1 Corinthiens
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16 Verses | Page 1 / 1
(Version J.N. Darby)


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(Ⅰ)
(Ⅱ)
(Ⅳ)
(Ⅴ)
(Ⅶ)
(Ⅷ)


2. 1  
Et moi-même, quand je suis allé auprès de vous, frères, je ne suis pas allé avec excellence de parole ou de sagesse, en vous annonçant le témoignage de Dieu;
- Moi aussi, mes frères, lorsque je suis venu chez vous, ce n'est pas avec une supériorité de langage ou de sagesse que je suis venu vous annoncer le témoignage de Dieu. (Ⅰ)
- Pour moi, frères, lorsque je suis allé chez vous, ce n'est pas avec une supériorité de langage ou de sagesse que je suis allé vous annoncer le témoignage de Dieu. (Ⅱ)
- Κἀγὼ ἐλθὼν πρὸς ὑμᾶς, ἀδελφοί, ἦλθον οὐ καθ’ ὑπεροχὴν λόγου ἢ σοφίας καταγγέλλων ὑμῖν τὸ ⸀μαρτύριον τοῦ θεοῦ. (Ⅳ)
- Et ego, cum venissem ad vos, fratres, veni non in sublimitate sermonis, aut sapientiæ, annuntians vobis testimonium Christi. (Ⅴ)
- Pour moi donc, mes frères, quand je suis venu vers vous, je n’y suis point venu avec des discours pompeux, remplis de la sagesse [humaine], en vous annonçant le témoignage de Dieu. (Ⅶ)
- Pour moi, frères, quand je suis venu auprès de vous, je ne suis point venu pour vous annoncer le témoignage de Dieu avec la pompe du discours, ou de la sagesse. (Ⅷ)
2. 2  
car je n’ai pas jugé bon de savoir quoi que ce soit parmi vous, sinon Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié.
- Car je n'ai pas jugé que je dusse savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié. (Ⅰ)
- Car je n'ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié. (Ⅱ)
- οὐ γὰρ ἔκρινά ⸂τι εἰδέναι⸃ ἐν ὑμῖν εἰ μὴ Ἰησοῦν Χριστὸν καὶ τοῦτον ἐσταυρωμένον· (Ⅳ)
- Non enim judicavi me scire aliquid inter vos, nisi Jesum Christum, et hunc crucifixum. (Ⅴ)
- Parce que je ne me suis proposé de savoir autre chose parmi vous, que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié. (Ⅶ)
- Car je ne me suis pas proposé de savoir autre chose parmi vous que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié. (Ⅷ)
2. 3  
Et moi-même j’ai été parmi vous dans la faiblesse, et dans la crainte, et dans un grand tremblement;
- Mais c'est dans la faiblesse, dans la crainte, et dans un grand tremblement que je me suis présenté chez vous; (Ⅰ)
- Moi-même j'étais auprès de vous dans un état de faiblesse, de crainte, et de grand tremblement; (Ⅱ)
- κἀγὼ ἐν ἀσθενείᾳ καὶ ἐν φόβῳ καὶ ἐν τρόμῳ πολλῷ ἐγενόμην πρὸς ὑμᾶς, (Ⅳ)
- Et ego in infirmitate, et timore, et tremore multo fui apud vos : (Ⅴ)
- Et j’ai même été parmi vous dans la faiblesse, dans la crainte, et dans un grand tremblement. (Ⅶ)
- J'ai été moi-même auprès de vous dans la faiblesse, dans la crainte et dans un grand tremblement. (Ⅷ)
2. 4  
et ma parole et ma prédication n’ont pas été en paroles persuasives de sagesse, mais en démonstration de l’Esprit et de puissance,
- et ma parole et ma prédication n'avaient rien du langage persuasif de la sagesse, mais l'Esprit-Saint et la force de Dieu en démontraient la vérité : (Ⅰ)
- et ma parole et ma prédication ne reposaient pas sur les discours persuasifs de la sagesse, mais sur une démonstration d'Esprit et de puissance, (Ⅱ)
- καὶ ὁ λόγος μου καὶ τὸ κήρυγμά μου οὐκ ἐν ⸂πειθοῖ σοφίας⸃ ἀλλ’ ἐν ἀποδείξει πνεύματος καὶ δυνάμεως, (Ⅳ)
- et sermo meus, et prædicatio mea non in persuasibilibus humanæ sapientiæ verbis, sed in ostensione spiritus et virtutis : (Ⅴ)
- Et ma parole et ma prédication n’a point été en paroles persuasives de la sagesse humaine : mais en évidence d’Esprit et de puissance ; (Ⅶ)
- Et ma parole et ma prédication n'ont point consisté dans des discours pathétiques de la sagesse humaine, mais dans une démonstration d'esprit et de puissance; (Ⅷ)
2. 5  
afin que votre foi ne repose pas sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu.
- afin que votre foi repose, non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu. (Ⅰ)
- afin que votre foi fût fondée, non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu. (Ⅱ)
- ἵνα ἡ πίστις ὑμῶν μὴ ᾖ ἐν σοφίᾳ ἀνθρώπων ἀλλ’ ἐν δυνάμει θεοῦ. (Ⅳ)
- ut fides vestra non sit in sapientia hominum, sed in virtute Dei.\ (Ⅴ)
- Afin que votre foi ne soit point l’effet de la sagesse des hommes, mais de la puissance de Dieu. (Ⅶ)
- Afin que votre foi fût fondée, non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu. (Ⅷ)
2. 6  
Or nous parlons sagesse parmi les parfaits, sagesse toutefois non pas de ce siècle, ni des chefs de ce siècle qui s’en vont;
- Pourtant il est une sagesse que nous prêchons parmi les parfaits, sagesse qui n'est pas celle de ce siècle, ni des princes de ce siècle, dont le règne va finir. (Ⅰ)
- Cependant, c'est une sagesse que nous prêchons parmi les parfaits, sagesse qui n'est pas de ce siècle, ni des chefs de ce siècle, qui vont être anéantis; (Ⅱ)
- Σοφίαν δὲ λαλοῦμεν ἐν τοῖς τελείοις, σοφίαν δὲ οὐ τοῦ αἰῶνος τούτου οὐδὲ τῶν ἀρχόντων τοῦ αἰῶνος τούτου τῶν καταργουμένων· (Ⅳ)
- Sapientiam autem loquimur inter perfectos : sapientiam vero non hujus sæculi, neque principum hujus sæculi, qui destruuntur : (Ⅴ)
- Or nous proposons une sagesse entre les parfaits, une sagesse, dis-je, qui n’est point de ce monde, ni des princes de ce siècle, qui vont être anéantis. (Ⅶ)
- Or, nous prêchons la sagesse parmi les parfaits, une sagesse, non de ce monde, ni des princes de ce monde, qui sont impuissants; (Ⅷ)
2. 7  
mais nous parlons la sagesse de Dieu en mystère, la sagesse cachée, laquelle Dieu avait préordonnée avant les siècles pour notre gloire;
- Nous prêchons une sagesse de Dieu mystérieuse et cachée, que Dieu, avant les siècles, avait destinée pour notre glorification. (Ⅰ)
- nous prêchons la sagesse de Dieu, mystérieuse et cachée, que Dieu, avant les siècles, avait destinée pour notre gloire, (Ⅱ)
- ἀλλὰ λαλοῦμεν ⸂θεοῦ σοφίαν⸃ ἐν μυστηρίῳ, τὴν ἀποκεκρυμμένην, ἣν προώρισεν ὁ θεὸς πρὸ τῶν αἰώνων εἰς δόξαν ἡμῶν· (Ⅳ)
- sed loquimur Dei sapientiam in mysterio, quæ abscondita est, quam prædestinavit Deus ante sæcula in gloriam nostram, (Ⅴ)
- Mais nous proposons la sagesse de Dieu, [qui est] en mystère, [c’est-à-dire], cachée ; laquelle Dieu avait, dès avant les siècles, déterminée à notre gloire. (Ⅶ)
- Mais nous prêchons la sagesse de Dieu, en un mystère, sagesse cachée, que Dieu avait destinée avant les siècles pour notre gloire, (Ⅷ)
2. 8  
qu’aucun des chefs de ce siècle n’a connue, (car s’ils l’eussent connue, ils n’eussent pas crucifié le Seigneur de gloire,)
- Cette sagesse, nul des princes de ce siècle ne l'a connue; — car, s'ils l'avaient connue, ils n'auraient pas crucifié le Seigneur de la gloire. (Ⅰ)
- sagesse qu'aucun des chefs de ce siècle n'a connue, car, s'ils l'eussent connue, ils n'auraient pas crucifié le Seigneur de gloire. (Ⅱ)
- ἣν οὐδεὶς τῶν ἀρχόντων τοῦ αἰῶνος τούτου ἔγνωκεν, εἰ γὰρ ἔγνωσαν, οὐκ ἂν τὸν κύριον τῆς δόξης ἐσταύρωσαν· (Ⅳ)
- quam nemo principum hujus sæculi cognovit : si enim cognovissent, numquam Dominum gloriæ crucifixissent. (Ⅴ)
- [Et] laquelle aucun des princes de ce siècle n’a connue ; car s’ils l’eussent connue, jamais ils n’eussent crucifié le Seigneur de gloire. (Ⅶ)
- Et qu'aucun des princes de ce monde n'a connue; car, s'ils l'eussent connue, ils n'auraient point crucifié le Seigneur de gloire. (Ⅷ)
2. 9  
— mais selon qu’il est écrit: «Ce que l’œil n’a pas vu, et que l’oreille n’a pas entendu, et qui n’est pas monté au cœur de l’homme, ce que Dieu a préparé pour ceux qui l’aiment»,
- Mais ce sont, comme il est écrit, " des choses que l'œil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues, et qui ne sont pas montées au cœur de l'homme, — des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l'aiment. " (Ⅰ)
- Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que l'oeil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues, et qui ne sont point montées au coeur de l'homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l'aiment. (Ⅱ)
- ἀλλὰ καθὼς γέγραπται· Ἃ ὀφθαλμὸς οὐκ εἶδεν καὶ οὖς οὐκ ἤκουσεν καὶ ἐπὶ καρδίαν ἀνθρώπου οὐκ ἀνέβη, ⸀ὅσα ἡτοίμασεν ὁ θεὸς τοῖς ἀγαπῶσιν αὐτόν. (Ⅳ)
- Sed sicut scriptum est : Quod oculus non vidit, nec auris audivit, nec in cor hominis ascendit, quæ præparavit Deus iis qui diligunt illum : (Ⅴ)
- Mais ainsi qu’il est écrit : ce sont des choses que l’œil n’a point vues ; que l’oreille n’a point ouïes, et qui ne sont point montées au cœur de l’homme, lesquelles Dieu a préparées à ceux qui l’aiment. (Ⅶ)
- Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que l'œil n'avait point vues, que l'oreille n'avait point entendues, et qui n'étaient point montées au cœur de l'homme, que Dieu avait préparées pour ceux qui l'aiment. (Ⅷ)
2. 10  
— mais Dieu nous l’a révélée par son Esprit; car l’Esprit sonde toutes choses, même les choses profondes de Dieu.
- C'est à nous que Dieu les a révélées par son Esprit; car l'Esprit pénètre tout, même les profondeurs de Dieu. (Ⅰ)
- Dieu nous les a révélées par l'Esprit. Car l'Esprit sonde tout, même les profondeurs de Dieu. (Ⅱ)
- ἡμῖν ⸀γὰρ ⸂ἀπεκάλυψεν ὁ θεὸς⸃ διὰ τοῦ ⸀πνεύματος, τὸ γὰρ πνεῦμα πάντα ἐραυνᾷ, καὶ τὰ βάθη τοῦ θεοῦ. (Ⅳ)
- nobis autem revelavit Deus per Spiritum suum : Spiritus enim omnia scrutatur, etiam profunda Dei. (Ⅴ)
- Mais Dieu nous les a révélées par son Esprit. Car l’Esprit sonde toutes choses, même les choses profondes de Dieu. (Ⅶ)
- Mais Dieu nous les a révélées par son Esprit; car l'Esprit sonde toutes choses, même les profondeurs de Dieu. (Ⅷ)
2. 11  
Car qui des hommes connaît les choses de l’homme, si ce n’est l’esprit de l’homme qui est en lui? Ainsi personne ne connaît les choses de Dieu non plus, si ce n’est l’Esprit de Dieu.
- Car qui d'entre les hommes connaît ce qui se passe dans l'homme, si ce n'est l'esprit de l'homme qui est en lui? De même personne ne connaît ce qui est en Dieu, si ce n'est l'Esprit de Dieu. (Ⅰ)
- Lequel des hommes, en effet, connaît les choses de l'homme, si ce n'est l'esprit de l'homme qui est en lui? De même, personne ne connaît les choses de Dieu, si ce n'est l'Esprit de Dieu. (Ⅱ)
- τίς γὰρ οἶδεν ἀνθρώπων τὰ τοῦ ἀνθρώπου εἰ μὴ τὸ πνεῦμα τοῦ ἀνθρώπου τὸ ἐν αὐτῷ; οὕτως καὶ τὰ τοῦ θεοῦ οὐδεὶς ⸀ἔγνωκεν εἰ μὴ τὸ πνεῦμα τοῦ θεοῦ. (Ⅳ)
- Quis enim hominum scit quæ sunt hominis, nisi spiritus hominis, qui in ipso est ? ita et quæ Dei sunt, nemo cognovit, nisi Spiritus Dei. (Ⅴ)
- Car qui est-ce des hommes qui sache les choses de l’homme, sinon l’esprit de l’homme qui est en lui ? De même aussi nul n’a connu les choses de Dieu, sinon l’Esprit de Dieu. (Ⅶ)
- Car qui est-ce qui connaît ce qui est en l'homme, si ce n'est l'esprit de l'homme qui est en lui? De même aussi, personne ne connaît ce qui est en Dieu, si ce n'est l'Esprit de Dieu. (Ⅷ)
2. 12  
Mais nous, nous avons reçu, non l’esprit du monde, mais l’Esprit qui est de Dieu, afin que nous connaissions les choses qui nous ont été librement données par Dieu;
- Pour nous, nous avons reçu non l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa grâce. (Ⅰ)
- Or nous, nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa grâce. (Ⅱ)
- ἡμεῖς δὲ οὐ τὸ πνεῦμα τοῦ κόσμου ἐλάβομεν ἀλλὰ τὸ πνεῦμα τὸ ἐκ τοῦ θεοῦ, ἵνα εἰδῶμεν τὰ ὑπὸ τοῦ θεοῦ χαρισθέντα ἡμῖν· (Ⅳ)
- Nos autem non spiritum hujus mundi accepimus, sed Spiritum qui ex Deo est, ut sciamus quæ a Deo donata sunt nobis : (Ⅴ)
- Or nous avons reçu non point l’esprit de ce monde, mais l’Esprit qui est de Dieu ; afin que nous connaissions les choses qui nous ont été données de Dieu ; (Ⅶ)
- Pour nous, nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, pour connaître les choses qui nous ont été données de Dieu; (Ⅷ)
2. 13  
desquelles aussi nous parlons, non point en paroles enseignées de sagesse humaine, mais en paroles enseignées de l’Esprit, communiquant des choses spirituelles par des moyens spirituels.
- Et nous en parlons, non avec des paroles qu'enseigne la sagesse humaine, mais avec celles qu'enseigne l'Esprit, en exprimant les choses spirituelles par un langage spirituel. (Ⅰ)
- Et nous en parlons, non avec des discours qu'enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu'enseigne l'Esprit, employant un langage spirituel pour les choses spirituelles. (Ⅱ)
- ἃ καὶ λαλοῦμεν οὐκ ἐν διδακτοῖς ἀνθρωπίνης σοφίας λόγοις, ἀλλ’ ἐν διδακτοῖς ⸀πνεύματος, πνευματικοῖς πνευματικὰ συγκρίνοντες. (Ⅳ)
- quæ et loquimur non in doctis humanæ sapientiæ verbis, sed in doctrina Spiritus, spiritualibus spiritualia comparantes. (Ⅴ)
- Lesquelles aussi nous proposons, non point avec les paroles que la sagesse humaine enseigne, mais avec celles qu’enseigne le Saint-Esprit, appropriant les choses spirituelles à ceux qui sont spirituels. (Ⅶ)
- Et nous les annonçons, non avec les discours qu'enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu'enseigne le Saint-Esprit, expliquant les choses spirituelles aux spirituels. (Ⅷ)
2. 14  
Or l’homme animal ne reçoit pas les choses qui sont de l’Esprit de Dieu, car elles lui sont folie; et il ne peut les connaître, parce qu’elles se discernent spirituellement.
- Mais l'homme naturel ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est par l'Esprit qu'on en juge. (Ⅰ)
- Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge. (Ⅱ)
- Ψυχικὸς δὲ ἄνθρωπος οὐ δέχεται τὰ τοῦ πνεύματος τοῦ θεοῦ, μωρία γὰρ αὐτῷ ἐστίν, καὶ οὐ δύναται γνῶναι, ὅτι πνευματικῶς ἀνακρίνεται· (Ⅳ)
- Animalis autem homo non percipit ea quæ sunt Spiritus Dei : stultitia enim est illi, et non potest intelligere : quia spiritualiter examinatur. (Ⅴ)
- Or l’homme animal ne comprend point les choses qui sont de l’Esprit de Dieu, car elles lui sont une folie ; et il ne peut même les entendre, parce qu’elles se discernent spirituellement. (Ⅶ)
- Or, l'homme animal ne comprend point les choses de l'Esprit de Dieu; car elles lui semblent folie, et il ne les peut connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge. (Ⅷ)
2. 15  
Mais celui qui est spirituel discerne toutes choses; mais lui n’est discerné par personne;
- L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne. (Ⅰ)
- L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne. (Ⅱ)
- ὁ δὲ πνευματικὸς ἀνακρίνει ⸀τὰ πάντα, αὐτὸς δὲ ὑπ’ οὐδενὸς ἀνακρίνεται. (Ⅳ)
- Spiritualis autem judicat omnia : et ipse a nemine judicatur. (Ⅴ)
- Mais [l’homme] spirituel discerne toutes choses, et il n’est jugé de personne. (Ⅶ)
- Mais l'homme spirituel juge de toutes choses, et n'est lui-même jugé par personne. (Ⅷ)
2. 16  
car «qui a connu la pensée du Seigneur pour qu’il l’instruise»? Mais nous, nous avons la pensée de Christ.
- Car " qui a connu la pensée du Seigneur, pour pouvoir l'instruire? " Mais nous, nous avons la pensée du Christ. (Ⅰ)
- Car Qui a connu la pensée du Seigneur, Pour l'instruire? Or nous, nous avons la pensée de Christ. (Ⅱ)
- τίς γὰρ ἔγνω νοῦν κυρίου, ὃς συμβιβάσει αὐτόν; ἡμεῖς δὲ νοῦν Χριστοῦ ἔχομεν. (Ⅳ)
- Quis enim cognovit sensum Domini, qui instruat eum ? nos autem sensum Christi habemus. (Ⅴ)
- Car qui a connu la pensée du Seigneur pour le pouvoir instruire ? mais nous, nous avons l’intention de Christ. (Ⅶ)
- Car qui a connu la pensée du Seigneur pour l'instruire? Mais nous, nous avons la pensée de Christ. (Ⅷ)


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