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(Version Louis Segond 1910)


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(Ⅰ)
(Ⅲ)
(Ⅳ)
(Ⅵ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


12. 1  
Vers le même temps, le roi Hérode se mit à maltraiter quelques membres de l'Église,
- Or, en ce temps-là, le roi Hérode fit arrêter quelques-uns des membres de l'Eglise pour les maltraiter. (Ⅰ)
- Κατ’ ἐκεῖνον δὲ τὸν καιρὸν ἐπέβαλεν Ἡρῴδης ὁ βασιλεὺς τὰς χεῖρας κακῶσαί τινας τῶν ἀπὸ τῆς ἐκκλησίας. (Ⅲ)
- Eodem autem tempore misit Herodes rex manus, ut affligeret quosdam de ecclesia. (Ⅳ)
- Or vers ce temps-là, le roi Hérode mit les mains sur quelques-uns de ceux de l’assemblée pour les maltraiter, (Ⅵ)
- En ce même temps le Roi Hérode se mit à maltraiter quelques-uns de ceux de l’Eglise ; (Ⅶ)
- En ce même temps, le roi Hérode se mit à maltraiter quelques-uns de l'Église. (Ⅷ)
12. 2  
et il fit mourir par l'épée Jacques, frère de Jean.
- Il fit mourir par le glaive Jacques, le frère de Jean. (Ⅰ)
- ἀνεῖλεν δὲ Ἰάκωβον τὸν ἀδελφὸν Ἰωάννου μαχαίρῃ. (Ⅲ)
- Occidit autem Jacobum fratrem Joannis gladio. (Ⅳ)
- et il fit mourir par l’épée Jacques, le frère de Jean. (Ⅵ)
- Et fit mourir par l’épée Jacques, frère de Jean. (Ⅶ)
- Il fit mourir par l'épée Jacques, frère de Jean; (Ⅷ)
12. 3  
Voyant que cela était agréable aux Juifs, il fit encore arrêter Pierre. -C'était pendant les jours des pains sans levain. -
- Voyant que cela était agréable aux Juifs, il ordonna encore l'arrestation aussi de Pierre. C'était (pendant) les jours des Azymes. (Ⅰ)
- ⸂ἰδὼν δὲ⸃ ὅτι ἀρεστόν ἐστιν τοῖς Ἰουδαίοις προσέθετο συλλαβεῖν καὶ Πέτρον (ἦσαν ⸀δὲ ἡμέραι τῶν ἀζύμων), (Ⅲ)
- Videns autem quia placeret Judæis, apposuit ut apprehenderet et Petrum. Erant autem dies Azymorum. (Ⅳ)
- Et voyant que cela était agréable aux Juifs, il continua, en faisant prendre aussi Pierre; (or c’étaient les jours des pains sans levain;) (Ⅵ)
- Et voyant que cela était agréable aux Juifs, il continua, en faisant prendre aussi Pierre. (Ⅶ)
- Et voyant que cela était agréable aux Juifs, il fit aussi arrêter Pierre. (Ⅷ)
12. 4  
Après l'avoir saisi et jeté en prison, il le mit sous la garde de quatre escouades de quatre soldats chacune, avec l'intention de le faire comparaître devant le peuple après la Pâque.
- L'ayant fait prendre, il le mit en prison, le plaçant sous la garde de quatre escouades de quatre soldats chacune, avec l'intention de le faire comparaître devant le peuple après la Pâque. (Ⅰ)
- ὃν καὶ πιάσας ἔθετο εἰς φυλακήν, παραδοὺς τέσσαρσιν τετραδίοις στρατιωτῶν φυλάσσειν αὐτόν, βουλόμενος μετὰ τὸ πάσχα ἀναγαγεῖν αὐτὸν τῷ λαῷ. (Ⅲ)
- Quem cum apprehendisset, misit in carcerem, tradens quatuor quaternionibus militum custodiendum, volens post Pascha producere eum populo. (Ⅳ)
- et quand il l’eut fait prendre, il le mit en prison, et le livra à quatre bandes de quatre soldats chacune pour le garder, voulant, après la Pâque, le produire devant le peuple. (Ⅵ)
- Or c’étaient les jours des pains sans levain. Et quand il l’eut fait prendre, il le mit en prison, et le donna à garder à quatre bandes, de quatre soldats chacune, le voulant produire au supplice devant le peuple, après la [fête de] Pâque. (Ⅶ)
- C'était pendant les jours des pains sans levain. L'ayant donc fait arrêter, il le fit mettre en prison, et le donna à garder à quatre escouades, de quatre soldats chacune, voulant l'exposer au supplice devant le peuple, après la Pâque. (Ⅷ)
12. 5  
Pierre donc était gardé dans la prison; et l'Église ne cessait d'adresser pour lui des prières à Dieu.
- Pierre donc était gardé dans la prison, mais l'Eglise faisait pour lui une prière instante à Dieu. (Ⅰ)
- ὁ μὲν οὖν Πέτρος ἐτηρεῖτο ἐν τῇ φυλακῇ· προσευχὴ δὲ ἦν ⸀ἐκτενῶς γινομένη ὑπὸ τῆς ἐκκλησίας πρὸς τὸν θεὸν ⸀περὶ αὐτοῦ. (Ⅲ)
- Et Petrus quidem servabatur in carcere. Oratio autem fiebat sine intermissione ab ecclesia ad Deum pro eo.\ (Ⅳ)
- Pierre donc était gardé dans la prison; mais l’assemblée faisait d’instantes prières à Dieu pour lui. (Ⅵ)
- Ainsi Pierre était gardé dans la prison ; mais l’Eglise faisait sans cesse des prières à Dieu pour lui. (Ⅶ)
- Pierre était donc gardé dans la prison; mais l'Église faisait sans cesse des prières à Dieu pour lui. (Ⅷ)
12. 6  
La nuit qui précéda le jour où Hérode allait le faire comparaître, Pierre, lié de deux chaînes, dormait entre deux soldats; et des sentinelles devant la porte gardaient la prison.
- Or, alors qu'Hérode allait le faire comparaître, cette nuit-là, Pierre, lié de deux chaînes, dormait entre deux soldats, et des sentinelles devant la porte gardaient la prison. (Ⅰ)
- Ὅτε δὲ ἤμελλεν ⸂προαγαγεῖν αὐτὸν⸃ ὁ Ἡρῴδης, τῇ νυκτὶ ἐκείνῃ ἦν ὁ Πέτρος κοιμώμενος μεταξὺ δύο στρατιωτῶν δεδεμένος ἁλύσεσιν δυσίν, φύλακές τε πρὸ τῆς θύρας ἐτήρουν τὴν φυλακήν. (Ⅲ)
- Cum autem producturus eum esset Herodes, in ipsa nocte erat Petrus dormiens inter duos milites, vinctus catenis duabus : et custodes ante ostium custodiebant carcerem. (Ⅳ)
- Mais lorsque Hérode allait le produire, cette nuit-là, Pierre dormait entre deux soldats, lié de deux chaînes; et des gardes, devant la porte, gardaient la prison. (Ⅵ)
- Or dans le temps qu’Hérode était prêt de l’envoyer au supplice, cette nuit-là même Pierre dormait entre deux soldats, lié de deux chaînes ; et les gardes qui étaient devant la porte, gardaient la prison. (Ⅶ)
- Et la nuit d'avant le jour où Hérode devait l'envoyer au supplice, Pierre dormait entre deux soldats, lié de deux chaînes; et des gardes devant la porte, gardaient la prison. (Ⅷ)
12. 7  
Et voici, un ange du Seigneur survint, et une lumière brilla dans la prison. L'ange réveilla Pierre, en le frappant au côté, et en disant: Lève-toi promptement! Les chaînes tombèrent de ses mains.
- Et voici que survint un ange du Seigneur et qu'une lumière resplendit dans le cachot. Frappant Pierre au côté, il l'éveilla et dit : " Lève-toi promptement ! " Et les chaînes lui tombèrent des mains. (Ⅰ)
- καὶ ἰδοὺ ἄγγελος κυρίου ἐπέστη, καὶ φῶς ἔλαμψεν ἐν τῷ οἰκήματι· πατάξας δὲ τὴν πλευρὰν τοῦ Πέτρου ἤγειρεν αὐτὸν λέγων· Ἀνάστα ἐν τάχει· καὶ ἐξέπεσαν αὐτοῦ αἱ ἁλύσεις ἐκ τῶν χειρῶν. (Ⅲ)
- Et ecce angelus Domini astitit, et lumen refulsit in habitaculo : percussoque latere Petri, excitavit eum, dicens : Surge velociter. Et ceciderunt catenæ de manibus ejus. (Ⅳ)
- Et voici, un ange du Seigneur survint, et une lumière resplendit dans la prison; et frappant le côté de Pierre, il le réveilla, disant: Lève-toi promptement. Et les chaînes tombèrent de ses mains. (Ⅵ)
- Et voici, un Ange du Seigneur survint, et une lumière resplendit dans la prison, et [l’Ange] frappant le côté de Pierre, le réveilla, en lui disant : Lève-toi légèrement. Et les chaînes tombèrent de ses mains. (Ⅶ)
- Et voici, un ange du Seigneur survint, une lumière resplendit dans la prison, et l'ange, poussant Pierre par le côté, l'éveilla, en disant: Lève-toi promptement. Et les chaînes tombèrent de ses mains. (Ⅷ)
12. 8  
Et l'ange lui dit: Mets ta ceinture et tes sandales. Et il fit ainsi. L'ange lui dit encore: Enveloppe-toi de ton manteau, et suis-moi.
- Puis l'ange lui dit : " Mets ta ceinture et chausse tes sandales. " Il le fit, et (l'ange) lui dit : " Enveloppe-toi de ton manteau et suis-moi. " (Ⅰ)
- εἶπεν ⸀δὲ ὁ ἄγγελος πρὸς αὐτόν· ⸀Ζῶσαι καὶ ὑπόδησαι τὰ σανδάλιά σου· ἐποίησεν δὲ οὕτως. καὶ λέγει αὐτῷ· Περιβαλοῦ τὸ ἱμάτιόν σου καὶ ἀκολούθει μοι. (Ⅲ)
- Dixit autem angelus ad eum : Præcingere, et calcea te caligas tuas. Et fecit sic. Et dixit illi : Circumda tibi vestimentum tuum, et sequere me. (Ⅳ)
- Et l’ange lui dit: Ceins-toi et chausse tes sandales. Et il fit ainsi. Et il lui dit: Jette ton vêtement sur toi et suis-moi. (Ⅵ)
- Et l’Ange lui dit : ceins-toi, et chausse tes souliers ; ce qu’il fit. Puis il lui dit : jette ta robe sur toi, et me suis. (Ⅶ)
- Et l'ange lui dit: Ceins-toi, et chausse tes sandales; et il le fit. Puis l'ange lui dit: Enveloppe-toi de ton manteau et suis-moi. (Ⅷ)
12. 9  
Pierre sortit, et le suivit, ne sachant pas que ce qui se faisait par l'ange fût réel, et s'imaginant avoir une vision.
- Etant sorti, il le suivait, et il ne savait pas que fût réel ce qui se faisait par l'ange, mais il pensait avoir une vision. (Ⅰ)
- καὶ ἐξελθὼν ⸀ἠκολούθει, καὶ οὐκ ᾔδει ὅτι ἀληθές ἐστιν τὸ γινόμενον διὰ τοῦ ἀγγέλου, ἐδόκει δὲ ὅραμα βλέπειν. (Ⅲ)
- Et exiens sequebatur eum, et nesciebat quia verum est, quod fiebat per angelum : existimabat autem se visum videre. (Ⅳ)
- Et sortant, il le suivit; et il ne savait pas que ce qui se faisait par l’ange était réel, mais il croyait voir une vision. (Ⅵ)
- Lui donc sortant, le suivit ; mais il ne savait point que ce qui se faisait par l’Ange, fût réel, car il croyait voir quelque vision. (Ⅶ)
- Et Pierre, étant sorti, le suivait, sans savoir que ce que l'ange faisait se fît réellement, mais il croyait qu'il avait une vision. (Ⅷ)
12. 10  
Lorsqu'ils eurent passé la première garde, puis la seconde, ils arrivèrent à la porte de fer qui mène à la ville, et qui s'ouvrit d'elle-même devant eux; ils sortirent, et s'avancèrent dans une rue. Aussitôt l'ange quitta Pierre.
- Lorsqu'ils eurent franchi le premier poste de garde, puis le deuxième, ils arrivèrent à la porte de fer donnant sur la ville : elle s'ouvrit d'elle-même pour eux; puis, étant sortis, ils s'avancèrent dans une rue, et aussitôt l'ange le quitta. (Ⅰ)
- διελθόντες δὲ πρώτην φυλακὴν καὶ δευτέραν ἦλθαν ἐπὶ τὴν πύλην τὴν σιδηρᾶν τὴν φέρουσαν εἰς τὴν πόλιν, ἥτις αὐτομάτη ἠνοίγη αὐτοῖς, καὶ ἐξελθόντες προῆλθον ῥύμην μίαν, καὶ εὐθέως ἀπέστη ὁ ἄγγελος ἀπ’ αὐτοῦ. (Ⅲ)
- Transeuntes autem primam et secundam custodiam, venerunt ad portam ferream, quæ ducit ad civitatem : quæ ultro aperta est eis. Et exeuntes processerunt vicum unum : et continuo discessit angelus ab eo.\ (Ⅳ)
- Et ayant passé la première et la seconde garde, ils vinrent à la porte de fer qui conduit à la ville, et elle s’ouvrit à eux d’elle-même; et, étant sortis, ils allèrent jusqu’au bout d’une rue; et aussitôt l’ange se retira d’avec lui. (Ⅵ)
- Et quand ils eurent passé la première et la seconde garde, ils vinrent à la porte de fer, par où l’on va à la ville, et cette porte s’ouvrit à eux d’elle-même, et étant sortis, ils passèrent une rue, et subitement l’Ange se retira d’auprès de lui. (Ⅶ)
- Et quand ils eurent passé la première et la seconde garde, ils vinrent à la porte de fer, qui conduit dans la ville, et elle s'ouvrit à eux d'elle-même. Et étant sortis, ils parcoururent une rue; et aussitôt l'ange se retira d'avec lui. (Ⅷ)
12. 11  
Revenu à lui-même, Pierre dit: Je vois maintenant d'une manière certaine que le Seigneur a envoyé son ange, et qu'il m'a délivré de la main d'Hérode et de tout ce que le peuple juif attendait.
- Revenu à lui-même, Pierre dit : " Maintenant je sais que le Seigneur a réellement envoyé son ange, et qu'il m'a tiré de la main d'Hérode et de tout ce qu'attendait le peuple des Juifs. " (Ⅰ)
- καὶ ὁ Πέτρος ⸂ἐν ἑαυτῷ γενόμενος⸃ εἶπεν· Νῦν οἶδα ἀληθῶς ὅτι ἐξαπέστειλεν ⸀ὁ κύριος τὸν ἄγγελον αὐτοῦ καὶ ἐξείλατό με ἐκ χειρὸς Ἡρῴδου καὶ πάσης τῆς προσδοκίας τοῦ λαοῦ τῶν Ἰουδαίων. (Ⅲ)
- Et Petrus ad se reversus, dixit : Nunc scio vere quia misit Dominus angelum suum, et eripuit me de manu Herodis, et de omni exspectatione plebis Judæorum. (Ⅳ)
- Et Pierre, étant revenu à lui, dit: Je connais à présent certainement que le Seigneur a envoyé son ange, et m’a délivré de la main d’Hérode et de toute l’attente du peuple des Juifs. (Ⅵ)
- Alors Pierre étant revenu à soi dit : je sais à présent pour sûr que le Seigneur a envoyé son Ange, et qu’il m’a délivré de la main d’Hérode, et de toute l’attente du peuple Juif. (Ⅶ)
- Et Pierre, étant revenu à lui, dit: Maintenant je sais certainement que le Seigneur a envoyé son ange, et qu'il m'a délivré de la main d'Hérode, et de tout ce que le peuple juif attendait. (Ⅷ)
12. 12  
Après avoir réfléchi, il se dirigea vers la maison de Marie, mère de Jean, surnommé Marc, où beaucoup de personnes étaient réunies et priaient.
- Après un temps de réflexion, il se rendit la maison de Marie, la mère de Jean, surnommé Marc, où une assez nombreuse assemblée était en prière. (Ⅰ)
- Συνιδών τε ἦλθεν ἐπὶ τὴν οἰκίαν ⸀τῆς Μαρίας τῆς μητρὸς Ἰωάννου τοῦ ἐπικαλουμένου Μάρκου, οὗ ἦσαν ἱκανοὶ συνηθροισμένοι καὶ προσευχόμενοι. (Ⅲ)
- Consideransque venit ad domum Mariæ matris Joannis, qui cognominatus est Marcus, ubi erant multi congregati, et orantes. (Ⅳ)
- Et s’étant reconnu, il se rendit à la maison de Marie, mère de Jean surnommé Marc, où plusieurs étaient assemblés et priaient. (Ⅵ)
- Et ayant considéré le tout, il vint à la maison de Marie, mère de Jean surnommé Marc, où plusieurs étaient assemblés, et faisaient des prières. (Ⅶ)
- Et s'étant reconnu, il alla à la maison de Marie, mère de Jean, sur-nommé Marc, où plusieurs personnes étaient assemblées et priaient. (Ⅷ)
12. 13  
Il frappa à la porte du vestibule, et une servante, nommée Rhode, s'approcha pour écouter.
- Or, quand il eut frappé à la porte du porche, une jeune servante, nommée Rhodé, s'avança pour écouter, (Ⅰ)
- κρούσαντος δὲ ⸀αὐτοῦ τὴν θύραν τοῦ πυλῶνος προσῆλθε παιδίσκη ὑπακοῦσαι ὀνόματι Ῥόδη, (Ⅲ)
- Pulsante autem eo ostium januæ, processit puella ad audiendum, nomine Rhode. (Ⅳ)
- Et comme il heurtait à la porte du vestibule, une servante nommée Rhode vint pour écouter; (Ⅵ)
- Et quand il eut heurté à la porte du vestibule, une servante, nommée Rhode, vint pour écouter ; (Ⅶ)
- Quand il eut frappé à la porte d'entrée, une servante, nommée Rhode (Rose), s'avança, pour écouter. (Ⅷ)
12. 14  
Elle reconnut la voix de Pierre; et, dans sa joie, au lieu d'ouvrir, elle courut annoncer que Pierre était devant la porte.
- et ayant reconnu la voix de Pierre, dans sa joie, elle n'ouvrit pas la porte, mais courut à l'intérieur annoncer que Pierre était devant le porche. (Ⅰ)
- καὶ ἐπιγνοῦσα τὴν φωνὴν τοῦ Πέτρου ἀπὸ τῆς χαρᾶς οὐκ ἤνοιξεν τὸν πυλῶνα, εἰσδραμοῦσα δὲ ἀπήγγειλεν ἑστάναι τὸν Πέτρον πρὸ τοῦ πυλῶνος. (Ⅲ)
- Et ut cognovit vocem Petri, præ gaudio non aperuit januam, sed intro currens nuntiavit stare Petrum ante januam. (Ⅳ)
- et reconnaissant la voix de Pierre, de joie elle n’ouvrit point le vestibule; mais étant rentrée en courant, elle rapporta que Pierre se tenait devant le vestibule. (Ⅵ)
- Laquelle ayant connu la voix de Pierre, de joie n’ouvrit point le vestibule, mais elle courut dans la maison, et annonça que Pierre était devant la porte. (Ⅶ)
- Et ayant reconnu la voix de Pierre, de la joie qu'elle en eut, elle n'ouvrit point le porche; mais elle courut annoncer que Pierre était devant le porche. (Ⅷ)
12. 15  
Ils lui dirent: Tu es folle. Mais elle affirma que la chose était ainsi.
- Ils lui dirent : " Tu es folle ! " Mais elle assurait que c'était ainsi, et ils disaient : " C'est son ange. " (Ⅰ)
- οἱ δὲ πρὸς αὐτὴν εἶπαν· Μαίνῃ. ἡ δὲ διϊσχυρίζετο οὕτως ἔχειν. οἱ δὲ ἔλεγον· Ὁ ἄγγελός ⸂ἐστιν αὐτοῦ⸃. (Ⅲ)
- At illi dixerunt ad eam : Insanis. Illa autem affirmabat sic se habere. Illi autem dicebant : Angelus ejus est. (Ⅳ)
- Et ils lui dirent: Tu es folle. Mais elle affirmait qu’il en était ainsi. Et ils disaient: C’est son ange. (Ⅵ)
- Et ils lui dirent : tu es folle. Mais elle assurait que ce qu’elle disait était vrai ; et eux disaient : c’est son Ange. (Ⅶ)
- Et ils lui dirent: Tu es folle. Mais elle assurait que la chose était ainsi; et ils dirent: C'est son ange. (Ⅷ)
12. 16  
Et ils dirent: C'est son ange. Cependant Pierre continuait à frapper. Ils ouvrirent, et furent étonnés de le voir.
- Quant à Pierre, il continuait de frapper. Lorsqu'ils eurent ouvert, en le voyant, ils furent saisis de stupeur. (Ⅰ)
- ὁ δὲ Πέτρος ἐπέμενεν κρούων· ἀνοίξαντες δὲ εἶδαν αὐτὸν καὶ ἐξέστησαν. (Ⅲ)
- Petrus autem perseverabat pulsans. Cum autem aperuissent, viderunt eum, et obstupuerunt. (Ⅳ)
- Mais Pierre continuait à heurter; et quand ils eurent ouvert, ils le virent et furent hors d’eux. (Ⅵ)
- Mais Pierre continuait à heurter ; et quand ils eurent ouvert, ils le virent, et furent comme ravis hors d’eux-mêmes. (Ⅶ)
- Cependant, Pierre continuait à frapper, et quand ils eurent ouvert, ils le virent, et furent ravis hors d'eux-mêmes. (Ⅷ)
12. 17  
Pierre, leur ayant de la main fait signe de se taire, leur raconta comment le Seigneur l'avait tiré de la prison, et il dit: Annoncez-le à Jacques et aux frères. Puis il sortit, et s'en alla dans un autre lieu.
- Mais lui, de la main, leur fit signe de se taire, et il leur raconta comment le Seigneur l'avait mené hors de la prison, et il dit : " Annoncez cela à Jacques et aux frères. " Puis il sortit et s'en alla dans un autre lieu. (Ⅰ)
- κατασείσας δὲ αὐτοῖς τῇ χειρὶ σιγᾶν διηγήσατο αὐτοῖς πῶς ὁ κύριος αὐτὸν ἐξήγαγεν ἐκ τῆς φυλακῆς, εἶπέν ⸀τε· Ἀπαγγείλατε Ἰακώβῳ καὶ τοῖς ἀδελφοῖς ταῦτα. καὶ ἐξελθὼν ἐπορεύθη εἰς ἕτερον τόπον. (Ⅲ)
- Annuens autem eis manu ut tacerent, narravit quomodo Dominus eduxisset eum de carcere, dixitque : Nuntiate Jacobo et fratribus hæc. Et egressus abiit in alium locum.\ (Ⅳ)
- Et leur ayant fait signe de la main de se taire, il leur raconta comment le Seigneur l’avait fait sortir de la prison; et il dit: Rapportez ces choses à Jacques et aux frères. Et sortant, il s’en alla en un autre lieu. (Ⅵ)
- Et lui leur ayant fait signe de la main qu’ils fissent silence, leur raconta comment le Seigneur l’avait fait sortir de la prison, et il leur dit : annoncez ces choses à Jacques et aux frères. Puis sortant de là il s’en alla en un autre lieu. (Ⅶ)
- Mais lui, leur faisant signe de la main de se taire, leur raconta comment le Seigneur l'avait fait sortir de la prison; et il dit: Faites savoir cela à Jacques et à nos frères; après quoi il sortit, et s'en alla dans un autre lieu. (Ⅷ)
12. 18  
Quand il fit jour, les soldats furent dans une grande agitation, pour savoir ce que Pierre était devenu.
- Or, le jour venu, ce ne fut pas petite agitation parmi les soldats pour savoir ce que Pierre était devenu. (Ⅰ)
- Γενομένης δὲ ἡμέρας ἦν τάραχος οὐκ ὀλίγος ἐν τοῖς στρατιώταις, τί ἄρα ὁ Πέτρος ἐγένετο. (Ⅲ)
- Facta autem die, erat non parva turbatio inter milites, quidnam factum esset de Petro. (Ⅳ)
- Mais le jour étant venu, il y eut un grand trouble parmi les soldats au sujet de ce que Pierre était donc devenu. (Ⅵ)
- Mais le jour étant venu il y eut un grand trouble entre les soldats, [pour savoir] ce que Pierre était devenu. (Ⅶ)
- Quand il fut jour, il y eut un grand trouble parmi les soldats, pour savoir ce que Pierre était devenu. (Ⅷ)
12. 19  
Hérode, s'étant mis à sa recherche et ne l'ayant pas trouvé, interrogea les gardes, et donna l'ordre de les mener au supplice. Ensuite il descendit de la Judée à Césarée, pour y séjourner.
- Mais Hérode, l'ayant fait chercher et ne l'ayant pas trouvé, procéda à l'interrogatoire des sentinelles et ordonna de les conduire(au supplice). ensuite il descendit de Judée à Césarée, (où) il séjourna. (Ⅰ)
- Ἡρῴδης δὲ ἐπιζητήσας αὐτὸν καὶ μὴ εὑρὼν ἀνακρίνας τοὺς φύλακας ἐκέλευσεν ἀπαχθῆναι, καὶ κατελθὼν ἀπὸ τῆς Ἰουδαίας ⸀εἰς Καισάρειαν διέτριβεν. (Ⅲ)
- Herodes autem cum requisisset eum et non invenisset, inquisitione facta de custodibus, jussit eos duci : descendensque a Judæa in Cæsaream, ibi commoratus est. (Ⅳ)
- Et Hérode, l’ayant cherché et ne l’ayant pas trouvé, fit subir un interrogatoire aux gardes et donna ordre qu’ils fussent emmenés au supplice. Et descendant de la Judée à Césarée, il y séjourna. (Ⅵ)
- Et Hérode l’ayant cherché, et ne le trouvant point, après en avoir fait le procès aux gardes, il commanda qu’ils fussent menés au supplice. Puis il descendit de Judée à Césarée, où il séjourna. (Ⅶ)
- Et Hérode, l'ayant fait chercher sans qu'on pût le trouver, fit le procès aux gardes, et il commanda qu'on les menât au supplice. Puis il descendit de Judée à Césarée, où il s'arrêta. (Ⅷ)
12. 20  
Hérode avait des dispositions hostiles à l'égard des Tyriens et des Sidoniens. Mais ils vinrent le trouver d'un commun accord; et, après avoir gagné Blaste, son chambellan, ils sollicitèrent la paix, parce que leur pays tirait sa subsistance de celui du roi.
- Or il était fort irrité contre les Tyriens et les Sidoniens. Eux, d'un commun accord, se présentèrent à lui; et, après avoir gagné Blastus, le chambellan du roi, ils demandaient la paix, parce que leur pays tirait sa subsistance de celui du roi. (Ⅰ)
- Ἦν ⸀δὲ θυμομαχῶν Τυρίοις καὶ Σιδωνίοις· ὁμοθυμαδὸν δὲ παρῆσαν πρὸς αὐτόν, καὶ πείσαντες Βλάστον τὸν ἐπὶ τοῦ κοιτῶνος τοῦ βασιλέως ᾐτοῦντο εἰρήνην διὰ τὸ τρέφεσθαι αὐτῶν τὴν χώραν ἀπὸ τῆς βασιλικῆς. (Ⅲ)
- Erat autem iratus Tyriis et Sidoniis. At illi unanimes venerunt ad eum, et persuaso Blasto, qui erat super cubiculum regis, postulabant pacem, eo quod alerentur regiones eorum ab illo. (Ⅳ)
- Or il était très irrité contre les Tyriens et les Sidoniens; mais ils vinrent à lui d’un commun accord, et ayant gagné Blaste le chambellan du roi, ils demandèrent la paix, parce que leur pays était nourri par celui du roi. (Ⅵ)
- Or il était dans le dessein de faire la guerre aux Tyriens et aux Sidoniens ; mais ils vinrent à lui d’un commun accord ; et ayant gagné Blaste, qui était Chambellan du Roi, ils demandèrent la paix, parce que leur pays était nourri de celui du Roi. (Ⅶ)
- Or, Hérode était en hostilité avec les Tyriens et les Sidoniens. Mais ils vinrent le trouver d'un commun accord, et ayant gagné Blastus, chambellan du roi, ils demandèrent la paix, parce que leur pays tirait sa subsistance de celui du roi. (Ⅷ)
12. 21  
A un jour fixé, Hérode, revêtu de ses habits royaux, et assis sur son trône, les harangua publiquement.
- Au jour fixé, Hérode, revêtu du costume royal et assis sur l'estrade, les haranguait; (Ⅰ)
- τακτῇ δὲ ἡμέρᾳ ὁ Ἡρῴδης ἐνδυσάμενος ἐσθῆτα βασιλικὴν ⸀καὶ καθίσας ἐπὶ τοῦ βήματος ἐδημηγόρει πρὸς αὐτούς· (Ⅲ)
- Statuto autem die Herodes vestitus veste regia sedit pro tribunali, et concionabatur ad eos. (Ⅳ)
- Et, à un jour marqué, Hérode, revêtu d’une robe royale et assis sur une estrade, les haranguait. (Ⅵ)
- Dans un jour marqué, Hérode, revêtu d’une robe royale, s’assit sur son trône, et les haranguait. (Ⅶ)
- Au jour fixé, Hérode, revêtu de ses habits royaux, assis sur son trône, les harangua. (Ⅷ)
12. 22  
Le peuple s'écria: Voix d'un dieu, et non d'un homme!
- et le peuple acclamait : " C'est un Dieu qui parle, et non un homme ! " (Ⅰ)
- ὁ δὲ δῆμος ἐπεφώνει· ⸂Θεοῦ φωνὴ⸃ καὶ οὐκ ἀνθρώπου. (Ⅲ)
- Populus autem acclamabat : Dei voces, et non hominis. (Ⅳ)
- Et le peuple s’écriait: Voix d’un dieu et non pas d’un homme! (Ⅵ)
- Sur quoi le peuple s’écria : Voix d’un Dieu, et non point d’un homme ! (Ⅶ)
- Et le peuple s'écria: Voix d'un dieu, et non point d'un homme! (Ⅷ)
12. 23  
Au même instant, un ange du Seigneur le frappa, parce qu'il n'avait pas donné gloire à Dieu. Et il expira, rongé des vers.
- Mais à l'instant un ange du Seigneur le frappa, parce qu'il n'avait pas donné la gloire à Dieu, et, devenu pâture des vers, il expira. (Ⅰ)
- παραχρῆμα δὲ ἐπάταξεν αὐτὸν ἄγγελος κυρίου ἀνθ’ ὧν οὐκ ἔδωκεν ⸀τὴν δόξαν τῷ θεῷ, καὶ γενόμενος σκωληκόβρωτος ἐξέψυξεν. (Ⅲ)
- Confestim autem percussit eum angelus Domini, eo quod non dedisset honorem Deo : et consumptus a vermibus, expiravit. (Ⅳ)
- Et à l’instant un ange du Seigneur le frappa, parce qu’il n’avait pas donné la gloire à Dieu; et, étant rongé par les vers, il expira. (Ⅵ)
- Et à l’instant un Ange du Seigneur le frappa, parce qu’il n’avait point donné gloire à Dieu ; et il fut rongé des vers, et rendit l’esprit. (Ⅶ)
- Mais à l'instant un ange du Seigneur le frappa, parce qu'il n'avait pas donné gloire à Dieu; et il mourut rongé des vers. (Ⅷ)
12. 24  
Cependant la parole de Dieu se répandait de plus en plus, et le nombre des disciples augmentait.
- Cependant la parole de Dieu se répandait et progressait. (Ⅰ)
- Ὁ δὲ λόγος τοῦ ⸀θεοῦ ηὔξανεν καὶ ἐπληθύνετο. (Ⅲ)
- Verbum autem Domini crescebat, et multiplicabatur. (Ⅳ)
- Mais la parole de Dieu croissait et se multipliait. (Ⅵ)
- Mais la parole de Dieu faisait des progrès et se répandait. (Ⅶ)
- Or la parole du Seigneur croissait, et se répandait. (Ⅷ)
12. 25  
Barnabas et Saul, après s'être acquittés de leur message, s'en retournèrent de Jérusalem, emmenant avec eux Jean, surnommé Marc.
- Barnabé et Saul, après s'être acquittés de leur service, s'en retournèrent de Jérusalem, ayant pris avec eux Jean, surnommé Marc. (Ⅰ)
- Βαρναβᾶς δὲ καὶ Σαῦλος ὑπέστρεψαν, ⸀εἰς Ἰερουσαλὴμ πληρώσαντες τὴν διακονίαν, ⸀συμπαραλαβόντες Ἰωάννην τὸν ἐπικληθέντα Μᾶρκον. (Ⅲ)
- Barnabas autem et Saulus reversi sunt ab Jerosolymis expleto ministerio assumpto Joanne, qui cognominatus est Marcus. (Ⅳ)
- Et Barnabas et Saul, ayant accompli leur service, s’en retournèrent de Jérusalem, emmenant aussi avec eux Jean qui était surnommé Marc. (Ⅵ)
- Barnabas aussi et Saul, après avoir achevé leur commission, s’en retournèrent de Jérusalem, ayant aussi pris avec eux Jean, qui était surnommé Marc. (Ⅶ)
- Et Barnabas et Saul, après s'être acquittés de leur ministère, s'en retournèrent de Jérusalem, ayant aussi pris avec eux Jean, surnommé Marc. (Ⅷ)


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Chapitre 12
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