Patrimoine  Mondial  de la pensée

Sagesses & enseignements
Celtiques

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L es trois moments où Dieu sortit de son immensité : Le premier fut pour faire ce qui n’avait jamais existé auparavant, et cela en vu du Bien et pour prévenir tout Mal. De là sortit l’existence ou l’œuvre de sa création. Et bien que cela aurait pu différemment se produire, ainsi furent manifestées la puissance et la sagesse infinies.

Le second fut pour délivrer toutes créatures et existences du Mal et de l’assaut de Cytraul (le Néant).

Le troisième pour réparer ce qui avait été perdu, ou étant devenu corrompu ; ou pour le rejeter et lui substituer un meilleur être. Ainsi en sera-t-il et adviendra-t-il pour chaque existence jusqu’à ce que tout être et toute la création aient évolué jusqu’aux dernières limites de la Bonté.


Citation 1887  |   Triades Bardiques
Triade 81 




I l y a trois fondements de l’Unité : La Perfection, car il ne peut y avoir deux genres d’une universalité, l’Infinité, car il ne peut exister aucune limite à une ‘entièreté”, l’Immuabilité, car il ne peut y avoir qu’une seule perfection, universalité et entièreté de quelque nature que ce soit. C’est pourquoi on ne peut concevoir Dieu que dérivé d’une fondamentale Unité.

Les trois pouvoirs de l’Unité : Etre Une à l’exclusion de tout autre, l’Entièreté dans la pluralité, la pluralité dans l’entièreté ; et il ne peut y avoir aucune unité stable qui ne vienne de Dieu.


Citation 1886  |   Triades Bardiques
Triade 76 & 77 




I l y a trois fondements de l’Unité : La Perfection, car il ne peut y avoir deux genres d’une universalité, l’Infinité, car il ne peut exister aucune limite à une ‘entièreté”, l’Immuabilité, car il ne peut y avoir qu’une seule perfection, universalité et entièreté de quelque nature que ce soit. C’est pourquoi on ne peut concevoir Dieu que dérivé d’une fondamentale Unité.


Citation 1885  |   Triades Bardiques
Triade 76 




T rois choses sont l’indice de Dieu : Le fait de placer le Bien et le Mal face à face, de telle sorte que l’un et l’autre puissent être connus en vue de s’attacher au Bien et de renoncer au Mal.


Citation 1884  |   Triades Bardiques
Triade 72 




L es trois principaux états des créatures animées : L’Annuim (Anum) où fut leur origine, l’Abred qu’elles traversent dans le but de s’instruire, le Gwenwed où elles aboutiront dans l’accroissement infini du Pouvoir, de la Connaissance et de la Bonté, jusqu’à ce qu’il ne soit plus possible d’en acquérir davantage.


Citation 1883  |   Triades Bardiques
Triade 64 




L es trois principaux péchés sont : L’Orgueil, la Cruauté, le Mensonge.


Citation 1882  |   Triades Bardiques
Triade 63 




I l y a trois causes de mort : L’Ignorance, l’Amour déréglé pour le bien-être, l’Incapacité de supporter le Keugant (l’Infini).


Citation 1881  |   Triades Bardiques
Triade 51 




I l y a trois distinctions nécessaires entre l’Homme et Dieu : L’Homme a une grandeur déterminée et une mesure que Dieu ne peut avoir, l’Homme a un commencement que Dieu ne peut avoir, l’Homme peut varier, Dieu ne le peut pas.


Citation 1880  |   Triades Bardiques
Triade 47 




L es trois craintes d’un sage : La crainte d’offenser Dieu, la crainte d’agir envers un homme contrairement à la charité, la crainte des richesses et de la prospérité excessives. Autrement dit la crainte de Dieu, la crainte du péché et la crainte d’une trop grande prospérité.


Citation 1879  |   Triades Bardiques
Triade 42 




L es trois soins journaliers qui devraient occuper l’esprit de chaque humain : Adorer Dieu, Éviter de faire tort à personne, Agir justement à l’égard de tout vivant.


Citation 1878  |   Triades Bardiques
Triade 41 




I l est trois nécessités auxquelles ne peut se soustraire Dieu lui-même, ce sont : Le fait d’être obligé de se limiter par rapport à ce qui est limité (et cela parce que le Relatif ne pourrait alors concevoir l’Absolu). Le fait d'être Unifié avec chaque état de Vie, chaque modalité d’existence, dans le cercle de Gwenwed (et cela parce qu’en ce cercle, les êtres et les choses sont tels que Dieu les a primitivement conçus et désirés).


Citation 1877  |   Triades Bardiques
Triade 34 




I l est trois choses qu’on ne pourra jamais anéantir, et cela à cause de la nécessité de leur existence, ce sont : La Forme de l’Être (sa nature, sa race), la Substance de l’Être (sa personnalité, le soi), la Valeur de cet Être (son niveau moral et son degré d’évolution). Car, par l’affranchissement du Mal, ces trois choses seront pendant l’éternité du Gwenwed, dans des divers états du Beau et du Bien. Elles en constituent nécessairement la manifestation.


Citation 1876  |   Triades Bardiques
Triade 31 




T out être vivant possède, dans le Gwenwed, trois distinctions qui le différencient des autres êtres, ce sont : La personnalité finale, son privilège de Liberté que Dieu lui accorda, son Âme, qui, demeurant distincte, fait que deux êtres ne sauraient être entièrement semblables. Ainsi chacun possède dans le Gwenwed tout ce qu’il faut pour se distinguer des autres êtres, sans qu’à chacun d’eux il ne manque rien de sa plénitude.


Citation 1875  |   Triades Bardiques
Triade 30 




I l est pour l’Humain trois nécessités inéluctables, ce sont : La nécessité de souffrir, la nécessité de choisir, la nécessité de se renouveler par la Mort.


Citation 1874  |   Triades Bardiques
Triade 25 




I l est trois différences essentielles qui font qu’aucun être vivant n’est absolument identique à un autre : La Personnalité essentielle ou Âme, le Souvenir de tout ce qu’on a pu être ou connaître, la Destinée, finale ou Devenir. En chaque être, mais pour chaque être ces différences sont entières et ne sauraient être partagées avec aucun autre. Dès l’origine, chacun possède son héritage, il n’en saurait y avoir eux absolument identiques.


Citation 1873  |   Triades Bardiques
Triade 26 




L ’Être Humain possède trois privilèges, ce sont : Le Discernement du Bien et du Mal ou Comparaison; La Liberté de Choix, donc de Jugement. Un certain, pouvoir limité de réalisation de ce choix, qui entraîne la Responsabilité. Ces trois pouvoirs sont indispensables pour échapper à la fatalité pure et s’élever vers la Plénitude.

La Fatalité inhérente au cercle d’Abred découle des trois choses qui y enchaînent l’Être : Paresse d’efforts vers la Connaissance, Paresse d’efforts vers le Bien, Préférence pour ce qui est Mal, par inertie. Par ces trois erreurs, l’homme ou la femme s’enlise dans ce cercle d’Abred, il s’y attache et risque de retomber dans le Néant de Cytraul.

Il est trois alternatives pour l’Homme, ce sont : Cytraul ou Gwenwed, le Néant ou la Plénitude en tant que but, la Fatalité ou la Liberté Morale en tant que moyens, le Bien ou le Mal en tant que résultats. Tout étant en équilibre dans le domaine des possibilités, l’homme ou la femme a donc le pouvoir de s’attacher à l’une ou l’autre selon sa propre volonté en encourant la responsabilité. Ces trois pouvoirs sont indispensables pour échapper à la Fatalité pure et s’élever vers la Plénitude.


Citation 1872  |   Triades Bardiques
Triade 22 a 24 




P our parvenir à l’état humain, il est pour l’Être trois nécessités, ce sont : la nécessité d’acquérir, au cours de son intégration, la Science, l’Amour, la Force Morale. Or cela ne se peut que par un choix délibéré et une liberté morale existant avant l’État d’Humanité (chez l’animal). Ces trois acquisitions sont nommées les Trois Victoires et il appartient à l’Homme ou la Femme de les faciliter à ses frères inférieurs par la Justice et la Bonté.

Les trois victoires sur le Mal et l’Anéantissement sont donc : La Science qui permet d’acquérir la Connaissance, l’Amour qui par le désir crée la Vie et combat efficacement la tentation d’Anéantissement, ouvrant la vie à la génération. La Force Morale qui domine à travers les épreuves, la paresse, clef de la route de l’Anéantissement (Cytraul ou le Néant).


Citation 1871  |   Triades Bardiques
Triade 19 & 20 




L es trois contacts nécessaires avec le cercle d’Abred sont : La Nécessité de se libérer de la Fatalité qui pèse sur les êtres inférieurs en développant la Conscience qui créera la “Liberté du Choix”, donc la Personnalité. La Nécessité de se dépouiller du Mal, c’est-à-dire de la solution de moindre effort par la Désincarnation. La Nécessité d’accroître ainsi sa propre personnalité et sa bonté en se libérant des forces d’inertie par la Mort. Ces trois choses ne peuvent être que par l’Amour infini de Dieu qui nécessairement conserve ce qu’il a créé.

Il est trois moyens que Dieu permet pour sortir du Cercle d’Abred et triompher du Mal et de la Tentation d’anéantissement ce sont : Le Destin primitif et la Nécessité, l’Oubli des modalités successives d’Existences, la Mort.


Citation 1870  |   Triades Bardiques
Triade 17 & 18 




I l y a trois raisons d’être à la Fatalité et au Destin qui règnent dans le Cercle d’Abred, ce sont : La Nécessité de recueillir le fruit de chaque existence et de chaque état de vie, la Nécessité d’apprendre pour connaître toutes choses, la Nécessité de se créer la Force Morale nécessaire pour triompher de toute haine et pour se dépouiller du Mal en dominant les tendances mauvaises. Sans ces trois nécessités que l’Esprit doit surmonter dans chaque état de vie, il n’est nul Vivant, quelle que soit sa forme, qui ne puisse parvenir au Gwenwed.


Citation 1869  |   Triades Bardiques
Triade 14 




I l existe trois cercles dans la Vie Universelle, ou le Monde, ce sont : Le Cercle Keugant, cercle vide où nul être sauf Dieu ne peut exister, ni les vivants, ni les morts n’y accèdent, et seules les manifestations de Dieu le peuvent traverser. Le Cercle d’Abred, cercle de la Fatalité, où chaque état nouveau, chaque existence nouvelle naît de la Mort. C’est le Cercle des Migrations que tout être animé doit traverser pour parvenir au Cercle de Gwenwed, cercle de la Béatitude dans la Connaissance, où chaque état nouveau naît de la Vie. C’est le Monde blanc où l’Homme ou la Femme doit parvenir à la suite de ces Migrations.

Il y a trois états successifs des êtres animés, ce sont : L’État d’abaissement dans l’Abîme (Cercle d’Annuim), l’État de Liberté dans la Vie (Abred), l’État Spirituel, hors de la Matière (Gwenwed).
Il y a trois phases nécessaires à toute existence par rapport à la vie : Le Commencement dans Annuim, la Transmigration et l’Évolution dans Abred, la Plénitude dans le Gwenwed. Hors de ces trois États, rien ne peut être que Dieu.

Il y a trois nécessités fatales dans le Cercle d’Abred, ce sont : La Manifestation la plus minime de l’Existence, c’est le début de toute vie, la prise de possession du principe de Substance, de la dérive celui de la Croissance qui ne pourrait se manifester en un autre État, la Transformation de cette substance et de cette existence par la Mort et la désintégration qui en est la conséquence. De là dérivent la fragilité et la brièveté de la Vie elle-même.


Citation 1868  |   Triades Bardiques
Triade 10 a 13 




I l existe trois cercles dans la Vie Universelle, ou le Monde, ce sont : Le Cercle Keugant, cercle vide où nul être sauf Dieu ne peut exister, ni les vivants, ni les morts n’y accèdent, et seules les manifestations de Dieu le peuvent traverser. Le Cercle d’Abred, cercle de la Fatalité, où chaque état nouveau, chaque existence nouvelle naît de la Mort. C’est le Cercle des Migrations que tout être animé doit traverser pour parvenir au Cercle de Gwenwed, cercle de la Béatitude dans la Connaissance, où chaque état nouveau naît de la Vie. C’est le Monde blanc où l’Homme ou la Femme doit parvenir à la suite de ces Migrations.


Citation 1867  |   Triades Bardiques
Triade 10 




T rois choses sont impossibles, sauf à Dieu : Supporter l’Éternité absolue du cercle de Keugant, Participer à tous les États d’existence sans se renouveler, Créer, améliorer et renouveler toutes choses sans se diminuer soi-même.


Citation 1866  |   Triades Bardiques
Triade 9 




E n Dieu, il y a trois choses qui sont nécessairement forcées d’être ; ce sont : La Puissance suprême, l’Intelligence suprême, le Suprême Amour, et de là vient que toute chose a bien la fin qui lui est propre. Dieu a donc trois suprématies, ce sont : La Vie Universelle, la Science Universelle, la Puissance Universelle.


Citation 1865  |   Triades Bardiques
Triade 7 & 8 




D ieu, Infiniment Parfait, a nécessairement trois desseins créant chaque chose. Ces trois desseins sont : Accroître le Bien, amoindrir le Mal, justifier la différence qu’il y a entre chaque chose pour que chaque être puisse distinguer ce qui Doit être de ce qui Ne Doit pas être. Car il n’y a rien que Dieu ne puisse Connaître, Réaliser et Amener à Devenir.


Citation 1864  |   Triades Bardiques
Triade 6 




L es trois preuves que Dieu nous donne de ce qu’il a fait et ce qu’il fera sont : Sa Puissance Infinie, sa Sagesse Infinie, son Amour Infini.


Citation 1863  |   Triades Bardiques
Triade 5 



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