Jadis, alors que les deux principes n’étaient pas encore scindés, c’était la source immense (chaos). […] Nulle lumière, nulle image, nul son, nul écho, […] Ténèbres, obscurité. […] Calme, profond et vide, dans l’origine obscure naquit alors le souffle.
(Yunji Qiqian)
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