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C eux qui ont décidé de vraiment servir Dieu doivent s'exercer a garder constamment son souvenir dans leur coeur et à prier incessamment Jésus Christ, répétant intérieurement : Seigneur Jésus Christ, Fils de Dieu, aie pitié de moi, pécheur... En agissant ainsi, et en se préservant des distractions, tout en gardant sa conscience en paix, on peut s'approcher de Dieu et s'unir à lui. Car, dit saint Isaac le Syrien, à part la prière ininterrompue, il n'y a pas d'autre moyen de s'approcher de Dieu (Homélie 69)


Citation 1795  | 
Instructions spirituelles, dans Irina Goraïnoff, Séraphim de Sarov, Éditions Abbaye de Bellefontaine et Desclée de Brouwer, 1995. 




N ous devons veiller à préserver notre coeur de pensées et d'impressions indécentes. " Plus que sur toute chose, veille sur ton coeur, c'est de lui que jaillissent les sources de la vie " (Pr 4, 23). Ainsi naît, dans le coeur, la pureté. " Bienheureux les coeurs purs, car ils verront Dieu " (Mt 5, 8).Ce qui est entré de bon dans le coeur, nous ne devons pas inutilement le répandre à l’extérieur : car ce qui a été amassé ne peut être à l’abri des ennemis visibles et invisibles que si nous le gardons, comme un trésor, au fond du coeur. Le coeur, réchauffé par le feu divin, bouillonne quand il est plein d’eau vive. Si cette eau a été versée à l’extérieur, le coeur se refroidit et l’homme est comme gelé.


Citation 1794  | 
Instructions spirituelles, dans Irina Goraïnoff, Séraphim de Sarov, Éditions Abbaye de Bellefontaine et Desclée de Brouwer, 1995. 




C ette paix, Notre Seigneur Jésus Christ l'a laissée à ses disciples avant sa mort comme un trésor inestimable en disant : " Je vous laisse ma paix, je vous donne la paix " (Jn 14, 27). L'Apôtre en parle aussi en ces termes : " Et la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus-Christ " (Ph 4, 7).Si l'homme ne méprise pas les biens de ce monde, il ne peut avoir la paix. La paix s'acquiert par des tribulations. Celui qui veut plaire à Dieu doit traverser beaucoup d'épreuves. Rien ne contribue plus à la paix intérieure que le silence et, si possible, la conversation incessante avec soi-même et rare avec les autres. Nous devons donc concentrer nos pensées, nos désirs et nos actions sur l'acquisition de la Paix de Dieu et crier incessamment avec l'Église : " Seigneur ! Donne-nous la paix !


Citation 1793  | 
Instructions spirituelles, dans Irina Goraïnoff, Séraphim de Sarov, Éditions Abbaye de Bellefontaine et Desclée de Brouwer, 1995. 




P eut-on ne pas se réjouir en voyant, avec nos yeux de chair, le soleil ? D'autant plus grande est notre joie quand notre esprit, avec l'oeil intérieur, voit le Christ, Soleil de Justice. Nous partageons alors la joie des anges. L'Apôtre a dit à ce sujet " Pour nous, notre cité se trouve dans les cieux " (Ph 3, 20). Celui qui marche dans la paix, ramasse, comme avec une cuiller, les dons de la grâce. Les Pères, étant dans la paix et dans la grâce de Dieu, vivaient vieux. Quand un homme acquiert la paix, il peut déverser sur d'autres la lumière qui éclaire l'esprit... Mais il doit se souvenir des paroles du Seigneur : " Hypocrite, enlève d'abord la poutre de ton oeil, et alors tu verras clair pour enlever la paille de l'oeil de ton frère " (Mt 7, 5).


Citation 1792  | 
Instructions spirituelles, dans Irina Goraïnoff, Séraphim de Sarov, Éditions Abbaye de Bellefontaine et Desclée de Brouwer, 1995. 




I l n'y a rien au-dessus de la paix en Christ, par laquelle sont détruits les assauts des esprits aériens et terrestres. " Car ce n'est pas contre les adversaires de chair et de sang que nous avons à lutter, mais contre les Principautés, contre les Puissances, contre les Régisseurs de ce monde de ténèbres, contre les esprits du mal qui habitent les espaces célestes " (Ep 6, 12). Un homme raisonnable dirige son esprit à l'intérieur et le fait descendre dans son coeur. Alors la grâce de Dieu l'illumine et il se trouve dans un état paisible et suprapaisible : paisible, car sa conscience est en paix ; suprapaisible, car au-dedans de lui il contemple la grâce du Saint-Esprit..


Citation 1791  | 
Instructions spirituelles, dans Irina Goraïnoff, Séraphim de Sarov, Éditions Abbaye de Bellefontaine et Desclée de Brouwer, 1995. 




C elui qui est arrivé à l'amour parfait de Dieu vit en ce monde comme s'il n'y vivait pas. Car il se considère comme étranger à ce qu'il voit, attendant avec patience l'invisible... Attiré vers Dieu, il n'aspire qu'à le contempler..


Citation 1790  | 
Instructions spirituelles, dans Irina Goraïnoff, Séraphim de Sarov, Éditions Abbaye de Bellefontaine et Desclée de Brouwer, 1995. 




T ous ceux qui espèrent fermement en Dieu sont élevés vers lui et illuminés par la clarté de la lumière éternelle. Si l'homme délaisse ses propres affaires pour l'amour de Dieu et pour faire le bien, sachant que Dieu ne l'abandonnera pas, son espérance est sage et vraie. Mais si l'homme s’occupe lui-même de ses affaires et se tourne vers Dieu seulement quand il lui arrive malheur et qu'il voit qu'il ne peut s'en sortir par ses propres moyens - un tel espoir est factice et vain.


Citation 1789  | 
Instructions spirituelles, dans Irina Goraïnoff, Séraphim de Sarov, Éditions Abbaye de Bellefontaine et Desclée de Brouwer, 1995. 




A vant tout, il faut croire en Dieu, " car il existe et se fait le rémunérateur de ceux qui le cherchent " (He 11, 6). La foi, selon saint Antioche, est le début de notre union à Dieu... La foi sans les oeuvres est morte (Jc 2, 26). Les oeuvres de la foi sont : l'amour, la paix, la longanimité, la miséricorde, l'humilité, le portement de croix et la vie selon l'Esprit. Seule une telle foi compte. Il ne peut pas y avoir de vraie foi sans oeuvres.


Citation 1788  | 
Instructions spirituelles, dans Irina Goraïnoff, Séraphim de Sarov, Éditions Abbaye de Bellefontaine et Desclée de Brouwer, 1995. 




D ieu est un feu qui réchauffe et enflamme les coeurs et les entrailles. Si nous sentons dans nos coeurs le froid qui vient du démon - car le démon est froid - ayons recours au Seigneur et il viendra réchauffer notre coeur d'un amour parfait,non seulement envers lui, mais aussi envers le prochain. Et la froidure du démon fuira devant sa Face. Là où est Dieu, il n'y a aucun mal... Dieu nous montre son amour du genre humain non seulement quand nous faisons le bien, mais aussi quand nous l'offensons méritant sa colère...Ne dis pas que Dieu est juste, enseigne saint Isaac le Syrien... David l'appelait " juste ", mais son Fils nous a montré qu'il est plutôt bon et miséricordieux. Où est sa Justice? Nous étions des pécheurs, et le Christ est mort pour nous (Homélie 90).


Citation 1787  | 
Instructions spirituelles, dans Irina Goraïnoff, Séraphim de Sarov, Éditions Abbaye de Bellefontaine et Desclée de Brouwer, 1995. 




L e champ de bataille contre le mal, le mal cosmique, se trouve dans notre propre coeur et que l’ultime racine du péché réside dans l’orgueil... cette véritable semence de mort qui fait peser sur toute l’humanité les ténèbres du désespoir.


Citation 1786  | 
Archimandrite Sophrony, p. 45. 




L orsque nous commençons à comprendre le sage dessein conçu pour nous par notre Dieu et Créateur, notre amour pour lui est stimulé, et quand nous prions, nous ressentons une nouvelle inspiration. La contemplation de la Sagesse divine se reflétant dans la beauté du monde donne à notre esprit un nouvel essor qui nous arrache déjà à tout ce qui est créé. Ce rapt n’est pas une envolée philosophique dans le domaine des idées pures, aussi captivantes qu’elles puissent nous paraître, ni une création artistique dans le domaine de la poésie, mais il est l’envahissement de tout notre être par l’énergie d’une vie jusqu’alors inconnue. La lecture de l’Évangile, dans lequel nous commençons à discerner l’Acte de l’autorévélation de Dieu, élève notre esprit au-dessus de tout ce qui est créé. Cela constitue l’entrée dans la grâce de la théologie, conçue non comme une science humaine mais comme un état de communion à Dieu. Nous ne soumettons pas la parole du Seigneur au jugement de notre entendement limité, mais nous nous jugeons nous-mêmes à la lumière de la connaissance qu’elle nous donne. Il est naturel après cela que nous aspirions à faire de la parole évangélique le contenu de toute notre existence ; cela nous aide à nous libérer de l’emprise des passions, et, avec la force de Dieu-Jésus, nous remportons la victoire sur le mal cosmique tapi dans les profondeurs de notre être. Nous reconnaissons réellement que lui, Jésus, est, au sens propre, l’unique Dieu-Sauveur, et que la prière chrétienne s’accomplit par l’incessante invocation de son Nom : Seigneur, Jésus-Christ, Fils de Dieu et Dieu, aie pitié de nous et de ton monde.


Citation 1785  | 
Sa vie est la mienne, Éditions du Cerf, 1981. 




L ’invocation du Nom du Seigneur nous unit progressivement à lui. Cela se réalise déjà partiellement même lorsque celui qui prie ne comprend pas encore qui est celui-ci (Mt 21, 10), et ne perçoit pas encore clairement la puissance de sanctification qui émane du Nom. Tout progrès ultérieur, toutefois, est étroitement lié à la reconnaissance toujours plus lucide de notre état de péché, allant jusqu’au désespoir. Alors, avec une énergie redoublée nous invoquerons le Nom merveilleux, Jésus, mon Sauveur, aie pitié de moi.


Citation 1784  | 
Sa vie est la mienne, Éditions du Cerf, 1981. 




P our que la pratique de la prière aboutisse aux résultats dont parlent avec tant d’enthousiasme nos pères et nos maîtres, il est indispensable de suivre leur enseignement. La première condition, c’est de croire en Christ comme Dieu-Sauveur ; la seconde, de se reconnaître comme un pécheur en train de se perdre. Cette conscience peut atteindre une telle profondeur que l’homme se sent pire que tous les autres ; et cela lui apparaît comme une évidence, non en raison de ses actes extérieurs, mais en constatant son éloignement de Dieu et en se voyant comme potentiellement porteur du mal sous toutes ses formes. Plus nous nous humilions dans un douloureux repentir, plus rapidement notre prière atteindra Dieu. Mais lorsque nous perdons l’humilité, aucune ascèse ne peut nous aider. La présence en nous de l’orgueil et du jugement de nos frères, le mépris et la haine de notre prochain nous rejettent loin du Seigneur.


Citation 1783  | 
Sa vie est la mienne, Éditions du Cerf, 1981. 




D ieu n’exerce jamais de contrainte sur la volonté de l’homme, mais lui non plus, on ne peut pas l’obliger par force à faire quoi que ce soit. Dans notre prière, nous aspirons à nous tenir devant Dieu dans l’unité et l’intégralité de notre être, en particulier avec l’intellect uni au coeur. Pour réaliser cette bienheureuse union des deux principales puissances de notre personnalité, nous ne recourons à aucun procédé artificiel (psychotechnique). Au début nous habituons notre intellect à persévérer attentivement dans la prière, comme nous l’enseignent les Pères, c’est-à-dire à prononcer le Nom de Jésus-Christ et les autres paroles de la prière avec une grande attention. Invoquer avec concentration le Nom divin, et s’efforcer chaque jour de vivre en accord avec les commandements de l’Évangile a pour effet la fusion de l’intellect et du coeur en une unique activité.


Citation 1782  | 
Sa vie est la mienne, Éditions du Cerf, 1981. 




Q uand nous prions dans un endroit silencieux et solitaire, il arrive bien souvent que toute sorte de pensées importunes viennent solliciter notre intellect et détourner son attention du coeur. La prière semble stérile parce que l’intellect ne prend pas part à l’invocation du Nom de Jésus, et seules les lèvres continuent de répéter mécaniquement les paroles. Mais quand nous mettons fin à notre prière, habituellement les pensées s’éloignent et nous retrouvons le calme. Ce lassant phénomène peut s’expliquer de la façon suivante : par l’invocation du Nom de Jésus nous mettons en mouvement tout un monde secret qui se cache en nous ; on peut comparer la prière à un faisceau lumineux dirigé dans les régions obscures de notre vie intérieure et nous révélant les passions ou les inclinations qui se tapissent dans nos profondeurs secrètes. Dans de tels cas, il faut prononcer le saint Nom avec plus d’intensité, pour que le sentiment de repentir croisse dans l’âme.


Citation 1781  | 
Sa vie est la mienne, Éditions du Cerf, 1981. 




C ’est un grand don que de contempler l’éternité dans l’inapprochable Lumière de la Divinité. Ceux qui ont eu l’expérience de cette félicité ne cherchent pas à acquérir de richesses passagères. Cependant cette grâce ne demeure pas invariablement dans l’homme, et la Lumière faiblit dans l’âme. La perte d’un tel Dieu plonge notre être tout entier dans la souffrance. De pareils abandons sont pourtant indispensables à tout un chacun afin que nul ne soit tenté de se reposer sur ses lauriers mais que, au contraire, nous continuions à suivre le Seigneur dans son ascension du Golgotha, de toutes les montagnes la plus élevée du point de vue spirituel. Quelque insuffisante que soit pareille démarche, elle régénère cependant l’homme et lui donne de nouvelles forces pour réaliser sa ressemblance au Christ.


Citation 1780  | 
Sa vie est la mienne, Éditions du Cerf, 1981. 




A cquérir la Prière de Jésus signifie acquérir l’éternité. Aux instants solennels et pénibles entre tous où notre organisme physique se désintègre, la prière " Jésus-Christ " devient le vêtement de l’âme ; lorsque l’activité cérébrale s’interrompt et qu’il est déjà difficile de se rappeler et de prononcer toute autre prière, la lumineuse connaissance de Dieu procédant du Nom et intimement assimilée par nous ne pourra être effacée de notre esprit. Après avoir vu la fin de nos pères, morts en prière, nous avons la ferme espérance que la paix céleste qui dépasse toute intelligence nous enveloppera, nous aussi, pour les siècles.


Citation 1779  | 
Sa vie est la mienne, Éditions du Cerf, 1981. 




L a voie menant à la vraie contemplation passe par le repentir. Tant que nous serons dominés par les ténèbres de l’orgueil - orgueil qui s’oppose à Dieu, à la Lumière dans laquelle il n’y a pas de ténèbres -, nous ne serons pas admis dans son éternité. Or cette passion est extraordinairement subtile et, par nous-mêmes, nous ne sommes pas en mesure d’en déceler la présence en nous jusqu’au bout. De là vient notre ardente prière : Ses péchés, qui les connaît ? De ceux qui sont cachés en moi, purifie-moi, et de ceux qui me sont étrangers, préserve ton serviteur : s’ils ne l’emportent pas sur moi, alors je serai sans reproche, et pur du grand péché. Alors les paroles de ma bouche te seront agréables, et la méditation de mon coeur sera sans cesse devant toi, Seigneur, mon aide et mon Rédempteur ! (Ps 18, 13-15)


Citation 1778  | 
Sa vie est la mienne, Éditions du Cerf, 1981. 




I l ne sera sans doute pas inutile de préciser que prier par le Nom de Jésus n’a rien d’automatique ni de magique. Si nous ne faisons pas d’efforts pour observer ses commandements, c’est en vain que nous invoquerons son Nom.


Citation 1777  | 
Sa vie est la mienne, Éditions du Cerf, 1981. 




L e Nom de " Jésus " fut donné par révélation d’En-haut. Il provient de la sphère divine, éternelle, et n’est en aucune façon le produit de l’intelligence humaine, bien qu’il soit exprimé par un mot créé. La révélation est un acte, une énergie de la Divinité ; comme telle, elle appartient à un autre plan et transcende les énergies cosmiques. Dans sa gloire supraterrestre, le Nom de " Jésus " est métacosmique. Lorsque nous prononçons le Nom du Christ, lui demandant de se mettre en relation avec nous, lui qui remplit tout, il prête attention à nos paroles, et nous entrons en un contact vivant avec lui. Comme Logos éternel du Père, il demeure avec lui dans une unité indivisible, et ainsi Dieu le Père entre par son Verbe en relation avec nous.


Citation 1776  | 
Sa vie est la mienne, Éditions du Cerf, 1981. 




L a libération véritable commence quand on accepte pleinement et sans douter la Révélation " Je suis Celui qui est " (Ex 3, 14), Je suis l’Alpha et l’Oméga, le Premier et le Dernier (Ap 1, 8). Dieu est Absolu personnel, Trinité consubstantielle et indivisible. C’est sur cette Révélation que s’édifie toute notre vie chrétienne. Ce Dieu nous a appelés du non-être à cette vie. La connaissance du Dieu Vivant et la pénétration dans le mystère des voies de sa création nous libèrent des ténèbres de nos propres idées (venant d’en bas) concernant l’Absolu, et nous sauvent de l’attirance, non consciente certes mais néanmoins fatale, à abandonner toute existence. Nous avons été créés dans le but d’être associés à l’Être divin, à celui qui EST vraiment. Le Christ nous a indiqué la voie : Étroite est la porte et resserré le chemin qui mène à la Vie (Mt 7, 14). Saisissant les profondeurs de la sagesse du Créateur, nous acceptons les souffrances par lesquelles s’acquiert l’éternité divine. Et lorsque sa Lumière nous couvre de son ombre, nous unissons en nous la contemplation des deux extrémités de l’abîme : d’un côté les ténèbres de l’enfer, et de l’autre le triomphe de la victoire. Nous sommes existentiellement introduits dans le domaine de la Vie incréée. L’enfer perd son empire sur nous. Une grâce nous est donnée : vivre l’état du Logos incarné, du Christ descendant en enfer comme Vainqueur. Alors, par la puissance de son amour, nous embrassons la créature tout entière dans notre prière : Jésus, Maître Tout-Puissant et Bon, aie pitié de nous et de ton monde.


Citation 1775  | 
Sa vie est la mienne, Éditions du Cerf, 1981. 




C elui qui s’unit au Seigneur n’est avec lui qu’un seul esprit ().


Citation 1774  | 
1 Corinthians 6, 17 




C e n’est plus moi qui vis, mais le Christ qui vit en moi.


Citation 1773  | 
Galates 2, 20. 




L e moine doit combattre ses passions et les vaincre avec l’aide de Dieu. Parfois le moine est bienheureux en Dieu, comme s’il était au Paradis ; souvent il pleure et prie pour l’humanité entière, animé par le désir que tous soient sauvés... Tu diras peut-être qu’ils n’existent plus de nos jours ces moines qui prient pour tous les hommes ; mais je te dis que de grands malheurs et la destruction même de l’univers surviendraient s’il n’y avait plus de priants dans ce monde


Citation 1772  | 
Silouane, Écrits spirituels, p.58, Abbaye de Bellefontaine, 1974. 




S i la grâce de l’Esprit Saint habite le coeur d’un homme, même en une mesure infime, cet homme pleure pour tous les hommes ; il a plus encore pitié de ceux qui ne connaissent pas Dieu ou qui lui résistent. Il prie pour eux jour et nuit afin qu’ils se convertissent et reconnaissent Dieu.


Citation 1771  | 
Silouane, Écrits spirituels, p.8, Abbaye de Bellefontaine, 1974. 



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