Mon cœur m'emporte là-bas, m'emporte aux glaciers du Tise, mon cœur m'emporte par ici, m'emporte, oh! oui, aux cinq cents arhats, mais de quoi je ne puis m'éloigner, c'est l'infini du dhyana, aho! alors que je garde le calme de pensée, que j'en aie à mon aise, que j'en aie ! Mon cœur m'emporte là-bas, m'emporte vers les phénomènes variés, mon cœur m'emporte par ici, m'emporte, oh ! oui, à l'état spontané de ma propre Pensée, mais de quoi je ne puis m'éloigner, c'est du spontané sans aucun artifice, aho !





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