2 Corinthiens
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18 Verses | Page 1 / 1
(Version J.F. Ostervald)


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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


3. 1  
Commencerons-nous de nouveau à nous recommander nous-mêmes, ou avons-nous besoin, comme quelques-uns, de lettres de recommandation auprès de vous, ou de recommandations de votre part auprès des autres?
- Recommençons-nous à nous recommander nous-mêmes? Ou bien avons-nous besoin, comme certains, de lettres de recommandation auprès de vous ou de votre part ? (Ⅰ)
- Commençons-nous de nouveau à nous recommander nous-mêmes? Ou avons-nous besoin, comme quelques-uns, de lettres de recommandation auprès de vous, ou de votre part? (Ⅱ)
- Ἀρχόμεθα πάλιν ἑαυτοὺς ⸀συνιστάνειν; ⸀ἢ μὴ χρῄζομεν ὥς τινες συστατικῶν ἐπιστολῶν πρὸς ὑμᾶς ἢ ἐξ ⸀ὑμῶν; (Ⅳ)
- Incipimus iterum nosmetipsos commendare ? aut numquid egemus (sicut quidam) commendatitiis epistolis ad vos, aut ex vobis ? (Ⅴ)
- Commençons-nous de nouveau à nous recommander nous-mêmes? Ou avons-nous besoin, comme quelques-uns, de lettres de recommandation pour vous ou de lettres de recommandation de votre part? (Ⅶ)
- Commençons-nous de nouveau à nous recommander nous-mêmes ? ou avons-nous besoin, comme quelques-uns, de Lettres de recommandation envers vous, ou de Lettres de recommandation de votre part ? (Ⅷ)
3. 2  
Vous êtes vous-mêmes notre lettre, écrite dans nos cœurs, connue et lue par tous les hommes;
- C'est vous-mêmes qui êtes notre lettre, écrite dans nos cœurs, connue et lue de tous les hommes. (Ⅰ)
- C'est vous qui êtes notre lettre, écrite dans nos coeurs, connue et lue de tous les hommes. (Ⅱ)
- ἡ ἐπιστολὴ ἡμῶν ὑμεῖς ἐστε, ἐγγεγραμμένη ἐν ταῖς καρδίαις ἡμῶν, γινωσκομένη καὶ ἀναγινωσκομένη ὑπὸ πάντων ἀνθρώπων· (Ⅳ)
- Epistola nostra vos estis, scripta in cordibus nostris, quæ scitur, et legitur ab omnibus hominibus : (Ⅴ)
- Vous êtes, vous, notre lettre, écrite dans nos cœurs, connue et lue de tous les hommes; (Ⅶ)
- Vous êtes vous-mêmes notre Epître, écrite dans nos cœurs, connue et lue de tous les hommes. (Ⅷ)
3. 3  
Car il est évident que vous êtes une lettre de Christ, due à notre ministère, écrite non avec de l'encre, mais avec l'Esprit du Dieu vivant; non sur des tables de pierre, mais sur les tables de chair, celles du cœur.
- Oui, manifestement, vous êtes une lettre du Christ, écrite par notre ministère, non avec de l'encre, mais par l'Esprit du Dieu vivant; non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, sur vos cœurs. (Ⅰ)
- Vous êtes manifestement une lettre de Christ, écrite, par notre ministère, non avec de l'encre, mais avec l'Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, sur les coeurs. (Ⅱ)
- φανερούμενοι ὅτι ἐστὲ ἐπιστολὴ Χριστοῦ διακονηθεῖσα ὑφ’ ἡμῶν, ἐγγεγραμμένη οὐ μέλανι ἀλλὰ πνεύματι θεοῦ ζῶντος, οὐκ ἐν πλαξὶν λιθίναις ἀλλ’ ἐν πλαξὶν καρδίαις σαρκίναις. (Ⅳ)
- manifestati quod epistola estis Christi, ministrata a nobis, et scripta non atramento, sed Spiritu Dei vivi : non in tabulis lapideis, sed in tabulis cordis carnalibus.\ (Ⅴ)
- car vous êtes manifestés comme étant la lettre de Christ, dressée par notre ministère, écrite non avec de l’encre, mais par l’Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur les tables de chair du cœur. (Ⅶ)
- Car il paraît en vous que vous êtes l’Epître de Christ, dressée par notre ministère, et écrite non avec de l’encre, mais par l’Esprit du Dieu vivant ; non sur des tables de pierre, mais sur les tables charnelles du cœur. (Ⅷ)
3. 4  
Or, c'est par Christ que nous avons une telle confiance devant Dieu.
- Cette assurance, nous l'avons par le Christ en vue de Dieu. (Ⅰ)
- Cette assurance-là, nous l'avons par Christ auprès de Dieu. (Ⅱ)
- Πεποίθησιν δὲ τοιαύτην ἔχομεν διὰ τοῦ Χριστοῦ πρὸς τὸν θεόν. (Ⅳ)
- Fiduciam autem talem habemus per Christum ad Deum : (Ⅴ)
- Or nous avons une telle confiance par le Christ envers Dieu: (Ⅶ)
- Or nous avons une telle confiance en Dieu par Christ. (Ⅷ)
3. 5  
Non que nous soyons capables par nous-mêmes de penser quelque chose, comme de nous-mêmes; mais notre capacité vient de Dieu,
- Ce n'est pas que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes; mais notre aptitude vient de Dieu. (Ⅰ)
- Ce n'est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu. (Ⅱ)
- οὐχ ὅτι ⸂ἀφ’ ἑαυτῶν ἱκανοί ἐσμεν⸃ λογίσασθαί τι ὡς ἐξ ⸀αὑτῶν, ἀλλ’ ἡ ἱκανότης ἡμῶν ἐκ τοῦ θεοῦ, (Ⅳ)
- non quod sufficientes simus cogitare aliquid a nobis, quasi ex nobis : sed sufficientia nostra ex Deo est : (Ⅴ)
- non que nous soyons capables par nous-mêmes de penser quelque chose comme de nous-mêmes, mais notre capacité vient de Dieu, (Ⅶ)
- Non que nous soyons capables de nous-mêmes de penser quelque chose, comme de nous-mêmes, mais notre capacité vient de Dieu ; (Ⅷ)
3. 6  
Qui lui aussi nous a rendus capables d'être ministres de la nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'Esprit; car la lettre tue, mais l'Esprit vivifie.
- C'est lui également qui nous a rendus capables d'être ministres d'une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'esprit; car la lettre tue, mais l'esprit vivifie. (Ⅰ)
- Il nous a aussi rendus capables d'être ministres d'une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'esprit; car la lettre tue, mais l'esprit vivifie. (Ⅱ)
- ὃς καὶ ἱκάνωσεν ἡμᾶς διακόνους καινῆς διαθήκης, οὐ γράμματος ἀλλὰ πνεύματος, τὸ γὰρ γράμμα ἀποκτέννει, τὸ δὲ πνεῦμα ζῳοποιεῖ. (Ⅳ)
- qui et idoneos nos fecit ministros novi testamenti : non littera, sed Spiritu : littera enim occidit, Spiritus autem vivificat. (Ⅴ)
- qui nous a rendus propres aussi pour être des ministres de la nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l’esprit, car la lettre tue, mais l’Esprit vivifie. (Ⅶ)
- Qui nous a aussi rendus capables d’être les ministres du Nouveau Testament, non de la lettre, mais de l’esprit ; car la lettre tue, mais l’Esprit vivifie. (Ⅷ)
3. 7  
Or, si le ministère de mort, celui de la lettre, gravée sur des pierres, a été si glorieux que les enfants d'Israël ne pouvaient fixer leurs regards sur le visage de Moïse, à cause de l'éclat de son visage, bien que cet éclat dût s'évanouir;
- Or, si le ministère de la mort, gravé en lettres sur des pierres, a été entouré de gloire au point que les fils d'Israël ne pouvaient fixer leurs regards sur la face de Moïse à cause de l'éclat de son visage, tout passager qu'il fût, (Ⅰ)
- Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d'Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire fût passagère, (Ⅱ)
- Εἰ δὲ ἡ διακονία τοῦ θανάτου ἐν ⸀γράμμασιν ⸀ἐντετυπωμένη λίθοις ἐγενήθη ἐν δόξῃ, ὥστε μὴ δύνασθαι ἀτενίσαι τοὺς υἱοὺς Ἰσραὴλ εἰς τὸ πρόσωπον Μωϋσέως διὰ τὴν δόξαν τοῦ προσώπου αὐτοῦ τὴν καταργουμένην, (Ⅳ)
- Quod si ministratio mortis litteris deformata in lapidibus fuit in gloria, ita ut non possent intendere filii Israël in faciem Moysi propter gloriam vultus ejus, quæ evacuatur : (Ⅴ)
- (Or si le ministère de la mort, gravé en lettres sur des pierres, a été introduit avec gloire, de sorte que les fils d’Israël ne pouvaient arrêter leurs yeux sur la face de Moïse, à cause de la gloire de sa face, laquelle devait prendre fin, (Ⅶ)
- Or si le ministère de mort, [écrit] avec des lettres, et gravé sur des pierres, a été glorieux, tellement que les enfants d’Israël ne pouvaient regarder le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, laquelle devait prendre fin ; (Ⅷ)
3. 8  
Combien le ministère de l'Esprit ne sera-t-il pas plus glorieux?
- combien plus le ministère de l'esprit ne sera-t-il pas entouré de gloire? (Ⅰ)
- combien le ministère de l'esprit ne sera-t-il pas plus glorieux! (Ⅱ)
- πῶς οὐχὶ μᾶλλον ἡ διακονία τοῦ πνεύματος ἔσται ἐν δόξῃ; (Ⅳ)
- quomodo non magis ministratio Spiritus erit in gloria ? (Ⅴ)
- combien plus le ministère de l’Esprit ne subsistera-t-il pas en gloire! (Ⅶ)
- Comment le ministère de l’Esprit ne sera-t-il pas plus glorieux ? (Ⅷ)
3. 9  
Car, si le ministère de condamnation a été glorieux, le ministère de la justice abonde bien plus en gloire.
- C'est qu'en effet, si le ministère de la condamnation a été glorieux, le ministère qui confère la justice le surpasse de beaucoup. (Ⅰ)
- Si le ministère de la condamnation a été glorieux, le ministère de la justice est de beaucoup supérieur en gloire. (Ⅱ)
- εἰ γὰρ ⸂τῇ διακονίᾳ⸃ τῆς κατακρίσεως δόξα, πολλῷ μᾶλλον περισσεύει ἡ διακονία τῆς ⸀δικαιοσύνης δόξῃ. (Ⅳ)
- Nam si ministratio damnationis gloria est : multo magis abundat ministerium justitiæ in gloria. (Ⅴ)
- Car si le ministère de la condamnation a été gloire, combien plus le ministère de la justice abonde-t-il en gloire! (Ⅶ)
- Car si le ministère de la condamnation a été glorieux, le ministère de la justice le surpasse de beaucoup en gloire. (Ⅷ)
3. 10  
Et, en effet, ce premier ministère, qui a été glorieux, ne l'a point été, à cause de la gloire surabondante du second.
- Et même, sous ce rapport, ce qui a été glorifié autrefois ne l'a pas été, en comparaison de cette gloire infiniment supérieure. (Ⅰ)
- Et, sous ce rapport, ce qui a été glorieux ne l'a point été, à cause de cette gloire qui lui est supérieure. (Ⅱ)
- καὶ γὰρ οὐ δεδόξασται τὸ δεδοξασμένον ἐν τούτῳ τῷ μέρει ⸀εἵνεκεν τῆς ὑπερβαλλούσης δόξης· (Ⅳ)
- Nam nec glorificatum est, quod claruit in hac parte, propter excellentem gloriam. (Ⅴ)
- Car aussi ce qui a été glorifié n’a pas été glorifié sous ce rapport, à cause de la gloire qui l’emporte de beaucoup. (Ⅶ)
- Et même le [premier ministère] qui a été glorieux, ne l’a pas été autant que [le second] qui l’emporte de beaucoup en gloire. (Ⅷ)
3. 11  
Car, si ce qui devait prendre fin a été glorieux, ce qui est permanent est beaucoup plus glorieux.
- Car, si ce qui était passager a été donné dans la gloire, à plus forte raison ce qui est permanent sera-t-il glorieux. (Ⅰ)
- En effet, si ce qui était passager a été glorieux, ce qui est permanent est bien plus glorieux. (Ⅱ)
- εἰ γὰρ τὸ καταργούμενον διὰ δόξης, πολλῷ μᾶλλον τὸ μένον ἐν δόξῃ. (Ⅳ)
- Si enim quod evacuatur, per gloriam est : multo magis quod manet, in gloria est.\ (Ⅴ)
- Car si ce qui devait prendre fin a été introduit avec gloire, bien plus ce qui demeure subsistera-t-il en gloire! (Ⅶ)
- Car si ce qui devait prendre fin a été glorieux, ce qui est permanent est beaucoup plus glorieux. (Ⅷ)
3. 12  
Ayant donc une telle espérance, nous usons d'une grande liberté,
- Ayant donc une telle espérance, nous usons d'une grande liberté, (Ⅰ)
- Ayant donc cette espérance, nous usons d'une grande liberté, (Ⅱ)
- Ἔχοντες οὖν τοιαύτην ἐλπίδα πολλῇ παρρησίᾳ χρώμεθα, (Ⅳ)
- Habentes igitur talem spem, multa fiducia utimur : (Ⅴ)
- Ayant donc une telle espérance, nous usons d’une grande liberté; (Ⅶ)
- Ayant donc une telle espérance, nous usons d’une grande hardiesse de parler. (Ⅷ)
3. 13  
Et nous ne faisons pas comme Moïse, qui mettait un voile sur son visage, afin que les enfants d'Israël ne vissent pas la fin de ce qui devait disparaître.
- et nous ne faisons pas comme Moïse, qui mettait un voile sur son visage pour que les fils d'Israël ne vissent point la fin de ce qui était passager. (Ⅰ)
- et nous ne faisons pas comme Moïse, qui mettait un voile sur son visage, pour que les fils d'Israël ne fixassent pas les regards sur la fin de ce qui était passager. (Ⅱ)
- καὶ οὐ καθάπερ Μωϋσῆς ἐτίθει κάλυμμα ἐπὶ τὸ πρόσωπον ⸀αὐτοῦ, πρὸς τὸ μὴ ἀτενίσαι τοὺς υἱοὺς Ἰσραὴλ εἰς τὸ τέλος τοῦ καταργουμένου. (Ⅳ)
- et non sicut Moyses ponebat velamen super faciem suam, ut non intenderent filii Israël in faciem ejus, quod evacuatur, (Ⅴ)
- et nous ne faisons pas comme Moïse qui mettait un voile sur sa face, pour que les fils d’Israël n’arrêtassent pas leurs yeux sur la consommation de ce qui devait prendre fin. (Ⅶ)
- Et nous ne sommes pas comme Moïse, qui mettait un voile sur son visage, afin que les enfants d’Israël ne regardassent point à la consommation de ce qui devait prendre fin. (Ⅷ)
3. 14  
Mais leurs esprits ont été endurcis jusqu'à présent. Car encore aujourd'hui ce même voile demeure sur la lecture de l'Ancien Testament, sans être levé, parce qu'il n'est ôté que par Christ.
- Mais leurs esprits se sont aveuglés. Car jusqu'à ce jour quand ils font la lecture de l'Ancien Testament, le même voile demeure sans être ôté, parce que c'est dans le Christ qu'il est levé. (Ⅰ)
- Mais ils sont devenus durs d'entendement. Car jusqu'à ce jour le même voile demeure quand, ils font la lecture de l'Ancien Testament, et il ne se lève pas, parce que c'est en Christ qu'il disparaît. (Ⅱ)
- ἀλλὰ ἐπωρώθη τὰ νοήματα αὐτῶν. ἄχρι γὰρ τῆς σήμερον ⸀ἡμέρας τὸ αὐτὸ κάλυμμα ἐπὶ τῇ ἀναγνώσει τῆς παλαιᾶς διαθήκης μένει μὴ ἀνακαλυπτόμενον, ⸀ὅτι ἐν Χριστῷ καταργεῖται, (Ⅳ)
- sed obtusi sunt sensus eorum. Usque in hodiernum enim diem, idipsum velamen in lectione veteris testamenti manet non revelatum (quoniam in Christo evacuatur), (Ⅴ)
- Mais leurs entendements ont été endurcis, car jusqu’à aujourd’hui, dans la lecture de l’ancienne alliance, ce même voile demeure sans être levé, lequel prend fin en Christ. (Ⅶ)
- Mais leurs entendements sont endurcis ; car jusqu’à aujourd’hui ce même voile qui est aboli par Christ, demeure dans la lecture de l’Ancien Testament, sans être ôté. (Ⅷ)
3. 15  
Encore aujourd'hui, quand on lit Moïse, un voile est jeté sur leur cœur.
- Aujourd'hui encore, quand on lit Moïse, un voile est étendu sur leurs cœurs; (Ⅰ)
- Jusqu'à ce jour, quand on lit Moïse, un voile est jeté sur leurs coeurs; (Ⅱ)
- ἀλλ’ ἕως σήμερον ἡνίκα ⸂ἂν ἀναγινώσκηται⸃ Μωϋσῆς κάλυμμα ἐπὶ τὴν καρδίαν αὐτῶν κεῖται· (Ⅳ)
- sed usque in hodiernum diem, cum legitur Moyses, velamen positum est super cor eorum. (Ⅴ)
- Mais jusqu’à aujourd’hui, lorsque Moïse est lu, le voile demeure sur leur cœur; (Ⅶ)
- Mais jusqu’à aujourd’hui quand on lit Moïse, le voile demeure sur leur cœur. (Ⅷ)
3. 16  
Mais quand ils se convertiront au Seigneur, le voile sera ôté.
- mais dès que leurs cœurs se seront tournés vers le Seigneur, le voile sera ôté. (Ⅰ)
- mais lorsque les coeurs se convertissent au Seigneur, le voile est ôté. (Ⅱ)
- ἡνίκα ⸂δὲ ἐὰν⸃ ἐπιστρέψῃ πρὸς κύριον, περιαιρεῖται τὸ κάλυμμα. (Ⅳ)
- Cum autem conversus fuerit ad Dominum, auferetur velamen. (Ⅴ)
- mais quand il se tournera vers le Seigneur, le voile sera ôté.) (Ⅶ)
- Mais quand il se sera converti au Seigneur, le voile sera ôté. (Ⅷ)
3. 17  
Or, le Seigneur est l'Esprit; et où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté.
- Or le Seigneur, c'est l'esprit, et là où est l'esprit du Seigneur, là est la liberté. (Ⅰ)
- Or, le Seigneur c'est l'Esprit; et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté. (Ⅱ)
- ὁ δὲ κύριος τὸ πνεῦμά ἐστιν· οὗ δὲ τὸ πνεῦμα ⸀κυρίου, ἐλευθερία. (Ⅳ)
- Dominus autem Spiritus est : ubi autem Spiritus Domini, ibi libertas. (Ⅴ)
- Or le Seigneur est l’esprit; mais là où est l’Esprit du Seigneur, il y a la liberté. (Ⅶ)
- Or le Seigneur est cet Esprit-là ; et où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté. (Ⅷ)
3. 18  
Ainsi nous tous qui, le visage découvert, contemplons, comme dans un miroir, la gloire du Seigneur, nous sommes transformés à son image, de gloire en gloire, comme par l'Esprit du Seigneur.
- Pour nous tous, le visage découvert, réfléchissant comme dans une miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de plus en plus resplendissante, comme par le Seigneur, qui est esprit. (Ⅰ)
- Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l'Esprit. (Ⅱ)
- ἡμεῖς δὲ πάντες ἀνακεκαλυμμένῳ προσώπῳ τὴν δόξαν κυρίου κατοπτριζόμενοι τὴν αὐτὴν εἰκόνα μεταμορφούμεθα ἀπὸ δόξης εἰς δόξαν, καθάπερ ἀπὸ κυρίου πνεύματος. (Ⅳ)
- Nos vero omnes, revelata facie gloriam Domini speculantes, in eamdem imaginem transformamur a claritate in claritatem, tamquam a Domini Spiritu. (Ⅴ)
- Or nous tous, contemplant à face découverte la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur en Esprit. (Ⅶ)
- Ainsi nous tous qui contemplons, comme en un miroir, la gloire du Seigneur à face découverte, nous sommes transformés en la même image de gloire en gloire, comme par l’Esprit du Seigneur. (Ⅷ)


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Chapitre 3
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