1 Corinthiens
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(Version J.N. Darby)


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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


7. 1  
Or, pour ce qui est des choses au sujet desquelles vous m’avez écrit, il est bon à l’homme de ne pas toucher de femme;
- Quant aux points sur lesquels vous m'avez écrit, je vous dirai qu'il est bon pour l'homme de ne pas toucher de femme. (Ⅰ)
- Pour ce qui concerne les choses dont vous m'avez écrit, je pense qu'il est bon pour l'homme de ne point toucher de femme. (Ⅱ)
- Περὶ δὲ ὧν ⸀ἐγράψατε, καλὸν ἀνθρώπῳ γυναικὸς μὴ ἅπτεσθαι· (Ⅳ)
- De quibus autem scripsistis mihi : Bonum est homini mulierem non tangere : (Ⅴ)
- Or quant aux choses dont vous m’avez écrit : [Je vous dis] qu’il est bon à l’homme de ne pas se marier. (Ⅶ)
- Pour ce qui est des choses dont vous m'avez écrit, il est bon à l'homme de ne point toucher de femme. (Ⅷ)
7. 2  
mais, à cause de la fornication, que chacun ait sa propre femme, et que chaque femme ait son mari à elle.
- Toutefois, pour éviter toute impudicité, que chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari. (Ⅰ)
- Toutefois, pour éviter l'impudicité, que chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari. (Ⅱ)
- διὰ δὲ τὰς πορνείας ἕκαστος τὴν ἑαυτοῦ γυναῖκα ἐχέτω, καὶ ἑκάστη τὸν ἴδιον ἄνδρα ἐχέτω. (Ⅳ)
- propter fornicationem autem unusquisque suam uxorem habeat, et unaquæque suum virum habeat. (Ⅴ)
- Toutefois pour éviter l’impureté, que chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari. (Ⅶ)
- Toutefois, pour éviter l'impudicité, que chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari. (Ⅷ)
7. 3  
Que le mari rende à la femme ce qui lui est dû, et pareillement aussi la femme au mari.
- Que le mari rende à sa femme ce qu'il lui doit, et que la femme agisse de même envers son mari. (Ⅰ)
- Que le mari rende à sa femme ce qu'il lui doit, et que la femme agisse de même envers son mari. (Ⅱ)
- τῇ γυναικὶ ὁ ἀνὴρ τὴν ⸀ὀφειλὴν ἀποδιδότω, ὁμοίως δὲ καὶ ἡ γυνὴ τῷ ἀνδρί. (Ⅳ)
- Uxori vir debitum reddat : similiter autem et uxor viro. (Ⅴ)
- Que le mari rende à sa femme la bienveillance qui lui est due ; et que la femme de même la rende à son mari. (Ⅶ)
- Que le mari rende à sa femme ce qu'il lui doit; et que la femme agisse de même envers son mari. (Ⅷ)
7. 4  
La femme ne dispose pas de son propre corps, mais le mari; et pareillement aussi le mari ne dispose pas de son propre corps, mais la femme.
- La femme n'a pas puissance sur son propre corps, mais le mari; pareillement le mari n'a pas puissance sur son propre corps, mais la femme. (Ⅰ)
- La femme n'a pas autorité sur son propre corps, mais c'est le mari; et pareillement, le mari n'a pas autorité sur son propre corps, mais c'est la femme. (Ⅱ)
- ἡ γυνὴ τοῦ ἰδίου σώματος οὐκ ἐξουσιάζει ἀλλὰ ὁ ἀνήρ· ὁμοίως δὲ καὶ ὁ ἀνὴρ τοῦ ἰδίου σώματος οὐκ ἐξουσιάζει ἀλλὰ ἡ γυνή. (Ⅳ)
- Mulier sui corporis potestatem non habet, sed vir. Similiter autem et vir sui corporis potestatem non habet, sed mulier. (Ⅴ)
- Car la femme n’a pas son propre corps en sa puissance, mais [il est en celle] du mari ; et le mari tout de même n’a pas en sa puissance son propre corps, mais [il est en celle] de la femme. (Ⅶ)
- La femme n'est point maîtresse de son propre corps, mais c'est le mari; de même aussi, le mari n'est point maître de son propre corps, mais c'est la femme. (Ⅷ)
7. 5  
Ne vous privez pas l’un l’autre, à moins que ce ne soit d’un consentement mutuel, pour un temps, afin que vous vaquiez à la prière, et que vous vous trouviez de nouveau ensemble, afin que Satan ne vous tente pas à cause de votre incontinence.
- Ne vous soustrayez pas l'un à l'autre, si ce n'est d'un commun accord, pour un temps, afin de vaquer à la prière; puis remettez-vous ensemble, de peur que Satan ne vous tente par suite de votre incontinence. (Ⅰ)
- Ne vous privez point l'un de l'autre, si ce n'est d'un commun accord pour un temps, afin de vaquer à la prière; puis retournez ensemble, de peur que Satan ne vous tente par votre incontinence. (Ⅱ)
- μὴ ἀποστερεῖτε ἀλλήλους, εἰ μήτι ἂν ἐκ συμφώνου πρὸς καιρὸν ἵνα ⸀σχολάσητε ⸀τῇ προσευχῇ καὶ πάλιν ἐπὶ τὸ αὐτὸ ⸀ἦτε, ἵνα μὴ πειράζῃ ὑμᾶς ὁ Σατανᾶς διὰ τὴν ἀκρασίαν ὑμῶν. (Ⅳ)
- Nolite fraudare invicem, nisi forte ex consensu ad tempus, ut vacetis orationi : et iterum revertimini in idipsum, ne tentet vos Satanas propter incontinentiam vestram. (Ⅴ)
- Ne vous privez point l’un de l’autre, si ce n’est par un consentement mutuel, pour un temps, afin que vous vaquiez au jeûne et à la prière, mais après cela retournez ensemble, de peur que satan ne vous tente, par votre incontinence. (Ⅶ)
- Ne vous privez point l'un de l'autre, si ce n'est d'un consentement mutuel, pour un temps, afin de vaquer au jeûne et à la prière; et ensuite, retournez ensemble, de peur que Satan ne vous tente par votre incontinence. (Ⅷ)
7. 6  
Or je dis ceci par indulgence, non comme commandement;
- Je dis cela par condescendance, je n'en fais pas un ordre. (Ⅰ)
- Je dis cela par condescendance, je n'en fais pas un ordre. (Ⅱ)
- τοῦτο δὲ λέγω κατὰ συγγνώμην, οὐ κατ’ ἐπιταγήν. (Ⅳ)
- Hoc autem dico secundum indulgentiam, non secundum imperium. (Ⅴ)
- Or je dis ceci par permission, et non par commandement. (Ⅶ)
- Or, je dis ceci par condescendance, et non pas par commandement. (Ⅷ)
7. 7  
mais je voudrais que tous les hommes fussent comme moi; toutefois chacun a son propre don de grâce de la part de Dieu, l’un d’une manière, et l’autre d’une autre.
- Je voudrais, au contraire, que tous les hommes fussent comme moi; mais chacun reçoit de Dieu son don particulier, l'un d'une manière, l'autre d'une autre. (Ⅰ)
- Je voudrais que tous les hommes fussent comme moi; mais chacun tient de Dieu un don particulier, l'un d'une manière, l'autre d'une autre. (Ⅱ)
- θέλω ⸀δὲ πάντας ἀνθρώπους εἶναι ὡς καὶ ἐμαυτόν· ἀλλὰ ἕκαστος ἴδιον ⸂ἔχει χάρισμα⸃ ἐκ θεοῦ, ⸀ὁ μὲν οὕτως, ⸁ὁ δὲ οὕτως. (Ⅳ)
- Volo enim omnes vos esse sicut meipsum : sed unusquisque proprium donum habet ex Deo : alius quidem sic, alius vero sic. (Ⅴ)
- Car je voudrais que tous les hommes fussent comme moi ; mais chacun a son propre don [lequel il a reçu] de Dieu, l’un en une manière, et l’autre en une autre. (Ⅶ)
- Car je voudrais que tous les hommes fussent comme moi; mais chacun a reçu de Dieu un don particulier, l'un d'une manière, l'autre d'une autre. (Ⅷ)
7. 8  
Or je dis à ceux qui ne sont pas mariés et aux veuves, qu’il leur est bon de demeurer comme moi.
- A ceux qui ne sont pas mariés et aux veuves, je dis qu'il leur est bon de rester comme moi-même. (Ⅰ)
- A ceux qui ne sont pas mariés et aux veuves, je dis qu'il leur est bon de rester comme moi. (Ⅱ)
- Λέγω δὲ τοῖς ἀγάμοις καὶ ταῖς χήραις, καλὸν ⸀αὐτοῖς ἐὰν μείνωσιν ὡς κἀγώ· (Ⅳ)
- Dico autem non nuptis, et viduis : bonum est illis si sic permaneant, sicut et ego. (Ⅴ)
- Or je dis à ceux qui ne sont point mariés, et aux veuves, qu’il leur est bon de demeurer comme moi. (Ⅶ)
- Je dis donc à ceux qui ne sont point mariés, et aux veuves, qu'il leur est avantageux de demeurer comme moi. (Ⅷ)
7. 9  
Mais s’ils ne savent pas garder la continence, qu’ils se marient, car il vaut mieux se marier que de brûler.
- Mais s'ils ne peuvent se contenir, qu'ils se marient; car il vaut mieux se marier que de brûler. (Ⅰ)
- Mais s'ils manquent de continence, qu'ils se marient; car il vaut mieux se marier que de brûler. (Ⅱ)
- εἰ δὲ οὐκ ἐγκρατεύονται, γαμησάτωσαν, κρεῖττον γάρ ἐστιν ⸀γαμῆσαι ἢ πυροῦσθαι. (Ⅳ)
- Quod si non se continent, nubant. Melius est enim nubere, quam uri.\ (Ⅴ)
- Mais s’ils ne sont pas continents, qu’ils se marient ; car il vaut mieux se marier que de brûler. (Ⅶ)
- Mais s'ils manquent de continence, qu'ils se marient; car il vaut mieux se marier que de brûler. (Ⅷ)
7. 10  
Mais quant à ceux qui sont mariés, je leur enjoins, non pas moi, mais le Seigneur: que la femme ne soit pas séparée du mari;
- Quant aux personnes mariées, j'ordonne, non pas moi, mais le Seigneur, que la femme ne se sépare point de son mari; — (Ⅰ)
- A ceux qui sont mariés, j'ordonne, non pas moi, mais le Seigneur, que la femme ne se sépare point de son mari (Ⅱ)
- Τοῖς δὲ γεγαμηκόσιν παραγγέλλω, οὐκ ἐγὼ ἀλλὰ ὁ κύριος, γυναῖκα ἀπὸ ἀνδρὸς μὴ χωρισθῆναι— (Ⅳ)
- Iis autem qui matrimonio juncti sunt, præcipio non ego, sed Dominus, uxorem a viro non discedere : (Ⅴ)
- Et quant à ceux qui sont mariés, je leur commande, non pas moi, mais le Seigneur, que la femme ne se sépare point du mari. (Ⅶ)
- Quant à ceux qui sont mariés, je leur prescris (non pas moi toutefois, mais le Seigneur) que la femme ne se sépare pas de son mari; (Ⅷ)
7. 11  
(et si elle est séparée, qu’elle demeure sans être mariée, ou qu’elle se réconcilie avec son mari;) et que le mari n’abandonne pas sa femme.
- si elle en est séparée, qu'elle reste sans se remarier ou qu'elle se réconcilie avec son mari; pareillement, que le mari ne répudie point sa femme. (Ⅰ)
- (si elle est séparée, qu'elle demeure sans se marier ou qu'elle se réconcilie avec son mari), et que le mari ne répudie point sa femme. (Ⅱ)
- ἐὰν δὲ καὶ χωρισθῇ, μενέτω ἄγαμος ἢ τῷ ἀνδρὶ καταλλαγήτω— καὶ ἄνδρα γυναῖκα μὴ ἀφιέναι. (Ⅳ)
- quod si discesserit, manere innuptam, aut viro suo reconciliari. Et vir uxorem non dimittat.\ (Ⅴ)
- Et si elle s’en sépare, qu’elle demeure sans être mariée, ou qu’elle se réconcilie avec son mari ; que le mari aussi ne quitte point sa femme. (Ⅶ)
- (Et si elle se sépare, qu'elle demeure sans se remarier, ou qu'elle se réconcilie avec son mari) et que le mari ne quitte point sa femme. (Ⅷ)
7. 12  
Mais quant aux autres, je dis, moi, non pas le Seigneur: Si quelque frère a une femme incrédule, et qu’elle veuille habiter avec lui, qu’il ne l’abandonne pas;
- Aux autres, je dis, moi, non le Seigneur : Si quelque frère a une femme qui n'a pas la foi, et qu'elle consente à habiter avec lui, qu'il ne la renvoie point; (Ⅰ)
- Aux autres, ce n'est pas le Seigneur, c'est moi qui dis: Si un frère a une femme non-croyante, et qu'elle consente à habiter avec lui, qu'il ne la répudie point; (Ⅱ)
- Τοῖς δὲ λοιποῖς ⸂λέγω ἐγώ⸃, οὐχ ὁ κύριος· εἴ τις ἀδελφὸς γυναῖκα ἔχει ἄπιστον, καὶ αὕτη συνευδοκεῖ οἰκεῖν μετ’ αὐτοῦ, μὴ ἀφιέτω αὐτήν· (Ⅳ)
- Nam ceteris ego dico, non Dominus. Si quis frater uxorem habet infidelem, et hæc consentit habitare cum illo, non dimittat illam. (Ⅴ)
- Mais aux autres je leur dis, [et] non pas le Seigneur : Si quelque frère a une femme infidèle, et qu’elle consente d’habiter avec lui, qu’il ne la quitte point. (Ⅶ)
- Mais je dis aux autres (moi et non le Seigneur): Si quelque frère a une femme incrédule, et qui consente à demeurer avec lui, qu'il ne la quitte point; (Ⅷ)
7. 13  
et si une femme a un mari incrédule, et qu’il veuille habiter avec elle, qu’elle n’abandonne pas son mari.
- et si une femme a un mari qui n'a pas la foi, et qu'il consente à habiter avec elle, qu'elle ne renvoie point son mari. (Ⅰ)
- et si une femme a un mari non-croyant, et qu'il consente à habiter avec elle, qu'elle ne répudie point son mari. (Ⅱ)
- καὶ γυνὴ ⸂εἴ τις⸃ ἔχει ἄνδρα ἄπιστον, καὶ ⸀οὗτος συνευδοκεῖ οἰκεῖν μετ’ αὐτῆς, μὴ ἀφιέτω ⸂τὸν ἄνδρα⸃. (Ⅳ)
- Et si qua mulier fidelis habet virum infidelem, et hic consentit habitare cum illa, non dimittat virum : (Ⅴ)
- Et si quelque femme a un mari infidèle, et qu’il consente d’habiter avec elle, qu’elle ne le quitte point. (Ⅶ)
- Et si quelque femme a un mari incrédule, et qui consente à demeurer avec elle, qu'elle ne le quitte point. (Ⅷ)
7. 14  
Car le mari incrédule est sanctifié par la femme, et la femme incrédule est sanctifiée par le frère, son mari; puisque autrement vos enfants seraient impurs; mais maintenant ils sont saints.
- Car le mari infidèle est sanctifié par la femme, et la femme infidèle est sanctifiée par le mari; autrement vos enfants seraient impurs, tandis que maintenant ils sont saints. (Ⅰ)
- Car le mari non-croyant est sanctifié par la femme, et la femme non-croyante est sanctifiée par le frère; autrement, vos enfants seraient impurs, tandis que maintenant ils sont saints. (Ⅱ)
- ἡγίασται γὰρ ὁ ἀνὴρ ὁ ἄπιστος ἐν τῇ γυναικί, καὶ ἡγίασται ἡ γυνὴ ἡ ἄπιστος ἐν τῷ ⸀ἀδελφῷ· ἐπεὶ ἄρα τὰ τέκνα ὑμῶν ἀκάθαρτά ἐστιν, νῦν δὲ ἅγιά ἐστιν. (Ⅳ)
- sanctificatus est enim vir infidelis per mulierem fidelem, et sanctificata est mulier infidelis per virum fidelem : alioquin filii vestri immundi essent, nunc autem sancti sunt. (Ⅴ)
- Car le mari infidèle est sanctifié en la femme, et la femme infidèle est sanctifiée dans le mari ; autrement vos enfants seraient impurs ; or maintenant ils sont saints. (Ⅶ)
- Car le mari incrédule est sanctifié par la femme; et la femme incrédule est sanctifiée par le mari; autrement, vos enfants seraient impurs, au lieu qu'ils sont saints maintenant. (Ⅷ)
7. 15  
Mais si l’incrédule s’en va, qu’il s’en aille; le frère ou la sœur ne sont pas asservis en pareil cas; mais Dieu nous a appelés à marcher dans la paix.
- Si l'incrédule se sépare, qu'il se sépare; le frère ou la sœur ne sont pas asservis dans ces conditions. Dieu nous a appelés dans la paix. (Ⅰ)
- Si le non-croyant se sépare, qu'il se sépare; le frère ou la soeur ne sont pas liés dans ces cas-là. Dieu nous a appelés à vivre en paix. (Ⅱ)
- εἰ δὲ ὁ ἄπιστος χωρίζεται, χωριζέσθω· οὐ δεδούλωται ὁ ἀδελφὸς ἢ ἡ ἀδελφὴ ἐν τοῖς τοιούτοις, ἐν δὲ εἰρήνῃ κέκληκεν ⸀ἡμᾶς ὁ θεός. (Ⅳ)
- Quod si infidelis discedit, discedat : non enim servituti subjectus est frater, aut soror in hujusmodi : in pace autem vocavit nos Deus. (Ⅴ)
- Que si l’infidèle se sépare, qu’il se sépare ; le frère ou la sœur ne sont point asservis dans ce cas-là ; mais Dieu nous a appelés à la paix. (Ⅶ)
- Que si l'incrédule se sépare, qu'il se sépare; le frère et la sœur ne sont pas assujettis dans ce cas; mais Dieu nous a appelés à la paix. (Ⅷ)
7. 16  
Car que sais-tu, femme, si tu ne sauveras pas ton mari? ou que sais-tu, mari, si tu ne sauveras pas ta femme?
- Car que sais-tu, femme, si tu sauveras ton mari? Ou que sais-tu, mari, si tu sauveras ta femme? (Ⅰ)
- Car que sais-tu, femme, si tu sauveras ton mari? Ou que sais-tu, mari, si tu sauveras ta femme? (Ⅱ)
- τί γὰρ οἶδας, γύναι, εἰ τὸν ἄνδρα σώσεις; ἢ τί οἶδας, ἄνερ, εἰ τὴν γυναῖκα σώσεις; (Ⅳ)
- Unde enim scis mulier, si virum salvum facies ? aut unde scis vir, si mulierem salvam facies ?\ (Ⅴ)
- Car que sais-tu, femme, si tu ne sauveras point ton mari ? ou que sais-tu, mari, si tu ne sauveras point ta femme ? (Ⅶ)
- Car que sais-tu, femme, si tu ne sauveras point ton mari? Ou que sais-tu, mari, si tu ne sauveras point ta femme? (Ⅷ)
7. 17  
Toutefois, que chacun marche comme le Seigneur le lui a départi, chacun comme Dieu l’a appelé; et c’est ainsi que j’en ordonne dans toutes les assemblées.
- Seulement, que chacun se conduise selon la position que le Seigneur lui a assignée, et selon que Dieu l'a appelé; c'est la règle que j'établis dans toutes les Eglises. (Ⅰ)
- Seulement, que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a faite, selon l'appel qu'il a reçu de Dieu. C'est ainsi que je l'ordonne dans toutes les Églises. (Ⅱ)
- Εἰ μὴ ἑκάστῳ ὡς ⸀ἐμέρισεν ὁ ⸀κύριος, ἕκαστον ὡς κέκληκεν ὁ ⸀θεός, οὕτως περιπατείτω· καὶ οὕτως ἐν ταῖς ἐκκλησίαις πάσαις διατάσσομαι. (Ⅳ)
- Nisi unicuique sicut divisit Dominus, unumquemque sicut vocavit Deus, ita ambulet, et sicut in omnibus ecclesiis doceo. (Ⅴ)
- Toutefois que chacun se conduise selon le don qu’il a reçu de Dieu, chacun selon que le Seigneur l’y a appelé ; et c’est ainsi que j’en ordonne dans toutes les Eglises. (Ⅶ)
- Au reste que chacun marche selon que Dieu lui a départi, et selon que le Seigneur l'a appelé. C'est là ce que j'ordonne dans toutes les Églises. (Ⅷ)
7. 18  
Quelqu’un a-t-il été appelé étant circoncis, qu’il ne redevienne pas incirconcis. Quelqu’un a-t-il été appelé étant dans l’incirconcision, qu’il ne soit pas circoncis.
- Quelqu'un a-t-il été appelé étant circoncis, qu'il ne dissimule pas sa circoncision; quelqu'un a-t-il été appelé étant incirconcis, qu'il ne se fasse pas circoncire. (Ⅰ)
- Quelqu'un a-t-il été appelé étant circoncis, qu'il demeure circoncis; quelqu'un a-t-il été appelé étant incirconcis, qu'il ne se fasse pas circoncire. (Ⅱ)
- περιτετμημένος τις ἐκλήθη; μὴ ἐπισπάσθω· ἐν ἀκροβυστίᾳ ⸂κέκληταί τις⸃; μὴ περιτεμνέσθω. (Ⅳ)
- Circumcisus aliquis vocatus est ? non adducat præputium. In præputio aliquis vocatus est ? non circumcidatur. (Ⅴ)
- Quelqu’un est-il appelé étant circoncis ? qu’il ne ramène point le prépuce. Quelqu’un est-il appelé étant dans le prépuce ? qu’il ne se fasse point circoncire. (Ⅶ)
- Quelqu'un a-t-il été appelé étant circoncis? qu'il demeure circoncis. Quelqu'un a-t-il été appelé étant incirconcis? qu'il ne se fasse pas circoncire. (Ⅷ)
7. 19  
La circoncision n’est rien, et l’incirconcision n’est rien, mais l’observation des commandements de Dieu.
- La circoncision n'est rien, l'incirconcision n'est rien; ce qui est tout, c'est l'observation des commandements de Dieu. (Ⅰ)
- La circoncision n'est rien, et l'incirconcision n'est rien, mais l'observation des commandements de Dieu est tout. (Ⅱ)
- ἡ περιτομὴ οὐδέν ἐστιν, καὶ ἡ ἀκροβυστία οὐδέν ἐστιν, ἀλλὰ τήρησις ἐντολῶν θεοῦ. (Ⅳ)
- Circumcisio nihil est, et præputium nihil est : sed observatio mandatorum Dei. (Ⅴ)
- La Circoncision n’est rien, et le prépuce aussi n’est rien, mais l’observation des commandements de Dieu. (Ⅶ)
- La circoncision n'est rien; l'incirconcision n'est rien; mais l'observation des commandements de Dieu est tout. (Ⅷ)
7. 20  
Que chacun demeure dans la vocation dans laquelle il était quand il a été appelé.
- Que chacun demeure dans l'état où il était lorsqu'il a été appelé. (Ⅰ)
- Que chacun demeure dans l'état où il était lorsqu'il a été appelé. (Ⅱ)
- ἕκαστος ἐν τῇ κλήσει ᾗ ἐκλήθη ἐν ταύτῃ μενέτω. (Ⅳ)
- Unusquisque in qua vocatione vocatus est, in ea permaneat. (Ⅴ)
- Que chacun demeure dans la condition où il était quand il a été appelé. (Ⅶ)
- Que chacun demeure dans l'état où il a été appelé. (Ⅷ)
7. 21  
As-tu été appelé étant esclave, ne t’en mets pas en peine; toutefois, si tu peux devenir libre, uses-en plutôt:
- As-tu été appelé étant esclave, ne t'en mets point en peine; mais alors même que tu pourrais devenir libre, mets plutôt ton appel à profit. (Ⅰ)
- As-tu été appelé étant esclave, ne t'en inquiète pas; mais si tu peux devenir libre, profites-en plutôt. (Ⅱ)
- Δοῦλος ἐκλήθης; μή σοι μελέτω· ἀλλ’ εἰ καὶ δύνασαι ἐλεύθερος γενέσθαι, μᾶλλον χρῆσαι. (Ⅳ)
- Servus vocatus es ? non sit tibi curæ : sed et si potes fieri liber, magis utere. (Ⅴ)
- Es-tu appelé étant esclave ? ne t’en mets point en peine ; mais aussi si tu peux être mis en liberté, uses en plutôt : (Ⅶ)
- As-tu été appelé étant esclave? ne t'en mets point en peine; mais si tu peux devenir libre, profites-en plutôt. (Ⅷ)
7. 22  
car l’esclave qui est appelé dans le Seigneur est l’affranchi du Seigneur; de même aussi l’homme libre qui a été appelé est l’esclave de Christ.
- Car l'esclave qui a été appelé dans le Seigneur est un affranchi du Seigneur; de même, l'homme libre qui a été appelé est un esclave du Christ. (Ⅰ)
- Car l'esclave qui a été appelé dans le Seigneur est un affranchi du Seigneur; de même, l'homme libre qui a été appelé est un esclave de Christ. (Ⅱ)
- ὁ γὰρ ἐν κυρίῳ κληθεὶς δοῦλος ἀπελεύθερος κυρίου ἐστίν· ⸀ὁμοίως ὁ ἐλεύθερος κληθεὶς δοῦλός ἐστιν Χριστοῦ. (Ⅳ)
- Qui enim in Domino vocatus est servus, libertus est Domini : similiter qui liber vocatus est, servus est Christi. (Ⅴ)
- Car celui qui étant esclave est appelé à notre Seigneur, il est l’affranchi du Seigneur ; et de même celui qui est appelé étant libre, il est l’esclave de Christ. (Ⅶ)
- Car l'esclave qui a été appelé par le Seigneur, est l'affranchi du Seigneur; de même aussi, l'homme libre qui a été appelé, est l'esclave de Christ. (Ⅷ)
7. 23  
Vous avez été achetés à prix; ne devenez pas esclaves des hommes.
- Vous avez été achetés un grand prix; ne vous rendez pas esclaves des hommes. (Ⅰ)
- Vous avez été rachetés à un grand prix; ne devenez pas esclaves des hommes. (Ⅱ)
- τιμῆς ἠγοράσθητε· μὴ γίνεσθε δοῦλοι ἀνθρώπων. (Ⅳ)
- Pretio empti estis : nolite fieri servi hominum. (Ⅴ)
- Vous avez été achetés par prix ; ne devenez point les esclaves des hommes. (Ⅶ)
- Vous avez été achetés à un grand prix; ne devenez point esclaves des hommes. (Ⅷ)
7. 24  
Frères, que chacun demeure auprès de Dieu dans l’état dans lequel il a été appelé.
- Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l'état où il était lorsqu'il a été appelé. (Ⅰ)
- Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l'état où il était lorsqu'il a été appelé. (Ⅱ)
- ἕκαστος ἐν ᾧ ἐκλήθη, ἀδελφοί, ἐν τούτῳ μενέτω παρὰ θεῷ. (Ⅳ)
- Unusquisque in quo vocatus est, fratres, in hoc permaneat apud Deum.\ (Ⅴ)
- [Mes] frères, que chacun demeure envers Dieu dans l’état où il était quand il a été appelé. (Ⅶ)
- Frères, que chacun demeure devant Dieu dans l'état où il a été appelé. (Ⅷ)
7. 25  
Or, pour ce qui est de ceux qui sont vierges, je n’ai pas d’ordre du Seigneur; mais je donne mon opinion comme ayant reçu miséricorde du Seigneur pour être fidèle.
- Pour ce qui est des vierges, je n'ai pas de commandement du Seigneur; mais je donne un conseil, comme ayant reçu du Seigneur la grâce d'être fidèle. (Ⅰ)
- Pour ce qui est des vierges, je n'ai point d'ordre du Seigneur; mais je donne un avis, comme ayant reçu du Seigneur miséricorde pour être fidèle. (Ⅱ)
- Περὶ δὲ τῶν παρθένων ἐπιταγὴν κυρίου οὐκ ἔχω, γνώμην δὲ δίδωμι ὡς ἠλεημένος ὑπὸ κυρίου πιστὸς εἶναι. (Ⅳ)
- De virginibus autem præceptum Domini non habeo : consilium autem do, tamquam misericordiam consecutus a Domino, ut sim fidelis. (Ⅴ)
- Pour ce qui concerne les vierges, je n’ai point de commandement du Seigneur, mais j’en donne avis comme ayant obtenu miséricorde du Seigneur, pour être fidèle. (Ⅶ)
- Pour ce qui est des vierges, je n'ai point de commandement du Seigneur; mais je vous donne un conseil, comme ayant eu part à la miséricorde du Seigneur, pour lui être fidèle. (Ⅷ)
7. 26  
J’estime donc que ceci est bon, à cause de la nécessité présente, qu’il est bon, dis-je, à l’homme d’être tel qu’il est.
- Je pense donc à cause des difficultés présentes, qu'il est bon à un homme d'être ainsi. (Ⅰ)
- Voici donc ce que j'estime bon, à cause des temps difficiles qui s'approchent: il est bon à un homme d'être ainsi. (Ⅱ)
- νομίζω οὖν τοῦτο καλὸν ὑπάρχειν διὰ τὴν ἐνεστῶσαν ἀνάγκην, ὅτι καλὸν ἀνθρώπῳ τὸ οὕτως εἶναι. (Ⅳ)
- Existimo ergo hoc bonum esse propter instantem necessitatem, quoniam bonum est homini sic esse. (Ⅴ)
- J’estime donc que cela est bon pour la nécessité présente, en tant qu’il est bon à l’homme d’être ainsi. (Ⅶ)
- J'estime donc qu'il est bon, à cause des afflictions présentes, qu'il est bon à l'homme de demeurer comme il est. (Ⅷ)
7. 27  
Es-tu lié à une femme, ne cherche pas à en être séparé. N’es-tu pas lié à une femme, ne cherche pas de femme.
- — Es-tu lié à une femme, ne cherche pas à rompre ce lien; n'es-tu pas lié à une femme, ne cherche pas de femme. (Ⅰ)
- Es-tu lié à une femme, ne cherche pas à rompre ce lien; n'es-tu pas lié à une femme, ne cherche pas une femme. (Ⅱ)
- δέδεσαι γυναικί; μὴ ζήτει λύσιν· λέλυσαι ἀπὸ γυναικός; μὴ ζήτει γυναῖκα· (Ⅳ)
- Alligatus es uxori ? noli quærere solutionem. Solutus es ab uxore ? noli quærere uxorem. (Ⅴ)
- Es-tu lié à une femme ? ne cherche point d’en être séparé. Es-tu détaché de ta femme ? ne cherche point de femme. (Ⅶ)
- Es-tu lié à une femme? ne cherche point à t'en séparer. N'es-tu pas lié à une femme? ne cherche pas de femme. (Ⅷ)
7. 28  
Toutefois, si même tu te maries, tu n’as pas péché; et si la vierge se marie, elle n’a pas péché. Mais ceux qui font ainsi auront de l’affliction pour ce qui regarde la chair; mais moi, je vous épargne.
- Si pourtant tu t'es marié, tu n'as pas péché; et si la vierge s'est mariée, elle n'a pas péché; mais ces personnes auront des afflictions dans la chair, et moi je voudrais vous les épargner. (Ⅰ)
- Si tu t'es marié, tu n'as point péché; et si la vierge s'est mariée, elle n'a point péché; mais ces personnes auront des tribulations dans la chair, et je voudrais vous les épargner. (Ⅱ)
- ἐὰν δὲ καὶ ⸀γαμήσῃς, οὐχ ἥμαρτες. καὶ ἐὰν γήμῃ ἡ παρθένος, οὐχ ἥμαρτεν. θλῖψιν δὲ τῇ σαρκὶ ἕξουσιν οἱ τοιοῦτοι, ἐγὼ δὲ ὑμῶν φείδομαι. (Ⅳ)
- Si autem acceperis uxorem, non peccasti. Et si nupserit virgo, non peccavit : tribulationem tamen carnis habebunt hujusmodi. Ego autem vobis parco. (Ⅴ)
- Que si tu te maries, tu ne pèches point ; et si la vierge se marie, elle ne pèche point aussi ; mais ceux qui sont mariés auront des afflictions en la chair ; or je vous épargne. (Ⅶ)
- Que si tu te maries, tu ne pèches pas; et si la vierge se marie, elle ne pèche pas non plus; mais ces personnes auront des afflictions dans la chair; et je voudrais vous les épargner. (Ⅷ)
7. 29  
Or je dis ceci, frères: le temps est difficile: au reste, c’est pour que ceux mêmes qui ont une femme soient comme n’en ayant pas;
- Mais voici ce que je dis, frères : le temps s'est fait court; il faut donc que ceux qui ont des femmes soient comme n'en ayant pas, (Ⅰ)
- Voici ce que je dis, frères, c'est que le temps est court; que désormais ceux qui ont des femmes soient comme n'en ayant pas, (Ⅱ)
- τοῦτο δέ φημι, ἀδελφοί, ὁ καιρὸς συνεσταλμένος ⸂ἐστίν· τὸ λοιπὸν⸃ ἵνα καὶ οἱ ἔχοντες γυναῖκας ὡς μὴ ἔχοντες ὦσιν, (Ⅳ)
- Hoc itaque dico, fratres : tempus breve est : reliquum est, ut et qui habent uxores, tamquam non habentes sint : (Ⅴ)
- Mais je vous dis ceci, mes frères, que le temps est court ; et ainsi que ceux qui ont une femme, soient comme s’ils n’en avaient point ; (Ⅶ)
- Or je dis ceci, frères: Le temps est court désormais; que ceux qui ont une femme soient comme s'ils n'en avaient point; (Ⅷ)
7. 30  
et ceux qui pleurent, comme ne pleurant pas; et ceux qui se réjouissent, comme ne se réjouissant pas; et ceux qui achètent, comme ne possédant pas;
- ceux qui pleurent comme ne pleurant pas, ceux qui se réjouissent comme ne se réjouissant pas, ceux qui achètent comme ne possédant pas, (Ⅰ)
- ceux qui pleurent comme ne pleurant pas, ceux qui se réjouissent comme ne se réjouissant pas, ceux qui achètent comme ne possédant pas, (Ⅱ)
- καὶ οἱ κλαίοντες ὡς μὴ κλαίοντες, καὶ οἱ χαίροντες ὡς μὴ χαίροντες, καὶ οἱ ἀγοράζοντες ὡς μὴ κατέχοντες, (Ⅳ)
- et qui flent, tamquam non flentes : et qui gaudent, tamquam non gaudentes : et qui emunt, tamquam non possidentes : (Ⅴ)
- Et ceux qui sont dans les pleurs, comme s’ils n’étaient point dans les pleurs ; et ceux qui sont dans la joie, comme s’ils n’étaient point dans la joie ; et ceux qui achètent, comme s’ils ne possédaient point. (Ⅶ)
- Ceux qui pleurent, comme s'ils ne pleuraient pas; ceux qui sont dans la joie, comme s'ils n'étaient point dans la joie; ceux qui achètent, comme s'ils ne possédaient rien; (Ⅷ)
7. 31  
et ceux qui usent du monde, comme n’en usant pas à leur gré; car la figure de ce monde passe.
- et ceux qui usent du monde comme n'en usant pas; car elle passe, la figure de ce monde. (Ⅰ)
- et ceux qui usent du monde comme n'en usant pas, car la figure de ce monde passe. (Ⅱ)
- καὶ οἱ χρώμενοι ⸂τὸν κόσμον⸃ ὡς μὴ καταχρώμενοι· παράγει γὰρ τὸ σχῆμα τοῦ κόσμου τούτου. (Ⅳ)
- et qui utuntur hoc mundo, tamquam non utantur : præterit enim figura hujus mundi. (Ⅴ)
- Et ceux qui usent de ce monde, comme n’en abusant point : car la figure de ce monde passe. (Ⅶ)
- Et ceux qui usent de ce monde, comme s'ils n'en usaient point; car la figure de ce monde passe. (Ⅷ)
7. 32  
Mais je voudrais que vous fussiez sans inquiétude. Celui qui n’est pas marié a le cœur occupé des choses du Seigneur, comment il plaira au Seigneur;
- Or je voudrais que vous fussiez sans préoccupation. Celui qui n'est pas marié a souci des choses du Seigneur, il cherche à plaire au Seigneur; (Ⅰ)
- Or, je voudrais que vous fussiez sans inquiétude. Celui qui n'est pas marié s'inquiète des choses du Seigneur, des moyens de plaire au Seigneur; (Ⅱ)
- Θέλω δὲ ὑμᾶς ἀμερίμνους εἶναι. ὁ ἄγαμος μεριμνᾷ τὰ τοῦ κυρίου, πῶς ⸀ἀρέσῃ τῷ κυρίῳ· (Ⅳ)
- Volo autem vos sine sollicitudine esse. Qui sine uxore est, sollicitus est quæ Domini sunt, quomodo placeat Deo. (Ⅴ)
- Or je voudrais que vous fussiez sans inquiétude. Celui qui n’est point marié a soin des choses qui sont du Seigneur, comment il plaira au Seigneur. (Ⅶ)
- Or, je voudrais que vous fussiez sans inquiétude. Celui qui n'est pas marié, s'occupe des choses du Seigneur, pour plaire au Seigneur. (Ⅷ)
7. 33  
mais celui qui s’est marié a le cœur occupé des choses du monde, comment il plaira à sa femme.
- celui qui est marié a souci des choses du monde, il cherche à plaire à sa femme, (Ⅰ)
- et celui qui est marié s'inquiète des choses du monde, des moyens de plaire à sa femme. (Ⅱ)
- ὁ δὲ γαμήσας μεριμνᾷ τὰ τοῦ κόσμου, πῶς ⸀ἀρέσῃ τῇ γυναικί, (Ⅳ)
- Qui autem cum uxore est, sollicitus est quæ sunt mundi, quomodo placeat uxori, et divisus est. (Ⅴ)
- Mais celui qui est marié, a soin des choses de ce monde, et comment il plaira à sa femme, [et ainsi] il est divisé. (Ⅶ)
- Mais celui qui est marié, s'occupe des choses du monde, pour plaire à sa femme. (Ⅷ)
7. 34  
Il y a une différence entre la femme et la vierge: celle qui n’est pas mariée a le cœur occupé des choses du Seigneur, pour être sainte, et de corps et d’esprit; mais celle qui s’est mariée a le cœur occupé des choses du monde, comment elle plaira à son mari.
- et il est partagé. De même la femme, celle qui n'a pas de mari, et la vierge, ont souci des choses du Seigneur, afin d'être saintes de corps et d'esprit; mais celle qui est mariée a souci des choses du monde, elle cherche à plaire à son mari. (Ⅰ)
- Il y a de même une différence entre la femme et la vierge: celle qui n'est pas mariée s'inquiète des choses du Seigneur, afin d'être sainte de corps et d'esprit; et celle qui est mariée s'inquiète des choses du monde, des moyens de plaire à son mari. (Ⅱ)
- ⸀καὶ μεμέρισται. καὶ ἡ γυνὴ ⸂ἡ ἄγαμος⸃ καὶ ἡ ⸀παρθένος μεριμνᾷ τὰ τοῦ κυρίου, ἵνα ᾖ ἁγία καὶ ⸀τῷ σώματι καὶ ⸁τῷ πνεύματι· ἡ δὲ γαμήσασα μεριμνᾷ τὰ τοῦ κόσμου, πῶς ⸀ἀρέσῃ τῷ ἀνδρί. (Ⅳ)
- Et mulier innupta, et virgo, cogitat quæ Domini sunt, ut sit sancta corpore, et spiritu. Quæ autem nupta est, cogitat quæ sunt mundi, quomodo placeat viro. (Ⅴ)
- La femme qui n’est point mariée, et la vierge, a soin des choses qui sont du Seigneur, pour être sainte de corps et d’esprit ; mais celle qui est mariée a soin des choses qui sont du monde, comment elle plaira à son mari. (Ⅶ)
- Il y a cette différence entre la femme mariée et la vierge, que celle qui n'est pas mariée, s'occupe des choses du Seigneur, pour être sainte de corps et d'esprit; mais celle qui est mariée, s'occupe des choses du monde, pour plaire à son mari. (Ⅷ)
7. 35  
Mais je dis ceci pour votre propre avantage, non pour vous enlacer dans des liens, mais en vue de ce qui est bienséant, et pour que vous vaquiez au service du Seigneur sans distraction.
- Je dis cela dans votre intérêt, non pour jeter sur vous le filet, mais en vue de ce qui est bienséant et propre à vous attacher au Seigneur sans tiraillements. (Ⅰ)
- Je dis cela dans votre intérêt; ce n'est pas pour vous prendre au piège, c'est pour vous porter à ce qui est bienséant et propre à vous attacher au Seigneur sans distraction. (Ⅱ)
- τοῦτο δὲ πρὸς τὸ ὑμῶν αὐτῶν ⸀σύμφορον λέγω, οὐχ ἵνα βρόχον ὑμῖν ἐπιβάλω, ἀλλὰ πρὸς τὸ εὔσχημον καὶ ⸀εὐπάρεδρον τῷ κυρίῳ ἀπερισπάστως. (Ⅳ)
- Porro hoc ad utilitatem vestram dico : non ut laqueum vobis injiciam, sed ad id, quod honestum est, et quod facultatem præbeat sine impedimento Dominum obsecrandi. (Ⅴ)
- Or je dis ceci ayant égard à ce qui vous est utile, non point pour vous tendre un piège, mais pour vous porter à ce qui est bienséant, et propre [à vous unir] au Seigneur sans aucune distraction. (Ⅶ)
- Or, je dis ceci pour votre bien, et non pour vous tendre un piège, mais en vue de ce qui est honnête et de ce qui unit dans le Seigneur sans distraction. (Ⅷ)
7. 36  
Mais si quelqu’un estime qu’il agit d’une manière inconvenante à l’égard de sa virginité, et qu’elle ait passé la fleur de son âge, et qu’il faut que cela soit ainsi, qu’il fasse ce qu’il veut: il ne pèche pas; — qu’ils se marient.
- Si quelqu'un juge qu'il exposerait sa fille au déshonneur, si elle passait la fleur de l'âge, et qu'il est de son devoir de la marier, qu'il fasse comme il veut, il ne pèche point; qu'elle se marie. (Ⅰ)
- Si quelqu'un regarde comme déshonorant pour sa fille de dépasser l'âge nubile, et comme nécessaire de la marier, qu'il fasse ce qu'il veut, il ne pèche point; qu'on se marie. (Ⅱ)
- Εἰ δέ τις ἀσχημονεῖν ἐπὶ τὴν παρθένον αὐτοῦ νομίζει ἐὰν ᾖ ὑπέρακμος, καὶ οὕτως ὀφείλει γίνεσθαι, ὃ θέλει ποιείτω· οὐχ ἁμαρτάνει· γαμείτωσαν. (Ⅳ)
- Si quis autem turpem se videri existimat super virgine sua, quod sit superadulta, et ita oportet fieri : quod vult faciat : non peccat, si nubat. (Ⅴ)
- Mais si quelqu’un croit que ce soit un déshonneur à sa fille de passer la fleur de son âge, et qu’il faille la marier, qu’il fasse ce qu’il voudra, il ne pèche point ; qu’elle soit mariée. (Ⅶ)
- Toutefois si quelqu'un croit que ce soit un déshonneur pour sa fille de passer la fleur de son âge sans être mariée, et s'il faut qu'il en soit ainsi, qu'il fasse ce qu'il voudra, il ne pèche point; que les filles se marient. (Ⅷ)
7. 37  
Mais celui qui tient ferme dans son cœur, et qui n’est pas sous l’empire de la nécessité, mais qui est maître de sa propre volonté et a décidé dans son cœur de garder sa propre virginité, fait bien.
- Mais celui qui, sans y être forcé, étant maître de faire ce qu'il veut, a mis dans son cœur une ferme résolution, et à décidé de garder sa fille vierge, celui-là fait bien. (Ⅰ)
- Mais celui qui a pris une ferme résolution, sans contrainte et avec l'exercice de sa propre volonté, et qui a décidé en son coeur de garder sa fille vierge, celui-là fait bien. (Ⅱ)
- ὃς δὲ ἕστηκεν ⸂ἐν τῇ καρδίᾳ αὐτοῦ ἑδραῖος⸃ μὴ ἔχων ἀνάγκην, ἐξουσίαν δὲ ἔχει περὶ τοῦ ἰδίου θελήματος, καὶ τοῦτο κέκρικεν ἐν τῇ ⸂ἰδίᾳ καρδίᾳ⸃, ⸀τηρεῖν τὴν ἑαυτοῦ παρθένον, καλῶς ⸀ποιήσει· (Ⅳ)
- Nam qui statuit in corde suo firmus, non habens necessitatem, potestatem autem habens suæ voluntatis, et hoc judicavit in corde suo, servare virginem suam, bene facit. (Ⅴ)
- Mais celui qui demeure ferme en son cœur, n’y ayant point de nécessité [qu’il marie sa fille], mais étant le maître de sa propre volonté a arrêté en son cœur de garder sa fille, il fait bien. (Ⅶ)
- Mais celui qui reste ferme dans son cœur, qui n'est pas contraint, qui au contraire est maître de sa volonté, et qui a décidé en son cœur de garder sa fille, fait bien. (Ⅷ)
7. 38  
Ainsi, et celui qui se marie fait bien; et celui qui ne se marie pas fait mieux.
- Ainsi celui qui marie sa fille fait bien, et celui qui ne la marie pas fait mieux. (Ⅰ)
- Ainsi, celui qui marie sa fille fait bien, et celui qui ne la marie pas fait mieux. (Ⅱ)
- ὥστε καὶ ὁ ⸀γαμίζων ⸂τὴν παρθένον ἑαυτοῦ⸃ καλῶς ποιεῖ, ⸂καὶ ὁ⸃ μὴ ⸁γαμίζων κρεῖσσον ⸀ποιήσει. (Ⅳ)
- Igitur et qui matrimonio jungit virginem suam, bene facit : et qui non jungit, melius facit. (Ⅴ)
- Celui donc qui la marie fait bien, mais celui qui ne la marie pas, fait mieux. (Ⅶ)
- C'est pourquoi celui qui marie sa fille, fait bien; mais celui qui ne la marie pas, fait mieux. (Ⅷ)
7. 39  
La femme est liée pendant tout le temps que son mari est en vie; mais si le mari s’est endormi, elle est libre de se marier à qui elle veut, seulement dans le Seigneur;
- La femme est liée aussi longtemps que vit son mari; si le mari vient à mourir, elle est libre de se remarier à qui elle voudra; seulement que ce soit dans le Seigneur. (Ⅰ)
- Une femme est liée aussi longtemps que son mari est vivant; mais si le mari meurt, elle est libre de se marier à qui elle veut; seulement, que ce soit dans le Seigneur. (Ⅱ)
- Γυνὴ ⸀δέδεται ἐφ’ ὅσον χρόνον ζῇ ὁ ἀνὴρ αὐτῆς· ἐὰν ⸀δὲ κοιμηθῇ ὁ ἀνήρ, ἐλευθέρα ἐστὶν ᾧ θέλει γαμηθῆναι, μόνον ἐν κυρίῳ· (Ⅳ)
- Mulier alligata est legi quanto tempore vir ejus vivit, quod si dormierit vir ejus, liberata est : cui vult nubat, tantum in Domino. (Ⅴ)
- La femme est liée par la Loi pendant tout le temps que son mari est en vie, mais si son mari meurt, elle est en liberté de se marier à qui elle veut ; seulement [que ce soit] en [notre] Seigneur. (Ⅶ)
- La femme est liée à son mari par la loi tout le temps qu'il est en vie; mais si son mari meurt, elle est libre de se remarier à qui elle veut, seulement que ce soit selon le Seigneur. (Ⅷ)
7. 40  
mais elle est, à mon avis, plus heureuse si elle demeure ainsi: or j’estime que moi aussi j’ai l’Esprit de Dieu.
- Elle est plus heureuse, néanmoins, si elle demeure comme elle est : c'est mon avis; et je crois avoir, moi aussi, l'Esprit de Dieu. (Ⅰ)
- Elle est plus heureuse, néanmoins, si elle demeure comme elle est, suivant mon avis. Et moi aussi, je crois avoir l'Esprit de Dieu. (Ⅱ)
- μακαριωτέρα δέ ἐστιν ἐὰν οὕτως μείνῃ, κατὰ τὴν ἐμὴν γνώμην, δοκῶ ⸀δὲ κἀγὼ πνεῦμα θεοῦ ἔχειν. (Ⅳ)
- Beatior autem erit si sic permanserit secundum meum consilium : puto autem quod et ego Spiritum Dei habeam. (Ⅴ)
- Elle est néanmoins plus heureuse si elle demeure ainsi, selon mon avis ; or j’estime que j’ai aussi l’Esprit de Dieu. (Ⅶ)
- Toutefois, elle est plus heureuse, selon mon opinion, si elle demeure comme elle est. Or, je crois que j'ai aussi l'Esprit de Dieu. (Ⅷ)


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