1 Pierre
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(Version J.N. Darby)


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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


3. 1  
Pareillement, vous, femmes, soyez soumises à vos propres maris, afin que, si même il y en a qui n’obéissent pas à la parole, ils soient gagnés sans la parole, par la conduite de leurs femmes,
- Vous de même, femmes, soyez soumises à vos maris, afin que, s'il en est qui n'obéissent pas à la prédication, ils soient gagnés sans la prédication, par la conduite de leurs femmes, (Ⅰ)
- Femmes, soyez de mêmes soumises à vos maris, afin que, si quelques-uns n'obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes, (Ⅱ)
- ⸀Ὁμοίως γυναῖκες ὑποτασσόμεναι τοῖς ἰδίοις ἀνδράσιν, ἵνα ⸀καὶ εἴ τινες ἀπειθοῦσιν τῷ λόγῳ διὰ τῆς τῶν γυναικῶν ἀναστροφῆς ἄνευ λόγου κερδηθήσονται (Ⅳ)
- Similiter et mulieres subditæ sint viris suis : ut etsi qui non credunt verbo, per mulierem conversationem sine verbo lucrifiant : (Ⅴ)
- Que les femmes aussi soient soumises à leurs maris, afin que même s’il y en a qui n’obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans la parole, par la conduite de [leurs] femmes ; (Ⅶ)
3. 2  
ayant observé la pureté de votre conduite dans la crainte,
- rien qu'en voyant votre vie chaste et pleine de respect. (Ⅰ)
- en voyant votre manière de vivre chaste et réservée. (Ⅱ)
- ἐποπτεύσαντες τὴν ἐν φόβῳ ἁγνὴν ἀναστροφὴν ὑμῶν. (Ⅳ)
- considerantes in timore castam conversationem vestram. (Ⅴ)
- Lorsqu’ils auront vu la pureté de votre conduite, accompagnée de crainte. (Ⅶ)
3. 3  
— vous, dont la parure ne doit pas être une parure extérieure qui consiste à avoir les cheveux tressés et à être paré d’or et habillé de beaux vêtements,
- Que votre parure ne soit pas celle du dehors : les cheveux tressés avec art, les ornements d'or ou l'ajustement des habits; (Ⅰ)
- Ayez, non cette parure extérieure qui consiste dans les cheveux tressés, les ornements d'or, ou les habits qu'on revêt, (Ⅱ)
- ὧν ἔστω οὐχ ὁ ἔξωθεν ἐμπλοκῆς τριχῶν καὶ περιθέσεως χρυσίων ἢ ἐνδύσεως ἱματίων κόσμος, (Ⅳ)
- Quarum non sit extrinsecus capillatura, aut circumdatio auri, aut indumenti vestimentorum cultus : (Ⅴ)
- Et que leur ornement ne soit point celui de dehors, qui consiste dans la frisure des cheveux, dans une parure d’or, et dans la magnificence des habits ; (Ⅶ)
3. 4  
mais l’homme caché du cœur, dans l’incorruptibilité d’un esprit doux et paisible qui est d’un grand prix devant Dieu;
- mais, parez l'homme caché du coeur, par la pureté incorruptible d'un esprit doux et paisible : telle est la vraie richesse devant Dieu. (Ⅰ)
- mais la parure intérieure et cachée dans le coeur, la pureté incorruptible d'un esprit doux et paisible, qui est d'un grand prix devant Dieu. (Ⅱ)
- ἀλλ’ ὁ κρυπτὸς τῆς καρδίας ἄνθρωπος ἐν τῷ ἀφθάρτῳ τοῦ ⸂πραέως καὶ ἡσυχίου⸃ πνεύματος, ὅ ἐστιν ἐνώπιον τοῦ θεοῦ πολυτελές. (Ⅳ)
- sed qui absconditus est cordis homo, in incorruptibilitate quieti, et modesti spiritus, qui est in conspectu Dei locuples. (Ⅴ)
- Mais que leur ornement consiste dans l’homme caché dans le cœur, [c’est-à-dire] dans l’incorruptibilité d’un esprit doux et paisible, qui est d’un grand prix devant Dieu ; (Ⅶ)
3. 5  
car c’est ainsi que jadis se paraient aussi les saintes femmes qui espéraient en Dieu, étant soumises à leurs propres maris,
- C'est ainsi qu'autrefois se paraient les saintes femmes qui espéraient en Dieu, étant soumises à leurs maris. (Ⅰ)
- Ainsi se paraient autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu, soumises à leurs maris, (Ⅱ)
- οὕτως γάρ ποτε καὶ αἱ ἅγιαι γυναῖκες αἱ ἐλπίζουσαι ⸀εἰς θεὸν ἐκόσμουν ἑαυτάς, ὑποτασσόμεναι τοῖς ἰδίοις ἀνδράσιν, (Ⅳ)
- Sic enim aliquando et sanctæ mulieres, sperantes in Deo, ornabant se, subjectæ propriis viris. (Ⅴ)
- Car c’est ainsi que se paraient autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu, et qui demeuraient soumises à leurs maris ; (Ⅶ)
3. 6  
comme Sara obéissait à Abraham, l’appelant seigneur, de laquelle vous êtes devenues les enfants, en faisant le bien et en ne craignant aucune frayeur.
- Ainsi Sara obéissait à Abraham, le traitant de Seigneur; et vous êtes devenues ses filles, si vous faites le bien sans craindre aucune menace. (Ⅰ)
- comme Sara, qui obéissait à Abraham et l'appelait son seigneur. C'est d'elle que vous êtes devenues les filles, en faisant ce qui est bien, sans vous laisser troubler par aucune crainte. (Ⅱ)
- ὡς Σάρρα ⸀ὑπήκουσεν τῷ Ἀβραάμ, κύριον αὐτὸν καλοῦσα· ἧς ἐγενήθητε τέκνα ἀγαθοποιοῦσαι καὶ μὴ φοβούμεναι μηδεμίαν πτόησιν. (Ⅳ)
- Sicut Sara obediebat Abrahæ, dominum eum vocans : cujus estis filiæ benefacientes, et non pertimentes ullam perturbationem. (Ⅴ)
- Comme Sara, qui obéissait à Abraham, l’appelant [son] Seigneur ; de laquelle vous êtes les filles en faisant bien, lors même que vous ne craignez rien de ce que vous pourriez avoir à craindre. (Ⅶ)
3. 7  
Pareillement, vous, maris, demeurez avec elles selon la connaissance, comme avec un vase plus faible, c’est-à-dire féminin, leur portant honneur comme étant aussi ensemble héritiers de la grâce de la vie, pour que vos prières ne soient pas interrompues.
- Vous de votre côté, maris, conduisez-vous avec sagesse à l'égard de vos femmes, comme avec des êtres plus faibles, les traitant avec honneur, puisqu'elles sont avec vous héritières de la grâce qui donne la vie ; afin que rien n'arrête vos prières. (Ⅰ)
- Maris, montrer à votre tour de la sagesse dans vos rapports avec vos femmes, comme avec un sexe plus faible; honorez-les, comme devant aussi hériter avec vous de la grâce de la vie. Qu'il en soit ainsi, afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières. (Ⅱ)
- Οἱ ἄνδρες ὁμοίως συνοικοῦντες κατὰ γνῶσιν, ὡς ἀσθενεστέρῳ σκεύει τῷ γυναικείῳ ἀπονέμοντες τιμήν, ὡς καὶ ⸀συγκληρονόμοις χάριτος ζωῆς, εἰς τὸ μὴ ἐγκόπτεσθαι τὰς προσευχὰς ὑμῶν. (Ⅳ)
- Viri similiter cohabitantes secundum scientiam, quasi infirmiori vasculo muliebri impartientes honorem, tamquam et cohæredibus gratiæ vitæ : ut non impediantur orationes vestræ.\ (Ⅴ)
- Vous maris aussi, comportez-vous discrètement avec elles, comme avec un vaisseau plus fragile, [c’est-à-dire], féminin, leur portant du respect, comme ceux qui êtes aussi avec elles héritiers de la grâce de vie, afin que vos prières ne soient point interrompues. (Ⅶ)
3. 8  
Enfin, soyez tous d’un même sentiment, sympathisants, fraternels, compatissants, humbles,
- Enfin qu'il y ait entre vous union de sentiments, bonté compatissante, charité fraternelle, affection miséricordieuse, humilité. (Ⅰ)
- Enfin, soyez tous animés des mêmes pensées et des mêmes sentiments, pleins d'amour fraternel, de compassion, d'humilité. (Ⅱ)
- Τὸ δὲ τέλος πάντες ὁμόφρονες, συμπαθεῖς, φιλάδελφοι, εὔσπλαγχνοι, ⸀ταπεινόφρονες, (Ⅳ)
- In fine autem omnes unanimes, compatientes fraternitatis amatores, misericordes, modesti, humiles : (Ⅴ)
- Enfin soyez tous d’un même sentiment, remplis de compassion l’un envers l’autre, vous entr’aimant fraternellement, miséricordieux, [et] doux. (Ⅶ)
3. 9  
ne rendant pas mal pour mal, ou outrage pour outrage, mais au contraire bénissant, parce que vous avez été appelés à ceci, c’est que vous héritiez de la bénédiction;
- Ne rendez point le mal pour le mal, ni l'injure pour l'injure; bénissez, au contraire; car c'est à cela que vous avez été appelés, afin de devenir héritiers de la bénédiction. (Ⅰ)
- Ne rendez point mal pour mal, ou injure pour injure; bénissez, au contraire, car c'est à cela que vous avez été appelés, afin d'hériter la bénédiction. (Ⅱ)
- μὴ ἀποδιδόντες κακὸν ἀντὶ κακοῦ ἢ λοιδορίαν ἀντὶ λοιδορίας τοὐναντίον δὲ ⸀εὐλογοῦντες, ὅτι εἰς τοῦτο ἐκλήθητε ἵνα εὐλογίαν κληρονομήσητε. (Ⅳ)
- non reddentes malum pro malo, nec maledictum pro maledicto, sed e contrario benedicentes : quia in hoc vocati estis, ut benedictionem hæreditate possideatis. (Ⅴ)
- Ne rendant point mal pour mal, ni outrage pour outrage ; mais, au contraire, bénissant ; sachant que vous êtes appelés à cela, afin que vous héritiez la bénédiction. (Ⅶ)
3. 10  
«car celui qui veut aimer la vie et voir d’heureux jours, qu’il garde sa langue de mal, et ses lèvres de proférer la fraude;
- " Celui qui veut aimer la vie et voir des jours heureux, qu'il garde sa langue du mal, et ses lèvres des paroles trompeuses; (Ⅰ)
- Si quelqu'un, en effet, veut aimer la vie Et voir des jours heureux, Qu'il préserve sa langue du mal Et ses lèvres des paroles trompeuses, (Ⅱ)
- ὁ γὰρ θέλων ζωὴν ἀγαπᾶν καὶ ἰδεῖν ἡμέρας ἀγαθὰς παυσάτω τὴν ⸀γλῶσσαν ἀπὸ κακοῦ καὶ ⸀χείλη τοῦ μὴ λαλῆσαι δόλον, (Ⅳ)
- Qui enim vult vitam diligere, et dies videre bonos, coërceat linguam suam a malo, et labia ejus ne loquantur dolum. (Ⅴ)
- Car celui qui veut aimer sa vie et voir [ses] jours bienheureux, qu’il garde sa langue de mal, et ses lèvres de prononcer aucune fraude ; (Ⅶ)
3. 11  
qu’il se détourne du mal et qu’il fasse le bien; qu’il recherche la paix et qu’il la poursuive;
- qu'il se détourne du mal, et fasse le bien; qu'il cherche la paix et la poursuive. (Ⅰ)
- Qu'il s'éloigne du mal et fasse le bien, Qu'il recherche la paix et la poursuive; (Ⅱ)
- ἐκκλινάτω ⸀δὲ ἀπὸ κακοῦ καὶ ποιησάτω ἀγαθόν, ζητησάτω εἰρήνην καὶ διωξάτω αὐτήν· (Ⅳ)
- Declinet a malo, et faciat bonum : inquirat pacem, et sequatur eam : (Ⅴ)
- Qu’il se détourne du mal, et qu’il fasse le bien ; qu’il recherche la paix, et qu’il tâche de se la procurer. (Ⅶ)
3. 12  
car les yeux du Seigneur sont sur les justes et ses oreilles sont tournées vers leurs supplications; mais la face du Seigneur est contre ceux qui font le mal».
- Car le Seigneur a les yeux sur les justes, et ses oreilles sont attentives à leurs prières ; mais la face du Seigneur est contre ceux qui font le mal. " (Ⅰ)
- Car les yeux du Seigneur sont sur les justes Et ses oreilles sont attentives à leur prière, Mais la face du Seigneur est contre ceux qui font le mal. (Ⅱ)
- ὅτι ὀφθαλμοὶ κυρίου ἐπὶ δικαίους καὶ ὦτα αὐτοῦ εἰς δέησιν αὐτῶν, πρόσωπον δὲ κυρίου ἐπὶ ποιοῦντας κακά. (Ⅳ)
- quia oculi Domini super justos, et aures ejus in preces eorum : vultus autem Domini super facientes mala. (Ⅴ)
- Car les yeux du Seigneur sont sur les justes, et ses oreilles [sont attentives] à leurs prières ; mais la face du Seigneur est contre ceux qui se conduisent mal. (Ⅶ)
3. 13  
Et qui est-ce qui vous fera du mal, si vous êtes devenus les imitateurs de celui qui est bon?
- Et qui pourra vous faire du mal, si vous êtes appliqués à faire le bien? (Ⅰ)
- Et qui vous maltraitera, si vous êtes zélés pour le bien? (Ⅱ)
- Καὶ τίς ὁ κακώσων ὑμᾶς ἐὰν τοῦ ἀγαθοῦ ⸀ζηλωταὶ γένησθε; (Ⅳ)
- Et quis est qui vobis noceat, si boni æmulatores fueritis ? (Ⅴ)
- Or qui est-ce qui vous fera du mal, si vous êtes les imitateurs de celui qui est bon ? (Ⅶ)
3. 14  
Mais, si même vous souffrez pour la justice, vous êtes bienheureux; «et ne craignez pas leurs craintes, et ne soyez pas troublés,
- Que si pourtant vous souffrez pour la justice, heureux êtes-vous! " Ne craignez point leurs menaces et ne vous laissez point troubler; (Ⅰ)
- D'ailleurs, quand vous souffririez pour la justice, vous seriez heureux. N'ayez d'eux aucune crainte, et ne soyez pas troublés; (Ⅱ)
- ἀλλ’ εἰ καὶ πάσχοιτε διὰ δικαιοσύνην, μακάριοι. τὸν δὲ φόβον αὐτῶν μὴ φοβηθῆτε μηδὲ ταραχθῆτε, (Ⅳ)
- Sed et si quid patimini propter justitiam, beati. Timorem autem eorum ne timueritis, et non conturbemini. (Ⅴ)
- Que si toutefois vous souffrez quelque chose pour la justice, vous êtes bienheureux ; mais ne craignez point les maux dont ils veulent vous faire peur, et [n’en] soyez point troublés ; (Ⅶ)
3. 15  
mais sanctifiez le Seigneur le Christ dans vos cœurs»; et soyez toujours prêts à répondre, mais avec douceur et crainte, à quiconque vous demande raison de l’espérance qui est en vous,
- mais sanctifiez dans vos coeurs le Seigneur, le Christ, étant toujours prêts à répondre mais avec douceur et respect, à quiconque vous demande raison de l'espérance qui est en vous; (Ⅰ)
- Mais sanctifiez dans vos coeurs Christ le Seigneur, étant toujours prêts à vous défendre, avec douceur et respect, devant quiconque vous demande raison de l'espérance qui est en vous, (Ⅱ)
- κύριον δὲ τὸν ⸀Χριστὸν ἁγιάσατε ἐν ταῖς καρδίαις ὑμῶν, ⸀ἕτοιμοι ἀεὶ πρὸς ἀπολογίαν παντὶ τῷ αἰτοῦντι ὑμᾶς λόγον περὶ τῆς ἐν ὑμῖν ἐλπίδος, (Ⅳ)
- Dominum autem Christum sanctificate in cordibus vestris, parati semper ad satisfactionem omni poscenti vos rationem de ea, quæ in vobis est, spe. (Ⅴ)
- Mais sanctifiez le Seigneur dans vos cœurs, et soyez toujours prêts à répondre avec douceur et avec respect à chacun qui vous demande raison de l’espérance qui est en vous. (Ⅶ)
3. 16  
ayant une bonne conscience, afin que, quant aux choses dans lesquelles ils médisent de vous comme de gens qui font le mal, ceux qui calomnient votre bonne conduite en Christ, soient confus.
- ayant une bonne conscience, afin que, sur le point même où l'on vous calomnie, vous couvriez de confusion ceux qui diffament votre bonne conduite dans le Christ. (Ⅰ)
- et ayant une bonne conscience, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ceux qui décrient votre bonne conduite en Christ soient couverts de confusion. (Ⅱ)
- ⸀ἀλλὰ μετὰ πραΰτητος καὶ φόβου, συνείδησιν ἔχοντες ἀγαθήν, ἵνα ἐν ᾧ ⸀καταλαλεῖσθε καταισχυνθῶσιν οἱ ἐπηρεάζοντες ὑμῶν τὴν ἀγαθὴν ἐν Χριστῷ ἀναστροφήν. (Ⅳ)
- Sed cum modestia, et timore, conscientiam habentes bonam : ut in eo, quod detrahunt vobis, confundantur, qui calumniantur vestram bonam in Christo conversationem. (Ⅴ)
- Ayant une bonne conscience, afin que ceux qui blâment votre bonne conduite en Christ, soient confus en ce qu’ils médisent de vous comme de malfaiteurs. (Ⅶ)
3. 17  
Car il vaut mieux, si la volonté de Dieu le voulait, souffrir en faisant le bien, qu’en faisant le mal;
- En effet, il vaut mieux souffrir, si Dieu le veut ainsi, en faisant le bien, qu'en faisant le mal. (Ⅰ)
- Car il vaut mieux souffrir, si telle est la volonté de Dieu, en faisant le bien qu'en faisant le mal. (Ⅱ)
- κρεῖττον γὰρ ἀγαθοποιοῦντας, εἰ θέλοι τὸ θέλημα τοῦ θεοῦ, πάσχειν ἢ κακοποιοῦντας. (Ⅳ)
- Melius est enim benefacientes (si voluntas Dei velit) pati, quam malefacientes.\ (Ⅴ)
- Car il vaut mieux que vous souffriez en faisant bien, si la volonté de Dieu est que vous souffriez, qu’en faisant mal. (Ⅶ)
3. 18  
car aussi Christ a souffert une fois pour les péchés, le juste pour les injustes, afin qu’il nous amenât à Dieu, ayant été mis à mort en chair, mais vivifié par l’Esprit,
- Aussi le Christ a souffert une fois la mort pour nos péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous ramener à Dieu, ayant été mis à mort selon la chair, mais rendu à la vie selon l'esprit. (Ⅰ)
- Christ aussi a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Dieu, ayant été mis à mort quant à la chair, mais ayant été rendu vivant quant à l'Esprit, (Ⅱ)
- ὅτι καὶ Χριστὸς ἅπαξ περὶ ἁμαρτιῶν ⸀ἔπαθεν, δίκαιος ὑπὲρ ἀδίκων, ἵνα ⸀ὑμᾶς προσαγάγῃ τῷ θεῷ, θανατωθεὶς μὲν σαρκὶ ζῳοποιηθεὶς δὲ πνεύματι· (Ⅳ)
- Quia et Christus semel pro peccatis nostris mortuus est, justus pro injustis, ut nos offerret Deo, mortificatus quidem carne, vivificatus autem spiritu. (Ⅴ)
- Car aussi Christ a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour les injustes, afin de nous amener à Dieu ; étant mort en la chair mais vivifié par l’Esprit. (Ⅶ)
3. 19  
par lequel aussi étant allé, il a prêché aux esprits qui sont en prison,
- C'est aussi dans cet esprit qu'Il est allé prêcher aux esprits en prison, rebelles autrefois, (Ⅰ)
- dans lequel aussi il est allé prêcher aux esprits en prison, (Ⅱ)
- ἐν ᾧ καὶ τοῖς ἐν φυλακῇ πνεύμασιν πορευθεὶς ἐκήρυξεν, (Ⅳ)
- In quo et his, qui in carcere erant, spiritibus veniens prædicavit : (Ⅴ)
- Par lequel aussi étant allé, il a prêché aux esprits qui sont dans la prison ; (Ⅶ)
3. 20  
qui ont été autrefois désobéissants, quand la patience de Dieu attendait dans les jours de Noé, tandis que l’arche se construisait, dans laquelle un petit nombre, savoir huit personnes, furent sauvées à travers l’eau;
- lorsqu'aux jours de Noé la longanimité de Dieu temporisait, pendant que se construisait l'arche, dans laquelle un petit nombre, savoir huit personnes, furent sauvées à travers l'eau. (Ⅰ)
- qui autrefois avaient été incrédules, lorsque la patience de Dieu se prolongeait, aux jours de Noé, pendant la construction de l'arche, dans laquelle un petit nombre de personnes, c'est-à-dire huit, furent sauvées à travers l'eau. (Ⅱ)
- ἀπειθήσασίν ποτε ὅτε ἀπεξεδέχετο ἡ τοῦ θεοῦ μακροθυμία ἐν ἡμέραις Νῶε κατασκευαζομένης κιβωτοῦ εἰς ἣν ⸀ὀλίγοι, τοῦτ’ ἔστιν ὀκτὼ ψυχαί, διεσώθησαν δι’ ὕδατος. (Ⅳ)
- qui increduli fuerant aliquando, quando exspectabant Dei patientiam in diebus Noë, cum fabricaretur arca : in qua pauci, id est octo animæ, salvæ factæ sunt per aquam. (Ⅴ)
- [Et] qui avaient été autrefois incrédules, quand la patience de Dieu les attendait une fois, durant les jours de Noé, tandis que l’Arche se préparait dans laquelle un petit nombre, savoir huit personnes furent sauvées par l’eau. (Ⅶ)
3. 21  
or cet antitype vous sauve aussi maintenant, c’est-à-dire le baptême, non le dépouillement de la saleté de la chair, mais la demande à Dieu d’une bonne conscience, par la résurrection de Jésus Christ,
- C'est elle qui aujourd'hui vous sauve, vous aussi, par son antitype le baptême, non pas cette ablution qui ôte les souillures du corps, mais celle qui est la demande faite à Dieu d'une bonne conscience, par la résurrection de Jésus-Christ. (Ⅰ)
- Cette eau était une figure du baptême, qui n'est pas la purification des souillures du corps, mais l'engagement d'une bonne conscience envers Dieu, et qui maintenant vous sauve, vous aussi, par la résurrection de Jésus Christ, (Ⅱ)
- ὃ ⸂καὶ ὑμᾶς ἀντίτυπον νῦν⸃ σῴζει βάπτισμα, οὐ σαρκὸς ἀπόθεσις ῥύπου ἀλλὰ συνειδήσεως ἀγαθῆς ἐπερώτημα εἰς θεόν, δι’ ἀναστάσεως Ἰησοῦ Χριστοῦ, (Ⅳ)
- Quod et vos nunc similis formæ salvos fecit baptisma : non carnis depositio sordium, sed conscientiæ bonæ interrogatio in Deum per resurrectionem Jesu Christi. (Ⅴ)
- A quoi aussi maintenant répond la figure qui nous sauve, [c’est-à-dire], le Baptême ; non point celui par lequel les ordures de la chair sont nettoyées, mais la promesse faite à Dieu d’une conscience pure, par la résurrection de Jésus-Christ ; (Ⅶ)
3. 22  
qui est à la droite de Dieu (étant allé au ciel), anges, et autorités, et puissances lui étant soumis.
- Après être monté au ciel, il est maintenant à la droite de Dieu; à lui sont soumis les anges, les principautés et les puissances. (Ⅰ)
- qui est à la droite de Dieu, depuis qu'il est allé au ciel, et que les anges, les autorités et les puissances, lui ont été soumis. (Ⅱ)
- ὅς ἐστιν ἐν ⸀δεξιᾷ θεοῦ πορευθεὶς εἰς οὐρανὸν ὑποταγέντων αὐτῷ ἀγγέλων καὶ ἐξουσιῶν καὶ δυνάμεων. (Ⅳ)
- Qui est in dextera Dei, deglutiens mortem ut vitæ æternæ hæredes efficeremur : profectus in cælum subjectis sibi angelis, et potestatibus, et virtutibus. (Ⅴ)
- Qui est à la droite de Dieu, étant allé au Ciel ; [et] auquel sont assujettis les Anges, et les dominations, et les puissances. (Ⅶ)


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