Kaushitaki upanishad
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(Ⅳ)


1. 0  
ॐ वाङ्मे मनसि प्रतिष्ठिता । मनो मे वाचि प्रतिष्ठितम् ।
आविरावीर्म एधि । वेदस्य मा आणीस्थः । श्रुतं मे मा प्रहासीः ।
अनेनाधीतेनाहोरात्रान्सन्दधामि । ऋतं वदिष्यामि ।
सत्यं वदिष्यामि । तन्मामवतु । तद्वक्तारमवतु ।
अवतु मामवतु वक्तारम् ॥
- Om ! Que mon discours reflète et s'accorde à mon esprit; Que mon esprit reflète mon discours. Ô l'Unique, irradiant Ta propre splendeur, révèle-Toi à moi. Que tous deux, discours et esprit, vous me transmettiez le Véda. Que tout ce que j'ai entendu ne quitte jamais mon esprit. Je réunirai et comblerai la différence entre le jour Et la nuit, grâce à cette étude. Je prononcerai ce qui est verbalement véridique; Je prononcerai ce qui est mentalement véridique. Puisse ce Brahman me protéger; Puisse-t-Il protéger celui qui parle et enseigne, puisse-t-Il me protéger; Puisse-t-Il protéger celui qui parle – Puisse-t-Il protéger celui qui parle. (Ⅳ)
1. 1  
चित्रो ह वै गार्ग्यायणिर्यक्षमाण आरुणिं वव्रे स ह पुत्रं
श्वेतकेतुं प्रजिघाय याजयेति तं हासीनं पप्रच्छ
गौतमस्य पुत्रास्ते संवृतं लोके यस्मिन्माधास्यस्यन्यमहो
बद्ध्वा तस्य लोके धास्यसीति स होवाच नाहमेतद्वेद
हन्ताचार्यं प्रच्छानीति स ह पितरमासाद्य पप्रच्छेतीति
मा प्राक्षीत्कथं प्रतिब्रवाणीति स होवाचाहमप्येतन्न वेद
सदस्येव वयं स्वाध्यायमधीत्य हरामहे यन्नः परे
ददत्येह्युभौ गमिष्याव इति ॥ स ह समित्पाणिश्चित्रं
गार्ग्यायणिं प्रतिचक्रम उपायानीति तं होवाच ब्रह्मार्होसि
गौतम यो मामुपागा एहि त्वा ज्ञपयिष्यामीति ॥ १॥
- Un jour, le sage Chitra, fils de Gangya (ou Gargya), eut le désir d'accomplir un sacrifice et choisit Aruni comme prêtre. Mais celui-ci envoya son fils Svetaketu officier à sa place. À l'arrivée de Svetaketu, Gangyayani le fit asseoir et lui dit : « Ô fils de Gautama , y a-t-il une fin à ce monde (de transmigration de l'âme), à laquelle tu serais capable de me mener ? Ou alors y a-t-il une voie qui mène à cette fin et sur laquelle tu pourrais me conduire ? » Svetaketu répondit : « Je n'en sais rien. Mais je vais m'en enquérir auprès de mon maître. » Il s'en retourna chez son père et lui demanda : « Voilà ce que m'a demandé Chitra. Que dois-je lui répondre ? » Son père lui dit : « Moi non plus, je n'en sais rien. Organisons une session d'études védiques dans sa demeure et nous apprendrons ce que d'autres, plus compétents que nous, révéleront ! Viens, allons-y tous les deux ! » Et c'est avec un fagot sacrificiel à la main qu'Aruni s'approcha de Chitra, fils de Gangya, et lui dit : « Accepte-nous tous deux comme tes disciples ! » Celui-ci lui répondit : « Tu es le meilleur des prêtres, ô Gautama, et pourtant tu t'es montré humble. Approche, je vais t'enseigner. » (Ⅳ)
1. 2  
स होवाच ये वैके चास्माल्लोकात्प्रयन्ति चन्द्रमसमेव ते
सर्वे गच्छन्ति तेषां प्राणैः पूर्वपक्ष
आप्यायतेऽथापरपक्षे न प्रजनयत्येतद्वै स्वर्गस्य लोकस्य
द्वारं यश्चन्द्रमास्तं यत्प्रत्याह तमतिसृजते य एनं
प्रत्याह तमिह वृष्टिर्भूत्वा वर्षति स इह कीटो वा
पतङ्गो वा शकुनिर्वा शार्दूलो वा सिंहो वा मत्स्यो वा
परश्वा वा पुरुषो वान्यो वैतेषु स्थानेषु प्रत्याजायते
यथाकर्मं यथाविद्यं तमागतं पृच्छति कोऽसीति तं
प्रतिब्रूयाद्विचक्षणादृतवो रेत आभृतं
पञ्चदशात्प्रसूतात्पित्र्यावतस्तन्मा पुंसि कर्तर्येरयध्वं
पुंसा कर्त्रा मातरि मासिषिक्तः स जायमान उपजायमानो
द्वादशत्रयोदश उपमासो द्वादशत्रयोदशेन पित्रा
सन्तद्विदेहं प्रतितद्विदेहं तन्म ऋतवो मर्त्यव आरभध्वं
तेन सत्येन तपसर्तुरस्म्यार्तवोऽस्मि कोऽसि त्वमस्मीति
तमतिसृजते ॥ २॥
- Enseignement de Chitra : « Tous ceux qui quittent ce monde vont sur la lune. Durant sa quinzaine croissante, la lune se nourrit de leur souffle vital (Prana); et durant sa quinzaine décroissante, elle les dirige vers une nouvelle naissance (par le Pitriyana, la voie des ancêtres). Mais la lune est aussi la porte vers les mondes célestes (par le Devayana, la voie des dieux). Qui répond correctement aux questions de la lune, est autorisé à prendre la voie des mondes célestes; par contre, qui ne peut y répondre est transformé en pluie et redescend vers le monde ici-bas. Et il renaît ici-bas, en tel ou tel lieu, en tant que vermisseau, moucheron, poisson, oiseau, lion, sanglier, taureau ou tigre, ou alors en tant qu'être humain – chacun à la mesure de ses actes antérieurs, chacun à la mesure de son savoir. Car lorsqu'un être humain parvient au monde lunaire, on lui demande : « Qui estu ? » Il doit alors répondre : « C'est de la lune resplendissante, qui ordonne les saisons, lorsqu'elle apparaît constituée de quinze parts, oui, c'est de la lune qui est la demeure de nos ancêtres, que la semence a été recueillie. Moi qui suis cette semence, placez-moi dans un homme qui sera l'agent. Au moyen de cet homme, déposez-moi dans la matrice d'une mère. Alors, grandissant en vue de naître, de redevenir un être qui vit au fil des mois, soit douze soit treize (mois solaires ou lunaires de l'année), je fus avec mon père, qui vivait lui aussi au fil de douze ou treize mois, afin de pouvoir soit Le connaître [Cela, Brahman], soit ne pas Le connaître. En conséquence, ô saisons, accordez-moi de pouvoir parvenir à l'immortalité ! Par mes paroles véridiques, par mon épreuve*, je suis moi-même une saison, oui, je suis l'enfant des saisons. » « Qui es-tu ? » lui demande-t-on à nouveau. « Je suis toi », répond-il. Il est alors libre de poursuivre sa route. (Ⅳ)
1. 3  
स एतं देवयानं पन्थानमासाद्याग्निलोकमागच्छति स
वायुलोकं स वरुणलोकं स आदित्यलोकं स इन्द्रलोकं स
प्रजापतिलोकं स ब्रह्मलोकं तस्य ह वा एतस्य
ब्रह्मलोकस्यारोहृदो मुहूर्ता येष्टिहा विरजा नदी तिल्यो
वृक्षः सायुज्यं संस्थानमपराजितमायतनमिन्द्रप्रजापती
द्वारगोपौ विभुं प्रमितं विचक्षणासन्ध्यमितौजाः प्रयङ्कः
प्रिया च मानसी प्रतिरूपा च चाक्षुषी
पुष्पाण्यादायावयतौ वै च
जगत्यम्बाश्चाम्बावयवाश्चाप्सरसोंऽबयानद्यस्तमित्थंविद
अ गच्छति तं ब्रह्माहाभिधावत मम यशसा विरजां
वायं नदीं प्रापन्नवानयं जिगीष्यतीति ॥ ३॥
- Celui qui commence à cheminer sur le sentier des dieux (Devayana) parvient tout d'abord au monde du Feu, puis à celui de l'Air, puis à celui de Varuna, puis à celui d'Indra, puis à celui de Prajapati, et enfin à celui de Brahma. Dans ce monde, on trouve le lac Ara (“aux eaux agitées”), les heures Yeshtihas (“durée du sacrifice”), la large rivière Vijara (“sans âge, immortelle”), l'arbre Ilya (“au suc rafraîchissant”), la cité Salajja (“protégée par des arcs aux cordes aussi solides que l'arbre Sala”), le palais Aparajita (“l'Invincible”), dont les gardiens du seuil sont Indra et Prajapati, avec son hall Vibhu (“qui se déploie sans limites”), son trône Vichakshana (“visible de loin”), son divan Amitaujas (“empli d'une force incommensurable”), ainsi que la bien-aimée Manasi (“la muse de l'intelligence”) et sa compagne Chaksusi (“la muse de l'oeil”), qui, des fleurs dans les mains, tissent ensemble la texture du monde (en tant que Nama et Rupa, le Nom et la Forme), et aussi les nymphes Ambas (“les mères”) et Ambayavis (“les nourrices”), et les rivières Ambayas (“les maternelles”). C'est de ce monde que s'approche celui qui connaît tout ceci . Le dieu Brahma prononce ces mots : « Accourez vers lui, ô serviteurs, avec une vénération égale à celle qui m'est due. Car il est parvenu à la rivière Vijara (“sans âge, immortelle”), et ne vieillira plus jamais. (Ⅳ)
1. 4  
तं पञ्चशतान्यप्सरसां प्रतिधावन्ति शतं मालाहस्ताः
शतमाञ्जनहस्ताः शतं चूर्णहस्ताः शतं वासोहस्ताः
शतं कणाहस्तास्तं ब्रह्मालङ्कारेणालङ्कुर्वन्ति स
ब्रह्मालङ्कारेणालङ्कृतो ब्रह्म विद्वान् ब्रह्मैवाभिप्रैति स
आगच्छत्यारं हृदं तन्मनसात्येति तमृत्वा सम्प्रतिविदो
मज्जन्ति स आगच्छति मुहूर्तान्येष्टिहांस्तेऽस्मादपद्रवन्ति
स आगच्छति विरजां नदीं तां मनसैवात्येति
तत्सुकृतदुष्कृते धूनुते तस्य प्रिया ज्ञातयः
सुकृतमुपयन्त्यप्रिया दुष्कृतं तद्यथा रथेन
धावयन्रथचक्रे पर्यवेक्षत एवमहोरात्रे पर्यवेक्षत एवं
सुकृतदुष्कृते सर्वाणि च द्वन्द्वानि स एष विसुकृतो
विदुष्कृतो ब्रह्म विद्वान्ब्रह्मैवाभिप्रैति ॥४॥
- Accourent alors vers lui cinq cents Apsaras : une centaine d'Apsaras ont les mains emplies de fleurs, une centaine de fruits, une centaine tiennent des onguents, une centaine des vêtements, une centaine des poudres aromatiques. Elles l'ornent des ornements mêmes de Brahma. Car c'est avec les ornements de Brahma que le connaisseur de Brahman se dirige vers Brahman*. Tout d'abord, il arrive au lac Ara, qu'il traverse à l'aide de son mental (Manas); mais ceux qui, durant la traversée, ne pensent qu'à l'instant présent, s'y laissent engloutir. Puis il parvient auprès des heures Yeshtihas, qui s'enfuient à son approche. Puis il parvient à la rivière Vijara, qu'il traverse également à l'aide de son mental, en se dépouillant de ses actes passés, positifs comme négatifs. Ceux qu'il a aimés héritent de ses actes positifs, tandis que ceux qu'il n'a pas aimés héritent de ses actes négatifs. Et de même que celui qui conduit un chariot à vive allure garde les yeux baissés sur les roues du chariot (dont les rayons deviennent indistincts), il contemple ainsi le jour et la nuit, les actes bons et mauvais, et les paires d'opposés. C'est ainsi que le connaisseur de Brahman, affranchi de ses actes positifs comme de ses actes négatifs, se dirige vers Brahman*. (Ⅳ)
1. 5  
स आगच्छति तिल्यं वृक्षं तं ब्रह्मगन्धः प्रविशति स
आगच्छति सायुज्यं संस्थानं तं ब्रह्म स प्रविशति
आगच्छत्यपराजितमायतनं तं ब्रह्मतेजः प्रविशति स
आगच्छतीन्द्रप्रजापती द्वारगोपौ तावस्मादपद्रवतः स
आगच्छति विभुप्रमितं तं ब्रह्मयशः प्रविशति स
आगच्छति विचक्षणामासन्दीं बृहद्रथन्तरे सामनी
पूर्वौ पादौ ध्यैत नौधसे चापरौ पादौ वैरूपवैराजे
शाक्वररैवते तिरश्ची सा प्रज्ञा प्रज्ञया हि विपश्यति स
आगच्छत्यमितौजसं पर्यङ्कं स प्राणस्तस्य भूतं च
भविष्यच्च पूर्वौ पादौ श्रीश्चेरा चापरौ
बृहद्रथन्तरे अनूच्ये भद्रयज्ञायज्ञीये
शीर्षण्यमृचश्च सामानि च प्राचीनातानं यजूंषि
तिरश्चीनानि सोमांशव उपस्तरणमुद्गीथ उपश्रीः
श्रीरुपबर्हणं तस्मिन्ब्रह्मास्ते तमित्थंवित्पादेनैवाग्र
आरोहति तं ब्रह्माह कोऽसीति तं प्रतिब्रूयात् ॥ ५॥
- Il arrive près de l'arbre Ilya, et le parfum de Brahma l'imprègne intimement. Il arrive à la cité Salajja, et la saveur de Brahma l'imprègne intimement. Il arrive au palais Aparajita, et le pouvoir de Brahma l'imprègne intimement. Il arrive aux gardiens du seuil Indra et Prajapati, et ceux-ci s'enfuient à son approche. Il arrive au hall Vibhu, et la gloire de Brahma l'imprègne intimement. Il s'approche du trône Vichakshana : le Brihad Saman () et le Rathantara sont ses deux pieds avant, le Syaita Saman et le Naudhasa ses deux pieds arrière, le Vairupa Saman et le Vairaja ses deux côtés d'axe nord-sud, le Shakvara Saman et le Raivata ses deux côtés d'axe est-ouest. Ce trône est, en son essence, la Sagesse omnisciente (Prajna), car qui monte dessus devient clairvoyant. Puis il s'approche du divan Amitaujas , qui est énergie vitale (Prana). Passé et futur sont ses deux pieds avant, prospérité et monde physique ses deux pieds arrière, le Bhadra Saman et le Yajnayajniya ses deux côtés d'axe nord-sud, le Brihad Saman et le Rathantara ses deux côtés d'axe est-ouest, à la tête et aux pieds; les versets et les hymnes sont les cordes qui le tendent sur sa longueur, les formules sacrificielles sont les cordes sur sa largeur. Des tiges végétales constituent son rembourrage, le Haut-chant (Udgitha) lui tient lieu de traversin, la Beauté (Shri) est son coussin. C'est là que se repose Brahma. Celui qui possède cette connaissance monte vers ce divan et y pose le pied. Brahma lui demande alors : « Qui es-tu ? »
Il doit répondre : « Je suis comme une saison, je suis l'enfant des saisons. Je suis apparu du sein de l'éther sans limite (Akasha) et j'ai jailli de la lumière de Brahman. La lumière, l'origine de l'année, ce qui est le passé, ce qui est le présent, ce qui est toutes les créatures vivantes, et tous les éléments, tout cela est l'Atman. Et ce que Tu es, moi aussi je le suis. » Puis Brahma lui demande : « Que suis-je donc ? » (Ⅳ)
1. 6  
ऋतुरस्म्यार्तवोऽस्म्याकाशाद्योनेः सम्भूतो भार्यायै रेतः
संवत्सरस्य तेजोभूतस्य भूतस्यात्मभूतस्य त्वमात्मासि
यस्त्वमसि सोहमस्मीति तमाह कोऽहमस्मीति सत्यमिति ब्रूयात्किं
तद्यत्सत्यमिति यदन्यद्देवेभ्यश्च प्राणेभ्यश्च तत्सदथ
यद्देवाच्च प्राणाश्च तद्यं तदेतया वाचाभिव्याह्रियते
सत्यमित्येतावदिदं सर्वमिदं सर्वमसीत्येवैनं तदाह
तदेतच्छ्लोकेनाप्युक्तम् ॥ ६॥
- Il doit répondre : «Tu es le Réel (Satya). » « Et qu'est-ce que le Réel ? » « Ce qui est autre que les dieux et les souffles vitaux correspondants, c'est cela, le Réel (Sat); mais ce que sont les dieux et les souffles vitaux correspondants , c'est cela que Tu es (Tvam). Et cela est exprimé par le mot Satyam, le Réel, qui inclut tout ce qui existe. Et Tu es tout ce qui existe. » Puis il ajoutera : « Cette vérité a été exprimée par un verset du Rig Véda : “Avec le Yajur Véda pour ventre, le Sama Véda pour tête, Le Rig Véda pour corps, sous sa forme impérissable, Il est le grand Voyant (Rishi), empli de Brahman, Il est le Brahman.” » Brahma : « Comment as-tu obtenu mes noms masculins ? » Le connaisseur : « Par le souffle (Prana). » — Et mes noms féminins ? — Par la parole (Vac). — Et mes noms neutres ? — Par le mental (Manas). — Comment as-tu connu mes odeurs ? — Par l'odorat. — Et mes formes ? — Par la vue. — Et mes sons ? — Par l'ouïe. — Et mes saveurs nourrissantes ? — Par la langue. — Et mes actes ? — Par les mains. — Et mon plaisir et ma douleur ? — Par le corps. — Et ma félicité, mes désirs et mon acte de procréation ? — Par l'organe sexuel. — Et mon déplacement d'un lieu à un autre ? — Par les pieds. — Et mes pensées, les objets de ma recherche et mes désirs ? — Par l'intelligence tout-inclusive (Prajna). » C'est ainsi qu'il lui faudra répondre. Et Brahma lui déclarera : « Les eaux primordiales constituent mon monde, en vérité, et c'est aussi le tien ! » Car, en vérité, toute victoire appartient à Brahma, toute réalisation est celle de Brahma, et celui qui possède cette connaissance parvient à cette victoire, accomplit cette réalisation. Oui, il y parvient, celui qui possède cette connaissance. (Ⅳ)


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