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(Version David Martin)


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(Ⅰ)
(Ⅰ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


12. 1  
Nous donc aussi, puisque nous sommes environnés d’une si grande nuée de témoins, rejetant tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si aisément, poursuivons constamment la course qui nous est proposée ;
- Donc, nous aussi, puisque nous sommes environnés d'une si grande nuée de témoins, rejetons tout ce qui nous appesantit et le péché qui nous enveloppe, et courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte, (Ⅰ)
- Nous donc aussi, puisque nous sommes environnés d'une si grande nuée de témoins, rejetons tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement, et courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte, (Ⅱ)
- Τοιγαροῦν καὶ ἡμεῖς, τοσοῦτον ἔχοντες περικείμενον ἡμῖν νέφος μαρτύρων, ὄγκον ἀποθέμενοι πάντα καὶ τὴν εὐπερίστατον ἁμαρτίαν, δι’ ὑπομονῆς τρέχωμεν τὸν προκείμενον ἡμῖν ἀγῶνα, (Ⅳ)
- Ideoque et nos tantam habentes impositam nubem testium, deponentes omne pondus, et circumstans nos peccatum, per patientiam curramus ad propositum nobis certamen : (Ⅴ)
- C’est pourquoi, nous aussi, ayant une si grande nuée de témoins qui nous entoure, rejetant tout fardeau et le péché qui nous enveloppe si aisément, courons avec patience la course qui est devant nous, (Ⅶ)
12. 2  
Portant les yeux sur Jésus, le chef et le consommateur de la foi, lequel au lieu de la joie dont il jouissait, a souffert la croix, ayant méprisé la honte, et s’est assis à la droite du trône de Dieu.
- les yeux fixés sur Jésus, l'auteur et le consommateur de la foi, lui qui, au lieu de la joie qu'il avait devant lui, méprisant l'ignominie, a souffert en croix, et " s'est assis à la droite du trône de Dieu ". (Ⅰ)
- ayant les regards sur Jésus, le chef et le consommateur de la foi, qui, en vue de la joie qui lui était réservée, a souffert la croix, méprisé l'ignominie, et s'est assis à la droite du trône de Dieu. (Ⅱ)
- ἀφορῶντες εἰς τὸν τῆς πίστεως ἀρχηγὸν καὶ τελειωτὴν Ἰησοῦν, ὃς ἀντὶ τῆς προκειμένης αὐτῷ χαρᾶς ὑπέμεινεν σταυρὸν αἰσχύνης καταφρονήσας, ἐν δεξιᾷ τε τοῦ θρόνου τοῦ θεοῦ κεκάθικεν. (Ⅳ)
- aspicientes in auctorem fidei, et consummatorem Jesum, qui proposito sibi gaudio sustinuit crucem, confusione contempta, atque in dextera sedis Dei sedet. (Ⅴ)
- fixant les yeux sur Jésus, le chef et le consommateur de la foi, lequel, à cause de la joie qui était devant lui, a enduré la croix, ayant méprisé la honte, et est assis à la droite du trône de Dieu. (Ⅶ)
12. 3  
C’est pourquoi, considérez soigneusement celui qui a souffert une telle contradiction de la part des pécheurs contre lui-même, afin que vous ne succombiez point en perdant courage.
- Considérez celui qui a supporté contre sa personne une si grande contradiction de la part des pécheurs, afin de ne pas vous laisser abattre par le découragement. (Ⅰ)
- Considérez, en effet, celui qui a supporté contre sa personne une telle opposition de la part des pécheurs, afin que vous ne vous lassiez point, l'âme découragée. (Ⅱ)
- Ἀναλογίσασθε γὰρ τὸν τοιαύτην ὑπομεμενηκότα ὑπὸ τῶν ἁμαρτωλῶν εἰς ⸀ἑαυτοὺς ἀντιλογίαν, ἵνα μὴ κάμητε ταῖς ψυχαῖς ὑμῶν ἐκλυόμενοι. (Ⅳ)
- Recogitate enim eum qui talem sustinuit a peccatoribus adversum semetipsum contradictionem : ut ne fatigemini, animis vestris deficientes. (Ⅴ)
- Car considérez celui qui a enduré une telle contradiction de la part des pécheurs contre lui-même, afin que vous ne soyez pas las, étant découragés dans vos âmes. (Ⅶ)
12. 4  
Vous n’avez pas encore résisté jusqu’à [répandre votre] sang en combattant contre le péché ;
- Vous n'avez pas encore résisté jusqu'au sang dans votre lutte contre le péché. (Ⅰ)
- Vous n'avez pas encore résisté jusqu'au sang, en luttant contre le péché. (Ⅱ)
- οὔπω μέχρις αἵματος ἀντικατέστητε πρὸς τὴν ἁμαρτίαν ἀνταγωνιζόμενοι, (Ⅳ)
- Nondum enim usque ad sanguinem restitistis, adversus peccatum repugnantes : (Ⅴ)
- Vous n’avez pas encore résisté jusqu’au sang en combattant contre le péché, (Ⅶ)
12. 5  
Et cependant vous avez oublié l’exhortation qui s’adresse à vous comme à ses enfants, disant : mon enfant ne méprise point le châtiment du Seigneur, et ne perds point courage quand tu es repris de lui.
- Et vous avez oublié l'exhortation de Dieu qui vous dit comme à des fils : " Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, et ne perds point courage lorsqu'il te reprend; (Ⅰ)
- Et vous avez oubliez l'exhortation qui vous est adressée comme à des fils: Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, Et ne perds pas courage lorsqu'il te reprend; (Ⅱ)
- καὶ ἐκλέλησθε τῆς παρακλήσεως, ἥτις ὑμῖν ὡς υἱοῖς διαλέγεται, Υἱέ μου, μὴ ὀλιγώρει παιδείας κυρίου, μηδὲ ἐκλύου ὑπ’ αὐτοῦ ἐλεγχόμενος· (Ⅳ)
- et obliti estis consolationis, quæ vobis tamquam filiis loquitur, dicens : Fili mi, noli negligere disciplinam Domini : neque fatigeris dum ab eo argueris. (Ⅴ)
- et vous avez oublié l’exhortation qui s’adresse à vous comme à des fils: «Mon fils, ne méprise pas la discipline du Seigneur, et ne perds pas courage quand tu es repris par lui; (Ⅶ)
12. 6  
Car le Seigneur châtie celui qu’il aime, et il fouette tout enfant qu’il avoue.
- car le Seigneur châtie celui qu'il aime, et il frappe de la verge tout fils qu'il reconnaît pour sien. " (Ⅰ)
- Car le Seigneur châtie celui qu'il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu'il reconnaît pour ses fils. (Ⅱ)
- ὃν γὰρ ἀγαπᾷ κύριος παιδεύει, μαστιγοῖ δὲ πάντα υἱὸν ὃν παραδέχεται. (Ⅳ)
- Quem enim diligit Dominus, castigat : flagellat autem omnem filium, quem recipit. (Ⅴ)
- car celui que le Seigneur aime, il le discipline, et il fouette tout fils qu’il agrée». (Ⅶ)
12. 7  
Si vous endurez le châtiment, Dieu se présente à vous comme à ses enfants : car qui est l’enfant que le père ne châtie point ?
- C'est pour votre instruction que vous êtes éprouvés : Dieu vous traite comme des fils; car quel est le fils que son père ne châtie pas? (Ⅰ)
- Supportez le châtiment: c'est comme des fils que Dieu vous traite; car quel est le fils qu'un père ne châtie pas? (Ⅱ)
- εἰς παιδείαν ὑπομένετε· ὡς υἱοῖς ὑμῖν προσφέρεται ὁ θεός· τίς ⸀γὰρ υἱὸς ὃν οὐ παιδεύει πατήρ; (Ⅳ)
- In disciplina perseverate. Tamquam filiis vobis offert se Deus : quis enim filius, quem non corripit pater ? (Ⅴ)
- Vous endurez des peines comme discipline: Dieu agit envers vous comme envers des fils, car qui est le fils que le père ne discipline pas? (Ⅶ)
12. 8  
Mais si vous êtes sans châtiment auquel tous participent, vous êtes donc des enfants supposés, et non pas légitimes.
- Si vous êtes exempts du châtiment auquel tous ont part, vous êtes donc des enfants illégitimes, et non de vrais fils. (Ⅰ)
- Mais si vous êtes exempts du châtiment auquel tous ont part, vous êtes donc des enfants illégitimes, et non des fils. (Ⅱ)
- εἰ δὲ χωρίς ἐστε παιδείας ἧς μέτοχοι γεγόνασι πάντες, ἄρα νόθοι ⸂καὶ οὐχ υἱοί ἐστε⸃. (Ⅳ)
- quod si extra disciplinam estis, cujus participes facti sunt omnes : ergo adulteri, et non filii estis. (Ⅴ)
- Mais si vous êtes sans la discipline à laquelle tous participent, alors vous êtes des bâtards et non pas des fils. (Ⅶ)
12. 9  
Et puisque nos pères selon la chair nous ont châtiés et que malgré cela nous les avons respectés ; ne serons-nous pas beaucoup plus soumis au Père des esprits ? et nous vivrons.
- D'ailleurs, puisque nos pères selon la chair nous ont châtiés et que nous les avons respectés, combien plus nous devons nous soumettre au Père des esprits, pour avoir la vie? (Ⅰ)
- D'ailleurs, puisque nos pères selon la chair nous ont châtiés, et que nous les avons respectés, ne devons nous pas à bien plus forte raison nous soumettre au Père des esprits, pour avoir la vie? (Ⅱ)
- εἶτα τοὺς μὲν τῆς σαρκὸς ἡμῶν πατέρας εἴχομεν παιδευτὰς καὶ ἐνετρεπόμεθα· οὐ ⸀πολὺ μᾶλλον ὑποταγησόμεθα τῷ πατρὶ τῶν πνευμάτων καὶ ζήσομεν; (Ⅳ)
- Deinde patres quidem carnis nostræ, eruditores habuimus, et reverebamur eos, non multo magis obtemperabimus Patri spirituum, et vivemus ? (Ⅴ)
- De plus, nous avons eu les pères de notre chair pour nous discipliner, et nous les avons respectés; ne serons-nous pas beaucoup plutôt soumis au Père des esprits, et nous vivrons? (Ⅶ)
12. 10  
Car par rapport à ceux-là, ils nous châtiaient pour un peu de temps, suivant leur volonté ; mais celui-ci nous châtie pour notre profit, afin que nous soyons participants de sa sainteté.
- Quant à ceux-là, c'était pour peu de temps qu'ils nous châtiaient au gré de leur volonté; mais Dieu le fait autant qu'il est utile pour nous rendre capables de participer à sa sainteté. (Ⅰ)
- Nos pères nous châtiaient pour peu de jours, comme ils le trouvaient bon; mais Dieu nous châtie pour notre bien, afin que nous participions à sa sainteté. (Ⅱ)
- οἱ μὲν γὰρ πρὸς ὀλίγας ἡμέρας κατὰ τὸ δοκοῦν αὐτοῖς ἐπαίδευον, ὁ δὲ ἐπὶ τὸ συμφέρον εἰς τὸ μεταλαβεῖν τῆς ἁγιότητος αὐτοῦ. (Ⅳ)
- Et illi quidem in tempore paucorum dierum, secundum voluntatem suam erudiebant nos : hic autem ad id quod utile est in recipiendo sanctificationem ejus. (Ⅴ)
- Car ceux-là disciplinaient pendant peu de jours, selon qu’ils le trouvaient bon; mais celui-ci nous discipline pour notre profit, afin que nous participions à sa sainteté. (Ⅶ)
12. 11  
Or tout châtiment ne semble pas sur l’heure être [un sujet] de joie, mais de tristesse ; mais ensuite il produit un fruit paisible de justice à ceux qui sont exercés par ce moyen.
- Toute correction, il est vrai, paraît sur l'heure un sujet de tristesse, et non de joie; mais elle produit plus tard, pour ceux qui ont été ainsi exercés, un fruit de paix et de justice. (Ⅰ)
- Il est vrai que tout châtiment semble d'abord un sujet de tristesse, et non de joie; mais il produit plus tard pour ceux qui ont été ainsi exercés un fruit paisible de justice. (Ⅱ)
- πᾶσα ⸀δὲ παιδεία πρὸς μὲν τὸ παρὸν οὐ δοκεῖ χαρᾶς εἶναι ἀλλὰ λύπης, ὕστερον δὲ καρπὸν εἰρηνικὸν τοῖς δι’ αὐτῆς γεγυμνασμένοις ἀποδίδωσιν δικαιοσύνης. (Ⅳ)
- Omnis autem disciplina in præsenti quidem videtur non esse gaudii, sed mœroris : postea autem fructum pacatissimum exercitatis per eam, reddet justitiæ. (Ⅴ)
- Or aucune discipline, pour le présent, ne semble être un sujet de joie, mais de tristesse; mais plus tard, elle rend le fruit paisible de la justice à ceux qui sont exercés par elle. (Ⅶ)
12. 12  
Relevez donc vos mains qui sont faibles, [et fortifiez vos] genoux qui sont déjoints.
- " Relevez donc vos mains languissantes et vos genoux défaillants; (Ⅰ)
- Fortifiez donc vos mains languissantes Et vos genoux affaiblis; (Ⅱ)
- Διὸ τὰς παρειμένας χεῖρας καὶ τὰ παραλελυμένα γόνατα ἀνορθώσατε, (Ⅳ)
- Propter quod remissas manus, et soluta genua erigite, (Ⅴ)
- C’est pourquoi, redressez les mains lassées et les genoux défaillants, (Ⅶ)
12. 13  
Et faites les sentiers droits à vos pieds ; afin que celui qui chancelle ne se dévoie point, mais plutôt qu’il soit remis en son entier.
- dirigez vos pas dans la voie droite ", afin que ce qui est boiteux ne dévie pas, mais plutôt se raffermisse. (Ⅰ)
- et suivez avec vos pieds des voies droites, afin que ce qui est boiteux ne dévie pas, mais plutôt se raffermisse. (Ⅱ)
- καὶ τροχιὰς ὀρθὰς ⸀ποιεῖτε τοῖς ποσὶν ὑμῶν, ἵνα μὴ τὸ χωλὸν ἐκτραπῇ, ἰαθῇ δὲ μᾶλλον. (Ⅳ)
- et gressus rectos facite pedibus vestris : ut non claudicans quis erret, magis autem sanetur.\ (Ⅴ)
- et faites des sentiers droits à vos pieds, afin que ce qui est boiteux ne se dévoie pas, mais plutôt se guérisse. (Ⅶ)
12. 14  
Recherchez la paix avec tous ; et la sanctification, sans laquelle nul ne verra le Seigneur.
- Recherchez la paix avec tous, et la sainteté, sans laquelle personne ne verra le Seigneur. (Ⅰ)
- Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur. (Ⅱ)
- Εἰρήνην διώκετε μετὰ πάντων, καὶ τὸν ἁγιασμόν, οὗ χωρὶς οὐδεὶς ὄψεται τὸν κύριον, (Ⅳ)
- Pacem sequimini cum omnibus, et sanctimoniam, sine qua nemo videbit Deum : (Ⅴ)
- Poursuivez la paix avec tous, et la sainteté, sans laquelle nul ne verra le Seigneur, (Ⅶ)
12. 15  
Prenant garde qu’aucun ne se prive de la grâce de Dieu ; que quelque racine d’amertume bourgeonnant en haut ne vous trouble, et que plusieurs ne soient souillés par elle.
- Veillez à ce que personne ne manque à la grâce de Dieu ; à ce qu'aucune racine d'amertume, venant à pousser des rejetons, ne cause du trouble, et que la masse n'en soit infectée. (Ⅰ)
- Veillez à ce que nul ne se prive de la grâce de Dieu; à ce qu'aucune racine d'amertume, poussant des rejetons, ne produise du trouble, et que plusieurs n'en soient infectés; (Ⅱ)
- ἐπισκοποῦντες μή τις ὑστερῶν ἀπὸ τῆς χάριτος τοῦ θεοῦ, μή τις ῥίζα πικρίας ἄνω φύουσα ἐνοχλῇ καὶ ⸂δι’ αὐτῆς⸃ μιανθῶσιν ⸀πολλοί, (Ⅳ)
- contemplantes nequis desit gratiæ Dei : ne qua radix amaritudinis sursum germinans impediat, et per illam inquinentur multi. (Ⅴ)
- veillant de peur que quelqu’un ne manque de la grâce de Dieu; de peur que quelque racine d’amertume, bourgeonnant en haut, ne vous trouble, et que par elle plusieurs ne soient souillés; (Ⅶ)
12. 16  
Que nul [de vous] ne soit fornicateur, ou profane comme Esaü, qui pour une viande vendit son droit d’aînesse.
- Qu'il n'y ait parmi vous ni impudique, ni profanateur comme Esaü, qui pour un seul mets vendit son droit d'aînesse. (Ⅰ)
- à ce qu'il n'y ait ni impudique, ni profane comme Ésaü, qui pour un mets vendit son droit d'aînesse. (Ⅱ)
- μή τις πόρνος ἢ βέβηλος ὡς Ἠσαῦ, ὃς ἀντὶ βρώσεως μιᾶς ἀπέδετο τὰ πρωτοτόκια ⸀ἑαυτοῦ. (Ⅳ)
- Ne quis fornicator, aut profanus ut Esau : qui propter unam escam vendidit primitiva sua : (Ⅴ)
- de peur qu’il n’y ait quelque fornicateur, ou profane comme Ésaü, qui pour un seul mets vendit son droit de premier-né; (Ⅶ)
12. 17  
Car vous savez que même désirant ensuite d’hériter la bénédiction, il fut rejeté : car il ne trouva point de lieu à la repentance, quoiqu’il l’eût demandée avec larmes.
- Vous savez que, plus tard, voulant obtenir la bénédiction, il fut repoussé, quoiqu'il la sollicitât avec larmes ; car il ne put amener son père à changer de sentiments. (Ⅰ)
- Vous savez que, plus tard, voulant obtenir la bénédiction, il fut rejeté, quoiqu'il la sollicitât avec larmes; car son repentir ne put avoir aucun effet. (Ⅱ)
- ἴστε γὰρ ὅτι καὶ μετέπειτα θέλων κληρονομῆσαι τὴν εὐλογίαν ἀπεδοκιμάσθη, μετανοίας γὰρ τόπον οὐχ εὗρεν, καίπερ μετὰ δακρύων ἐκζητήσας αὐτήν. (Ⅳ)
- scitote enim quoniam et postea cupiens hæreditare benedictionem, reprobatus est : non enim invenit pœnitentiæ locum, quamquam cum lacrimis inquisisset eam. (Ⅴ)
- car vous savez que, aussi, plus tard, désirant hériter de la bénédiction, il fut rejeté, (car il ne trouva pas lieu à la repentance,) quoiqu’il l’eût recherchée avec larmes. (Ⅶ)
12. 18  
Car vous n’êtes point venus à une montagne qui se puisse toucher à la main, ni au feu brûlant, ni au tourbillon, ni à l’obscurité, ni à la tempête,
- Vous ne vous êtes pas approchés d'une montagne que la main puisse toucher, ni d'un feu ardent, ni de la nuée, ni des ténèbres, ni de la tempête, (Ⅰ)
- Vous ne vous êtes pas approchés d'une montagne qu'on pouvait toucher et qui était embrasée par le feu, ni de la nuée, ni des ténèbres, ni de la tempête, (Ⅱ)
- Οὐ γὰρ προσεληλύθατε ⸀ψηλαφωμένῳ καὶ κεκαυμένῳ πυρὶ καὶ γνόφῳ καὶ ⸀ζόφῳ καὶ θυέλλῃ (Ⅳ)
- Non enim accessistis ad tractabilem montem, et accensibilem ignem, et turbinem, et caliginem, et procellam, (Ⅴ)
- Car vous n’êtes pas venus à la montagne qui peut être touchée, ni au feu brûlant, ni à l’obscurité, ni aux ténèbres, ni à la tempête, (Ⅶ)
12. 19  
Ni au retentissement de la trompette, ni à la voix des paroles, [au sujet de] laquelle, ceux qui l’entendaient prièrent que la parole ne leur fût plus adressée ;
- ni de l'éclat de la trompette, ni d'une voix si retentissante, que ceux qui l'entendirent supplièrent qu'on ne leur parlât pas davantage; (Ⅰ)
- ni du retentissement de la trompette, ni du bruit des paroles, tel que ceux qui l'entendirent demandèrent qu'il ne leur en fût adressé aucune de plus, (Ⅱ)
- καὶ σάλπιγγος ἤχῳ καὶ φωνῇ ῥημάτων, ἧς οἱ ἀκούσαντες παρῃτήσαντο ⸀μὴ προστεθῆναι αὐτοῖς λόγον· (Ⅳ)
- et tubæ sonum, et vocem verborum, quam qui audierunt, excusaverunt se, ne eis fieret verbum. (Ⅴ)
- ni au son de la trompette, ni à la voix de paroles, voix telle que ceux qui l’entendaient prièrent que la parole ne leur fût plus adressée; (Ⅶ)
12. 20  
Car ils ne pouvaient soutenir ce qui était ordonné, [savoir], Si même une bête touche la montagne, elle sera lapidée, ou percée d’un dard.
- car ils ne pouvaient supporter cette défense " Si même une bête touche la montagne, elle sera lapidée. " (Ⅰ)
- car ils ne supportaient pas cette déclaration: Si même une bête touche la montagne, elle sera lapidée. (Ⅱ)
- οὐκ ἔφερον γὰρ τὸ διαστελλόμενον· Κἂν θηρίον θίγῃ τοῦ ὄρους, λιθοβοληθήσεται· (Ⅳ)
- Non enim portabant quod dicebatur : Et si bestia tetigerit montem, lapidabitur. (Ⅴ)
- (car ils ne pouvaient supporter ce qui était enjoint: «Si même une bête touche la montagne, elle sera lapidée»; (Ⅶ)
12. 21  
Et Moïse, tant était terrible ce qui paraissait, dit : Je suis épouvanté et j’en tremble tout.
- Et ce spectacle était si terrible que Moïse dit " Je suis terrifié et tout tremblant ! " (Ⅰ)
- Et ce spectacle était si terrible que Moïse dit: Je suis épouvanté et tout tremblant! (Ⅱ)
- καί, οὕτω φοβερὸν ἦν τὸ φανταζόμενον, Μωϋσῆς εἶπεν· Ἔκφοβός εἰμι καὶ ἔντρομος. (Ⅳ)
- Et ita terribile erat quod videbatur. Moyses dixit : Exterritus sum, et tremebundus. (Ⅴ)
- et Moïse, si terrible était ce qui paraissait, dit: Je suis épouvanté et tout tremblant;) (Ⅶ)
12. 22  
Mais vous êtes venus à la montagne de Sion, et à la Cité du Dieu vivant, à la Jérusalem céleste, et aux milliers d’Anges,
- - Mais vous vous êtes approchés de la montagne de Sion, de la cité du Dieu vivant qui est la Jérusalem céleste, des myriades qui forment le choeur des anges, (Ⅰ)
- Mais vous vous êtes approchés de la montagne de Sion, de la cité du Dieu vivant, la Jérusalem céleste, des myriades qui forment le choeur des anges, (Ⅱ)
- ἀλλὰ προσεληλύθατε Σιὼν ὄρει καὶ πόλει θεοῦ ζῶντος, Ἰερουσαλὴμ ἐπουρανίῳ, καὶ μυριάσιν ἀγγέλων, πανηγύρει (Ⅳ)
- Sed accessistis ad Sion montem, et civitatem Dei viventis, Jerusalem cælestem, et multorum millium angelorum frequentiam, (Ⅴ)
- mais vous êtes venus à la montagne de Sion; et à la cité du Dieu vivant, la Jérusalem céleste; et à des myriades d’anges, l’assemblée universelle; (Ⅶ)
12. 23  
Et à l’assemblée et à l’Eglise des premiers nés qui sont écrits dans les Cieux, et à Dieu qui est le juge de tous, et aux esprits des justes sanctifiés ;
- de l'assemblée des premiers nés inscrits dans les cieux, du juge qui est le Dieu de tous, des esprits des justes parvenus à la perfection, (Ⅰ)
- de l'assemblé des premiers-nés inscrits dans les cieux, du juge qui est le Dieu de tous, des esprits des justes parvenus à la perfection, (Ⅱ)
- καὶ ἐκκλησίᾳ πρωτοτόκων ⸂ἀπογεγραμμένων ἐν οὐρανοῖς⸃, καὶ κριτῇ θεῷ πάντων, καὶ πνεύμασι δικαίων τετελειωμένων, (Ⅳ)
- et ecclesiam primitivorum, qui conscripti sunt in cælis, et judicem omnium Deum, et spiritus justorum perfectorum, (Ⅴ)
- et à l’assemblée des premiers-nés écrits dans les cieux; et à Dieu, juge de tous; et aux esprits des justes consommés; (Ⅶ)
12. 24  
Et à Jésus, le Médiateur de la nouvelle alliance, et au sang de l’aspersion, qui prononce de meilleures choses que [celui] d’Abel.
- de Jésus, le médiateur de la nouvelle alliance, et du sang de l'aspersion qui parle plus éloquemment que celui d'Abel. (Ⅰ)
- de Jésus qui est le médiateur de la nouvelle alliance, et du sang de l'aspersion qui parle mieux que celui d'Abel. (Ⅱ)
- καὶ διαθήκης νέας μεσίτῃ Ἰησοῦ, καὶ αἵματι ῥαντισμοῦ κρεῖττον λαλοῦντι παρὰ τὸν Ἅβελ. (Ⅳ)
- et testamenti novi mediatorem Jesum, et sanguinis aspersionem melius loquentem quam Abel. (Ⅴ)
- et à Jésus, médiateur d’une nouvelle alliance; et au sang d’aspersion qui parle mieux qu’Abel. (Ⅶ)
12. 25  
Prenez garde de ne mépriser point celui qui [vous] parle ; car si ceux qui méprisaient celui qui [leur] parlait sur la terre, ne sont point échappés, nous serons punis beaucoup plus, si nous nous détournons [de celui qui parle] des Cieux ;
- Prenez garde de résister à celui qui parle; car si ceux-là n'ont pas échappé au châtiment, qui ont refusé d'écouter celui qui publiait ses oracles sur la terre, combien moins échapperons-nous, si nous le repoussons, quand il nous parle du haut des cieux : (Ⅰ)
- Gardez-vous de refuser d'entendre celui qui parle; car si ceux-là n'ont pas échappé qui refusèrent d'entendre celui qui publiait les oracles sur la terre, combien moins échapperons-nous, si nous nous détournons de celui qui parle du haut des cieux, (Ⅱ)
- Βλέπετε μὴ παραιτήσησθε τὸν λαλοῦντα· εἰ γὰρ ἐκεῖνοι οὐκ ⸀ἐξέφυγον ⸂ἐπὶ γῆς παραιτησάμενοι τὸν⸃ χρηματίζοντα, ⸀πολὺ μᾶλλον ἡμεῖς οἱ τὸν ἀπ’ οὐρανῶν ἀποστρεφόμενοι· (Ⅳ)
- Videte ne recusetis loquentem. Si enim illi non effugerunt, recusantes eum, qui super terram loquebatur : multo magis nos, qui de cælis loquentem nobis avertimus. (Ⅴ)
- Prenez garde que vous ne refusiez pas celui qui parle: car si ceux-là n’ont pas échappé qui refusèrent celui qui parlait en oracles sur la terre, combien moins échapperons-nous, si nous nous détournons de celui qui parle ainsi des cieux, (Ⅶ)
12. 26  
Duquel la voix ébranla alors la terre, mais à l’égard du temps présent, il a fait cette promesse, disant : j’ébranlerai encore une fois non seulement la terre, mais aussi le Ciel.
- lui, dont la voix ébranla alors la terre, mais qui maintenant a fait cette promesse : " Une fois encore j'ébranlerai non seulement la terre, mais aussi le ciel. " (Ⅰ)
- lui, dont la voix alors ébranla la terre, et qui maintenant a fait cette promesse: Une fois encore j'ébranlerai non seulement la terre, mais aussi le ciel. (Ⅱ)
- οὗ ἡ φωνὴ τὴν γῆν ἐσάλευσεν τότε, νῦν δὲ ἐπήγγελται λέγων· Ἔτι ἅπαξ ἐγὼ ⸀σείσω οὐ μόνον τὴν γῆν ἀλλὰ καὶ τὸν οὐρανόν. (Ⅳ)
- Cujus vox movit terram tunc : nunc autem repromittit, dicens : Adhuc semel, et ego movebo non solum terram, sed et cælum. (Ⅴ)
- duquel la voix ébranla alors la terre; mais maintenant il a promis, disant: «Encore une fois je secouerai non seulement la terre, mais aussi le ciel». (Ⅶ)
12. 27  
Or ce [mot], encore une fois, signifie l’abolition des choses muables, comme ayant été faites [de main], afin que celles qui sont immuables demeurent ;
- Ces mots : " Une fois encore ", indiquent le changement des choses qui vont être ébranlées comme ayant eu leur accomplissement, afin que celles qui ne doivent pas être ébranlées subsistent à jamais. (Ⅰ)
- Ces mots: Une fois encore, indiquent le changement des choses ébranlées, comme étant faites pour un temps, afin que les choses inébranlables subsistent. (Ⅱ)
- τὸ δὲ Ἔτι ἅπαξ δηλοῖ ⸂τῶν σαλευομένων⸃ μετάθεσιν ὡς πεποιημένων, ἵνα μείνῃ τὰ μὴ σαλευόμενα. (Ⅳ)
- Quod autem, Adhuc semel, dicit : declarat mobilium translationem tamquam factorum, ut maneant ea quæ sunt immobilia. (Ⅴ)
- Or ce «Encore une fois» indique le changement des choses muables, comme ayant été faites, afin que celles qui sont immuables demeurent. (Ⅶ)
12. 28  
C’est pourquoi saisissant le Royaume qui ne peut point être ébranlé, retenons la grâce par laquelle nous servions Dieu, en sorte que nous lui soyons agréables avec respect et avec crainte,
- Ainsi, puisque nous rentrons en possession d'un royaume qui ne sera point ébranlé, retenons fermement la grâce ; par elle rendons à Dieu un culte qui lui soit agréable, avec piété et avec crainte. (Ⅰ)
- C'est pourquoi, recevant un royaume inébranlable, montrons notre reconnaissance en rendant à Dieu un culte qui lui soit agréable, (Ⅱ)
- διὸ βασιλείαν ἀσάλευτον παραλαμβάνοντες ἔχωμεν χάριν, δι’ ἧς ⸀λατρεύωμεν εὐαρέστως τῷ θεῷ μετὰ ⸂εὐλαβείας καὶ δέους⸃, (Ⅳ)
- Itaque regnum immobile suscipientes, habemus gratiam : per quam serviamus placentes Deo, cum metu et reverentia. (Ⅴ)
- C’est pourquoi, recevant un royaume inébranlable, retenons la grâce par laquelle nous servions Dieu d’une manière qui lui soit agréable, avec révérence et avec crainte. (Ⅶ)
12. 29  
Car aussi notre Dieu est un feu consumant.
- Car notre Dieu est aussi un feu dévorant. (Ⅰ)
- avec piété et avec crainte, car notre Dieu est aussi un feu dévorant. (Ⅱ)
- καὶ γὰρ ὁ θεὸς ἡμῶν πῦρ καταναλίσκον. (Ⅳ)
- Etenim Deus noster ignis consumens est. (Ⅴ)
- Car aussi notre Dieu est un feu consumant. (Ⅶ)


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