pharaoni : Quia in hoc ipsum excitavi te, ut ostendam in te virtutem meam : et ut annuntietur nomen meum in universa terra. (Ⅴ)
- Car l’écriture dit au Pharaon: «C’est pour cela même que je t’ai suscité, pour montrer en toi ma puissance, et pour que mon nom soit publié dans toute la terre». (Ⅶ)
- Car l'Écriture dit à Pharaon: Je t'ai suscité pour ceci, pour faire voir en toi ma puissance, et pour que mon nom soit proclamé par toute la terre. (Ⅷ)
9. 18  
Il a donc compassion de celui qu’il veut, et il endurcit celui qu’il veut.
- Ainsi il fait miséricorde à qui il veut, et il endurcit qui il veut. (Ⅰ)
- Ainsi, il fait miséricorde à qui il veut, et il endurcit qui il veut. (Ⅱ)
- ἄρα οὖν ὃν θέλει ἐλεεῖ, ὃν δὲ θέλει σκληρύνει. (Ⅳ)
- Ergo cujus vult miseretur, et quem vult indurat. (Ⅴ)
- Ainsi donc il fait miséricorde à qui il veut, et il endurcit qui il veut. (Ⅶ)
- Il fait donc miséricorde à qui il veut, et il endurcit celui qu'il veut. (Ⅷ)
9. 19  
Or tu me diras : pourquoi se plaint-il encore ? car qui est celui qui peut résister à sa volonté ?
- Tu me diras : De quoi donc Dieu se plaint-il encore? Car qui peut s'opposer à sa volonté? (Ⅰ)
- Tu me diras: Pourquoi blâme-t-il encore? Car qui est-ce qui résiste à sa volonté? (Ⅱ)
- Ἐρεῖς ⸂μοι οὖν⸃· Τί ⸀οὖν ἔτι μέμφεται; τῷ γὰρ βουλήματι αὐτοῦ τίς ἀνθέστηκεν; (Ⅳ)
- Dicis itaque mihi : Quid adhuc queritur ? voluntati enim ejus quis resistit ? (Ⅴ)
- Tu me diras donc: Pourquoi se plaint-il encore? car qui est-ce qui a résisté à sa volonté? (Ⅶ)
- Or tu me diras: Pourquoi Dieu se plaint-il encore? Car qui peut résister à sa volonté? (Ⅷ)
9. 20  
Mais plutôt, ô homme, qui es-tu, toi qui contestes contre Dieu ? la chose formée dira-t-elle à celui qui l’a formée : pourquoi m’as-tu ainsi faite ?
- Mais plutôt, ô homme, qui es-tu pour contester avec Dieu? Est-ce que le vase d'argile dit à celui qui l'a façonné : Pourquoi m'as-tu fait ainsi? (Ⅰ)
- O homme, toi plutôt, qui es-tu pour contester avec Dieu? Le vase d'argile dira-t-il à celui qui l'a formé: Pourquoi m'as-tu fait ainsi? (Ⅱ)
- ⸂ὦ ἄνθρωπε, μενοῦνγε⸃ σὺ τίς εἶ ὁ ἀνταποκρινόμενος τῷ θεῷ; μὴ ἐρεῖ τὸ πλάσμα τῷ πλάσαντι Τί με ἐποίησας οὕτως; (Ⅳ)
- O homo, tu quis es, qui respondeas Deo ? numquid dicit figmentum ei qui se finxit : Quid me fecisti sic ? (Ⅴ)
- Mais plutôt, toi, ô homme, qui es-tu, qui contestes contre Dieu? La chose formée dira-t-elle à celui qui l’a formée: Pourquoi m’as-tu ainsi faite? (Ⅶ)
- Mais plutôt, ô homme, qui es-tu, toi qui contestes avec Dieu? Le vase d'argile dira-t-il à celui qui l'a formé: Pourquoi m'as-tu fait ainsi? (Ⅷ)
9. 21  
Le potier de terre n’a-t-il pas la puissance de faire d’une même masse de terre un vaisseau à honneur, et un autre à déshonneur ?
- Le potier n'est-il pas maître de son argile, pour faire de la même masse un vase d'honneur et un vase d'ignominie? (Ⅰ)
- Le potier n'est-il pas maître de l'argile, pour faire avec la même masse un vase d'honneur et un vase d'un usage vil? (Ⅱ)
- ἢ οὐκ ἔχει ἐξουσίαν ὁ κεραμεὺς τοῦ πηλοῦ ἐκ τοῦ αὐτοῦ φυράματος ποιῆσαι ὃ μὲν εἰς τιμὴν σκεῦος ὃ δὲ εἰς ἀτιμίαν; (Ⅳ)
- an non habet potestatem figulus luti ex eadem massa facere aliud quidem vas in honorem, aliud vero in contumeliam ? (Ⅴ)
- Le potier n’a-t-il pas pouvoir sur l’argile pour faire de la même masse un vase à honneur et un autre à déshonneur? (Ⅶ)
- Le potier n'a-t-il pas le pouvoir de faire, d'une même masse de terre, un vase pour des usages honorables, et un autre pour des usages vulgaires? (Ⅷ)
9. 22  
Et [qu’est-ce], si Dieu en voulant montrer sa colère, et donner à connaître sa puissance, a toléré avec une grande patience les vaisseaux de colère, préparés pour la perdition ?
- Et si Dieu, voulant montrer sa colère et faire connaître sa puissance, a supporté avec une grande patience des vases de colère, formés pour la perdition, (Ⅰ)
- Et que dire, si Dieu, voulant montrer sa colère et faire connaître sa puissance, a supporté avec une grande patience des vases de colère formés pour la perdition, (Ⅱ)
- εἰ δὲ θέλων ὁ θεὸς ἐνδείξασθαι τὴν ὀργὴν καὶ γνωρίσαι τὸ δυνατὸν αὐτοῦ ἤνεγκεν ἐν πολλῇ μακροθυμίᾳ σκεύη ὀργῆς κατηρτισμένα εἰς ἀπώλειαν, (Ⅳ)
- Quod si Deus volens ostendere iram, et notum facere potentiam suam, sustinuit in multa patientia vasa iræ, apta in interitum, (Ⅴ)
- Et si Dieu, voulant montrer sa colère et faire connaître sa puissance, a supporté avec une grande patience des vases de colère tout préparés pour la destruction; (Ⅶ)
- Et que dire, si Dieu, voulant montrer sa colère et faire connaître sa puissance, a supporté avec une grande patience les vases de colère, préparés pour la perdition? (Ⅷ)
9. 23  
Et afin de donner à connaître les richesses de sa gloire dans les vaisseaux de miséricorde, qu’il a préparés pour la gloire ;
- et s'il a voulu faire connaître aussi les richesses de sa gloire à l'égard des vases de miséricorde qu'il a d'avance préparés pour la gloire, (Ⅰ)
- et s'il a voulu faire connaître la richesse de sa gloire envers des vases de miséricorde qu'il a d'avance préparés pour la gloire? (Ⅱ)
- ⸀καὶ ἵνα γνωρίσῃ τὸν πλοῦτον τῆς δόξης αὐτοῦ ἐπὶ σκεύη ἐλέους, ἃ προητοίμασεν εἰς δόξαν, (Ⅳ)
- ut ostenderet divitias gloriæ suæ in vasa misericordiæ, quæ præparavit in gloriam. (Ⅴ)
- — et afin de faire connaître les richesses de sa gloire dans des vases de miséricorde qu’il a préparés d’avance pour la gloire…? (Ⅶ)
- Afin de manifester aussi la richesse de sa gloire sur les vases de miséricorde, qu'il a préparés pour la gloire, (Ⅷ)
9. 24  
Et qu’il a appelés, [c’est à savoir] nous, non seulement d’entre les Juifs, mais aussi d’entre les Gentils.
- envers nous, qu'il a appelés, non seulement d'entre les Juifs, mais encore d'entre les Gentils, où est l'injustice? (Ⅰ)
- Ainsi nous a-t-il appelés, non seulement d'entre les Juifs, mais encore d'entre les païens, (Ⅱ)
- οὓς καὶ ἐκάλεσεν ἡμᾶς οὐ μόνον ἐξ Ἰουδαίων ἀλλὰ καὶ ἐξ ἐθνῶν;— (Ⅳ)
- Quos et vocavit nos non solum ex Judæis, sed etiam in gentibus, (Ⅴ)
- lesquels aussi il a appelés, savoir nous, non seulement d’entre les Juifs, mais aussi d’entre les nations: (Ⅶ)
- Envers nous qu'il a aussi appelés, non seulement d'entre les Juifs, mais aussi d'entre les Gentils? (Ⅷ)
9. 25  
Selon ce qu’il dit en Osée : j’appellerai mon peuple celui qui n’était point mon peuple ; et la bien-aimée, celle qui n’était point la bien-aimée ;
- C'est ainsi qu'il dit dans Osée : " Celui qui n'était pas mon peuple, je l'appellerai mon peuple et celle qui n'était pas la bien-aimée, je l'appellerai bien-aimée. " (Ⅰ)
- selon qu'il le dit dans Osée: J'appellerai mon peuple celui qui n'était pas mon peuple, et bien-aimée celle qui n'était pas la bien-aimée; (Ⅱ)
- ὡς καὶ ἐν τῷ Ὡσηὲ λέγει· Καλέσω τὸν οὐ λαόν μου λαόν μου καὶ τὴν οὐκ ἠγαπημένην ἠγαπημένην· (Ⅳ)
- sicut in Osee dicit : Vocabo non plebem meam, plebem meam : et non dilectam, dilectam : et non misericordiam consecutam, misericordiam consecutam. (Ⅴ)
- comme aussi il dit en Osée: «J’appellerai mon peuple celui qui n’était pas mon peuple, et bien-aimée celle qui n’était pas bien-aimée»; (Ⅶ)
- Selon qu'il le dit en Osée: J'appellerai mon peuple, celui qui n'était pas mon peuple, et la bien-aimée, celle qui n'était pas la bien-aimée; (Ⅷ)
9. 26  
Et il arrivera, qu’au lieu où il leur a été dit : vous n’êtes point mon peuple, là ils seront appelés les enfants du Dieu vivant.
- " Et dans le lieu où il leur fut dit : Vous n'êtes pas mon peuple, là même on les appellera fils du Dieu vivant. " (Ⅰ)
- et là où on leur disait: Vous n'êtes pas mon peuple! ils seront appelés fils du Dieu vivant. (Ⅱ)
- καὶ ἔσται ἐν τῷ τόπῳ οὗ ἐρρέθη ⸀αὐτοῖς· Οὐ λαός μου ὑμεῖς, ἐκεῖ κληθήσονται υἱοὶ θεοῦ ζῶντος. (Ⅳ)
- Et erit : in loco, ubi dictum est eis : Non plebs mea vos : ibi vocabuntur filii Dei vivi. (Ⅴ)
- «et il arrivera que dans le lieu où il leur a été dit: Vous n’êtes pas mon peuple, là ils seront appelés fils du Dieu vivant». (Ⅶ)
- Et il arrivera que dans le lieu même où il leur avait été dit: Vous n'êtes point mon peuple, ils seront appelés les enfants du Dieu vivant. (Ⅷ)
9. 27  
Aussi Esaïe s’écrie au sujet d’Israël : quand le nombre des enfants d’Israël serait comme le sable de la mer, il n’y en aura qu’un [petit] reste de sauvé.
- D'autre part, Isaïe s'écrie au sujet d'Israël : " Quand le nombre des fils d'Israël serait comme le sable de la mer, un faible reste seulement sera sauvé. " (Ⅰ)
- Ésaïe, de son côté, s'écrie au sujet d'Israël: Quand le nombre des fils d'Israël serait comme le sable de la mer, Un reste seulement sera sauvé. (Ⅱ)
- Ἠσαΐας δὲ κράζει ὑπὲρ τοῦ Ἰσραήλ· Ἐὰν ᾖ ὁ ἀριθμὸς τῶν υἱῶν Ἰσραὴλ ὡς ἡ ἄμμος τῆς θαλάσσης, τὸ ⸀ὑπόλειμμα σωθήσεται· (Ⅳ)
- Isaias autem clamat pro Israël : Si fuerit numerus filiorum Israël tamquam arena maris, reliquiæ salvæ fient. (Ⅴ)
- Mais Ésaïe s’écrie au sujet d’Israël: «Quand le nombre des fils d’Israël serait comme le sable de la mer, le résidu seul sera sauvé. (Ⅶ)
- Ésaïe s'écrie aussi au sujet d'Israël: Quand le nombre des enfants d'Israël égalerait le sable de la mer, un petit reste seul sera sauvé. (Ⅷ)
9. 28  
Car le Seigneur consomme et abrège l’affaire en justice : il fera, dis-je, une affaire abrégée sur la terre.
- Car accomplissant sa parole pleinement et promptement, il l'exécutera sur la terre [en toute justice]. (Ⅰ)
- Car le Seigneur exécutera pleinement et promptement sur la terre ce qu'il a résolu. (Ⅱ)
- λόγον γὰρ συντελῶν καὶ ⸀συντέμνων ποιήσει κύριος ἐπὶ τῆς γῆς. (Ⅳ)
- Verbum enim consummans, et abbrevians in æquitate : quia verbum breviatum faciet Dominus super terram : (Ⅴ)
- Car il consomme et abrège l’affaire en justice, parce que le Seigneur fera une affaire abrégée sur la terre». (Ⅶ)
- Car le Seigneur consommera et abrégera l'affaire avec justice; le Seigneur fera une grande diminution sur la terre. (Ⅷ)
9. 29  
Et comme Esaïe avait dit auparavant : si le Seigneur des armées ne nous eût laissé quelque semence, nous eussions été faits comme Sodome, et eussions été semblables à Gomorrhe.
- Et comme Isaïe l'avait prédit : " Si le Seigneur des armées ne nous avait laissé un rejeton, nous serions devenus comme Sodome, et nous aurions été semblables à Gomorrhe. " (Ⅰ)
- Et, comme Ésaïe l'avait dit auparavant: Si le Seigneur des armées Ne nous eût laissé une postérité, Nous serions devenus comme Sodome, Nous aurions été semblables à Gomorrhe. (Ⅱ)
- καὶ καθὼς προείρηκεν Ἠσαΐας· Εἰ μὴ κύριος Σαβαὼθ ἐγκατέλιπεν ἡμῖν σπέρμα, ὡς Σόδομα ἂν ἐγενήθημεν καὶ ὡς Γόμορρα ἂν ὡμοιώθημεν. (Ⅳ)
- et sicut prædixit Isaias : Nisi Dominus Sabaoth reliquisset nobis semen, sicut Sodoma facti essemus, et sicut Gomorrha similes fuissemus.\ (Ⅴ)
- Et comme Ésaïe a dit auparavant: «Si le Seigneur Sabaoth ne nous avait laissé quelque semence, nous serions devenus comme Sodome et nous aurions été semblables à Gomorrhe». (Ⅶ)
- Ésaïe avait dit de même auparavant: Si le Seigneur des armées ne nous eût laissé des rejetons, nous serions devenus comme Sodome, et nous aurions été rendus semblables à Gomorrhe. (Ⅷ)
9. 30  
Que dirons-nous donc ? que les Gentils qui ne cherchaient point la justice, ont atteint la justice, la justice, dis-je, qui est par la foi.
- Que dirons- donc? Que les Gentils, qui ne cherchaient pas la justice, on atteint la justice, mais la justice qui vient de la foi, (Ⅰ)
- Que dirons-nous donc? Les païens, qui ne cherchaient pas la justice, ont obtenu la justice, la justice qui vient de la foi, (Ⅱ)
- Τί οὖν ἐροῦμεν; ὅτι ἔθνη τὰ μὴ διώκοντα δικαιοσύνην κατέλαβεν δικαιοσύνην, δικαιοσύνην δὲ τὴν ἐκ πίστεως· (Ⅳ)
- Quid ergo dicemus ? Quod gentes, quæ non sectabantur justitiam, apprehenderunt justitiam : justitiam autem, quæ ex fide est. (Ⅴ)
- Que dirons-nous donc? Que les nations qui ne poursuivaient pas la justice, ont trouvé la justice, la justice qui est sur le principe de la foi. (Ⅶ)
- Que dirons-nous donc? Que les Gentils, qui ne cherchaient point la justice, sont parvenus à la justice, à la justice qui est par la foi; (Ⅷ)
9. 31  
Mais Israël cherchant la Loi de la justice, n’est point parvenu à la Loi de la justice.
- tandis qu'Israël, qui cherchait une loi de justice, n'est point venu à une loi de justice. (Ⅰ)
- tandis qu'Israël, qui cherchait une loi de justice, n'est pas parvenu à cette loi. (Ⅱ)
- Ἰσραὴλ δὲ διώκων νόμον δικαιοσύνης εἰς ⸀νόμον οὐκ ἔφθασεν. (Ⅳ)
- Israël vero sectando legem justitiæ, in legem justitiæ non pervenit. (Ⅴ)
- Mais Israël, poursuivant une loi de justice, n’est point parvenu à cette loi. (Ⅶ)
- Tandis qu'Israël, qui cherchait une loi de justice, n'est point parvenu à cette loi de justice. (Ⅷ)
9. 32  
Pourquoi ? parce que ce n’a point été par la foi, mais comme par les œuvres de la Loi ; car ils ont heurté contre la pierre d’achoppement.
- Pourquoi? parce qu'il a cherché à l'atteindre, non par la foi, mais comme s'il avait pu arriver par les œuvres. Il s'est heurté contre la pierre d'achoppement, (Ⅰ)
- Pourquoi? Parce qu'Israël l'a cherchée, non par la foi, mais comme provenant des oeuvres. Ils se sont heurtés contre la pierre d'achoppement, (Ⅱ)
- διὰ τί; ὅτι οὐκ ἐκ πίστεως ἀλλ’ ὡς ἐξ ⸀ἔργων· ⸀προσέκοψαν τῷ λίθῳ τοῦ προσκόμματος, (Ⅳ)
- Quare ? Quia non ex fide, sed quasi ex operibus : offenderunt enim in lapidem offensionis, (Ⅴ)
- Pourquoi? — Parce que ce n’a point été sur le principe de la foi, mais comme sur le principe des œuvres: car ils ont heurté contre la pierre d’achoppement, (Ⅶ)
- Pourquoi? Parce qu'ils ne l'ont point cherchée par la foi, mais par les ouvres de la loi: en effet, ils se sont heurtés contre la pierre d'achoppement; (Ⅷ)
9. 33  
Selon ce qui est écrit : voici, je mets en Sion la pierre d’achoppement ; et la pierre qui occasionnera des chutes ; et quiconque croit en lui ne sera point confus.
- selon qu'il est écrit : " Voici que je mets en Sion une pierre d'achoppement et un rocher de scandale, mais quiconque croit en lui ne sera pas confondu. " (Ⅰ)
- selon qu'il est écrit: Voici, je mets en Sion une pierre d'achoppement Et un rocher de scandale, Et celui qui croit en lui ne sera point confus. (Ⅱ)
- καθὼς γέγραπται· Ἰδοὺ τίθημι ἐν Σιὼν λίθον προσκόμματος καὶ πέτραν σκανδάλου, ⸀καὶ ὁ πιστεύων ἐπ’ αὐτῷ οὐ καταισχυνθήσεται. (Ⅳ)
- sicut scriptum est : Ecce pono in Sion lapidem offensionis, et petram scandali : et omnis qui credit in eum, non confundetur. (Ⅴ)
- selon qu’il est écrit: «Voici, je mets en Sion une pierre d’achoppement, et un rocher de chute,» et «celui qui croit en lui ne sera pas confus». (Ⅶ)
- Selon qu'il est écrit: Voici, je mets en Sion une pierre d'achoppement et une pierre de scandale; et: Quiconque croit en lui, ne sera point confus. (Ⅷ)


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Chapitre 9
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