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57 citations | Page 1 / 3




L e monde a besoin de saints qui aient du génie comme une ville où il y a la peste a besoin de médecine. Là où il y a besoin, il y a obligation


Citation 3784  | 
Attente de Dieu - ed. La Colombe p.67 




Q uand une âme est parvenue à un amour qui emplisse également tout l'univers, cet amour devient ce poussin aux ailes d'or qui perce l'oeuf du monde.


Citation 3783  | 
Attente de Dieu - ed. la Colombe p. 67 




L 'intelligence ne peut jamais pénétrer le mystère, mais elle peut et peut seule rendre compte de la convenance des mots qui l'expriment.


Citation 1248  | 
La pesanteur et la grâce 




L 'Avatar est parfait. Il dompte la panthère,
Il console le monde, il trace le chemin.
Même quand il est homme il pense en surhumain
Son âme luit, saphir que nulle ombre n'altère.

Des planètes du gouffre aux jardins de Cythère,
Son rêve est une flamme et son verbe une main
Il montre aux malheureux l'éternel parchemin
D'où le mot Paradis illumine la Terre.

Des millions de dieux bouillonnent dans son coeur,
Sur sept infernaux il se dresse vainqueur;
La sagesse et l'amour s'épousent sur son faîte.

Quand on le crucifie il meurt en souriant.
Il porte aux affamés d'Occident et d'Orient
Le fruit d'éternité rêvé par les Prophètes.


Citation 1161  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, poeme intitule "L'AVATAR", p.176 




E ternel, mon rocher de lumière parfaite
Ta voix fait tressaillir, de la racine au faîte,
L'arbre des astres éblouis,
Et ses grands fruits de braise, au souffle de ta bouche,
S'envolent, emplissant de comètes farouches,
L'effrayante crypte des nuits 1

Mon âme, ton épouse, est parée de tendresse;
Par l'escalier des cieux que parfument ses tresses,
Elle monte comme la mer !
Son visage étincelle au Soleil de ta Gloire
Et tu tends vers l'aimée tes deux mains de victoire
Où brille l'anneau de Vesper.

0 Maître que couronne une flamme vivante,
Dans la chambre nuptiale entraîne ta servante
Dont palpitent les seins hardis.
Les éthers mêleront leurs musiques profondes,
Vos suprêmes baisers enfanteront les mondes
Et rouvriront les Paradis.

Eternel, mon triomphe! Eternel, ma Sagesse !
Sous ton trône éclatant, les firmaments s'abaissent
L'oiseau te chante dans son nid,
Tu brises les dragons du temps et de l'espace,
Dans l'horreur de la mort tu fais luire ta face,
0 Créateur de l'Infini !


Citation 1160  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, poeme intitule "L'ETERNEL", p.170 




N on, je ne puis admettre un univers sans âme
L'azur prouve le jour et la chaleur la flamme.
L'odeur de l'aigle absent reste au trou de granit,
Je sens battre en mon coeur le sens de l'infini,
J'écoute tressaillir les éternels mystères !
L'Etre a formé l'essor extatique des Sphères
Et le rutilement des célestes émails.
Le souffle universel, dans les arbres du mail
Fait chanter le loriot, et, mouette sauvage,
Vole, bleuâtre éclair, le long des verts rivages,
Le sombre bois s'empreint d'une astrale harmonie
Un regard d'ange s'ouvre au fond des insomnies.

La matière éternelle et sans intelligence
Serait restée inerte au fond d'un rêve immense
Sans un orage monstrueux d'élan vital !
Quelle haleine engendra la bête et le métal ?
Qui donc, troublant la paix de la substance unique,
Qui donc la souleva d'un essor tyrannique ?
Quel géant, capturant Isis, la vierge ailée,
Distilla dans son sein les germes étoilés ?

Les organes vivants sont une harmonie sombre,
Une lyre parfaite aux cordelles sans nombre;
Nul doigt ne peut toucher l'une des fibres, sans
Faire chanter aussi l'ensemble frémissant.
Il faut un chef d'orchestre aux vastes symphonies,
Dont tressaille le monde énorme.
Qui le nie, Sinon les nains rageurs et les coeurs aveuglés ?
De la porte Univers l'esprit seul a la clé.

Homme, tu dis que l'âme est la frêle étincelle
Dont l'éclat rentrera dans l'ombre universelle
Sans laisser une trace aux abîmes amers
Pas plus que le bateau sombrant au fond des mers.

Tu la vois cependant, cette âme misérable,
Ainsi que l'aquilon qui courbe les érables,
Incliner sous son souffle et les peuples mouvants
Et le front des songeurs sur les sommets fervents,
Tu la vois enchaîner des foules stupéfaites
Au pas mystérieux et vaste des Prophètes,
Tu la vois exalter des millions de coeurs
Parmi le tourbillon des poèmes vainqueurs,
Tu la vois étager des monuments superbes
En marbre, en toile, en bronze, en or, en chiffre, en verbe,
Et parfois reconstruire à côté du soleil
Un astre de beauté, plus chaud et plus vermeil.
Tu la vois s'enivrer de vérités conquises
Et comme l'aigle vole au dessus des banquises
Planer dans un sourire impérial, pendant
Que son ombre sacrée dompte les ans grondants.

Tu la vois dominer sous ses ailes immenses,
Les pics inviolés de l'obscur avenir,
Ainsi qu'une comète aux cheveux en démence
Elle brûle les noirs firmaments de saphir,
Elle plonge en rêvant dans le futur sublime
Sous ses regards de feu la porte de l'Abîme
S'entr'ouvre dévoilant le sort des nations.
Calme, elle veut bâtir l'éternelle Sion,
Et, pétrissant le monde énorme à son image,
Elle crée le Prophète, elle engendre le Mage !

Le sombre Himalaya que l'ouragan étreint
Comme un roi monstrueux sous un cercle d'airain
Et qui regarde fuir, du haut de son extase,
Le ruisseau des humains murmurant à sa base,
Un jour s'écroulera sous le rubis pesant
Des tonnerres, unis aux noirs fleurons des ans.
Mais toi, l'âme Immortelle, ainsi qu'une colombe,
Tu planeras, resplendissante, sur sa tombe,
Montrant à ce titan que le gouffre a dompté
Le triomphe de l'aube et de l'éternité 1

L'espace est l'atelier d'un forgeron sublime,
L'esprit de Dieu parcourt les cercles de l'Abîme,
Les souffrances sans doute engendreront demain
Sous le marteau d'azur des bonheurs surhumains,
Jéhova, l'alchimiste au masque de phosphène,
Avec les os des morts compose un vin d'aurore.
Un jour, sur les sommets brusquement radieux,
Les vivants le boiront et deviendront des dieux,
Devant le grand destin, qu'importent nos chimères !
Qu'importent la clameur des bouches éphémères !

Le monde immensément s'élance vers les cieux,
Les astres, éblouis de rêve, sont ses yeux,
Les volcans râclent son désir sur les planètes,
Dans son sang bondissant les ouragans se jettent,
Le prodigieux coeur des mers se gonfle et bat.
A travers la terreur cosmique des combats,
Tout monte, tout grandit, tout fleurit, tout aspire,
Vers la lumière sainte et l'éternel empire
L'insondable palpite au zénith des soleils
Hommes, bêtes et dieux dressent leur front vermeil,
Leurs entrailles broyées pleurent dans la clepsydre
Leur chevelure amère est fourmillante d'hydres,
Ils tombent sous l'assaut innombrable des rats.
Mais un jour un rayon sacré transformera
Sous l'oeil mystérieux des firmaments étranges
La chenille du monde en flamboyant archange.


Citation 1159  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, poeme intitule "LUMIERE L'INITIÉ", p.108-111 




T rois sages méditant erraient au bord des flots.
Le soir, tout empourpré de flamboyants sanglots,
Se laissait démembrer par les mains de l'abîme
Et sa chair de rayons ensanglantait les cimes.

L'un d'eux, dont l'oeil profond était plein de néant,
Etreignit l'univers sous son regard géant:
Il n'avait pu sentir, ce scrutateur énorme,
L'esprit d'un Dieu vibrer sous la fuite des formes
Et l'inutilité des choses l'accablait.

L'autre, sous le ciel d'or qui déjà s'étoilait,
Sous le sourire immense et magique des astres,
Rêveur malgré la vie entassant ses désastres
Mêlait son songe au choc étincelant des eaux.

Le troisième, à travers le mystique réseau
Des ombres s'enlaçant avec les transparences,
Semblait, rayon vainqueur, briser les apparences
Et porter, dans le monde infâme, le flambeau
Souverain de son clair et colossal cerveau.
Le regard d'un devin sous son sourcil d'augure.

Il émergeait du fond des cavernes obscures
Où d'âpres visions enivrèrent ses nuits.

Pendant que les oiseaux, perles évanouies,
Noyaient leur blanche forme au profond de l'espace
Ils parlèrent tous trois dans l'abîme rapace...


Citation 1158  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, poeme intitule "LES TROIS SAGES", p. 103 




L e formidable éclair de Dieu
Se déverse dans mes prunelles
Et j'entends au paradis bleu
Battre d'immesurables ailes.

Au loin grondent les flots du doute.
Ecarte les avec dédain.
Que ta troisième oreille écoute
Les oiseaux flammes de l'Eden.

“ Dieu n'existe point, dit l'onagre,
Puisque le mal est exalté ! ”
Je réponds “ Bel esprit,
Que fais tu de ta liberté ! ”

Entre les forêts et les sables
Songe le libre arbitre humain.
Homme, tu te sens responsable
Totalement de ton chemin.

Le doute dit: “ Dieu est injuste
Dès l'écart du matin natal,
L'un est génial, l'autre tout juste
Au niveau du souffle animal ”.

Je réponds: “ L'immortelle essence
Illumine l'être éclipsé;
L'homme reçoit dès sa naissance
Tous les échos de son passé.

Je ressuscite avec la Troie
De mes errements d'autrefois
Ou de mes élans vers la grâce
Qui couronne les sages?rois.

De vie en vie et d'âge en âge
La justice immuablement
Règle l'esprit et son voyage
Vers l'ineffable firmament.

Ne doute pas, humain! confesse
La consolante vérité.
Tu montes, tu montes sans cesse
Vers l'amour et l'éternité ! ”


Citation 1157  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, poeme intitule "DIALOGUE", p75-76 




L a lumière insolite enfonce dans mon front
Sa spirale de rêve où les cieux fleuriront
Et le frissonnement des ailes angéliques
Fait palpiter les flots au fond des sombres criques.

L'espace fabuleux, l'éclatant firmament
S'enfoncent dans mon être inexorablement
Comme un torrent de feu tombant dans un ciboire.

Mon âme est la fontaine où les titans vont boire,
Et je munis à Dieu dans un cri de victoire.


Citation 1156  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, p.73 




L e mental, qui bondit, fouetté
Par la démence des orages,
Doit être pris dans la clarté
Du Moi, destructeur de mirages.

La lumière qui brille en nous
Est la lumière universelle.
Contemplez les grands brasiers fous
D'où s'élancent les Etincelles !

Le Père des globes embrasse
Le Père de l'esprit vivant,
Et l'oiseau lyre de la grâce
Descend dans la stupeur des vents.

Comme un aigle géant aux envolées profondes
L'esprit plane au dessus du tourbillon des mondes.


Citation 1155  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, poeme intitule "MAXIMES", p. 71 




U n chant lointain dans l'ombre,
Des étoiles sans nombre
Illuminant le ciel
Voilà l'essentiel.

De sublimes pensées,
Par l'Eternel bercées
Dans un flot de cristal,
C'est le supramental.

La joie incandescente
Qui fit blêmir le Dante,
Dont Hugo frissonna,
Voilà le Nirvâna.


Citation 1154  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, p. 69 




L e saint qui méditait sous le palmier paisible
A reçu dans son coeur une balle égarée;
Il meurt en s'écriant “ 0 lumière invisible,
Quel bonheur de s'enfuir dans ta gloire adorée! ”

Tu ressusciteras, mystérieux ermite,
Dans la joie et la force avec un corps nouveau.
Tu boiras dans ton âme un azur sans limites,
Ton vol dépassera les fabuleux niveaux !

Le fantôme qui passe, au large des Comores,
Gronde pour conquérir l'ineffable absolu,
Il faut monter plus haut que l'ombre et que l'aurore
Et ne rien désirer, pas même son salut !

0 fantôme, je suis la porte des Elus !


Citation 1153  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, p 53 




L e vent souffle dans les abîmes,
Le vent noir de l'éternité !
Il rose les dieux et les cimes...
Que l'oubli vienne m'emporter !

J'ai perdu les astres sublimes,
Le Christ des mondes m'a quitté...
La Terre fourmille de crimes...
Que la mort vienne m'emporter !

Je verse les larmes ultimes,
Sur la terrestre humanité.
La vie est elle légitime ?
Le vent de Dieu va m'emporter.


Citation 1152  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, poeme intitule "LE VENT DE DIEU", p 39 




L a lumière sereine envahit le ciel noir,
Le quadrige soleil se cabre dans l'aurore
Les ailes des oiseaux, plus vastes que l'espoir,
Abandonnent aux mers un refrain de mandore.

Pourquoi vouloir rester sur le sol des vivants
Quand les cris de l'humain deviennent frénétiques ?
Pourquoi ne pas goûter, loin du chemin des vents,
La divine sérénité des monts antiques ?

L'orchestre des rayons aiguise ses bémols.
Des yeux s'ouvrent hagards dans les airs et les ondes.
Archanges, mes amis, déployez votre vol
Pour emmener mon âme au delà des Trois Mondes !


Citation 1151  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, poeme intitule "POURQUOI ?", p 30 




A bsorbe moi dans tes souhaits spirituels
Afin que dans ton coeur tu vois grandir le ciel.
Tu chemines, pieds nus, sur l'herbe de mon âme,
La lumière de Dieu dans ton regard m'enflamme
Montons d'un pas serein vers les cimes, la fée
Palpite entre les mains flamboyantes d'Orphée
Et son cri de plaisir perce la nuit sans fin...

Prêtez moi votre vol, terribles séraphins,
Pour que je puisse transfigurer les maudits.

J'entends chanter le rossignol des paradis


Citation 1150  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, p 29 




L e présent et le passé tissés avec
Des fils colorés empruntés à l'avenir.
C'est ce que tu enseignes, ô lune,
Hamac accroché à deux astres,
Montre où sonnent les heures de Lucifer
Loupe brillante du savant !

C'est aussi ce que rugissent les cymbales d'or du Soleil
Quand elles se heurtent dans l'espace azuré de mon crâne.

Mon âme s'éveille à la berceuse que murmure la Mère Eternité.

J'ai pris la lumière dans ma main
La clarté m'a pris dans ses cheveux
Et nous sommes allés tous les deux
Dans les bleus espaces sans chemin

Jusqu'au centre où fleurit le lotus surhumain
0 humain, moins qu'humain, plus qu'humain !


Citation 1149  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, poeme intitule "EVEIL", p 21 




S ur la mer infinie et la brise insensée,
Vers le ciel farouche où brûle la Pensée,
Vers les étoiles amoureuses,
Gypaète augural, je dirai aux éclairs:
Je veux le seul Vivant, le seul Grand, le seul Clair,
Malgré les gouffres qui se creusent !

La lune au sein de miel, et Vénus de turquoise,
Saturne où des clartés sinistres s'entrecroisent,
Jupiter, saphir triomphal,
Mercure qui chatoie ainsi qu'un lac de songe,
Mars tout gonflé de sang comme une sombre éponge,
Et, toi, Pluton, astre fatal,

Uranus dévorant, Neptune idéaliste,
Proserpine écartant ses voiles d'améthyste,
Et les planètes inconnues
Jusqu'au brûlant Hercule, en margelle du vide,
Je les dépasserai, comme un aigle splendide,
A travers la terreur des nues.

Album de l'invisible aux milliards d'images,
Ouvrez devant mes yeux vos flamboyantes pages,
Volcan qui rugit et qui bout,
Je transfigurerai vos harmonies énormes,
Par delà les éons, les nombres et les formes
Et je deviendrai le Grand Tout !


Citation 1148  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, poeme intitule "DÉPASSEMENT", p 12 




D ieu dont le souffle immense inspire mon délire,
Je veux te visiter,
Plus loin que les lointains où les astres pâlirent,
Jusque dans ta cité.

je monterai, malgré les étoiles sauvages,
Vers ton palais d'azur;
Et le ciel offrira son écrin sans rivages
A mon diamant pur.

Le monde se dissipe ainsi qu'un noir fantôme...
Son livre, je l'ai lu !
Moi, pontife géant, sur le mont des Axiomes,
Je boirai l'Absolu


Citation 1147  | 
François BROUSSE, “ L’aigle blanc d’Altaïr ”, éd. La Licorne Ailée, 1987, p1 




L 'usage principal de la douleur [...] est de m'apprendre que je ne suis rien.


Citation 1012  | 
La pesanteur et la grâce, p.129, Pocket-Agora no99 




D e même il faut aimer beaucoup la vie pour aimer encore davantage la mort.


Citation 1011  | 
La pesanteur et la grâce, p.100, Pocket-Agora no99 




D ire que le monde ne vaut rien, que cette vie ne vaut rien, et donner pour preuve le mal, est absurde, car si cela ne vaut rien, de quoi le mal prive-t-il ?


Citation 1010  | 
La pesanteur et la grâce, p.100, Pocket-Agora no99 




N e pas chercher à ne pas souffrir ni à moins souffrir, mais à ne pas être altéré par la souffrance.


Citation 1009  | 
La pesanteur et la grâce, p.96, Pocket-Agora no99 




Q uand on a péché par injustice, il ne suffit pas de souffrir justement, il faut souffrir l'injustice.


Citation 1008  | 
La pesanteur et la grâce, p.88, Pocket-Agora no99) 




L a Grâce, qui est considérée par l'homme naturel comme un don qui lui vient d'un Divin extérieur, est pour l'homme initiatique l'accès à la conscience du Dieu intérieur, de son être propre.


Citation 812  | 
L'Expérience de la transcendance, trad. M. P. Schlembach, Le Cerf, 1987 / Albin Michel, 1994, cité par Jean Biès dans Les Grands Initiés du XXe siècle, p. 80-82 




A imer un étranger comme soi-même implique comme contrepartie :
s'aimer soi-même comme un étranger.


Citation 694  | 
La pesanteur et la grâce, p.74, Pocket-Agora no99 



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