N ul besoin de collines et de ruisseaux pour une méditation paisibleQuand la conscience s'éteint le feu se rafraîchit de lui-même. Citation 659 | Zenrin Kushu cité par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p. 468
L a bouche veut en parler mais les mots se meurent.Le cœur veut s'y accorder mais la pensée s'évanouit. Citation 658 | Zenrin Kushu cité par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p. 468
M ille herbes pleurent des larmes de rosée.Un pin tout seul murmure dans la brise. Citation 657 | Zenrin Kushu cité par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p. 468
J e le rencontre mais ne sait qui il est,Je m'entretiens avec lui mais j'ignore son nom.Là où ni lune ni soleil n'atteignent,Là, en vérité, quel merveilleux paysages ! Citation 656 | Zenrin Kushu cité par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p. 467
B ien que nés de la même lignée,Nous ne mourrons pas de la même lignée. Citation 655 | Zenrin Kushu cité par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p. 467
A voir un ennui, c'est recevoir une grâce ;Etre heureux, c'est être mis à l'épreuve. Citation 654 | Zenrin Kushu cité par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p. 466
V ouloir connaître l'Esprit originel, la nature essentielle :Voilà la grande maladie de notre religion. Citation 653 | Zenrin Kushu cité par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p. 466
Q uand une fleur s'épanouit, le monde entier se révèle. Citation 604 | Zenrin Kushu cité par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p. 466
D ix ans je n'ai pas pu retourner, à présent j'ai oublié par quel chemin je suis venu. Citation 603 | Zenrin Kushu cité par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p. 468