2 Corinthiens
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(Version J.F. Ostervald)


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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


7. 1  
Ayant donc, bien-aimés, de telles promesses, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit, achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu.
- Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit, et achevons l'œuvre de notre sainteté dans la crainte de Dieu. (Ⅰ)
- Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. (Ⅱ)
- ταύτας οὖν ἔχοντες τὰς ἐπαγγελίας, ἀγαπητοί, καθαρίσωμεν ἑαυτοὺς ἀπὸ παντὸς μολυσμοῦ σαρκὸς καὶ πνεύματος, ἐπιτελοῦντες ἁγιωσύνην ἐν φόβῳ θεοῦ. (Ⅳ)
- Has ergo habentes promissiones, carissimi, mundemus nos ab omni inquinamento carnis et spiritus, perficientes sanctificationem in timore Dei. (Ⅴ)
- Ayant donc ces promesses, bien-aimés, purifions-nous nous-mêmes de toute souillure de chair et d’esprit, achevant la sainteté dans la crainte de Dieu. (Ⅶ)
- Or donc [mes] bien-aimés, puisque nous avons de telles promesses, nettoyons-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit perfectionnant la sanctification en la crainte de Dieu. (Ⅷ)
7. 2  
Recevez-nous, nous n'avons fait tort à personne; nous n'avons nui à personne; nous n'avons trompé personne.
- Recevez-nous. Nous n'avons fait de tort à personne, nous n'avons ruiné personne, nous n'avons exploité personne. (Ⅰ)
- Donnez-nous une place dans vos coeurs! Nous n'avons fait tort à personne, nous n'avons ruiné personne, nous n'avons tiré du profit de personne. (Ⅱ)
- Χωρήσατε ἡμᾶς· οὐδένα ἠδικήσαμεν, οὐδένα ἐφθείραμεν, οὐδένα ἐπλεονεκτήσαμεν. (Ⅳ)
- Capite nos. Neminem læsimus, neminem corrupimus, neminem circumvenimus. (Ⅴ)
- Recevez-nous: nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous ne nous sommes enrichis aux dépens de personne. (Ⅶ)
- Recevez-nous, nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons corrompu personne, nous n’avons pillé personne. (Ⅷ)
7. 3  
Je ne dis pas cela pour vous condamner; car j'ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs, pour mourir ensemble et pour vivre ensemble.
- Ce n'est pas pour vous condamner que je dis cela, car je viens de le dire : vous êtes dans nos cœurs à la mort et à la vie. (Ⅰ)
- Ce n'est pas pour vous condamner que je parle de la sorte; car j'ai déjà dit que vous êtes dans nos coeurs à la vie et à la mort. (Ⅱ)
- ⸂πρὸς κατάκρισιν οὐ⸃ λέγω, προείρηκα γὰρ ὅτι ἐν ταῖς καρδίαις ἡμῶν ἐστε εἰς τὸ συναποθανεῖν καὶ συζῆν. (Ⅳ)
- Non ad condemnationem vestram dico : prædiximus enim quod in cordibus nostris estis ad commoriendum et ad convivendum. (Ⅴ)
- Je ne dis pas ceci pour vous condamner, car j’ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs à mourir ensemble et à vivre ensemble. (Ⅶ)
- Je ne dis point ceci pour vous condamner : car je vous ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs à mourir et à vivre ensemble. (Ⅷ)
7. 4  
J'ai une grande assurance avec vous; j'ai grand sujet de me glorifier de vous; je suis rempli de consolation; je suis comblé de joie dans toutes nos afflictions.
- Je vous parle en toute franchise, j'ai grand sujet de me glorifier de vous; je suis rempli de consolation, je surabonde de joie au milieu de toutes nos tribulations. (Ⅰ)
- J'ai une grande confiance en vous, j'ai tout sujet de me glorifier de vous; je suis rempli de consolation, je suis comblé de joie au milieu de toutes nos tribulations. (Ⅱ)
- πολλή μοι παρρησία πρὸς ὑμᾶς, πολλή μοι καύχησις ὑπὲρ ὑμῶν· πεπλήρωμαι τῇ παρακλήσει, ὑπερπερισσεύομαι τῇ χαρᾷ ἐπὶ πάσῃ τῇ θλίψει ἡμῶν. (Ⅳ)
- Multa mihi fiducia est apud vos, multa mihi gloriatio pro vobis : repletus sum consolatione ; superabundo gaudio in omni tribulatione nostra. (Ⅴ)
- Ma franchise est grande envers vous, je me glorifie grandement de vous; je suis rempli de consolation; ma joie surabonde au milieu de toute notre affliction. (Ⅶ)
- J’ai une grande liberté envers vous, j’ai grand sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation, je suis plein de joie dans toute notre affliction. (Ⅷ)
7. 5  
Car, lorsque nous sommes arrivés en Macédoine, notre chair n'a eu aucun repos, au contraire, nous avons été affligés en toutes manières, par des combats au-dehors, et des craintes au-dedans.
- Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n'eut aucun repos; nous étions affligés de toute manière : au dehors des combats, au dedans des craintes. (Ⅰ)
- Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n'eut aucun repos; nous étions affligés de toute manière: luttes au dehors, craintes au dedans. (Ⅱ)
- Καὶ γὰρ ἐλθόντων ἡμῶν εἰς Μακεδονίαν οὐδεμίαν ⸀ἔσχηκεν ἄνεσιν ἡ σὰρξ ἡμῶν, ἀλλ’ ἐν παντὶ θλιβόμενοι—ἔξωθεν μάχαι, ἔσωθεν φόβοι— (Ⅳ)
- Nam et cum venissemus in Macedoniam, nullam requiem habuit caro nostra, sed omnem tribulationem passi sumus : foris pugnæ, intus timores. (Ⅴ)
- Car aussi, lorsque nous arrivâmes en Macédoine, notre chair n’eut aucun repos, mais nous fûmes affligés en toute manière: au dehors, des combats; au dedans, des craintes. (Ⅶ)
- Car après être venus en Macédoine, notre chair n’a eu aucun relâche, mais nous avons été affligés en toutes manières ; [ayant eu] des combats au dehors, et des craintes au dedans. (Ⅷ)
7. 6  
Mais Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l'arrivée de Tite;
- Mais celui qui console les humbles, Dieu, nous a consolés par l'arrivée de Tite; (Ⅰ)
- Mais Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l'arrivée de Tite, (Ⅱ)
- ἀλλ’ ὁ παρακαλῶν τοὺς ταπεινοὺς παρεκάλεσεν ἡμᾶς ὁ θεὸς ἐν τῇ παρουσίᾳ Τίτου· (Ⅳ)
- Sed qui consolatur humiles, consolatus est nos Deus in adventu Titi. (Ⅴ)
- Mais celui qui console ceux qui sont abaissés, Dieu, nous a consolés par la venue de Tite, (Ⅶ)
- Mais Dieu qui console les abattus, nous a consolés par la venue de Tite. (Ⅷ)
7. 7  
Et non seulement par son arrivée, mais aussi par la consolation qu'il a reçue de vous, nous ayant raconté votre ardent désir, vos larmes, votre zèle pour moi; en sorte que ma joie en a été augmentée.
- non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que Tite lui-même avait éprouvée à votre sujet : il nous a raconté votre ardent désir, vos larmes, votre amour jaloux pour moi, de sorte que ma joie en a été plus grande. (Ⅰ)
- et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que Tite lui-même ressentait à votre sujet: il nous a raconté votre ardent désir, vos larmes, votre zèle pour moi, en sorte que ma joie a été d'autant plus grande. (Ⅱ)
- οὐ μόνον δὲ ἐν τῇ παρουσίᾳ αὐτοῦ, ἀλλὰ καὶ ἐν τῇ παρακλήσει ᾗ παρεκλήθη ἐφ’ ὑμῖν, ἀναγγέλλων ἡμῖν τὴν ὑμῶν ἐπιπόθησιν, τὸν ὑμῶν ὀδυρμόν, τὸν ὑμῶν ζῆλον ὑπὲρ ἐμοῦ, ὥστε με μᾶλλον χαρῆναι. (Ⅳ)
- Non solum autem in adventu ejus, sed etiam in consolatione, qua consolatus est in vobis, referens nobis vestrum desiderium, vestrum fletum, vestram æmulationem pro me, ita ut magis gauderem.\ (Ⅴ)
- et non seulement par sa venue, mais aussi par la consolation dont il a été rempli à votre sujet, en nous racontant votre grand désir, vos larmes, votre affection ardente envers moi, de sorte que je me suis d’autant plus réjoui. (Ⅶ)
- Et non seulement par sa venue, mais aussi par la consolation qu’il a reçue de vous ; car il nous a raconté votre grand désir, vos larmes, votre affection ardente envers moi ; de sorte que je m’en suis extrêmement réjoui. (Ⅷ)
7. 8  
Car, bien que je vous aie attristés par ma lettre, je ne m'en repens pas, si même je m'en suis repenti, parce que je vois que cette lettre vous a attristés, bien que pour un peu de temps.
- Ainsi, quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne le regrette plus, bien que je l'aie d'abord regretté, — car je vois que cette lettre vous a attristés, ne fût-ce que pour un moment, — (Ⅰ)
- Quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne m'en repens pas. Et, si je m'en suis repenti, -car je vois que cette lettre vous a attristés, bien que momentanément, - (Ⅱ)
- ὅτι εἰ καὶ ἐλύπησα ὑμᾶς ἐν τῇ ἐπιστολῇ, οὐ μεταμέλομαι· εἰ καὶ μετεμελόμην (⸀βλέπω ὅτι ἡ ἐπιστολὴ ἐκείνη εἰ καὶ πρὸς ὥραν ἐλύπησεν ὑμᾶς), (Ⅳ)
- Quoniam etsi contristavi vos in epistola, non me pœnitet : etsi pœniteret, videns quod epistola illa (etsi ad horam) vos contristavit, (Ⅴ)
- Car si aussi je vous ai attristés par ma lettre, je n’en ai pas de regret, si même j’en ai eu du regret (car je vois que cette lettre vous a attristés, lors même que ce n’a été que pour un temps). (Ⅶ)
- Car bien que je vous aie attristés par mon Epître, je ne m’en repens point, quoique je m’en fusse [déjà] repenti, parce que je vois que si cette Epître vous a affligés, ce n’a été que pour peu de temps. (Ⅷ)
7. 9  
Maintenant je me réjouis, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la repentance; car vous avez été attristés selon Dieu, en sorte que vous n'avez reçu aucun dommage de notre part.
- je me réjouis à cette heure, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la pénitence; car vous avez été attristés selon Dieu, de manière à n'éprouver aucun préjudice de notre part. (Ⅰ)
- je me réjouis à cette heure, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la repentance; car vous avez été attristés selon Dieu, afin de ne recevoir de notre part aucun dommage. (Ⅱ)
- νῦν χαίρω, οὐχ ὅτι ἐλυπήθητε, ἀλλ’ ὅτι ἐλυπήθητε εἰς μετάνοιαν, ἐλυπήθητε γὰρ κατὰ θεόν, ἵνα ἐν μηδενὶ ζημιωθῆτε ἐξ ἡμῶν. (Ⅳ)
- nunc gaudeo : non quia contristati estis, sed quia contristati estis ad pœnitentiam. Contristati enim estis ad Deum, ut in nullo detrimentum patiamini ex nobis. (Ⅴ)
- Maintenant je me réjouis, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que vous avez été attristés à repentance; car vous avez été attristés selon Dieu, afin qu’en rien vous ne receviez de préjudice de notre part. (Ⅶ)
- Je me réjouis [donc] maintenant, non de ce que vous avez été affligés, mais de ce que vous avez été attristés à repentance ; car vous avez été attristés selon Dieu, de sorte que vous n’avez reçu aucun dommage de notre part. (Ⅷ)
7. 10  
Car la tristesse qui est selon Dieu, produit une repentance à salut, et dont on ne se repent jamais; au lieu que la tristesse du monde produit la mort.
- En effet, la tristesse selon Dieu produit un repentir salutaire, qu'on ne regrette jamais, au lieu que la tristesse du monde produit la mort. (Ⅰ)
- En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort. (Ⅱ)
- ἡ γὰρ κατὰ θεὸν λύπη μετάνοιαν εἰς σωτηρίαν ἀμεταμέλητον ⸀ἐργάζεται· ἡ δὲ τοῦ κόσμου λύπη θάνατον κατεργάζεται. (Ⅳ)
- Quæ enim secundum Deum tristitia est, pœnitentiam in salutem stabilem operatur : sæculi autem tristitia mortem operatur. (Ⅴ)
- Car la tristesse qui est selon Dieu opère une repentance à salut dont on n’a pas de regret, mais la tristesse du monde opère la mort. (Ⅶ)
- Puisque la tristesse qui est selon Dieu, produit une repentance à salut, dont on ne se repent jamais ; mais la tristesse de ce monde produit la mort. (Ⅷ)
7. 11  
Car voici, cette même tristesse selon Dieu, quel empressement n'a-t-elle pas produit en vous! Quelles excuses, quelle indignation, quelle crainte, quels désirs, quel zèle, quelle punition! Vous avez montré à tous égards que vous êtes purs dans cette affaire.
- Et quel empressement n'a-t-elle pas produit en vous, cette tristesse selon Dieu! Que dis-je? quelle justification! quelle indignation! quelle crainte! quel désir ardent! quel zèle! quelle sévérité! Vous avez montré à tous égards que vous étiez innocents dans cette affaire. (Ⅰ)
- Et voici, cette même tristesse selon Dieu, quel empressement n'a-t-elle pas produit en vous! Quelle justification, quelle indignation, quelle crainte, quel désir ardent, quel zèle, quelle punition! Vous avez montré à tous égards que vous étiez purs dans cette affaire. (Ⅱ)
- ἰδοὺ γὰρ αὐτὸ τοῦτο τὸ κατὰ θεὸν ⸀λυπηθῆναι πόσην κατειργάσατο ὑμῖν σπουδήν, ἀλλὰ ἀπολογίαν, ἀλλὰ ἀγανάκτησιν, ἀλλὰ φόβον, ἀλλὰ ἐπιπόθησιν, ἀλλὰ ζῆλον, ἀλλὰ ἐκδίκησιν· ἐν παντὶ συνεστήσατε ἑαυτοὺς ἁγνοὺς ⸀εἶναι τῷ πράγματι. (Ⅳ)
- Ecce enim hoc ipsum, secundum Deum contristari vos, quantam in vobis operatur sollicitudinem : sed defensionem, sed indignationem, sed timorem, sed desiderium, sed æmulationem, sed vindictam : in omnibus exhibuistis vos incontaminatos esse negotio. (Ⅴ)
- Car voici, ce fait même que vous avez été attristés selon Dieu, quel empressement il a produit en vous, mais quelles excuses, mais quelle indignation, mais quelle crainte, mais quel ardent désir, mais quel zèle, mais quelle vengeance: A tous égards, vous avez montré que vous êtes purs dans l’affaire. (Ⅶ)
- Car voici, cela même que vous avez été attristés selon Dieu, quel soin n’a-t-il pas produit en vous ? quelle satisfaction ? quelle indignation ? quelle crainte ? quel grand désir ? quel zèle ? quelle vengeance ? vous vous êtes montrés de toutes manières purs dans cette affaire. (Ⅷ)
7. 12  
Ainsi, lorsque je vous ai écrit, ce n'a pas été à cause de celui qui a fait l'injure, ni à cause de celui à qui elle a été faite, mais pour vous faire connaître notre zèle pour vous devant Dieu.
- Aussi bien, si je vous ai écrit, ce n'est ni à cause de celui qui a fait l'injure, ni à cause de celui qui l'a reçue, mais pour que votre dévouement pour nous éclatât parmi vous devant Dieu. (Ⅰ)
- Si donc je vous ai écrit, ce n'était ni à cause de celui qui a fait l'injure, ni à cause de celui qui l'a reçue; c'était afin que votre empressement pour nous fût manifesté parmi vous devant Dieu. (Ⅱ)
- ἄρα εἰ καὶ ἔγραψα ὑμῖν, οὐχ ⸀ἕνεκεν τοῦ ἀδικήσαντος, ⸀οὐδὲ ⸁ἕνεκεν τοῦ ἀδικηθέντος, ἀλλ’ ⸀1ἕνεκεν τοῦ φανερωθῆναι τὴν σπουδὴν ὑμῶν τὴν ὑπὲρ ἡμῶν πρὸς ὑμᾶς ἐνώπιον τοῦ θεοῦ. (Ⅳ)
- Igitur, etsi scripsi vobis, non propter eum qui fecit injuriam, nec propter eum qui passus est : sed ad manifestandam sollicitudinem nostram, quam habemus pro vobis (Ⅴ)
- Ainsi, si même je vous ai écrit, ce n’a point été à cause de celui qui a fait le tort ni à cause de celui à qui on a fait tort, mais afin que le zèle que nous avons pour vous, vous fût manifesté devant Dieu. (Ⅶ)
- Quoi que je vous aie donc écrit, ce n’a point été à cause de celui qui a commis la faute, ni à cause de celui envers qui elle a été commise, mais pour faire voir parmi vous le soin que j’ai de vous devant Dieu. (Ⅷ)
7. 13  
C'est pourquoi votre consolation nous a consolés; mais nous avons été encore plus réjouis par la joie de Tite, car son esprit a été restauré par vous tous;
- Voilà ce qui nous a consolés. Mais à cette consolation, s'est ajoutée une joie beaucoup plus vive, celle que nous a fait éprouver la joie de Tite, dont vous avez tranquillisé l'esprit. (Ⅰ)
- C'est pourquoi nous avons été consolés. Mais, outre notre consolation, nous avons été réjouis beaucoup plus encore par la joie de Tite, dont l'esprit a été tranquillisé par vous tous. (Ⅱ)
- διὰ τοῦτο παρακεκλήμεθα. Ἐπὶ δὲ τῇ παρακλήσει ⸀ἡμῶν περισσοτέρως μᾶλλον ἐχάρημεν ἐπὶ τῇ χαρᾷ Τίτου, ὅτι ἀναπέπαυται τὸ πνεῦμα αὐτοῦ ἀπὸ πάντων ὑμῶν· (Ⅳ)
- coram Deo : ideo consolati sumus. In consolatione autem nostra, abundantius magis gavisi sumus super gaudio Titi, quia refectus est spiritus ejus ab omnibus vobis : (Ⅴ)
- C’est pourquoi nous avons été consolés. Et nous nous sommes réjouis d’autant plus abondamment, dans notre consolation, de la joie de Tite, parce que son esprit a été récréé par vous tous. (Ⅶ)
- C’est pourquoi nous avons été consolés de ce que vous avez fait pour notre consolation ; mais nous nous sommes encore plus réjouis de la joie qu’a eu Tite, en ce que son esprit a été recréé par vous tous. (Ⅷ)
7. 14  
Et si je me suis glorifié de vous devant lui en quelque chose, je n'en ai point eu de confusion; mais comme nous avons dit toutes choses avec vérité, ainsi ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite, s'est trouvé la vérité.
- Et si devant lui je me suis un peu glorifié à votre sujet, je n'en ai point eu de confusion; mais de même que nous vous avons toujours parlé selon la vérité, de même l'éloge que j'ai fait de vous à Tite s'est trouvé être la vérité. (Ⅰ)
- Et si devant lui je me suis un peu glorifié à votre sujet, je n'en ai point eu de confusion; mais, comme nous vous avons toujours parlé selon la vérité, ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite s'est trouvé être aussi la vérité. (Ⅱ)
- ὅτι εἴ τι αὐτῷ ὑπὲρ ὑμῶν κεκαύχημαι, οὐ κατῃσχύνθην, ἀλλ’ ὡς πάντα ἐν ἀληθείᾳ ἐλαλήσαμεν ὑμῖν, οὕτως καὶ ἡ καύχησις ἡμῶν ⸀ἡ ἐπὶ Τίτου ἀλήθεια ἐγενήθη. (Ⅳ)
- et si quid apud illum de vobis gloriatus sum, non sum confusus : sed sicut omnia vobis in veritate locuti sumus, ita et gloriatio nostra, quæ fuit ad Titum, veritas facta est, (Ⅴ)
- Parce que, si en quelque chose je me suis glorifié de vous auprès de lui, je n’en ai pas été confus; mais comme nous vous avons dit toutes choses selon la vérité, ainsi aussi ce dont nous nous étions glorifiés auprès de Tite s’est trouvé vrai, (Ⅶ)
- Parce que si en quelque chose je me suis glorifié de vous dans ce que je lui en [ai dit], je n’en ai point eu de confusion ; mais comme nous vous avons dit toutes choses selon la vérité, ainsi ce dont je m’étais glorifié [de vous dans ce que j’en ai dit] à Tite, s’est trouvé être la vérité même. (Ⅷ)
7. 15  
Aussi quand il se souvient de l'obéissance de vous tous, et comment vous l'avez reçu avec crainte et tremblement, son affection pour vous en devient plus grande.
- Son cœur ressent pour vous un redoublement d'affection, au souvenir de votre obéissance à tous, de la crainte, du tremblement avec lequel vous l'avez accueilli. (Ⅰ)
- Il éprouve pour vous un redoublement d'affection, au souvenir de votre obéissance à tous, et de l'accueil que vous lui avez fait avec crainte et tremblement. (Ⅱ)
- καὶ τὰ σπλάγχνα αὐτοῦ περισσοτέρως εἰς ὑμᾶς ἐστιν ἀναμιμνῃσκομένου τὴν πάντων ὑμῶν ὑπακοήν, ὡς μετὰ φόβου καὶ τρόμου ἐδέξασθε αὐτόν. (Ⅳ)
- et viscera ejus abundantius in vobis sunt, reminiscentis omnium vestrum obedientiam : quomodo cum timore et tremore excepistis illum. (Ⅴ)
- et son affection se porte plus abondamment sur vous, quand il se souvient de l’obéissance de vous tous, comment vous l’avez reçu avec crainte et tremblement. (Ⅶ)
- C’est pourquoi quand il se souvient de l’obéissance de vous tous, et comment vous l’avez reçu avec crainte et tremblement ; son affection pour vous en est beaucoup plus grande. (Ⅷ)
7. 16  
Je me réjouis donc de ce qu'en toutes choses j'ai confiance en vous.
- Je suis heureux de pouvoir en toutes choses compter sur vous. (Ⅰ)
- Je me réjouis de pouvoir en toutes choses me confier en vous. (Ⅱ)
- χαίρω ὅτι ἐν παντὶ θαρρῶ ἐν ὑμῖν. (Ⅳ)
- Gaudeo quod in omnibus confido in vobis. (Ⅴ)
- Je me réjouis de ce qu’en toutes choses j’ai de la confiance à votre égard. (Ⅶ)
- Je me réjouis donc de ce qu’en toutes choses je me puis assurer de vous. (Ⅷ)


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