La séléction de citations de  Liorah  210 citations | Page 3 / 9




M oi, l'Éternel, j'éprouve le coeur, je sonde les reins, Pour rendre à chacun selon ses voies, Selon le fruit de ses oeuvres.


Citation 3529  |   Nevi'im
Jeremiah 17.10 




P our ce qui concerne les viandes sacrifiées aux idoles, nous savons que nous avons tous la connaissance. -La connaissance enfle, mais la charité édifie.
Si quelqu'un croit savoir quelque chose, il n'a pas encore connu comme il faut connaître.
Mais si quelqu'un aime Dieu, celui-là est connu de lui. -


Citation 3516  | 
1 Corinthians 8.1-3 




S i la prière cesse d'être sacralisation de nos actes quotidiens, malheur à ceux qui, par ignorance, en deviennent les victimes. Car la prière est à l'àme ce que l'engrais à la surface du sol; ou elle l'améliore ou elle l'écrase. C'est une question de dosage, une question de discernement, c'est surtout une question d'éducation mystique.


Citation 3485  |   Cheikh Ahmed Tidiane Sy




A u nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. ô toi, l'enveloppé [dans tes vêtements]!(a)
Lève-toi [pour prier], toute la nuit, excepté une petite partie;
Sa moitié, ou un peu moins;
ou un peu plus. Et récite le Coran, lentement et clairement.
Nous allons te révéler des paroles lourdes (très importantes).
La prière pendant la nuit est plus efficace et plus propice pour la récitation.
Tu as, dans la journée, à vaquer à de longues occupations.
Et rappelle-toi le nom de ton Seigneur et consacre-toi totalement à Lui


Citation 3484  | 
73.1-8 




E t accomplis la Salât (prière) aux deux extrémités du jour et à certaines heures de la nuit. Les bonnes oeuvres dissipent les mauvaises. Cela est une exhortation pour ceux qui réfléchissent


Citation 3483  | 
11.114 




E st-ce que celui qui se base sur une preuve claire venant de son Seigneur est comparable à ceux dont on a embelli les mauvaises actions et qui ont suivi leurs propres passions.


Citation 3464  | 
47.14 




L 'homme qui observe évolue continûement jusqu'à ne faire qu'un avec le courant des choses


Citation 3379  | 
Ultimes paroles, espaces libres, Albin Michel, 1997; p90 




S i j'avais eu la conscience suffisamment claire et les mots suffisamment nuancés pour l'exprimer, j'aurais aimé te dire que nous sommes là pour explorer, découvrir et partager ce qu'il y a de meilleur en nous. Chacun possède un trésor. Sois conscient et généreux de ton trésor et, en même temps, reste ouvert, attentif à recevoir le trésor des autres, disposé à apprendre et à te remettre en question. Cherche la beauté, la vérité, l'excellence en accueillant aussi ta fragilité, ta vulnérabilité et ton ombre, de sorte d'être à même d'accueillir celles des autres. Occupe joyeusement ta place: il y a de la place pour chacun, sinon ni toi ni moi ne serions là. Pense que ta place que tu n'occupes pas pour ne pas déranger reste vide à jamais et réjouis-toi que chacun occupe pleinement la sienne autour de toi .


Citation 3259  | 
le jardinier de l'amour 




D onner de l'amour, les lâches ne peuvent pas. C'est la prérogative des humains courageux.


Citation 3221  | 





L a Vérité n'a pas en elle-même besoin de vertu, mais l'homme a besoin de vertu pour s'assimiler à la Vérité.


Citation 3123  |   Frithjof Schuon
Logique et Transcendance 




L a raison d'être profonde de tout acte religieux est le "Souvenir de Dieu", qui en dernière analyse est la raison d'être même de l'homme.


Citation 3121  |   Frithjof Schuon
Le Soufisme voile et Quintessence 




L a voie exotérique c'est : moi et Toi. La voie ésotérique c'est : je suis Toi et Tu es moi. La Connaissance ésotérique, c'est : ni moi ni Toi, mais Lui.


Citation 3118  |   Frithjof Schuon
De l'unité transcendante des religions 




L 'intelligence n'est belle que quand elle ne détruit pas la foi, et la foi n'est belle que quand elle ne s'oppose pas à l'intelligence.


Citation 3117  |   Frithjof Schuon
Le Soufisme voile et Quintessence 




S i tu hésites entre deux choses, choisis la plus déplaisante à ton âme passionnelle, et suis-là ; en effet ne lui déplaît que ce qui est juste.


Citation 3115  | 
al-Hikam (Paroles de Sagesse) 




I l faut pratiquer les actes qui sont pesants pour l'âme et non ceux qui lui paraissent légers. En effet, seuls ceux qui lui pèsent sont réels et produisent de rapides effets pour l'illumination spirituelle. C'est le cas de l'invocation du Nom.


Citation 3114  |   Shaykh Al Arabî al-Darqawî
Lettres sur la Voie spirituelle 




Q u'est-ce que la vie ?
C'est l'éclat d'une luciole dans la nuit.
C'est le souffle d'un bison en hiver.
C'est la petite ombre qui court dans l'herbe
et se perd au coucher du soleil.


Citation 3112  |   Crowfoot
Paroles indiennes, Albin Michel, Carnets de sagesse 




Q uand tu te lèves le matin,
remercie pour la lumière du jour
pour ta vie et ta force.
Remercie pour la nourriture
et le bonheur de vivre.
Si tu ne vois pas de raison de remercier,
la faute repose en toi-même.


Citation 3111  |   Tecumshe
Paroles indiennes, page 11, Albin Michel, Carnets de sagesse 




L 'homme dispersé songe, le matin, à ce qu'il va faire. L'homme intelligent se demande ce que Dieu va faire de lui.


Citation 3082  | 
Ibn 'Atâ-Illâh d'Alexandrie - al-Hikam (Paroles de Sagesse) 




Q ui connaît les autres est avisé, qui se connaît lui-même est éclairé. (? : ming).


Citation 2992  | 
chap.33 




C onnais-toi toi-même et tu connaîtras l’autre.


Citation 2991  | 
Zhuangzi, chap.2. 




J e suis beau comme un printemps d'autonne.


Citation 2758  | 
le fantôme de canterville 




L ’AN NEUF DE L’HEGIRE

Comme s’il pressentait que son heure était proche,
Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ;
Il marchait en rendant aux passants leur salut ;
On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût
A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;
Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,
Se souvenant du temps qu’il était chamelier.
Il semblait avoir vu l’Eden, l’âge de d’amour,
Les temps antérieurs, l’ère immémoriale.
Il avait le front haut, la joue impériale,
Le sourcil chauve, l’œil profond et diligent,
Le cou pareil au col d’une amphore d’argent,
L’air d’un Noé qui sait le secret du déluge.
Si des hommes venaient le consulter, ce juge
Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier,
Ecoutait en silence et parlait le dernier.
Sa bouche était toujours en train d’une prière ;
Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;
Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ;
Il s’asseyait à terre et cousait ses habits.
Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne,
Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune.
A soixante-trois ans une fièvre le prit.
Il relut le Coran de sa main même écrit,
Puis il remit au fils de Séid la bannière,
En lui disant : " Je touche à mon aube dernière.
Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. "
Et son œil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui
D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire.
Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,
Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;
Et l’étendard sacré se déployait au vent.
Là, pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ;
" Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ;
La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand.
Peuple je suis l’aveugle et suis l’ignorant.
Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. "
Un cheikh lui dit : " o chef des vrais croyants ! le monde,
Sitôt qu’il t’entendit, en ta parole crut ;
Le jour où tu naquit une étoile apparut,
Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. "
Lui, reprit : " Sur ma mort les Anges délibèrent ;
L’heure arrive. Ecoutez. Si j’ai de l’un de vous
Mal parlé, qu’il se lève, ô peuple, et devant tous
Qu’il m’insulte et m’outrage avant que je m’échappe ;
Si j’ai frappé quelqu’un, que celui-là me frappe. "
Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.
Une vieille, tondant la laine d’un mouton,
Assise sur un seuil, lui cria : " Dieu t’assiste ! "
Il semblait regarder quelque vision triste,
Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : " voilà,
Vous tous, je suis un mot dans la bouche d’Allah ;
Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
Jésus m’a précédé, mais il n’est pas la Cause.
Il est né d’une Vierge aspirant une rose.
Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
Je ne suis qu’un limon par les vices noirci ;
J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange ;
Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,
Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
O vous tous, je serais bien vite dévoré
Si dans l’obscurité du cercueil solitaire
Chaque faute engendre un ver de terre.
Fils, le damné renaît au fond du froid caveau
Pour être par les vers dévoré de nouveau ;
Toujours sa chair revit, jusqu’à ce que la peine,
Finie ouvre à son vol l’immensité sereine.
Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,
Tantôt l’homme d’en haut, tantôt l’homme d’en bas,
Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne
Comme dans le désert le sable et la citerne ;
Ce qui n’empêche pas que je n’aie, ô croyants !
Tenu tête dans l’ombre au x Anges effrayants
Qui voudraient replonger l’homme dans les ténèbres ;
J’ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;
Souvent, comme Jacob, j’ai la nuit, pas à pas,
Lutté contre quelqu’un que je ne voyais pas ;
Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;
Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,
Et, comme je sentais en moi la vérité,
Je les ai combattus, mais sans être irrité,
Et, pendant le combat je criais : " laissez faire !
Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.
Qu’ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !
Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis
Auraient, pour m’attaquer dans cette voie étroite,
Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,
Ils ne me feraient point reculer ! " C’est ainsi
Qu’après avoir lutté quarante ans, me voici
Arrivé sur le bord de la tombe profonde,
Et j’ai devant moi Allah, derrière moi le monde.
Quant à vous qui m’avez dans l’épreuve suivi,
Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,
Vous avez bien souffert, mais vous verrez l’aurore.
Après la froide nuit, vous verrez l’aube éclore ;
Peuple, n’en doutez pas ; celui qui prodigua
Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,
Les perles à la mer et les astres à l’ombre,
Peut bien donner un peu de joie à l’homme sombre. "
Il ajouta ; " Croyez, veillez ; courbez le front.
Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront
Sur le mur qui sépare Eden d’avec l’abîme,
Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;
Presque personne n’est assez pur de péchés
Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,
En priant, que vos corps touchent partout la terre ;
L’enfer ne brûlera dans son fatal mystère
Que ce qui n’aura point touché la cendre, et Dieu
A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;
Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;
Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,
Les chevaux sellés d’or, et, pour fuir aux sept dieux,
Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;
Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,
Habite un pavillon fait d’une perle creuse ;
Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !
Ils auront des souliers de feu dont la chaleur
Fera bouillir leur tête ainsi qu’une chaudière.
La face des élus sera charmante et fière. "
Il s’arrêta donnant audience à l’espoir.
Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :
" O vivants ! Je répète à tous que voici l’heure
Où je vais me cacher dans une autre demeure ;
Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,
Que je sois dénoncé par ceux qui m’ont connu,
Et que, si j’ai des torts, on me crache aux visages. "
La foule s’écartait muette à son passage.
Il se lava la barbe au puits d’Aboufléia.
Un homme réclama trois drachmes, qu’il paya,
Disant : " Mieux vaut payer ici que dans la tombe. "
L’œil du peuple était doux comme un œil de colombe
En le regardant cet homme auguste, son appui ;
Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,
Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,
Et passèrent la nuit couchés sur une pierre
Le lendemain matin, voyant l’aube arriver ;
" Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,
Tu vas prendre le livre et faire la prière. "
Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;
Il écoutait pendant qu’Aboubékre lisait,
Et souvent à voix basse achevait le verset ;
Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte.
Et l’Ange de la mort vers le soir à la porte
Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer.
" Qu’il entre. " On vit alors son regard s’éclairer
De la même clarté qu’au jour de sa naissance ;
Et l’Ange lui dit : " Dieu désire ta présence.
- Bien ", dit-il. Un frisson sur les tempes courut,
Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.
Victor Hugo, le 15 janvier 1858.


Citation 2718  | 





S elon `Abd-Allah ibn `Amr (qu'Allah soit satisfait de lui), un homme ayant demandé au Prophète quel était le meilleur Islam, celui-ci répondit: "Donne à manger et salue ceux que tu connais et ceux que tu ne connais pas".


Citation 2073  | 
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 56 



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