1 Corinthiens
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(Version J.N. Darby)


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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


11. 1  
Soyez mes imitateurs, comme moi aussi je le suis de Christ.
- Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même du Christ. (Ⅰ)
- Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même de Christ. (Ⅱ)
- μιμηταί μου γίνεσθε, καθὼς κἀγὼ Χριστοῦ. (Ⅳ)
- Imitatores mei estote, sicut et ego Christi. (Ⅴ)
- Soyez mes imitateurs, comme je [le suis] moi-même de Christ. (Ⅶ)
- Soyez mes imitateurs, comme je le suis aussi de Christ. (Ⅷ)
11. 2  
Or je vous loue de ce que vous vous souvenez de moi en toutes choses, et de ce que vous gardez les enseignements, comme je vous les ai donnés.
- Je vous loue, [mes frères], de ce que vous vous souvenez de moi à tous égards, et de ce que vous retenez mes instructions telles que je vous les ai données. (Ⅰ)
- Je vous loue de ce que vous vous souvenez de moi à tous égards, et de ce que vous retenez mes instructions telles que je vous les ai données. (Ⅱ)
- Ἐπαινῶ δὲ ⸀ὑμᾶς ὅτι πάντα μου μέμνησθε καὶ καθὼς παρέδωκα ὑμῖν τὰς παραδόσεις κατέχετε. (Ⅳ)
- Laudo autem vos fratres quod per omnia mei memores estis : et sicut tradidi vobis, præcepta mea tenetis. (Ⅴ)
- Or, mes frères, je vous loue de ce que vous vous souvenez de tout ce qui me concerne, et de ce que vous gardez mes ordonnances, comme je vous les ai données. (Ⅶ)
- Frères, je vous loue de ce que vous vous souvenez de tout ce qui vient de moi, et de ce que vous retenez mes instructions telles que je vous les ai données. (Ⅷ)
11. 3  
Mais je veux que vous sachiez que le chef de tout homme, c’est le Christ, et que le chef de la femme, c’est l’homme, et que le chef du Christ, c’est Dieu.
- Je veux cependant que vous sachiez que le chef de tout homme c'est le Christ, que le chef de la femme, c'est l'homme, et que le chef du Christ, c'est Dieu. (Ⅰ)
- Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l'homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ. (Ⅱ)
- θέλω δὲ ὑμᾶς εἰδέναι ὅτι παντὸς ἀνδρὸς ἡ κεφαλὴ ὁ Χριστός ἐστιν, κεφαλὴ δὲ γυναικὸς ὁ ἀνήρ, κεφαλὴ δὲ ⸀τοῦ Χριστοῦ ὁ θεός. (Ⅳ)
- Volo autem vos scire quod omnis viri caput, Christus est : caput autem mulieris, vir : caput vero Christi, Deus. (Ⅴ)
- Mais je veux que vous sachiez que le Chef de tout homme, c’est Christ ; et que le Chef de la femme, c’est l’homme ; et que le Chef de Christ, c’est Dieu. (Ⅶ)
- Mais je veux que vous sachiez que Christ est le Chef de tout homme, et que l'homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ. (Ⅷ)
11. 4  
Tout homme qui prie ou qui prophétise en ayant quelque chose sur la tête, déshonore sa tête;
- Tout homme qui prie ou qui prophétise la tête couverte, déshonore sa tête. (Ⅰ)
- Tout homme qui prie ou qui prophétise, la tête couverte, déshonore son chef. (Ⅱ)
- πᾶς ἀνὴρ προσευχόμενος ἢ προφητεύων κατὰ κεφαλῆς ἔχων καταισχύνει τὴν κεφαλὴν αὐτοῦ· (Ⅳ)
- Omnis vir orans, aut prophetans velato capite, deturpat caput suum. (Ⅴ)
- Tout homme qui prie, ou qui prophétise, ayant [quelque chose] sur la tête, déshonore sa tête. (Ⅶ)
- Tout homme qui prie ou qui prophétise, la tête couverte, déshonore son chef. (Ⅷ)
11. 5  
et toute femme qui prie ou qui prophétise, la tête découverte, déshonore sa tête, car c’est la même chose qu’une femme qui serait rasée.
- Toute femme qui prie ou qui prophétise la tête non voilée, déshonore sa tête : elle est comme celle qui est rasée. (Ⅰ)
- Toute femme, au contraire, qui prie ou qui prophétise, la tête non voilée, déshonore son chef: c'est comme si elle était rasée. (Ⅱ)
- πᾶσα δὲ γυνὴ προσευχομένη ἢ προφητεύουσα ἀκατακαλύπτῳ τῇ κεφαλῇ καταισχύνει τὴν κεφαλὴν ⸀αὐτῆς, ἓν γάρ ἐστιν καὶ τὸ αὐτὸ τῇ ἐξυρημένῃ. (Ⅳ)
- Omnis autem mulier orans, aut prophetans non velato capite, deturpat caput suum : unum enim est ac si decalvetur. (Ⅴ)
- Mais toute femme qui prie, ou qui prophétise sans avoir la tête couverte, déshonore sa tête : car c’est la même chose que si elle était rasée. (Ⅶ)
- Mais toute femme qui prie ou qui prophétise sans avoir la tête couverte, déshonore son chef; car c'est la même chose que si elle était rasée. (Ⅷ)
11. 6  
Car si la femme n’est pas couverte, qu’on lui coupe aussi les cheveux. Mais s’il est déshonnête pour une femme d’avoir les cheveux coupés ou d’être rasée, qu’elle soit couverte.
- Si une femme ne se voile pas la tête, qu'elle se coupe aussi les cheveux. Or, s'il est honteux à une femme d'avoir les cheveux coupés ou la tête rasée, qu'elle se voile. (Ⅰ)
- Car si une femme n'est pas voilée, qu'elle se coupe aussi les cheveux. Or, s'il est honteux pour une femme d'avoir les cheveux coupés ou d'être rasée, qu'elle se voile. (Ⅱ)
- εἰ γὰρ οὐ κατακαλύπτεται γυνή, καὶ κειράσθω· εἰ δὲ αἰσχρὸν γυναικὶ τὸ κείρασθαι ἢ ξυρᾶσθαι, κατακαλυπτέσθω. (Ⅳ)
- Nam si non velatur mulier, tondeatur. Si vero turpe est mulieri tonderi, aut decalvari, velet caput suum. (Ⅴ)
- Si donc la femme n’est pas couverte, qu’on lui coupe les cheveux. Or s’il est déshonnête à la femme d’avoir les cheveux coupés, ou d’être rasée, qu’elle soit couverte. (Ⅶ)
- Que si la femme n'est point couverte, qu'elle se coupe aussi les cheveux. Mais s'il est honteux pour une femme d'avoir les cheveux coupés, ou d'être rasée, qu'elle soit couverte. (Ⅷ)
11. 7  
Car l’homme, étant l’image et la gloire de Dieu, ne doit pas se couvrir la tête; mais la femme est la gloire de l’homme.
- L'homme ne doit pas se couvrir la tête, parce qu'il est l'image de la gloire de Dieu, tandis que la femme est la gloire de l'homme. (Ⅰ)
- L'homme ne doit pas se couvrir la tête, puisqu'il est l'image et la gloire de Dieu, tandis que la femme est la gloire de l'homme. (Ⅱ)
- ἀνὴρ μὲν γὰρ οὐκ ὀφείλει κατακαλύπτεσθαι τὴν κεφαλήν, εἰκὼν καὶ δόξα θεοῦ ὑπάρχων· ⸀ἡ γυνὴ δὲ δόξα ἀνδρός ἐστιν. (Ⅳ)
- Vir quidem non debet velare caput suum : quoniam imago et gloria Dei est, mulier autem gloria viri est. (Ⅴ)
- Car pour ce qui est de l’homme, il ne doit point couvrir sa tête, vu qu’il est l’image et la gloire de Dieu ; mais la femme est la gloire de l’homme. (Ⅶ)
- Pour ce qui est de l'homme, il ne doit pas se couvrir la tête, puisqu'il est l'image et la gloire de Dieu; mais la femme est la gloire de l'homme. (Ⅷ)
11. 8  
Car l’homme ne procède pas de la femme, mais la femme de l’homme;
- En effet, l'homme n'a pas été tiré de la femme, mais la femme de l'homme; (Ⅰ)
- En effet, l'homme n'a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l'homme; (Ⅱ)
- οὐ γάρ ἐστιν ἀνὴρ ἐκ γυναικός, ἀλλὰ γυνὴ ἐξ ἀνδρός· (Ⅳ)
- Non enim vir ex muliere est, sed mulier ex viro. (Ⅴ)
- Parce que l’homme n’a point [été tiré] de la femme, mais la femme [a été tirée] de l’homme. (Ⅶ)
- En effet, l'homme n'a pas été pris de la femme, mais la femme a été prise de l'homme; (Ⅷ)
11. 9  
car aussi l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause de l’homme.
- et l'homme n'a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l'homme. (Ⅰ)
- et l'homme n'a pas été créé à cause de la femme, mais la femme a été créée à cause de l'homme. (Ⅱ)
- καὶ γὰρ οὐκ ἐκτίσθη ἀνὴρ διὰ τὴν γυναῖκα, ἀλλὰ γυνὴ διὰ τὸν ἄνδρα. (Ⅳ)
- Etenim non est creatus vir propter mulierem, sed mulier propter virum. (Ⅴ)
- Et aussi l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l’homme. (Ⅶ)
- Et l'homme n'a pas été créé pour la femme, mais la femme a été créée pour l'homme. (Ⅷ)
11. 10  
C’est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête une marque de l’autorité à laquelle elle est soumise.
- C'est pourquoi la femme doit, à cause des anges, avoir sur la tête un signe de sujétion. (Ⅰ)
- C'est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête une marque de l'autorité dont elle dépend. (Ⅱ)
- διὰ τοῦτο ὀφείλει ἡ γυνὴ ἐξουσίαν ἔχειν ἐπὶ τῆς κεφαλῆς διὰ τοὺς ἀγγέλους. (Ⅳ)
- Ideo debet mulier potestatem habere supra caput propter angelos. (Ⅴ)
- C’est pourquoi la femme à cause des Anges doit avoir sur la tête une marque qu’elle est sous la puissance [de son mari]. (Ⅶ)
- C'est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur sa tête une marque de l'autorité sous laquelle elle est. (Ⅷ)
11. 11  
Toutefois, ni la femme n’est sans l’homme, ni l’homme sans la femme, dans le Seigneur;
- Toutefois, ni la femme n'est sans l'homme, ni l'homme sans la femme, dans le Seigneur. (Ⅰ)
- Toutefois, dans le Seigneur, la femme n'est point sans l'homme, ni l'homme sans la femme. (Ⅱ)
- πλὴν οὔτε ⸂γυνὴ χωρὶς ἀνδρὸς οὔτε ἀνὴρ χωρὶς γυναικὸς⸃ ἐν κυρίῳ· (Ⅳ)
- Verumtamen neque vir sine muliere : neque mulier sine viro in Domino. (Ⅴ)
- Toutefois ni l’homme n’est point sans la femme, ni la femme sans l’homme en notre Seigneur. (Ⅶ)
- Toutefois, l'homme n'est point sans la femme, ni la femme sans l'homme, dans le Seigneur. (Ⅷ)
11. 12  
car comme la femme procède de l’homme, ainsi aussi l’homme est par la femme; mais toutes choses procèdent de Dieu.
- Car, si la femme a été tirée de l'homme, l'homme aussi naît de la femme, et tout vient de Dieu. (Ⅰ)
- Car, de même que la femme a été tirée de l'homme, de même l'homme existe par la femme, et tout vient de Dieu. (Ⅱ)
- ὥσπερ γὰρ ἡ γυνὴ ἐκ τοῦ ἀνδρός, οὕτως καὶ ὁ ἀνὴρ διὰ τῆς γυναικός· τὰ δὲ πάντα ἐκ τοῦ θεοῦ. (Ⅳ)
- Nam sicut mulier de viro, ita et vir per mulierem : omnia autem ex Deo. (Ⅴ)
- Car comme la femme [est] par l’homme, aussi l’homme est par la femme ; mais toutes choses procèdent de Dieu. (Ⅶ)
- Car comme la femme a été prise de l'homme, aussi l'homme naît de la femme; et tout vient de Dieu. (Ⅷ)
11. 13  
Jugez-en vous-mêmes: est-il convenable qu’une femme prie Dieu sans être couverte?
- Jugez-en vous-mêmes : est-il bienséant qu'une femme prie Dieu sans être voilée? (Ⅰ)
- Jugez-en vous-mêmes: est-il convenable qu'une femme prie Dieu sans être voilée? (Ⅱ)
- ἐν ὑμῖν αὐτοῖς κρίνατε· πρέπον ἐστὶν γυναῖκα ἀκατακάλυπτον τῷ θεῷ προσεύχεσθαι; (Ⅳ)
- Vos ipsi judicate : decet mulierem non velatam orare Deum ? (Ⅴ)
- Jugez-en entre vous-mêmes : est-il convenable que la femme prie Dieu sans être couverte ? (Ⅶ)
- Jugez-en vous-mêmes; est-il bienséant qu'une femme prie Dieu sans avoir la tête couverte? (Ⅷ)
11. 14  
La nature même ne vous enseigne-t-elle pas que, si un homme a une longue chevelure, c’est un déshonneur pour lui?
- La nature elle-même ne nous enseigne-t-elle pas que c'est une honte à un homme de porter de longs cheveux, (Ⅰ)
- La nature elle-même ne vous enseigne-t-elle pas que c'est une honte pour l'homme de porter de longs cheveux, (Ⅱ)
- ⸀οὐδὲ ⸂ἡ φύσις αὐτὴ⸃ διδάσκει ὑμᾶς ὅτι ἀνὴρ μὲν ἐὰν κομᾷ, ἀτιμία αὐτῷ ἐστιν, (Ⅳ)
- Nec ipsa natura docet vos, quod vir quidem si comam nutriat, ignominia est illi : (Ⅴ)
- La nature même ne vous enseigne-t-elle pas que si l’homme nourrit sa chevelure, ce lui est du déshonneur ; (Ⅶ)
- La nature elle-même ne vous apprend-elle pas qu'il est honteux à l'homme de porter de longs cheveux; (Ⅷ)
11. 15  
Mais si une femme a une longue chevelure, c’est une gloire pour elle, parce que la chevelure lui est donnée en guise de voile.
- tandis que c'est une gloire pour la femme qu'une longue chevelure, parce que la chevelure lui a été donnée en guise de voile? (Ⅰ)
- mais que c'est une gloire pour la femme d'en porter, parce que la chevelure lui a été donnée comme voile? (Ⅱ)
- γυνὴ δὲ ἐὰν κομᾷ, δόξα αὐτῇ ἐστιν; ὅτι ἡ κόμη ἀντὶ περιβολαίου ⸀δέδοται. (Ⅳ)
- mulier vero si comam nutriat, gloria est illi : quoniam capilli pro velamine ei dati sunt. (Ⅴ)
- Mais que si la femme nourrit sa chevelure, ce lui est de la gloire, parce que la chevelure lui est donnée pour couverture. (Ⅶ)
- Mais que si la femme porte de longs cheveux, c'est un honneur pour elle, parce que la chevelure lui est donnée pour voile? (Ⅷ)
11. 16  
Mais si quelqu’un paraît vouloir contester, nous, nous n’avons pas une telle coutume, ni les assemblées de Dieu.
- Si quelqu'un se plaît à contester, nous n'avons pas cette habitude, non plus que les Eglises de Dieu. (Ⅰ)
- Si quelqu'un se plaît à contester, nous n'avons pas cette habitude, non plus que les Églises de Dieu. (Ⅱ)
- εἰ δέ τις δοκεῖ φιλόνεικος εἶναι, ἡμεῖς τοιαύτην συνήθειαν οὐκ ἔχομεν, οὐδὲ αἱ ἐκκλησίαι τοῦ θεοῦ. (Ⅳ)
- Si quis autem videtur contentiosus esse : nos talem consuetudinem non habemus, neque ecclesia Dei.\ (Ⅴ)
- Que si quelqu’un aime à contester, nous n’avons pas une telle coutume, ni aussi les Eglises de Dieu. (Ⅶ)
- Que si quelqu'un se plaît à contester, nous n'avons pas cette coutume, ni les Églises de Dieu non plus. (Ⅷ)
11. 17  
Or, en prescrivant ceci, je ne vous loue pas, — c’est que vous vous réunissez, non pas pour votre profit, mais à votre détriment.
- Mais en vous recommandant ce point, je n'ai garde de vous louer de ce que vous vous assemblez, non pour votre avantage, mais pour votre préjudice. (Ⅰ)
- En donnant cet avertissement, ce que je ne loue point, c'est que vous vous assemblez, non pour devenir meilleurs, mais pour devenir pires. (Ⅱ)
- Τοῦτο δὲ ⸂παραγγέλλων οὐκ ἐπαινῶ⸃ ὅτι οὐκ εἰς τὸ κρεῖσσον ἀλλὰ εἰς τὸ ἧσσον συνέρχεσθε. (Ⅳ)
- Hoc autem præcipio : non laudans quod non in melius, sed in deterius convenitis. (Ⅴ)
- Or en ce que je vais vous dire, je ne vous loue point : c’est que vos assemblées ne sont pas mieux réglées qu’elles l’étaient ; elles le sont moins. (Ⅶ)
- Or, en ce que je vais vous dire, je ne vous loue point: c'est que vous vous assemblez, non pour devenir meilleurs, mais pour empirer. (Ⅷ)
11. 18  
Car d’abord, quand vous vous réunissez en assemblée, j’entends dire qu’il y a des divisions parmi vous, et je le crois en partie;
- Et d'abord j'apprends que, lorsque vous vous réunissez en assemblée, il y a des scissions parmi vous, — et je le crois en partie; (Ⅰ)
- Et d'abord, j'apprends que, lorsque vous vous réunissez en assemblée, il y a parmi vous des divisions, -et je le crois en partie, (Ⅱ)
- πρῶτον μὲν γὰρ συνερχομένων ὑμῶν ἐν ἐκκλησίᾳ ἀκούω σχίσματα ἐν ὑμῖν ὑπάρχειν, καὶ μέρος τι πιστεύω. (Ⅳ)
- Primum quidem convenientibus vobis in ecclesiam, audio scissuras esse inter vos, et ex parte credo. (Ⅴ)
- Car premièrement, quand vous vous assemblez dans l’Eglise, j’apprends qu’il y a des divisions parmi vous ; et j’en crois une partie : (Ⅶ)
- Car, premièrement, j'apprends que lorsque vous vous assemblez dans l'Église, il y a des divisions parmi vous, et j'en crois une partie, (Ⅷ)
11. 19  
car il faut aussi qu’il y ait des sectes parmi vous, afin que ceux qui sont approuvés soient manifestes parmi vous.
- car il faut qu'il y ait parmi vous même des sectes, afin que les frères d'une vertu éprouvée soient manifestés parmi vous, — (Ⅰ)
- car il faut qu'il y ait aussi des sectes parmi vous, afin que ceux qui sont approuvés soient reconnus comme tels au milieu de vous. - (Ⅱ)
- δεῖ γὰρ καὶ αἱρέσεις ἐν ὑμῖν εἶναι, ἵνα ⸀καὶ οἱ δόκιμοι φανεροὶ γένωνται ἐν ὑμῖν. (Ⅳ)
- Nam oportet et hæreses esse, ut et qui probati sunt, manifesti fiant in vobis. (Ⅴ)
- Car il faut qu’il y ait même des hérésies parmi vous, afin que ceux qui sont dignes d’approbation, soient manifestés parmi vous. (Ⅶ)
- Car il faut qu'il y ait des schismes parmi vous, afin que ceux d'entre vous qui sont approuvés, soient manifestés. (Ⅷ)
11. 20  
Quand donc vous vous réunissez ensemble, ce n’est pas manger la cène dominicale:
- lors donc que vous vous réunissez ce n'est plus le repas du Seigneur que vous célébrez; (Ⅰ)
- Lors donc que vous vous réunissez, ce n'est pas pour manger le repas du Seigneur; (Ⅱ)
- συνερχομένων οὖν ὑμῶν ἐπὶ τὸ αὐτὸ οὐκ ἔστιν κυριακὸν δεῖπνον φαγεῖν, (Ⅳ)
- Convenientibus ergo vobis in unum, jam non est Dominicam cœnam manducare. (Ⅴ)
- Quand donc vous vous assemblez [ainsi] tous ensemble, ce n’est pas manger la Cène du Seigneur. (Ⅶ)
- Lors donc que vous vous assemblez dans un même lieu, ce n'est pas pour manger la Cène du Seigneur; (Ⅷ)
11. 21  
car lorsqu’on mange, chacun prend par avance son propre souper, et l’un a faim, et l’autre s’enivre.
- car, à table, chacun commence par prendre son propre repas, en sorte que tels ont faim, tandis que d'autres se gorgent. (Ⅰ)
- car, quand on se met à table, chacun commence par prendre son propre repas, et l'un a faim, tandis que l'autre est ivre. (Ⅱ)
- ἕκαστος γὰρ τὸ ἴδιον δεῖπνον προλαμβάνει ἐν τῷ φαγεῖν, καὶ ὃς μὲν πεινᾷ, ὃς δὲ μεθύει. (Ⅳ)
- Unusquisque enim suam cœnam præsumit ad manducandum, et alius quidem esurit, alius autem ebrius est. (Ⅴ)
- Car lorsqu’il s’agit de prendre le repas, chacun prend par avance son souper particulier, en sorte que l’un a faim, et l’autre fait bonne chère. (Ⅶ)
- Car au repas, chacun se hâte de prendre son souper particulier; en sorte que l'un a faim, et l'autre est repu. (Ⅷ)
11. 22  
N’avez-vous donc pas des maisons pour manger et pour boire? Ou méprisez-vous l’assemblée de Dieu, et faites-vous honte à ceux qui n’ont rien? Que vous dirai-je? Vous louerai-je? En cela, je ne vous loue pas.
- N'avez-vous pas des maisons pour y manger et boire? ou méprisez-vous l'Eglise de Dieu, et voulez-vous faire un affront à ceux qui n'ont rien? Que vous dirai-je? Que je vous loue? Non, je ne vous loue point en cela. (Ⅰ)
- N'avez-vous pas des maisons pour y manger et boire? Ou méprisez-vous l'Église de Dieu, et faites-vous honte à ceux qui n'ont rien? Que vous dirai-je? Vous louerai-je? En cela je ne vous loue point. (Ⅱ)
- μὴ γὰρ οἰκίας οὐκ ἔχετε εἰς τὸ ἐσθίειν καὶ πίνειν; ἢ τῆς ἐκκλησίας τοῦ θεοῦ καταφρονεῖτε, καὶ καταισχύνετε τοὺς μὴ ἔχοντας; τί ⸂εἴπω ὑμῖν⸃; ἐπαινέσω ὑμᾶς; ἐν τούτῳ οὐκ ἐπαινῶ. (Ⅳ)
- Numquid domos non habetis ad manducandum, et bibendum ? aut ecclesiam Dei contemnitis, et confunditis eos qui non habent ? Quid dicam vobis ? laudo vos ? in hoc non laudo. (Ⅴ)
- N’avez-vous donc pas de maisons pour manger et pour boire ? ou méprisez-vous l’Eglise de Dieu ? et faites-vous honte à ceux qui n’ont rien ? que vous dirai-je ? vous louerai-je ? je ne vous loue point en ceci. (Ⅶ)
- N'avez-vous pas des maisons pour manger et pour boire? Ou méprisez-vous l'Église de Dieu, et faites-vous honte à ceux qui n'ont rien? Que vous dirai-je? Vous louerai-je? Je ne vous loue point de cela. (Ⅷ)
11. 23  
Car moi, j’ai reçu du Seigneur ce qu’aussi je vous ai enseigné: c’est que le seigneur Jésus, la nuit qu’il fut livré, prit du pain,
- Car, pour moi, j'ai reçu du Seigneur, ce que je vous ai aussi transmis, savoir, que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, (Ⅰ)
- Car j'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné; c'est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, (Ⅱ)
- Ἐγὼ γὰρ παρέλαβον ἀπὸ τοῦ κυρίου, ὃ καὶ παρέδωκα ὑμῖν, ὅτι ὁ κύριος Ἰησοῦς ἐν τῇ νυκτὶ ᾗ ⸀παρεδίδετο ἔλαβεν ἄρτον (Ⅳ)
- Ego enim accepi a Domino quod et tradidi vobis, quoniam Dominus Jesus in qua nocte tradebatur, accepit panem, (Ⅴ)
- Car j’ai reçu du Seigneur ce qu’aussi je vous ai donné ; c’est que le Seigneur Jésus la nuit qu’il fut trahi, prit du pain ; (Ⅶ)
- Car pour moi, j'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai aussi enseigné; c'est que le Seigneur Jésus, la nuit qu'il fut livré, prit du pain; (Ⅷ)
11. 24  
et après avoir rendu grâces, il le rompit et dit: «Ceci est mon corps, qui est pour vous; faites ceci en mémoire de moi.»
- et après avoir rendu grâces, le rompit et dit : " [Prenez et mangez]; ceci est mon corps, [qui sera livré] pour vous; faites ceci en mémoire de moi. " (Ⅰ)
- et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit: Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de moi. (Ⅱ)
- καὶ εὐχαριστήσας ἔκλασεν καὶ ⸀εἶπεν· Τοῦτό μού ἐστιν τὸ σῶμα τὸ ὑπὲρ ⸀ὑμῶν· τοῦτο ποιεῖτε εἰς τὴν ἐμὴν ἀνάμνησιν. (Ⅳ)
- et gratias agens fregit, et dixit : Accipite, et manducate : hoc est corpus meum, quod pro vobis tradetur : hoc facite in meam commemorationem. (Ⅴ)
- Et après avoir rendu grâces il le rompit, et dit : prenez, mangez : ceci est mon corps [qui est] rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. (Ⅶ)
- Et ayant rendu grâces, il le rompit, et dit: Prenez, mangez; ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de moi. (Ⅷ)
11. 25  
De même il prit la coupe aussi, après le souper, en disant: «Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang: faites ceci, toutes les fois que vous la boirez, en mémoire de moi.»
- De même, après avoir soupé, il prit le calice et dit : " Ce calice est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci, toutes les fois que vous en boirez, en mémoire de moi. " (Ⅰ)
- De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez. (Ⅱ)
- ὡσαύτως καὶ τὸ ποτήριον μετὰ τὸ δειπνῆσαι, λέγων· Τοῦτο τὸ ποτήριον ἡ καινὴ διαθήκη ἐστὶν ἐν τῷ ἐμῷ αἵματι· τοῦτο ποιεῖτε, ὁσάκις ⸀ἐὰν πίνητε, εἰς τὴν ἐμὴν ἀνάμνησιν. (Ⅳ)
- Similiter et calicem, postquam cœnavit, dicens : Hic calix novum testamentum est in meo sanguine : hoc facite quotiescumque bibetis, in meam commemorationem. (Ⅴ)
- De même aussi après le souper, il prit la coupe, en disant : cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci toutes les fois que vous en boirez, en mémoire de moi. (Ⅶ)
- De même aussi, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi, toutes les fois que vous en boirez. (Ⅷ)
11. 26  
Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez la coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’il vienne.
- Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez ce calice, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne. (Ⅰ)
- Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne. (Ⅱ)
- ὁσάκις γὰρ ⸀ἐὰν ἐσθίητε τὸν ἄρτον τοῦτον καὶ τὸ ⸀ποτήριον πίνητε, τὸν θάνατον τοῦ κυρίου καταγγέλλετε, ἄχρι ⸀οὗ ἔλθῃ. (Ⅳ)
- Quotiescumque enim manducabitis panem hunc, et calicem bibetis, mortem Domini annuntiabitis donec veniat. (Ⅴ)
- Car toutes les fois que vous mangerez de ce pain, et que vous boirez de cette coupe, vous annoncerez la mort du Seigneur jusques à ce qu’il vienne. (Ⅶ)
- Car toutes les fois que vous mangez de ce pain, et que vous buvez de cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne. (Ⅷ)
11. 27  
Ainsi quiconque mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement sera coupable à l’égard du corps et du sang du Seigneur.
- C'est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira le calice du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur. (Ⅰ)
- C'est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur. (Ⅱ)
- Ὥστε ὃς ἂν ἐσθίῃ τὸν ⸀ἄρτον ἢ πίνῃ τὸ ποτήριον τοῦ κυρίου ⸀ἀναξίως, ἔνοχος ἔσται τοῦ σώματος καὶ τοῦ αἵματος τοῦ κυρίου. (Ⅳ)
- Itaque quicumque manducaverit panem hunc, vel biberit calicem Domini indigne, reus erit corporis et sanguinis Domini. (Ⅴ)
- C’est pourquoi quiconque mangera de ce pain, ou boira de la coupe du Seigneur indignement, sera coupable du corps et du sang du Seigneur. (Ⅶ)
- C'est pourquoi, quiconque mangera de ce pain, ou boira de la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur. (Ⅷ)
11. 28  
Mais que chacun s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe;
- Que chacun donc s'éprouve soi-même, et qu'ainsi il mange de ce pain et boive de ce calice; (Ⅰ)
- Que chacun donc s'éprouve soi-même, et qu'ainsi il mange du pain et boive de la coupe; (Ⅱ)
- δοκιμαζέτω δὲ ἄνθρωπος ἑαυτόν, καὶ οὕτως ἐκ τοῦ ἄρτου ἐσθιέτω καὶ ἐκ τοῦ ποτηρίου πινέτω· (Ⅳ)
- Probet autem seipsum homo : et sic de pane illo edat, et de calice bibat. (Ⅴ)
- Que chacun donc s’éprouve soi-même, et ainsi qu’il mange de ce pain, et qu’il boive de cette coupe ; (Ⅶ)
- Que chacun donc s'éprouve soi-même, et qu'ainsi il mange de ce pain et boive de cette coupe; (Ⅷ)
11. 29  
car celui qui mange et qui boit, mange et boit un jugement contre lui-même, ne distinguant pas le corps.
- car celui qui mange et boit [indignement], sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit son propre jugement. (Ⅰ)
- car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. (Ⅱ)
- ὁ γὰρ ἐσθίων καὶ ⸀πίνων κρίμα ἑαυτῷ ἐσθίει καὶ πίνει μὴ διακρίνων τὸ ⸀σῶμα. (Ⅳ)
- Qui enim manducat et bibit indigne, judicium sibi manducat et bibit, non dijudicans corpus Domini. (Ⅴ)
- Car celui qui [en] mange et qui [en] boit indignement, mange et boit sa condamnation, ne distinguant point le corps du Seigneur. (Ⅶ)
- Car celui qui en mange et qui en boit indignement, mange et boit sa condamnation, ne discernant point le corps du Seigneur. (Ⅷ)
11. 30  
C’est pour cela que plusieurs sont faibles et malades parmi vous, et qu’un assez grand nombre dorment.
- C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup de gens débiles et de malades, et qu'un grand nombre sont morts. (Ⅰ)
- C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup d'infirmes et de malades, et qu'un grand nombre sont morts. (Ⅱ)
- διὰ τοῦτο ἐν ὑμῖν πολλοὶ ἀσθενεῖς καὶ ἄρρωστοι καὶ κοιμῶνται ἱκανοί. (Ⅳ)
- Ideo inter vos multi infirmi et imbecilles, et dormiunt multi. (Ⅴ)
- Et c’est pour cela que plusieurs sont faibles et malades parmi vous, et que plusieurs dorment. (Ⅶ)
- C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup d'infirmes et de malades, et qu'un grand nombre sont morts. (Ⅷ)
11. 31  
Mais si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.
- Si nous nous examinions nous-mêmes nous ne serions pas jugés. (Ⅰ)
- Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés. (Ⅱ)
- εἰ ⸀δὲ ἑαυτοὺς διεκρίνομεν, οὐκ ἂν ἐκρινόμεθα· (Ⅳ)
- Quod si nosmetipsos dijudicaremus, non utique judicaremur. (Ⅴ)
- Car si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions point jugés. (Ⅶ)
- Car si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions point jugés. (Ⅷ)
11. 32  
Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.
- Mais le Seigneur nous juge et nous châtie, afin que nous ne soyons pas condamnés avec ce monde. (Ⅰ)
- Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde. (Ⅱ)
- κρινόμενοι δὲ ⸀ὑπὸ κυρίου παιδευόμεθα, ἵνα μὴ σὺν τῷ κόσμῳ κατακριθῶμεν. (Ⅳ)
- Dum judicamur autem, a Domino corripimur, ut non cum hoc mundo damnemur. (Ⅴ)
- Mais quand nous sommes jugés, nous sommes enseignés par le Seigneur, afin que nous ne soyons point condamnés avec le monde. (Ⅶ)
- Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons point condamnés avec le monde. (Ⅷ)
11. 33  
Ainsi, mes frères, quand vous vous réunissez pour manger, attendez-vous l’un l’autre;
- Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres. (Ⅰ)
- Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres. (Ⅱ)
- Ὥστε, ἀδελφοί μου, συνερχόμενοι εἰς τὸ φαγεῖν ἀλλήλους ἐκδέχεσθε. (Ⅳ)
- Itaque fratres mei, cum convenitis ad manducandum, invicem exspectate. (Ⅴ)
- C’est pourquoi, mes frères, quand vous vous assemblez pour manger, attendez-vous l’un l’autre. (Ⅶ)
- C'est pourquoi, mes frères, quand vous vous assemblez pour manger, attendez-vous les uns les autres. (Ⅷ)
11. 34  
si quelqu’un a faim, qu’il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour être jugés. Or, quant aux autres points, je les réglerai quand j’irai vers vous.
- Si quelqu'un a faim qu'il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour votre condamnation. Je réglerai les autres choses quand je serai arrivé chez vous. (Ⅰ)
- Si quelqu'un a faim, qu'il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour attirer un jugement sur vous. Je réglerai les autres choses quand je serai arrivé. (Ⅱ)
- ⸀εἴ τις πεινᾷ, ἐν οἴκῳ ἐσθιέτω, ἵνα μὴ εἰς κρίμα συνέρχησθε. Τὰ δὲ λοιπὰ ὡς ἂν ἔλθω διατάξομαι. (Ⅳ)
- Si quis esurit, domi manducet, ut non in judicium conveniatis. Cetera autem, cum venero, disponam. (Ⅴ)
- Et si quelqu’un a faim, qu’il mange en sa maison, afin que vous ne vous assembliez pas pour votre condamnation. Touchant les autres points, j’en ordonnerai quand je serai arrivé. (Ⅶ)
- Et si quelqu'un a faim, qu'il mange dans sa maison, afin que vous ne vous assembliez point pour votre condamnation. Quant aux autres choses, je les réglerai quand je serai arrivé. (Ⅷ)


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Chapitre 11
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