1 Jean
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(Version David Martin)


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(Ⅰ)
(Ⅰ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


2. 1  
Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point ; que si quelqu’un a péché, nous avons un avocat envers le Père, [savoir] Jésus-Christ, le Juste.
- Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ, le juste. (Ⅰ)
- Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus Christ le juste. (Ⅱ)
- Τεκνία μου, ταῦτα γράφω ὑμῖν ἵνα μὴ ἁμάρτητε. καὶ ἐάν τις ἁμάρτῃ, παράκλητον ἔχομεν πρὸς τὸν πατέρα Ἰησοῦν Χριστὸν δίκαιον, (Ⅳ)
- Filioli mei, hæc scribo vobis, ut non peccetis. Sed et si quis peccaverit, advocatum habemus apud Patrem, Jesum Christum justum : (Ⅴ)
- Mes enfants, je vous écris ces choses afin que vous ne péchiez pas; et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus Christ, le juste; (Ⅶ)
2. 2  
Car c’est lui qui est la victime de propitiation pour nos péchés, et non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux de tout le monde.
- Il est lui-même une victime de propitiation pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais pour ceux du monde entier. (Ⅰ)
- Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. (Ⅱ)
- καὶ αὐτὸς ἱλασμός ἐστιν περὶ τῶν ἁμαρτιῶν ἡμῶν, οὐ περὶ τῶν ἡμετέρων δὲ μόνον ἀλλὰ καὶ περὶ ὅλου τοῦ κόσμου. (Ⅳ)
- et ipse est propitiatio pro peccatis nostris : non pro nostris autem tantum, sed etiam pro totius mundi.\ (Ⅴ)
- et lui est la propitiation pour nos péchés, et non pas seulement pour les nôtres, mais aussi pour le monde entier. (Ⅶ)
2. 3  
Et par ceci nous savons que nous l’avons connu, [savoir], si nous gardons ses commandements.
- Et voici par quoi nous savons que nous le connaissons : si nous gardons ses commandements. (Ⅰ)
- Si nous gardons ses commandements, par là nous savons que nous l'avons connu. (Ⅱ)
- Καὶ ἐν τούτῳ γινώσκομεν ὅτι ἐγνώκαμεν αὐτόν, ἐὰν τὰς ἐντολὰς αὐτοῦ τηρῶμεν. (Ⅳ)
- Et in hoc scimus quoniam cognovimus eum, si mandata ejus observemus. (Ⅴ)
- Et par ceci nous savons que nous le connaissons, savoir si nous gardons ses commandements. (Ⅶ)
2. 4  
Celui qui dit : Je l’ai connu, et qui ne garde point ses commandements, il est menteur, et il n’y a point de vérité en lui.
- Celui qui dit le connaître et ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n'est point en lui. (Ⅰ)
- Celui qui dit: Je l'ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n'est point en lui. (Ⅱ)
- ὁ λέγων ⸀ὅτι Ἔγνωκα αὐτὸν καὶ τὰς ἐντολὰς αὐτοῦ μὴ τηρῶν ψεύστης ἐστίν, καὶ ἐν τούτῳ ἡ ἀλήθεια οὐκ ἔστιν· (Ⅳ)
- Qui dicit se nosse eum, et mandata ejus non custodit, mendax est, et in hoc veritas non est. (Ⅴ)
- Celui qui dit: Je le connais, et qui ne garde pas ses commandements, est menteur, et la vérité n’est pas en lui. (Ⅶ)
2. 5  
Mais pour celui qui garde sa parole, l’amour de Dieu est véritablement accompli en lui, et c’est par cela que nous savons que nous sommes en lui.
- Mais celui qui garde sa parole, c'est en lui véritablement que l'amour de Dieu est parfait ; par là nous connaissons que nous sommes en lui. (Ⅰ)
- Mais celui qui garde sa parole, l'amour de Dieu est véritablement parfait en lui: par là nous savons que nous sommes en lui. (Ⅱ)
- ὃς δ’ ἂν τηρῇ αὐτοῦ τὸν λόγον, ἀληθῶς ἐν τούτῳ ἡ ἀγάπη τοῦ θεοῦ τετελείωται. ἐν τούτῳ γινώσκομεν ὅτι ἐν αὐτῷ ἐσμεν· (Ⅳ)
- Qui autem servat verbum ejus, vere in hoc caritas Dei perfecta est : et in hoc scimus quoniam in ipso sumus. (Ⅴ)
- Mais quiconque garde sa parole, — en lui l’amour de Dieu est véritablement consommé: par cela nous savons que nous sommes en lui. (Ⅶ)
2. 6  
Celui qui dit qu’il demeure en lui, doit vivre comme Jésus-Christ lui-même a vécu.
- Celui qui dit demeurer en lui doit lui aussi marcher comme il a marché lui-même. (Ⅰ)
- Celui qui dit qu'il demeure en lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même. (Ⅱ)
- ὁ λέγων ἐν αὐτῷ μένειν ὀφείλει καθὼς ἐκεῖνος περιεπάτησεν καὶ ⸀αὐτὸς περιπατεῖν. (Ⅳ)
- Qui dicit se in ipso manere, debet, sicut ille ambulavit, et ipse ambulare. (Ⅴ)
- Celui qui dit demeurer en lui, doit lui-même aussi marcher comme lui a marché. (Ⅶ)
2. 7  
Mes frères, je ne vous écris point un commandement nouveau, mais le commandement ancien, que vous avez eu dès le commencement ; et ce commandement ancien c’est la parole que vous avez entendue dès le commencement.
- Mes bien-aimés, ce n'est pas un commandement nouveau que je vous écris, c'est un commandement ancien, que vous avez reçu dès le commencement ; ce commandement ancien, c'est la parole que vous avez entendue. (Ⅰ)
- Bien-aimés, ce n'est pas un commandement nouveau que je vous écris, mais un commandement ancien que vous avez eu dès le commencement; ce commandement ancien, c'est la parole que vous avez entendue. (Ⅱ)
- ⸀Ἀγαπητοί, οὐκ ἐντολὴν καινὴν γράφω ὑμῖν, ἀλλ’ ἐντολὴν παλαιὰν ἣν εἴχετε ἀπ’ ἀρχῆς· ἡ ἐντολὴ ἡ παλαιά ἐστιν ὁ λόγος ὃν ⸀ἠκούσατε. (Ⅳ)
- Carissimi, non mandatum novum scribo vobis, sed mandatum vetus, quod habuistis ab initio. Mandatum vetus est verbum, quod audistis. (Ⅴ)
- Bien-aimés, je ne vous écris pas un commandement nouveau, mais un commandement ancien que vous avez eu dès le commencement. Le commandement ancien est la parole que vous avez entendue. (Ⅶ)
2. 8  
Cependant [le commandement que] je vous écris est un commandement nouveau, et est une chose véritable en lui et en vous, parce que les ténèbres sont passées, et que la vraie lumière luit maintenant.
- D'un autre côté, c'est un commandement nouveau que je vous écris, lequel s'est vérifié en Jésus-Christ et en vous, car les ténèbres se dissipent et déjà brille la véritable lumière. (Ⅰ)
- Toutefois, c'est un commandement nouveau que je vous écris, ce qui est vrai en lui et en vous ,car les ténèbres se dissipent et la lumière véritable paraît déjà. (Ⅱ)
- πάλιν ἐντολὴν καινὴν γράφω ὑμῖν, ὅ ἐστιν ἀληθὲς ἐν αὐτῷ καὶ ἐν ὑμῖν, ὅτι ἡ σκοτία παράγεται καὶ τὸ φῶς τὸ ἀληθινὸν ἤδη φαίνει. (Ⅳ)
- Iterum mandatum novum scribo vobis, quod verum est et in ipso, et in vobis : quia tenebræ transierunt, et verum lumen jam lucet. (Ⅴ)
- Encore une fois, je vous écris un commandement nouveau, ce qui est vrai en lui et en vous, parce que les ténèbres s’en vont et que la vraie lumière luit déjà. (Ⅶ)
2. 9  
Celui qui dit qu’il est en la lumière, et qui hait son frère, est dans les ténèbres jusqu’à cette heure.
- Celui qui dit être dans la lumière et qui hait son frère est encore dans les ténèbres. (Ⅰ)
- Celui qui dit qu'il est dans la lumière, et qui hait son frère, est encore dans les ténèbres. (Ⅱ)
- ὁ λέγων ἐν τῷ φωτὶ εἶναι καὶ τὸν ἀδελφὸν αὐτοῦ μισῶν ἐν τῇ σκοτίᾳ ἐστὶν ἕως ἄρτι. (Ⅳ)
- Qui dicit se in luce esse, et fratrem suum odit, in tenebris est usque adhuc. (Ⅴ)
- Celui qui dit être dans la lumière et qui hait son frère, est dans les ténèbres jusqu’à maintenant. (Ⅶ)
2. 10  
Celui qui aime son frère, demeure dans la lumière, et il n’y a rien en lui qui le puisse faire tomber.
- Celui qui aime son frère, demeure dans la lumière, et il n'y a en lui aucun sujet de chute. (Ⅰ)
- Celui qui aime son frère demeure dans la lumière, et aucune occasion de chute n'est en lui. (Ⅱ)
- ὁ ἀγαπῶν τὸν ἀδελφὸν αὐτοῦ ἐν τῷ φωτὶ μένει, καὶ σκάνδαλον ἐν αὐτῷ οὐκ ἔστιν· (Ⅳ)
- Qui diligit fratrem suum, in lumine manet, et scandalum in eo non est. (Ⅴ)
- Celui qui aime son frère demeure dans la lumière, et il n’y a point en lui d’occasion de chute. (Ⅶ)
2. 11  
Mais celui qui hait son frère, est dans les ténèbres, et il marche dans les ténèbres, et il ne sait où il va ; car les ténèbres lui ont aveuglé les yeux.
- Mais celui qui hait son frère est dans les ténèbres ; il marche dans les ténèbres, sans savoir où il va, parce que les ténèbres ont aveuglé ses yeux. (Ⅰ)
- Mais celui qui hait son frère est dans les ténèbres, il marche dans les ténèbres, et il ne sait où il va, parce que les ténèbres ont aveuglé ses yeux. (Ⅱ)
- ὁ δὲ μισῶν τὸν ἀδελφὸν αὐτοῦ ἐν τῇ σκοτίᾳ ἐστὶν καὶ ἐν τῇ σκοτίᾳ περιπατεῖ, καὶ οὐκ οἶδεν ποῦ ὑπάγει, ὅτι ἡ σκοτία ἐτύφλωσεν τοὺς ὀφθαλμοὺς αὐτοῦ. (Ⅳ)
- Qui autem odit fratrem suum, in tenebris est, et in tenebris ambulat, et nescit quo eat : quia tenebræ obcæcaverunt oculos ejus.\ (Ⅴ)
- Mais celui qui hait son frère est dans les ténèbres, et il marche dans les ténèbres, et il ne sait où il va, parce que les ténèbres ont aveuglé ses yeux. (Ⅶ)
2. 12  
Mes petits enfants, je vous écris, parce que vos péchés vous sont pardonnés par son Nom.
- Je vous écris, petits enfants, parce que vos péchés vous sont remis à cause de son nom. (Ⅰ)
- Je vous écris, petits enfants, parce que vos péchés vous sont pardonnés à cause de son nom. (Ⅱ)
- Γράφω ὑμῖν, τεκνία, ὅτι ἀφέωνται ὑμῖν αἱ ἁμαρτίαι διὰ τὸ ὄνομα αὐτοῦ· (Ⅳ)
- Scribo vobis, filioli, quoniam remittuntur vobis peccata propter nomen ejus. (Ⅴ)
- Je vous écris, enfants, parce que vos péchés vous sont pardonnés par son nom. (Ⅶ)
2. 13  
Pères, je vous écris, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement. Jeunes gens, je vous écris, parce que vous avez vaincu le malin [esprit].
- Je vous écris, pères, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement. Je vous écris, jeunes gens, parce que vous avez vaincu le malin. (Ⅰ)
- Je vous écris, pères, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement. Je vous écris, jeunes gens, parce que vous avez vaincu le malin. Je vous ai écrit, petits enfants, parce que vous avez connu le Père. (Ⅱ)
- γράφω ὑμῖν, πατέρες, ὅτι ἐγνώκατε τὸν ἀπ’ ἀρχῆς· γράφω ὑμῖν, νεανίσκοι, ὅτι νενικήκατε τὸν πονηρόν. (Ⅳ)
- Scribo vobis, patres, quoniam cognovistis eum, qui ab initio est. Scribo vobis, adolescentes, quoniam vicistis malignum. (Ⅴ)
- Je vous écris, pères, parce que vous connaissez celui qui est dès le commencement.Je vous écris, jeunes gens, parce que vous avez vaincu le méchant.Je vous écris, petits enfants, parce que vous connaissez le Père. (Ⅶ)
2. 14  
Jeunes enfants, je vous écris, parce que vous avez connu le Père. Pères, je vous ai écrit, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement. Jeunes gens, je vous ai écrit, parce que vous êtes forts, et que la parole de Dieu demeure en vous, et que vous avez vaincu le malin esprit.
- Je vous ai écrit, petits enfants, parce que vous avez connu le Père. Je vous ai écrit, pères, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement. Je vous ai écrit, jeunes gens, parce que vous êtes forts et que la parole de Dieu demeure en vous, et que vous avez vaincu le malin. (Ⅰ)
- Je vous ai écrit, pères, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement. Je vous ai écrit, jeunes gens, parce que vous êtes forts, et que la parole de Dieu demeure en vous, et que vous avez vaincu le malin. (Ⅱ)
- ⸀ἔγραψα ὑμῖν, παιδία, ὅτι ἐγνώκατε τὸν πατέρα· ἔγραψα ὑμῖν, πατέρες, ὅτι ἐγνώκατε τὸν ἀπ’ ἀρχῆς· ἔγραψα ὑμῖν, νεανίσκοι, ὅτι ἰσχυροί ἐστε καὶ ὁ λόγος τοῦ θεοῦ ἐν ὑμῖν μένει καὶ νενικήκατε τὸν πονηρόν. (Ⅳ)
- Scribo vobis, infantes, quoniam cognovistis patrem. Scribo vobis juvenes, quoniam fortes estis, et verbum Dei manet in vobis, et vicistis malignum. (Ⅴ)
- Je vous ai écrit, pères, parce que vous connaissez celui qui est dès le commencement.Je vous ai écrit, jeunes gens, parce que vous êtes forts, et que la parole de Dieu demeure en vous, et que vous avez vaincu le méchant. (Ⅶ)
2. 15  
N’aimez point le monde, ni les choses qui sont au monde ; si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est point en lui.
- N'aimez point le monde, ni ce qui est dans le monde. Si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est pas en lui. (Ⅰ)
- N'aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu'un aime le monde, l'amour du Père n'est point en lui; (Ⅱ)
- Μὴ ἀγαπᾶτε τὸν κόσμον μηδὲ τὰ ἐν τῷ κόσμῳ. ἐάν τις ἀγαπᾷ τὸν κόσμον, οὐκ ἔστιν ἡ ἀγάπη τοῦ πατρὸς ἐν αὐτῷ· (Ⅳ)
- Nolite diligere mundum, neque ea quæ in mundo sunt. Si quis diligit mundum, non est caritas Patris in eo : (Ⅴ)
- N’aimez pas le monde, ni les choses qui sont dans le monde: si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est pas en lui; (Ⅶ)
2. 16  
Car tout ce qui est au monde, [c’est-à-dire], la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, n’est point du Père, mais est du monde.
- Car tout ce qui est dans le monde, la concupiscence de la chair, la concupiscence des yeux, et l'orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais du monde. (Ⅰ)
- car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l'orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais vient du monde. (Ⅱ)
- ὅτι πᾶν τὸ ἐν τῷ κόσμῳ, ἡ ἐπιθυμία τῆς σαρκὸς καὶ ἡ ἐπιθυμία τῶν ὀφθαλμῶν καὶ ἡ ἀλαζονεία τοῦ βίου, οὐκ ἔστιν ἐκ τοῦ πατρός, ἀλλὰ ἐκ τοῦ κόσμου ἐστίν· (Ⅳ)
- quoniam omne quod est in mundo, concupiscentia carnis est, et concupiscentia oculorum, et superbia vitæ : quæ non est ex Patre, sed ex mundo est. (Ⅴ)
- parce que tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, et la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, n’est pas du Père, mais est du monde; (Ⅶ)
2. 17  
Et le monde passe, avec sa convoitise ; mais celui qui fait la volonté de Dieu, demeure éternellement.
- Le monde passe, et sa concupiscence aussi ; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. (Ⅰ)
- Et le monde passe, et sa convoitise aussi; mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. (Ⅱ)
- καὶ ὁ κόσμος παράγεται καὶ ἡ ἐπιθυμία αὐτοῦ, ὁ δὲ ποιῶν τὸ θέλημα τοῦ θεοῦ μένει εἰς τὸν αἰῶνα. (Ⅳ)
- Et mundus transit, et concupiscentia ejus : qui autem facit voluntatem Dei manet in æternum.\ (Ⅴ)
- et le monde s’en va et sa convoitise, mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. (Ⅶ)
2. 18  
Jeunes enfants, c’est ici le dernier temps ; et comme vous avez entendu que l’Antechrist viendra, il y a même dès maintenant plusieurs Antechrists ; et nous connaissons à cela que c’est le dernier temps.
- Mes petits enfants, c'est la dernière heure. Comme vous avez appris que l'antéchrist doit venir, aussi y a-t-il maintenant plusieurs antéchrists : par là nous connaissons que c'est la dernière heure. (Ⅰ)
- Petits enfants, c'est la dernière heure, et comme vous avez appris qu'un antéchrist vient, il y a maintenant plusieurs antéchrists: par là nous connaissons que c'est la dernière heure. (Ⅱ)
- Παιδία, ἐσχάτη ὥρα ἐστίν, καὶ καθὼς ἠκούσατε ⸀ὅτι ἀντίχριστος ἔρχεται, καὶ νῦν ἀντίχριστοι πολλοὶ γεγόνασιν· ὅθεν γινώσκομεν ὅτι ἐσχάτη ὥρα ἐστίν. (Ⅳ)
- Filioli, novissima hora est : et sicut audistis quia antichristus venit, et nunc antichristi multi facti sunt ; unde scimus, quia novissima hora est. (Ⅴ)
- Petits enfants, c’est la dernière heure; et comme vous avez entendu que l’antichrist vient, maintenant aussi il y a plusieurs antichrists, par quoi nous savons que c’est la dernière heure: (Ⅶ)
2. 19  
Ils sont sortis d’entre nous, mais ils n’étaient point d’entre nous : car s’ils eussent été d’entre nous, ils fussent demeurés avec nous, mais c’est afin qu’il fût manifesté que tous ne sont point d’entre nous.
- Ils sont sortis du milieu de nous, mais ils n'étaient pas des nôtres ; car s'ils eussent été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous ; mais ils en sont sortis, afin qu'il soit manifeste que tous ne sont pas des nôtres. (Ⅰ)
- Ils sont sortis du milieu de nous, mais ils n'étaient pas des nôtres; car s'ils eussent été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous, mais cela est arrivé afin qu'il fût manifeste que tous ne sont pas des nôtres. (Ⅱ)
- ἐξ ἡμῶν ἐξῆλθαν, ἀλλ’ οὐκ ἦσαν ἐξ ἡμῶν· εἰ γὰρ ⸂ἐξ ἡμῶν ἦσαν⸃, μεμενήκεισαν ἂν μεθ’ ἡμῶν· ἀλλ’ ἵνα φανερωθῶσιν ὅτι οὐκ εἰσὶν πάντες ἐξ ἡμῶν. (Ⅳ)
- Ex nobis prodierunt, sed non erant ex nobis, nam, si fuissent ex nobis, permansissent utique nobiscum : sed ut manifesti sint quoniam non sunt omnes ex nobis. (Ⅴ)
- ils sont sortis du milieu de nous, mais ils n’étaient pas des nôtres; car s’ils eussent été des nôtres, ils fussent demeurés avec nous; mais c’est afin qu’ils fussent manifestés comme n’étant aucun d’eux des nôtres. (Ⅶ)
2. 20  
Mais vous avez été oints par le Saint [esprit], et vous connaissez toutes choses.
- Pour vous, c'est du Saint que vous avez reçu l'onction, et vous connaissez tout. (Ⅰ)
- Pour vous, vous avez reçu l'onction de la part de celui qui est saint, et vous avez tous de la connaissance. (Ⅱ)
- καὶ ὑμεῖς χρῖσμα ἔχετε ἀπὸ τοῦ ἁγίου ⸀καὶ οἴδατε ⸀πάντες· (Ⅳ)
- Sed vos unctionem habetis a Sancto, et nostis omnia. (Ⅴ)
- Et vous, vous avez l’onction de la part du Saint et vous connaissez toutes choses. (Ⅶ)
2. 21  
Je ne vous ai pas écrit comme si vous ne connaissiez point la vérité, mais parce que vous la connaissez, et qu’aucun mensonge n’est de la vérité.
- Je vous ai écrit, non que vous ne connaissiez pas la vérité, mais parce que vous la connaissez, et que vous savez qu'aucun mensonge ne vient de la vérité. (Ⅰ)
- Je vous ai écrit, non que vous ne connaissiez pas la vérité, mais parce que vous la connaissez, et parce qu'aucun mensonge ne vient de la vérité. (Ⅱ)
- οὐκ ἔγραψα ὑμῖν ὅτι οὐκ οἴδατε τὴν ἀλήθειαν, ἀλλ’ ὅτι οἴδατε αὐτήν, καὶ ὅτι πᾶν ψεῦδος ἐκ τῆς ἀληθείας οὐκ ἔστιν. (Ⅳ)
- Non scripsi vobis quasi ignorantibus veritatem, sed quasi scientibus eam : et quoniam omne mendacium ex veritate non est. (Ⅴ)
- Je ne vous ai pas écrit parce que vous ne connaissez pas la vérité, mais parce que vous la connaissez et qu’aucun mensonge ne vient de la vérité. (Ⅶ)
2. 22  
Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? celui-là est l’Antechrist qui nie le Père et le Fils.
- Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l'antéchrist, qui nie le Père et le Fils. (Ⅰ)
- Qui est menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ? Celui-là est l'antéchrist, qui nie le Père et le Fils. (Ⅱ)
- τίς ἐστιν ὁ ψεύστης εἰ μὴ ὁ ἀρνούμενος ὅτι Ἰησοῦς οὐκ ἔστιν ὁ χριστός; οὗτός ἐστιν ὁ ἀντίχριστος, ὁ ἀρνούμενος τὸν πατέρα καὶ τὸν υἱόν. (Ⅳ)
- Quis est mendax, nisi is qui negat quoniam Jesus est Christus ? Hic est antichristus, qui negat Patrem, et Filium. (Ⅴ)
- Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ? Celui-là est l’antichrist, qui nie le Père et le Fils. (Ⅶ)
2. 23  
Quiconque nie le Fils, n’a point non plus le Père ; quiconque confesse le Fils, a aussi le Père.
- Quiconque nie le Fils, n'a pas non plus le Père ; celui qui confesse le Fils, a aussi le Père. (Ⅰ)
- Quiconque nie le Fils n'a pas non plus le Père; quiconque confesse le Fils a aussi le Père. (Ⅱ)
- πᾶς ὁ ἀρνούμενος τὸν υἱὸν οὐδὲ τὸν πατέρα ἔχει· ⸂ὁ ὁμολογῶν τὸν υἱὸν καὶ τὸν πατέρα ἔχει⸃. (Ⅳ)
- Omnis qui negat Filium, nec Patrem habet : qui confitetur Filium, et Patrem habet. (Ⅴ)
- Quiconque nie le Fils n’a pas non plus le Père; celui qui confesse le Fils a aussi le Père. (Ⅶ)
2. 24  
Que donc ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous, car si ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous, vous demeurerez aussi au Fils et au Père.
- Pour vous, que ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous. Si ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous, vous demeurez aussi dans le Fils et dans le Père. (Ⅰ)
- Que ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous. Si ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous, vous demeurerez aussi dans le Fils et dans le Père. (Ⅱ)
- ⸀ὑμεῖς ὃ ἠκούσατε ἀπ’ ἀρχῆς, ἐν ὑμῖν μενέτω· ἐὰν ἐν ὑμῖν μείνῃ ὃ ἀπ’ ἀρχῆς ἠκούσατε, καὶ ὑμεῖς ἐν τῷ υἱῷ καὶ ἐν τῷ πατρὶ μενεῖτε. (Ⅳ)
- Vos quod audistis ab initio, in vobis permaneat : si in vobis permanserit quod audistis ab initio, et vos in Filio et Patre manebitis. (Ⅴ)
- Pour vous, que ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous: si ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous, vous aussi vous demeurerez dans le Fils et dans le Père. (Ⅶ)
2. 25  
Et c’est ici la promesse qu’il vous a annoncée, [savoir] la vie éternelle.
- Et la promesse que lui-même nous a faite, c'est la vie éternelle. (Ⅰ)
- Et la promesse qu'il nous a faite, c'est la vie éternelle. (Ⅱ)
- καὶ αὕτη ἐστὶν ἡ ἐπαγγελία ἣν αὐτὸς ἐπηγγείλατο ἡμῖν, τὴν ζωὴν τὴν αἰώνιον. (Ⅳ)
- Et hæc est repromissio, quam ipse pollicitus est nobis, vitam æternam. (Ⅴ)
- Et c’est ici la promesse que lui nous a promise, — la vie éternelle. (Ⅶ)
2. 26  
Je vous ai écrit ces choses touchant ceux qui vous séduisent.
- Voilà ce que j'avais à vous écrire sur ceux qui vous séduisent. (Ⅰ)
- Je vous ai écrit ces choses au sujet de ceux qui vous égarent. (Ⅱ)
- Ταῦτα ἔγραψα ὑμῖν περὶ τῶν πλανώντων ὑμᾶς. (Ⅳ)
- Hæc scripsi vobis de his, qui seducant vos. (Ⅴ)
- Je vous ai écrit ces choses touchant ceux qui vous égarent; (Ⅶ)
2. 27  
Mais l’Onction que vous avez reçue de lui demeure en vous, et vous n’avez pas besoin qu’on vous enseigne ; mais comme la même Onction vous enseigne toutes choses, et qu’elle est véritable, et n’est pas un mensonge, et selon qu’elle vous a enseignés, vous demeurerez en lui.
- Pour vous, l'onction que vous avez reçue de lui demeure en vous, et vous n'avez pas besoin que personne vous enseigne ; mais comme son onction vous enseigne sur toute chose, cet enseignement est véritable et n'est point un mensonge ; et selon qu'elle vous a enseignés, demeurez en lui. (Ⅰ)
- Pour vous, l'onction que vous avez reçue de lui demeure en vous, et vous n'avez pas besoin qu'on vous enseigne; mais comme son onction vous enseigne toutes choses, et qu'elle est véritable et qu'elle n'est point un mensonge, demeurez en lui selon les enseignements qu'elle vous a donnés. (Ⅱ)
- καὶ ὑμεῖς τὸ χρῖσμα ὃ ἐλάβετε ἀπ’ αὐτοῦ ⸂μένει ἐν ὑμῖν⸃, καὶ οὐ χρείαν ἔχετε ἵνα τις διδάσκῃ ὑμᾶς· ἀλλ’ ὡς τὸ ⸀αὐτοῦ χρῖσμα διδάσκει ὑμᾶς περὶ πάντων, καὶ ἀληθές ἐστιν καὶ οὐκ ἔστιν ψεῦδος, καὶ καθὼς ἐδίδαξεν ὑμᾶς, ⸀μένετε ἐν αὐτῷ. (Ⅳ)
- Et vos unctionem, quam accepistis ab eo, maneat in vobis. Et non necesse habetis ut aliquis doceat vos : sed sicut unctio ejus docet vos de omnibus, et verum est, et non est mendacium. Et sicut docuit vos : manete in eo.\ (Ⅴ)
- et, pour vous, l’onction que vous avez reçue de lui demeure en vous, et vous n’avez pas besoin que personne vous enseigne; mais comme la même onction vous enseigne à l’égard de toutes choses, et qu’elle est vraie et n’est pas mensonge, — et selon qu’elle vous a enseignés, vous demeurerez en lui. (Ⅶ)
2. 28  
Maintenant donc, mes petits enfants, demeurez en lui ; afin que quand il apparaîtra, nous ayons assurance, et que nous ne soyons point confus de sa présence, à sa venue.
- Et maintenant, mes petits enfants, demeurez en lui, afin que, lorsqu'il paraîtra, nous ayons de l'assurance, et que nous ne soyons pas, à son avènement, rejetés loin de lui avec confusion. (Ⅰ)
- Et maintenant, petits enfants, demeurez en lui, afin que, lorsqu'il paraîtra, nous ayons de l'assurance, et qu'à son avènement nous ne soyons pas confus et éloignés de lui. (Ⅱ)
- Καὶ νῦν, τεκνία, μένετε ἐν αὐτῷ, ἵνα ⸀ἐὰν φανερωθῇ ⸀σχῶμεν παρρησίαν καὶ μὴ αἰσχυνθῶμεν ἀπ’ αὐτοῦ ἐν τῇ παρουσίᾳ αὐτοῦ. (Ⅳ)
- Et nunc, filioli, manete in eo : ut cum apparuerit, habeamus fiduciam, et non confundamur ab eo in adventu ejus. (Ⅴ)
- Et maintenant, enfants, demeurez en lui, afin que, quand il sera manifesté, nous ayons de l’assurance et que nous ne soyons pas couverts de honte, de par lui, à sa venue. (Ⅶ)
2. 29  
Si vous savez qu’il est juste, sachez que quiconque fait ce qui est juste, est né de lui.
- Si vous savez qu'il est juste, reconnaissez que quiconque pratique la justice est né de lui. (Ⅰ)
- Si vous savez qu'il est juste, reconnaissez que quiconque pratique la justice est né de lui. (Ⅱ)
- ἐὰν εἰδῆτε ὅτι δίκαιός ἐστιν, γινώσκετε ⸀ὅτι πᾶς ὁ ποιῶν τὴν δικαιοσύνην ἐξ αὐτοῦ γεγέννηται. (Ⅳ)
- Si scitis quoniam justus est, scitote quoniam et omnis, qui facit justitiam, ex ipso natus est. (Ⅴ)
- Si vous savez qu’il est juste, sachez que quiconque pratique la justice est né de lui. (Ⅶ)


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