6.
51
Et il monta vers eux dans la nacelle, et le vent tomba. Et ils furent excessivement frappés et étonnés en eux-mêmes;
- Et il monta auprès d'eux dans la barque, et le vent tomba. Ils étaient intérieurement au comble de la stupéfaction, (Ⅰ) - Puis il monta vers eux dans la barque, et le vent cessa. Ils furent en eux-même tout stupéfaits et remplis d'étonnement; (Ⅱ) - καὶ ἀνέβη πρὸς αὐτοὺς εἰς τὸ πλοῖον, καὶ ἐκόπασεν ὁ ἄνεμος. καὶ λίαν ⸂ἐκ περισσοῦ⸃ ἐν ἑαυτοῖς ⸀ἐξίσταντο, (Ⅳ) - Et ascendit ad illos in navim, et cessavit ventus. Et plus magis intra se stupebant : (Ⅴ) - Et il monta vers eux dans la nacelle, et le vent cessa ; ce qui augmenta beaucoup leur étonnement et leur admiration. (Ⅶ) - Alors il monta dans la barque vers eux, et le vent cessa; et ils furent excessivement surpris en eux-mêmes et remplis d'admiration. (Ⅷ)
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car ils n’avaient pas été rendus intelligents par les pains, car leur cœur était endurci.
- car ils n'avaient pas compris pour les pains, et leur cœur était aveuglé. (Ⅰ) - car ils n'avaient pas compris le miracle des pains, parce que leur coeur était endurci. (Ⅱ) - οὐ γὰρ συνῆκαν ἐπὶ τοῖς ἄρτοις, ⸂ἀλλ’ ἦν⸃ αὐτῶν ἡ καρδία πεπωρωμένη. (Ⅳ) - non enim intellexerunt de panibus : erat enim cor eorum obcæcatum. (Ⅴ) - Car ils n’avaient pas bien fait réflexion au [miracle des] pains ; à cause que leur cœur était stupide. (Ⅶ) - Car ils n'avaient pas compris le miracle des pains, parce que leur esprit était appesanti. (Ⅷ)
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Et ayant passé à l’autre rive, ils vinrent dans la contrée de Génésareth, et ils abordèrent.
- Ayant traversé, ils abordèrent à Génésareth et accostèrent. (Ⅰ) - Après avoir traversé la mer, ils vinrent dans le pays de Génésareth, et ils abordèrent. (Ⅱ) - Καὶ διαπεράσαντες ⸂ἐπὶ τὴν γῆν ἦλθον εἰς⸃ Γεννησαρὲτ καὶ προσωρμίσθησαν. (Ⅳ) - Et cum transfretassent, venerunt in terram Genesareth, et applicuerunt. (Ⅴ) - Et quand ils furent passés au delà de la mer, ils arrivèrent en la contrée de Génézareth, où ils abordèrent. (Ⅶ) - Et quand ils eurent traversé la mer, ils vinrent en la contrée de Génézareth; et ils abordèrent. (Ⅷ)
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Et comme ils sortaient de la nacelle, ils le reconnurent aussitôt;
- Quand ils furent sortis de la barque, (des gens) l'ayant aussitôt reconnu, (Ⅰ) - Quand ils furent sortis de la barque, les gens, ayant aussitôt reconnu Jésus, (Ⅱ) - καὶ ἐξελθόντων αὐτῶν ἐκ τοῦ πλοίου ⸀εὐθὺς ἐπιγνόντες αὐτὸν (Ⅳ) - Cumque egressi essent de navi, continuo cognoverunt eum : (Ⅴ) - Et après qu’ils furent sortis de la nacelle, ceux du lieu le reconnurent d’abord. (Ⅶ) - Et dès qu'ils furent sortis de la barque, ceux du lieu le reconnurent, (Ⅷ)
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et ils coururent par tout le pays d’alentour, et se mirent à apporter de tous côtés dans de petits lits ceux qui se portaient mal, là où ils entendaient dire qu’il était.
- parcoururent toute cette contrée, et l'on se mit à apporter les malades sur les grabats, partout où l'on apprenait qu'il était. (Ⅰ) - parcoururent tous les environs, et l'on se mit à apporter les malades sur des lits, partout où l'on apprenait qu'il était. (Ⅱ) - ⸂περιέδραμον ὅλην τὴν χώραν ἐκείνην καὶ⸃ ἤρξαντο ἐπὶ τοῖς κραβάττοις τοὺς κακῶς ἔχοντας περιφέρειν ὅπου ἤκουον ⸀ὅτι ἐστίν. (Ⅳ) - et percurrentes universam regionem illam, cœperunt in grabatis eos, qui se male habebant, circumferre, ubi audiebant eum esse. (Ⅴ) - Et ils coururent çà et là par toute la contrée d’alentour, et se mirent à lui apporter de tous côtés les malades dans de petits lits, là où ils entendaient dire qu’il était. (Ⅶ) - Et ils coururent dans toute la contrée d'alentour et se mirent à porter sur de petits lits ceux qui étaient malades, partout où ils entendaient dire qu'il était. (Ⅷ)
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Et où que ce fût qu’il entrât, dans les villages, ou dans les villes, ou dans les campagnes, ils plaçaient les infirmes dans les marchés et le priaient de les laisser toucher ne fût-ce que le bord de son vêtement; et tous ceux qui le touchaient étaient guéris.
- Et partout où il entrait, bourgs, ou villes, ou fermes, on mettait les malades sur les places, et on le priait de leur laisser seulement toucher la houppe de son manteau; et tous ceux qui pouvaient toucher étaient guéris. (Ⅰ) - En quelque lieu qu'il arrivât, dans les villages, dans les villes ou dans les campagnes, on mettait les malades sur les places publiques, et on le priait de leur permettre seulement de toucher le bord de son vêtement. Et tous ceux qui le touchaient étaient guéris. (Ⅱ) - καὶ ὅπου ἂν εἰσεπορεύετο εἰς κώμας ἢ ⸂εἰς πόλεις ἢ εἰς⸃ ἀγροὺς ἐν ταῖς ἀγοραῖς ⸀ἐτίθεσαν τοὺς ἀσθενοῦντας, καὶ παρεκάλουν αὐτὸν ἵνα κἂν τοῦ κρασπέδου τοῦ ἱματίου αὐτοῦ ἅψωνται· καὶ ὅσοι ἂν ⸀ἥψαντο αὐτοῦ ἐσῴζοντο. (Ⅳ) - Et quocumque introibat, in vicos, vel in villas aut civitates, in plateis ponebant infirmos, et deprecabantur eum, ut vel fimbriam vestimenti ejus tangerent, et quotquot tangebant eum, salvi fiebant. (Ⅴ) - Et partout où il était entré dans les bourgs, ou dans les villes, ou dans les villages, ils mettaient les malades dans les marchés, et ils le priaient de permettre qu’au moins ils pussent toucher le bord de sa robe ; et tous ceux qui le touchaient, étaient guéris. (Ⅶ) - Et en quelque lieu qu'il entrât, dans les bourgs ou dans les villes, ou dans les campagnes, on mettait les malades dans les places publiques, et on le priait qu'au moins ils pussent toucher la frange de son manteau; et tous ceux qui le touchaient étaient guéris. (Ⅷ)
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