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(Version J.N. Darby)


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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


4. 1  
Que dirons-nous donc que, selon la chair, Abraham notre père a trouvé?
- Quel avantage dirons-nous donc qu'Abraham, notre père, ait obtenu selon la chair? (Ⅰ)
- Que dirons-nous donc qu'Abraham, notre père, a obtenu selon la chair? (Ⅱ)
- Τί οὖν ἐροῦμεν ⸀εὑρηκέναι Ἀβραὰμ τὸν ⸀προπάτορα ⸀ἡμῶν κατὰ σάρκα; (Ⅳ)
- Quid ergo dicemus invenisse Abraham patrem nostrum secundum carnem ? (Ⅴ)
- Que dirons-nous donc qu’Abraham notre père a trouvé selon la chair ? (Ⅶ)
- Quel avantage dirons-nous donc qu'Abraham, notre père, a obtenu selon la chair? (Ⅷ)
4. 2  
Car si Abraham a été justifié sur le principe des œuvres, il a de quoi se glorifier, mais non pas relativement à Dieu;
- Si Abraham a été justifié par les œuvres, il a sujet de se glorifier. Mais il n'en a pas sujet devant Dieu. (Ⅰ)
- Si Abraham a été justifié par les oeuvres, il a sujet de se glorifier, mais non devant Dieu. (Ⅱ)
- εἰ γὰρ Ἀβραὰμ ἐξ ἔργων ἐδικαιώθη, ἔχει καύχημα· ἀλλ’ οὐ ⸀πρὸς θεόν, (Ⅳ)
- Si enim Abraham ex operibus justificatus est, habet gloriam, sed non apud Deum. (Ⅴ)
- Certes, si Abraham a été justifié par les œuvres, il a de quoi se glorifier, mais non pas envers Dieu. (Ⅶ)
- Car si Abraham a été justifié par les ouvres, il a sujet de se glorifier, mais non pas devant Dieu. (Ⅷ)
4. 3  
car que dit l’écriture? «Et Abraham crut Dieu, et cela lui fut compté à justice».
- En effet, que dit l'Ecriture? " Abraham crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice. " (Ⅰ)
- Car que dit l'Écriture? Abraham crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice. (Ⅱ)
- τί γὰρ ἡ γραφὴ λέγει; Ἐπίστευσεν δὲ Ἀβραὰμ τῷ θεῷ καὶ ἐλογίσθη αὐτῷ εἰς δικαιοσύνην. (Ⅳ)
- Quid enim dicit Scriptura ? Credidit Abraham Deo, et reputatam est illi ad justitiam. (Ⅴ)
- Car que dit l’Ecriture ? qu’Abraham a cru à Dieu, et que cela lui a été imputé à justice. (Ⅶ)
- Car que dit l'Écriture? Abraham crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice. (Ⅷ)
4. 4  
Or à celui qui fait des œuvres, le salaire n’est pas compté à titre de grâce, mais à titre de chose due;
- Or, à celui qui fait une œuvre, le salaire est imputé, non comme une grâce, mais comme une chose due; (Ⅰ)
- Or, à celui qui fait une oeuvre, le salaire est imputé, non comme une grâce, mais comme une chose due; (Ⅱ)
- τῷ δὲ ἐργαζομένῳ ὁ μισθὸς οὐ λογίζεται κατὰ χάριν ἀλλὰ κατὰ ὀφείλημα· (Ⅳ)
- Ei autem qui operatur, merces non imputatur secundum gratiam, sed secundum debitum. (Ⅴ)
- Or à celui qui fait les œuvres, le salaire ne lui est pas imputé comme une grâce, mais comme une chose due. (Ⅶ)
- Or, le salaire de celui qui travaille, est regardé, non comme une grâce, mais comme une dette. (Ⅷ)
4. 5  
mais à celui qui ne fait pas des œuvres, mais qui croit en celui qui justifie l’impie, sa foi lui est comptée à justice;
- et à celui qui ne fait aucune œuvre, mais qui croit en celui qui justifie l'impie, sa foi lui est imputée à justice. (Ⅰ)
- et à celui qui ne fait point d'oeuvre, mais qui croit en celui qui justifie l'impie, sa foi lui est imputée à justice. (Ⅱ)
- τῷ δὲ μὴ ἐργαζομένῳ, πιστεύοντι δὲ ἐπὶ τὸν δικαιοῦντα τὸν ἀσεβῆ, λογίζεται ἡ πίστις αὐτοῦ εἰς δικαιοσύνην, (Ⅳ)
- Ei vero qui non operatur, credenti autem in eum, qui justificat impium, reputatur fides ejus ad justitiam secundum propositum gratiæ Dei. (Ⅴ)
- Mais à celui qui ne fait pas les œuvres, mais qui croit en celui qui justifie le méchant, sa foi lui est imputée à justice. (Ⅶ)
- Mais pour celui qui ne travaille point, mais qui croit en celui qui justifie le pécheur, sa foi lui est imputée à justice. (Ⅷ)
4. 6  
ainsi que David aussi exprime la béatitude de l’homme à qui Dieu compte la justice sans œuvres:
- C'est ainsi que David proclame la béatitude de l'homme à qui Dieu impute la justice indépendamment des œuvres : (Ⅰ)
- De même David exprime le bonheur de l'homme à qui Dieu impute la justice sans les oeuvres: (Ⅱ)
- καθάπερ καὶ Δαυὶδ λέγει τὸν μακαρισμὸν τοῦ ἀνθρώπου ᾧ ὁ θεὸς λογίζεται δικαιοσύνην χωρὶς ἔργων· (Ⅳ)
- Sicut et David dicit beatitudinem hominis, cui Deus accepto fert justitiam sine operibus : (Ⅴ)
- Comme aussi David exprime la béatitude de l’homme à qui Dieu impute la justice sans les œuvres, [en disant] : (Ⅶ)
- C'est ainsi que David exprime le bonheur de l'homme à qui Dieu impute la justice sans les ouvres: (Ⅷ)
4. 7  
«Bienheureux ceux dont les iniquités ont été pardonnées et dont les péchés ont été couverts;
- Heureux ceux dont les iniquités sont pardonnées, et dont les péchés ont été couverts ! (Ⅰ)
- Heureux ceux dont les iniquités sont pardonnées, Et dont les péchés sont couverts! (Ⅱ)
- Μακάριοι ὧν ἀφέθησαν αἱ ἀνομίαι καὶ ὧν ἐπεκαλύφθησαν αἱ ἁμαρτίαι, (Ⅳ)
- Beati, quorum remissæ sunt iniquitates,/ et quorum tecta sunt peccata./ (Ⅴ)
- Bienheureux sont ceux à qui les iniquités sont pardonnées, et dont les péchés sont couverts. (Ⅶ)
- Heureux ceux dont les iniquités sont pardonnées, et les péchés couverts! (Ⅷ)
4. 8  
bienheureux l’homme à qui le Seigneur ne compte point le péché».
- Heureux l'homme à qui le Seigneur n'impute pas son péché ! " (Ⅰ)
- Heureux l'homme à qui le Seigneur n'impute pas son péché! (Ⅱ)
- μακάριος ἀνὴρ ⸀οὗ οὐ μὴ λογίσηται κύριος ἁμαρτίαν. (Ⅳ)
- Beatus vir, cui non imputavit Dominus peccatum.] (Ⅴ)
- Bienheureux est l’homme à qui le Seigneur n’aura point imputé [son] péché. (Ⅶ)
- Heureux l'homme à qui le Seigneur n'imputera point le péché! (Ⅷ)
4. 9  
Cette béatitude donc vient-elle sur la circoncision ou aussi sur l’incirconcision? Car nous disons que la foi fut comptée à Abraham à justice.
- Ce bonheur n'est-il que pour les circoncis, ou est-il également pour les incirconcis? Car nous disons que la foi fut imputée à justice à Abraham. (Ⅰ)
- Ce bonheur n'est-il que pour les circoncis, ou est-il également pour les incirconcis? Car nous disons que la foi fut imputée à justice à Abraham. (Ⅱ)
- Ὁ μακαρισμὸς οὖν οὗτος ἐπὶ τὴν περιτομὴν ἢ καὶ ἐπὶ τὴν ἀκροβυστίαν; λέγομεν ⸀γάρ· Ἐλογίσθη τῷ Ἀβραὰμ ἡ πίστις εἰς δικαιοσύνην. (Ⅳ)
- Beatitudo ergo hæc in circumcisione tantum manet, an etiam in præputio ? Dicimus enim quia reputata est Abrahæ fides ad justitiam. (Ⅴ)
- Cette déclaration donc de la béatitude, est-elle [seulement] pour la Circoncision, ou aussi pour le Prépuce ? car nous disons que la foi a été imputée à Abraham à justice. (Ⅶ)
- Ce bonheur donc, n'est-il que pour les circoncis? Ou est-il aussi pour les incirconcis? car nous disons que la foi d'Abraham lui fut imputée à justice. (Ⅷ)
4. 10  
Comment donc lui fut-elle comptée? quand il était dans la circoncision, ou dans l’incirconcision? — Non pas dans la circoncision, mais dans l’incirconcision.
- Comment donc lui fut-elle imputée? Etait-ce en l'état de circoncision, ou en l'état d'incirconcision? Ce ne fut pas dans l'état de circoncision, il était encore incirconcis. (Ⅰ)
- Comment donc lui fut-elle imputée? Était-ce après, ou avant sa circoncision? Il n'était pas encore circoncis, il était incirconcis. (Ⅱ)
- πῶς οὖν ἐλογίσθη; ἐν περιτομῇ ὄντι ἢ ἐν ἀκροβυστίᾳ; οὐκ ἐν περιτομῇ ἀλλ’ ἐν ἀκροβυστίᾳ· (Ⅳ)
- Quomodo ergo reputata est ? in circumcisione, an in præputio ? Non in circumcisione, sed in præputio. (Ⅴ)
- Comment donc lui a-t-elle été imputée ? a-ce été lorsqu’il était déjà circoncis, ou lorsqu’il était encore dans le prépuce ? ce n’a point été dans la Circoncision, mais dans le prépuce. (Ⅶ)
- Mais quand lui a-t-elle été imputée? Est-ce lorsqu'il a été circoncis, ou lorsqu'il ne l'était pas? Ce n'a point été après la circoncision, mais avant. (Ⅷ)
4. 11  
Et il reçut le signe de la circoncision, comme sceau de la justice de la foi qu’il avait dans l’incirconcision, pour qu’il fût le père de tous ceux qui croient étant dans l’incirconcision, pour que la justice leur fût aussi comptée,
- Il reçut ensuite le signe de la circoncision comme sceau de la justice qu'il avait obtenue par la foi quand il était incirconcis, afin d'être le père de tous ceux qui ont la foi bien qu'incirconcis, pour que la justice leur soit aussi imputée, (Ⅰ)
- Et il reçut le signe de la circoncision, comme sceau de la justice qu'il avait obtenue par la foi quand il était incirconcis, afin d'être le père de tous les incirconcis qui croient, pour que la justice leur fût aussi imputée, (Ⅱ)
- καὶ σημεῖον ἔλαβεν περιτομῆς, σφραγῖδα τῆς δικαιοσύνης τῆς πίστεως τῆς ἐν τῇ ἀκροβυστίᾳ, εἰς τὸ εἶναι αὐτὸν πατέρα πάντων τῶν πιστευόντων δι’ ἀκροβυστίας, εἰς τὸ ⸀λογισθῆναι αὐτοῖς τὴν δικαιοσύνην, (Ⅳ)
- Et signum accepit circumcisionis, signaculum justitiæ fidei, quæ est in præputio : ut sit pater omnium credentium per præputium, ut reputetur et illis ad justitiam : (Ⅴ)
- Puis il reçut le signe de la Circoncision pour un sceau de la justice de la foi, laquelle [il avait reçue étant] dans le prépuce, afin qu’il fût le père de tous ceux qui croient [étant] dans le prépuce, et que la justice leur fût aussi imputée. (Ⅶ)
- Et il reçut le signe de la circoncision, comme un sceau de la justice de la foi qu'il avait eue, étant incirconcis; afin d'être le père de tous ceux qui croient quoique incirconcis; et que la justice leur fût aussi imputée; (Ⅷ)
4. 12  
et qu’il fût père de circoncision, non seulement pour ceux qui sont de la circoncision, mais aussi pour ceux qui marchent sur les traces de la foi qu’a eue notre père Abraham, dans l’incirconcision.
- et le père des circoncis, de ceux qui ne sont pas seulement circoncis, mais qui marchent en même temps sur les traces de la foi qu'avait notre père Abraham lorsqu'il était incirconcis. (Ⅰ)
- et le père des circoncis, qui ne sont pas seulement circoncis, mais encore qui marchent sur les traces de la foi de notre père Abraham quand il était incirconcis. (Ⅱ)
- καὶ πατέρα περιτομῆς τοῖς οὐκ ἐκ περιτομῆς μόνον ἀλλὰ καὶ τοῖς στοιχοῦσιν τοῖς ἴχνεσιν τῆς ⸂ἐν ἀκροβυστίᾳ πίστεως⸃ τοῦ πατρὸς ἡμῶν Ἀβραάμ. (Ⅳ)
- et sit pater circumcisionis non iis tantum, qui sunt ex circumcisione, sed et iis qui sectantur vestigia fidei, quæ est in præputio patris nostri Abrahæ.\ (Ⅴ)
- Et [qu’il fût aussi] le père de la Circoncision, [c’est-à-dire], de ceux qui ne sont pas seulement de la Circoncision, mais qui aussi suivent les traces de la foi de notre père Abraham, laquelle [il a eue] dans le prépuce. (Ⅶ)
- Et afin d'être aussi le père des circoncis, savoir, de ceux qui ne sont point seulement circoncis, mais encore qui suivent les traces de la foi, que notre père Abraham a eue avant d'être circoncis. (Ⅷ)
4. 13  
Car ce n’est pas par la loi que la promesse d’être héritier du monde a été faite à Abraham ou à sa semence, mais par la justice de la foi.
- En effet, ce n'est point par la Loi que l'héritage du monde a été promis à Abraham et à sa postérité; c'est par la justice de la foi. (Ⅰ)
- En effet, ce n'est pas par la loi que l'héritage du monde a été promis à Abraham ou à sa postérité, c'est par la justice de la foi. (Ⅱ)
- Οὐ γὰρ διὰ νόμου ἡ ἐπαγγελία τῷ Ἀβραὰμ ἢ τῷ σπέρματι αὐτοῦ, τὸ κληρονόμον αὐτὸν ⸀εἶναι κόσμου, ἀλλὰ διὰ δικαιοσύνης πίστεως· (Ⅳ)
- Non enim per legem promissio Abrahæ, aut semini ejus ut hæres esset mundi : sed per justitiam fidei. (Ⅴ)
- Car la promesse d’être héritier du monde, n’a pas été faite à Abraham, ou à sa semence, par la Loi, mais par la justice de la foi. (Ⅶ)
- En effet, la promesse d'avoir le monde pour héritage, n'a pas été faite à Abraham ou à sa postérité, par la loi, mais par la justice de la foi; (Ⅷ)
4. 14  
Car si ceux qui sont du principe de la loi sont héritiers, la foi est rendue vaine et la promesse annulée;
- Car si ceux qui ont la Loi sont héritiers, la foi est vaine et la promesse est sans effet, (Ⅰ)
- Car, si les héritiers le sont par la loi, la foi est vaine, et la promesse est anéantie, (Ⅱ)
- εἰ γὰρ οἱ ἐκ νόμου κληρονόμοι, κεκένωται ἡ πίστις καὶ κατήργηται ἡ ἐπαγγελία· (Ⅳ)
- Si enim qui ex lege, hæredes sunt : exinanita est fides, abolita est promissio. (Ⅴ)
- Or si ceux qui sont de la Loi sont héritiers, la foi est anéantie, et la promesse est abolie : (Ⅶ)
- Car si ceux qui sont de la loi sont les héritiers, la foi est anéantie, et la promesse est abolie. (Ⅷ)
4. 15  
car la loi produit la colère, mais là où il n’y a pas de loi, il n’y a pas non plus de transgression.
- parce que la loi produit la colère, et que là où il n'y a pas de loi, il n'y a pas non plus de transgression. (Ⅰ)
- parce que la loi produit la colère, et que là où il n'y a point de loi il n'y a point non plus de transgression. (Ⅱ)
- ὁ γὰρ νόμος ὀργὴν κατεργάζεται, οὗ ⸀δὲ οὐκ ἔστιν νόμος, οὐδὲ παράβασις. (Ⅳ)
- Lex enim iram operatur. Ubi enim non est lex, nec prævaricatio. (Ⅴ)
- Vu que la Loi produit la colère ; car où il n’y a point de Loi, il n’y a point aussi de transgression. (Ⅶ)
- Car la loi produit la colère; en effet, où il n'y a point de loi, il n'y a point de transgression. (Ⅷ)
4. 16  
Pour cette raison, c’est sur le principe de la foi, afin que ce soit selon la grâce, pour que la promesse soit assurée à toute la semence, non seulement à celle qui est de la loi, mais aussi à celle qui est de la foi d’Abraham, lequel est père de nous tous
- Donc c'est bien par la foi, afin que ce soit par grâce, pour que la promesse soit assurée à toute la postérité, non seulement à ceux qui relèvent de la Loi, mais encore à ceux qui relèvent de la foi d'Abraham, notre père à tous, (Ⅰ)
- C'est pourquoi les héritiers le sont par la foi, pour que ce soit par grâce, afin que la promesse soit assurée à toute la postérité, non seulement à celle qui est sous la loi, mais aussi à celle qui a la foi d'Abraham, notre père à tous, selon qu'il est écrit: (Ⅱ)
- Διὰ τοῦτο ἐκ πίστεως, ἵνα κατὰ χάριν, εἰς τὸ εἶναι βεβαίαν τὴν ἐπαγγελίαν παντὶ τῷ σπέρματι, οὐ τῷ ἐκ τοῦ νόμου μόνον ἀλλὰ καὶ τῷ ἐκ πίστεως Ἀβραάμ (ὅς ἐστιν πατὴρ πάντων ἡμῶν, (Ⅳ)
- Ideo ex fide, ut secundum gratiam firma sit promissio omni semini, non ei qui ex lege est solum, sed et ei qui ex fide est Abrahæ, qui pater est omnium nostrum (Ⅴ)
- C’est donc par la foi, afin que ce soit par la grâce, [et] afin que la promesse soit assurée à toute la semence ; non seulement à celle qui est de la Loi, mais aussi à celle qui est de la foi d’Abraham, qui est le père de nous tous. (Ⅶ)
- C'est donc par la foi que nous sommes héritiers, afin que ce soit par grâce, et que la promesse soit assurée à toute la postérité, non seulement à celle qui est de la loi, mais aussi à celle qui est de la foi d'Abraham, (Ⅷ)
4. 17  
(selon qu’il est écrit: «Je t’ai établi père de plusieurs nations»), devant Dieu qu’il a cru, — qui fait vivre les morts et appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient,
- selon qu'il est écrit : " Je t'ai fait père d'un grand nombre de nations. " Il l'est devant celui auquel il a cru, devant Dieu, qui donne la vie aux morts et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient. (Ⅰ)
- Je t'ai établi père d'un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient. (Ⅱ)
- καθὼς γέγραπται ὅτι Πατέρα πολλῶν ἐθνῶν τέθεικά σε), κατέναντι οὗ ἐπίστευσεν θεοῦ τοῦ ζῳοποιοῦντος τοὺς νεκροὺς καὶ καλοῦντος τὰ μὴ ὄντα ὡς ὄντα· (Ⅳ)
- (sicut scriptum est : Quia patrem multarum gentium posui te) ante Deum, cui credidit, qui vivificat mortuos, et vocat ea quæ non sunt, tamquam ea quæ sunt : (Ⅴ)
- Selon qu’il est écrit : je t’ai établi père de plusieurs nations, devant Dieu, en qui il a cru ; lequel fait vivre les morts, et qui appelle les choses qui ne sont point, comme si elles étaient. (Ⅶ)
- Lequel (selon qu'il est écrit: Je t'ai établi pour être père de plusieurs nations) est notre père à tous devant Dieu, auquel il a cru, qui fait revivre les morts, et appelle les choses qui ne sont point, comme si elles étaient. (Ⅷ)
4. 18  
— qui, contre espérance, crut avec espérance, pour devenir père de plusieurs nations, selon ce qui a été dit: «Ainsi sera ta semence».
- Espérant contre toute espérance, il crut, en sorte qu'il devint le père d'un grand nombre de nations, selon ce qui lui avait été dit : " Telle sera ta postérité. " (Ⅰ)
- Espérant contre toute espérance, il crut, en sorte qu'il devint père d'un grand nombre de nations, selon ce qui lui avait été dit: Telle sera ta postérité. (Ⅱ)
- ὃς παρ’ ἐλπίδα ἐπ’ ἐλπίδι ἐπίστευσεν εἰς τὸ γενέσθαι αὐτὸν πατέρα πολλῶν ἐθνῶν κατὰ τὸ εἰρημένον· Οὕτως ἔσται τὸ σπέρμα σου· (Ⅳ)
- qui contra spem in spem credidit, ut fieret pater multarum gentium secundum quod dictum est ei : Sic erit semen tuum. (Ⅴ)
- Et [Abraham] ayant espéré contre espérance, crut qu’il deviendrait le père de plusieurs nations, selon ce qui lui avait été dit : ainsi sera ta postérité. (Ⅶ)
- Espérant contre tout sujet d'espérer, il a cru qu'il deviendrait le père de plusieurs nations, selon ce qui avait été dit: Telle sera ta postérité. (Ⅷ)
4. 19  
Et n’étant pas faible dans la foi, il n’eut pas égard à son propre corps déjà amorti, âgé qu’il était d’environ cent ans, ni à l’état de mort du sein de Sara;
- Et, inébranlable dans sa foi, il ne considéra pas que son corps était déjà éteint, puisqu'il avait près de cent ans, ni que le sein de Sara était épuisé. (Ⅰ)
- Et, sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé, puisqu'il avait près de cent ans, et que Sara n'était plus en état d'avoir des enfants. (Ⅱ)
- καὶ μὴ ἀσθενήσας τῇ ⸀πίστει κατενόησεν τὸ ἑαυτοῦ ⸀σῶμα νενεκρωμένον, ἑκατονταετής που ὑπάρχων, καὶ τὴν νέκρωσιν τῆς μήτρας Σάρρας, (Ⅳ)
- Et non infirmatus est fide, nec consideravit corpus suum emortuum, cum jam fere centum esset annorum, et emortuam vulvam Saræ. (Ⅴ)
- Et n’étant pas faible en la foi, il n’eut point égard à son corps [qui était] déjà amorti ; vu qu’il avait environ cent ans, ni à l’âge de Sara qui était hors d’état d’avoir des enfants. (Ⅶ)
- Et comme il n'était pas faible dans la foi, il n'eut point d'égard à ce que son corps était déjà amorti, puisqu'il avait près de cent ans; ni à ce que Sara n'était plus en âge d'avoir des enfants; (Ⅷ)
4. 20  
et il ne forma point de doute sur la promesse de Dieu par incrédulité, mais il fut fortifié dans la foi, donnant gloire à Dieu,
- Devant la promesse de Dieu, il n'eut ni hésitation ni défiance; mais puisant sa force dans la foi, il rendit gloire à Dieu, (Ⅰ)
- Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu, (Ⅱ)
- εἰς δὲ τὴν ἐπαγγελίαν τοῦ θεοῦ οὐ διεκρίθη τῇ ἀπιστίᾳ ἀλλὰ ἐνεδυναμώθη τῇ πίστει, δοὺς δόξαν τῷ θεῷ (Ⅳ)
- In repromissione etiam Dei non hæsitavit diffidentia, sed confortatus est fide, dans gloriam Deo : (Ⅴ)
- Et il ne forma point de doute sur la promesse de Dieu par défiance ; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu ; (Ⅶ)
- Et il n'eut ni doute ni défiance à l'égard de la promesse de Dieu, mais il fut fortifié par la foi, et il donna gloire à Dieu, (Ⅷ)
4. 21  
et étant pleinement persuadé que ce qu’il a promis, il est puissant aussi pour l’accomplir.
- pleinement convaincu qu'il saura accomplir la promesse qu'il a faite. (Ⅰ)
- et ayant la pleine conviction que ce qu'il promet il peut aussi l'accomplir. (Ⅱ)
- καὶ πληροφορηθεὶς ὅτι ὃ ἐπήγγελται δυνατός ἐστιν καὶ ποιῆσαι. (Ⅳ)
- plenissime sciens, quia quæcumque promisit, potens est et facere. (Ⅴ)
- Etant pleinement persuadé que celui qui lui avait fait la promesse, était puissant aussi pour l’accomplir. (Ⅶ)
- Étant pleinement persuadé que ce qu'il promet, il peut aussi l'accomplir. (Ⅷ)
4. 22  
C’est pourquoi aussi cela lui a été compté à justice.
- Et voilà pourquoi sa foi lui fut imputée à justice. (Ⅰ)
- C'est pourquoi cela lui fut imputé à justice. (Ⅱ)
- ⸀διὸ ἐλογίσθη αὐτῷ εἰς δικαιοσύνην. (Ⅳ)
- Ideo et reputatum est illi ad justitiam. (Ⅴ)
- C’est pourquoi cela lui a été imputé à justice. (Ⅶ)
- C'est pourquoi cela lui fut imputé à justice. (Ⅷ)
4. 23  
Or ce n’est pas pour lui seul qu’il a été écrit que cela lui a été compté,
- Or ce n'est pas pour lui seul qu'il est écrit qu'elle lui fut imputée à justice, (Ⅰ)
- Mais ce n'est pas à cause de lui seul qu'il est écrit que cela lui fut imputé; (Ⅱ)
- Οὐκ ἐγράφη δὲ δι’ αὐτὸν μόνον ὅτι ἐλογίσθη αὐτῷ, (Ⅳ)
- Non est autem scriptum tantum propter ipsum quia reputatum est illi ad justitiam : (Ⅴ)
- Or que cela lui ait été imputé [à justice], il n’a point été écrit seulement pour lui, (Ⅶ)
- Or, ce n'est pas seulement pour lui qu'il est écrit que cela lui fut imputé; (Ⅷ)
4. 24  
mais aussi pour nous, à qui il sera compté, à nous qui croyons en celui qui a ressuscité d’entre les morts Jésus notre Seigneur,
- mais c'est aussi pour nous, à qui elle doit être imputée, pour nous qui croyons en celui qui a ressuscité d'entre les morts Jésus-Christ, Notre-Seigneur, (Ⅰ)
- c'est encore à cause de nous, à qui cela sera imputé, à nous qui croyons en celui qui a ressuscité des morts Jésus notre Seigneur, (Ⅱ)
- ἀλλὰ καὶ δι’ ἡμᾶς οἷς μέλλει λογίζεσθαι, τοῖς πιστεύουσιν ἐπὶ τὸν ἐγείραντα Ἰησοῦν τὸν κύριον ἡμῶν ἐκ νεκρῶν, (Ⅳ)
- sed et propter nos, quibus reputabitur credentibus in eum, qui suscitavit Jesum Christum Dominum nostrum a mortuis, (Ⅴ)
- Mais aussi pour nous, à qui [aussi] il sera imputé, à nous, [dis-je], qui croyons en celui qui a ressuscité des morts Jésus notre Seigneur ; (Ⅶ)
- Mais c'est aussi pour nous, à qui cela sera aussi imputé, pour nous qui croyons en Celui qui a ressuscité des morts Jésus notre Seigneur, (Ⅷ)
4. 25  
lequel a été livré pour nos fautes et a été ressuscité pour notre justification.
- lequel a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification. (Ⅰ)
- lequel a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification. (Ⅱ)
- ὃς παρεδόθη διὰ τὰ παραπτώματα ἡμῶν καὶ ἠγέρθη διὰ τὴν δικαίωσιν ἡμῶν. (Ⅳ)
- qui traditus est propter delicta nostra, et resurrexit propter justificationem nostram. (Ⅴ)
- Lequel a été livré pour nos offenses, et qui est ressuscité pour notre justification. (Ⅶ)
- Lequel a été livré pour nos offenses, et qui est ressuscité pour notre justification. (Ⅷ)


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