Dialogue  Inter-  Religieux

Les Classiques > Le Souffle

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C eux qui désirent atteindre la réalisation spirituelle par la maîtrise des sens et du mental, offrent en sacrifice, dans le feu du mental maîtrisé, les activités de tous leurs sens et leur souffle vital. D'autres, éclairés par le sacrifice de leur biens matériels et par de grandes austérités, font des voeux stricts et adoptent le yoga en huit phases, D'autres encore étudient les Vedas pour acquérir le savoir absolu. Certain, également, recherchent l'exaltation dans la maîtrise des fonctions respiratoires: ils s'exercent à fondre le souffle expiré dans le souffle inspiré, puis l'inverse; ils parviennent ainsi à suspendre toute respiration et à connaître l'extase. Certain encore, restreignant leur nourriture, sacrifient en lui même le souffle expiré. D'entre eux, tous ceux qui connaissent le but du sacrifice sont libérés des chaînes du karma; ayant goûté au nectar des fruits du sacrifice, ils atteignent les sphères suprêmes de l'éternité. O toi le meilleur de Kurus, sache que sans accomplir de sacrifice, on ne peut vivre heureux dans cette vie, en ce monde; et que dire de la suivante? Ces divers sacrifices sont autorisés par les Vedas et conçus en fonction des divers formes de l'action; sachant cela, tu atteindras la libération. Supérieur au sacrifice des biens matériels est le sacrifice de la connaissance, ô vainqueur des ennemis, car en dernier lieu, ô fils de Prthâ, le sacrifice de l'action trouve sa fin dans le savoir absolu.


Citation 1707  | 
IV, 27-33 




I l faut vénérer l'Âme qui est faite de la pensée, dont le corps est souffle, la forme lumière, l'être espace.


Citation 1682  |   Upanishads
Hymne à l'âtman (Shatapatha-Brâhmana : 10.6 ), sq. 2 dans « Sept Upanishads », Collections « Points Sagesses », le Seuil, 1999 traduction Jean Varenne 




T out ce que je suis, c'est une chair, avec un souffle et un principe directeur. […]. Examine aussi ce qu'est le souffle : du vent qui n'est pas toujours le même, car à tout moment tu le rends pour en avaler d'autre


Citation 1666  | 
Pensées pour moi-même, Livre II, II, Traduit par Mario Meunier, éditions Garnier-Flammarion, 2001. 




A près cela il faut reconnaître, en se référant aux sensations et aux sentiments — car en procédant ainsi on arrivera à la certitude inébranlable — que l’âme est un corps composé de particules subtiles, qui est disséminé dans tout l’agrégat constituant notre corps et qui ressemble de plus à un souffle mêlé de chaleur, se rapprochant en partie de l’un, en partie de l’autre. Mais une certaine partie de l’âme se distingue notablement de ces dernières propriétés par sa ténuité extrême et est de la sorte mêlée plus intimement à notre corps.


Citation 1659  | 
Lettre à Hérodote 




L à où ni pensée ni souffle ne circulent, là ou ni soleil ni lune pénètrent, là même, insensé, mets ta conscience en repos. Tel l'enseignement que profère Saraha. (25 )

Où la pensée meurt, le souffle s'arrête... réside la suprême et grande Béatitude. Elle ne se trouve pas ailleurs dit Saraha . (30-31)

La pensée aussi instable que le vent et le cheval, abandonnez-la. Prenez conscience de la nature propre du Spontané et d'elle-même la pensée s'immobilisera. (45. )

Là, l'intelligence se défait, la pensée succombe, l'orgueil vole en éclats. Telle est la suprême kala identique à l'illusion. Pourquoi s'y lier par la méditation ? (53.)

Regardez, écoutez, touchez, mangez, sentez, marchez, restez assis, levez-vous, [mais] renoncez au bavardage de la vie courante. Abandonnez la pensée, ne vous écartez pas de l'Un. (55 )

Suprêmement libre d'être et de non-être, c'est en Lui que s'engloutit le monde entier. Quand la pensée s'arrête, immobile, on se libère alors du cycle du devenir ! (59 )

En elle, il rend toute forme égale à l'espace infini, il affermit la pensée elle aussi dans la nature propre de [cette] égalité spatiale, celui qui rend sa pensée sans pensée se réjouit de la suprême nature propre du Spontané. (77. )


Citation 1579  |   Saraha
Dohakosa de Saraha, cité et traduit par André Padoux, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p.327-337 




C ar lorsque le douloureux "enfantement de la mort" (Act. 2,24; cf. Rom. 8,22) fait naître les hommes à une autre vie, ils expérimentent alors, en s’avançant vers cette lumière et en aspirant le souffle pur, quelle différence il y a entre cette vie-là et la nôtre; en revanche, ceux qu’ils ont laissés à cette vie humide et molle, en vérité, sont des embryons et non des hommes, lorsqu’ils se lamentent sur celui qui, avant eux, est sorti des attaches qui nous enserrent, comme s’il avait perdu un bien; mais ils ne savent pas que son œil s’ouvre comme celui d’un nouveau-né en quittant les attaches de la vie présente (il faut, certes, entendre par là l’œil de l’âme (cf. Éph. 1,18), grâce auquel elle discerne la vérité des êtres), ni que s’éveille son sens acoustique, par lequel il entend les paroles ineffables “qu’il n’est pas permis à un homme de dire”, comme dit l’Apôtre (2 Cor. 12,4), ni que sa bouche s’ouvre et aspire le souffle pur et immatériel, qui le tend vers la voix intelligible et la Parole de vérité, lorsqu’il a été uni à l’écho du chœur des saints en fête; de même lui est accordé un goût divin, par lequel il sait, comme il est écrit dans le Psaume, que “le Seigneur est bon” (Ps. 33,9); grâce à son odorat il perçoit “la bonne odeur du Christ” (2 Cor. 2,15; cf. Éph. 5,2), et en recevant en outre le toucher, son âme tâte la vérité et “touche le Verbe”, comme en témoigne Jean (1 Jn 1,1) (1) .


Citation 1534  | 
Discours sur les morts, DEUXIEME PARTIE : EXHORTATION À LA CONNAISSANCE DE LA VIE INCORPORELLE, L'incorporéité est la vraie nature de l'homme, 47, traduction Guillaume Bady 

(1) Sur l’éveil des sens spirituels, ce passage illustre bien la différence entre Origène, pour qui cet éveil est dû à l'enthousiasme intellectuel, et Grégoire, pour qui il correspond à la présence du Christ dans l'âme et à la vie surnaturelle (voir J. Daniélou, Platonisme et théologie mystique, p. 235sq et 264).




P leurer, cependant, est une passion qui, comme toute autre passion, est impossible aux défunts; étant devenus esprit et souffle, ils n'ont plus ni chair ni sang : leur nature, de ce fait, les empêche d’être vus par ceux qui sont enterrés sous l’épaisseur du corps (1), ni avertir d’eux-mêmes les hommes de leur erreur de jugement sur la réalité.


Citation 1529  | 
Discours sur les morts, DEUXIEME PARTIE : EXHORTATION À LA CONNAISSANCE DE LA VIE INCORPORELLE, 39, traduction Guillaume Bady 

(1) Sur ce thème platonicien (cf. Gorgias 493a et Phèdre 250c), voir P. Courcelle, “Le corps-tombeau”, dans REA 68, 1966, p. 101-122.




T el souffle, tel mental. Tel mental, tel homme.


Citation 1429  | 
Paramahansa Prajnanananda, En compagnie des maitres du Kriya Yoga, p.127 




L e mental est le Seigneur des sens, mais le souffle règne sur le mental.
Le contrôle du souffle vous mènera donc au contrôle du mental et à la libération.


Citation 1427  | 
Paramahansa Prajnanananda, En compagnie des maitres du Kriya Yoga, p.126 




O ffrez tout à Dieu, y compris votre souffle.


Citation 1421  | 
Paramahansa Prajnanananda, En compagnie des maitres du Kriya Yoga, p.123 




C haque inhalation est une naissance. Chaque exhalation
est une mort. Ainsi chaque souffle est une vie entière.


Citation 1415  | 
Paramahansa Prajnanananda, En compagnie des maitres du Kriya Yoga, p.119 




L e contrôle du souffle est le contrôle de soi.
La maîtrise du souffle est la maîtrise de soi.
L'état sans souffle est l'état sans mort.


Citation 1412  | 
Paramahansa Prajnanananda, En compagnie des maitres du Kriya Yoga, p.118 




L e souffle et le mental sont liés. Lorsque l'agitation du prana (souffle) disparaît la vie devient divine.


Citation 1411  | 
Paramahansa Prajnanananda, En compagnie des maitres du Kriya Yoga, p.109 




L e souffle est la manifestation du divin.


Citation 1410  | 
Paramahansa Prajnanananda, En compagnie des maitres du Kriya Yoga, p.109 




A chaque souffle fusionnez avec l'âme.
La pratique rend parfait.


Citation 1370  | 
Paramahansa Prajnanananda, En compagnie des maitres du Kriya Yoga, p.41 




R ejetez toute pensée à propos du passé ou du futur et
faites votre travail en fixant votre attention sur votre
souffle (prana)


Citation 1347  | 
Paramahansa Prajnanananda, En compagnie des maitres du Kriya Yoga, p.33 




U ne est la lumiere du soleil, bien qu'elle se laisse separer par des murs, des montagnes et mille autres obstacles.
Une est la substance universelle, bien qu'elle se separe en combien de milliers de corps particuliers.
Un est le souffle vital, bien qu'il se separe en des milliers de natures et de particulieres delimitations. Une est l'ame intelligente, bien qu'elle paraisse se partager.


Citation 1296  | 
Le grand livre de la sagesse, ediction le cherche midi editeur, p.143 




E tre bouddha, c'est etre, tout simplement.
Et lorsqu'on ne fait rien, on fait neanmoins quelque chose puisque l'on est.
Notre etre exprime, notre souffle exprime, notre corps, notre regard, notre voix expriment quelque chose.
Notre nature doit s'exprimer de la facon la plus authentique, la plus adequate, la plus simple, jusque dans les choses les plus infimes.


Citation 1263  | 
Le grand livre de la sagesse, ediction le cherche midi editeur, p.30 




C 'est que le cœur (1) se trouve apte à recevoir l'irradiation de la Réalité suprême (2) qui est en toutes choses.
Rien en effet ne peut s'interposer entre le cœur et les choses si ce n'est l'un des cinq motifs que nous avons indiqués (la défiance du cœur lui même ; la ternissure des péchés et la rouille des passions ; tout ce qui peut distraire de la vérité ; les préjugés ; l'ignorance de l'endroit où se trouve l'objet cherché). Et c'est comme un voile (3) qui s'interpose entre le miroir du cœur et la tablette gardée sur laquelle est gravé tout ce que Dieu a dévoilé jusqu'au jour de la Résurrection. […]
Les réalités des connaissances s'irradient du miroir de la tablette sur le miroir du cœur, comme l'image produite sur un miroir s'imprimerait sur un autre placé devant lui.
Le voile qui est entre les deux miroirs et tantôt écarté par la main, tantôt par les souffles des vents qui l'agitent. Ainsi soufflent parfois les vents des grâces : les voiles alors sont levés de devant les yeux du cœur, et quelques-unes unes des choses tracées sur la tablette s'irradient en lui. Cela se produit de temps à autre dans le sommeil, et l'on sait par ce moyen ce qu'il arrivera dans l'avenir.
Quant au complet enlèvement du voile, ce sera le fait de la mort [en cet instant] où est ôté ce qui cache [la Réalité des choses]. Mais il arrive aussi que le voile soit écarté pendant l'état de veille, au point d'être soulevé par une grâce cachée de Dieu Très Haut, et quelque chose alors des merveilles de la science luit dans les cœurs de derrière le voile du Mystère (mystère de Dieu non révélé, l'incognoscibilité absolue de son essence, secondairement, les choses cachées et invisibles mais non connaissables de soi) : C'est parfois comme l'éclair rapide, d'autre fois une succession, mais limitée, et il est excessivement rare que cet état se prolonge.


Citation 892  | 
Ihya' ulim al din, 3ième ¼, Livre I, " les prodiges du cœur ", cité et traduit par GG Anawati et Louis Gardet, " La Mystique Musulmane ", Extrait de l'Ihya' ulim al din " 

(1) Le cœur (qualb) signifie selon Ghazzali : 1° organe charnel ; 2e un principe subtil, divin et spirituel, qui est la " réalité de l'homme " […] Le cœur, lui, est la personnalité de l'homme ; c'est le cœur qui sera récompensé, réprimandé ou puni, c'est à lui qu'il sera demandé compte. Et ce qui nous concerne ici, c'est lui qui est " le lieu de la science " du 'ilm, science des choses divines. (2) " Réalité suprême " : (haqiqa al haqq), dans son mot à mot, elle devrait se traduire : " la réalité du réel " ou " Vérité du Vrai (ontologique), c'est à dire ici le Réel unique, Dieu, que l'esprit doit saisir par delà l'être même des choses, mais aussi les réalités de ces choses rapportées à Dieu. (3) Ces images du voile et du miroir sont fréquentes (mystiques sunnites ou imamites, …). L'origine en est coranique. Il est remarquable que pour connaître la Réalité divine, il suffit à l'âme de voir tomber le voile qui l'en sépare.[…]. Selon la tradition soufie la plus habituelle, ce n'est pas Dieu qui est enveloppé du voile, mais plutôt la créature (voile de ces passions et de son orgueil). Quoi qu'il en soit, l'obstacle, reste extrinsèque en quelque sorte et à Dieu et à la créature.




L a science qui présente tout à coup dans le cœur sans industrie, ni étude, ni effort de la part de l'homme est de deux sortes : celle dont l'homme ignore comment elle lui arrive et d'où - et celle qui comporte la connaissance du moyen dont elle provient, c'est à dire la vision de l'ange qui la jette dans le cœur ; [la première s'appelle inspiration et souffle au fond du cœur] la deuxième s'appelle révélation, elle appartient en propre aux prophètes. Quant à la première, elle est le propre des saints et des purs.


Citation 835  | 
L'Ihya' ulim al din, 3ième ¼, Livre I, " les prodiges du cœur ", cité et traduit par GG Anawati et Louis Gardet, " La Mystique Musulmane ", Extrait de l'Ihya' ulim al din " 




P eux-tu faire à ton âme embrasser l'Un
Dans une union indissoluble?
Peux-tu, en concentrant ton souffle (1), devenir
Aussi souple qu'un nouveau-né?
Peux-tu purifier ta vision interne
Jusqu'à la rendre immaculée?
Peux-tu chérir le peuple et gouverner l'État
Sans user de subtilité?
Peux-tu ouvrir et clore les battants du Ciel (2)
En jouant le rôle féminin?
Peux-tu tout voir et tout connaître
En cultivant le non-agir?

Élève les êtres, nourris-les
Sans chercher à les asservir
Oeuvre sans rien revendiquer
Sois un guide et non pas un maître
Voilà la Vertu mystérieuse.


Citation 738  | 
Tao-tê-king, chapitre 10, texte chinois présenté et traduit par François Houang et Pierre Leyris, coll. Sagesses 16, Seuil, Paris. 

(1) Tchi (Qi) signifie l'air vital, le pneuma qui circule dans l'être humain tout entier et le sustente. La technique respiratoire des taoïstes concentre le souffle en supprimant toute agitation extérieure pour atteindre à une quiétude qui ressortit à la mystique. (2) Soit le couple Yin-Yang, soit la bouche et les narines




Q uand il inspire et expire, un homme doit s'exercer à rester pleinement conscient de tout son corps..., des composants de sa pensée, etc. Ainsi son souffle discipliné, prolongé, lui est utile ; et quand l'homme expire son dernier souffle, il le fait en pleine conscience et non dans l'inconscience.


Citation 518  | 
Majjhimanikaya (les Moyens Discours), I, 421, cité et traduit par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, pp.66-67 




C omme le Ciel et la Terre n'étaient pas encore formés, que tout était vaste, immense, obscur et sans aspect, cela fut appelé le Grand Commencement. Le Dao commença dans les immensités vides. Celles-ci engendrèrent l'univers duquel naquit le qi. Celui-ci prit alors des contours. Ce qui était pur et léger s'éleva et s'épandit pour donner le Ciel. Ce qui était lourd et grossier s'aggloméra et se coagula pour donner la Terre. La concentration aérée du pur et du subtil fut aisée; mais la coagulation compacte du lourd et du grossier fut difficile. Aussi le Ciel fut-il achevé en premier, et la Terre formée seulement après.

Les essences assemblées du Ciel et de la Terre donnèrent le Yin et le Yang. Les essences concentrées du Yin et du Yang donnèrent les quatre saisons. Les essences dispersées des quatre saisons donnèrent les dix mille êtres. Le souffle chaud du Yang en accumulation engendra le feu, et l'essence du souffle du feu donna le soleil. Le souffle froid du Yin en accumulation donna l'eau, et l'essence du souffle de l'eau donna la lune (1). [ ... ]

Des souffles rejetés par le Ciel, ceux qui sont déchaînés donnent le vent, des souffles contenus par la Terre, ceux qui sont harmonieux donnent la pluie. Les bêtes à poil et à plume sont les espèces qui marchent et qui volent: aussi relèvent-elles du Yang. Les bêtes à carapace et écailles sont les espèces qui se tapissent et se cachent : aussi relèvent-elles du Yin. [ ...] Les êtres d'une même espèce s'ébranlent mutuellement, la racine et les branches se répondent ".


Citation 403  |   Huainanzi
Huainanzi 3, éd. Z7,JC, p. 35-36, traduit et cité par Anne Cheng, Histoire de la pensée Chinoise, Edition du Seuil, 1997 (voir aussi "La Philosophie morale dans le néoconfucianisme (Tcheou Touen-yi)", Paris, PUF, 1954.) 

(1) Les " essences " (jing) constituent la forme la plus subtile de l'énergie primordiale, du qi. (note du traducteur)




L e Dao engendre l'Un
Un engendre Deux
Deux engendre Trois
Trois les dix mille êtres
Les dix mille êtres portent le Yin sur le dos et le Yang dans les bras
Mêlant leurs souffles, ils réalisent l'harmonie.


Citation 397  | 
Tao-tê-king, § 42, traduction Anne Cheng, Histoire de la pensée Chinoise, Edition du Seuil, 1997, chap.7 




C et unique instant, impérissable, indivisible, c'est là que naissent les Bouddhas victorieux.
L'esprit fixé dans le Grand Souffle, alors s'arrête le souffle dans le corps.
Les sens divins éveillés, alors s'éteignent ceux du corps.
Détruit est la domaine de la nature ; voici que s'ouvre le domaine divin.
Ô Roi suprême ! Plus rien ne m'est caché, tout s'ouvre à ma vue.


Citation 390  |   Kalacakratantra
cité par Naropa (924-1039) dans le Sekoddesatika, cité et traduit par André Padoux, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p.317 



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