Dialogue  Inter-  Religieux

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C e n'est pas le déterminisme passionnel que nous désirons chez autrui, dans l'amour, ni une liberté hors d'atteinte : mais c'est une liberté qui joue le déterminisme passionnel et qui se prend à son jeu.


Philosophie Citation
L'être et le néant 



L e vécu de l'enfant est une initiation aux Vérités Universelles,
Le vécu de l'adulte est une maturation de cette initiation


Islam / Soufisme Citation



M EME L'EXES DES CHOSES LES PLUS SUCRES APPORTE A L ESTOMAC LE PLUS PROFOND DEGOUT


Divers Courants / Littérature Citation
LE SONGE D UNE NUIT D ETE 



T ous les problèmes liés à la vie d'adulte trouvent leurs origines dans le vécu de l'enfance.
Chacun d'entre nous est donc son propre support pédagogique dans le chemin conduisant aux vérités universelles.


Islam / Soufisme Citation
"L'HERITAGE RELATIONNEL PARENTAL, UNE MINE D'OR !" 



L a seule science utile est celle que la personne a apprise et enseignée exclusivement pour l'amour de Dieu Très-Haut

Mais non celle apprise pour les disputes et controverses, ni pour la gloire, le prestige ou autres vanités

Non plus celle apprise pour des objectifs purement mondains, tels l'amour de l'autorité et l'accession à de hautes charges

Ni celle apprise, ayant pour but d'attirer les coeurs vers soi dans l'amour de ce bas-monde


Islam / Soufisme Citation
"MASSALIK-AL-JINAN" (Livre I) tiré de l'Oeuvre intitulé "Les Itinéraires du Paradis" - Edité en 1984 par DAR EL KITAB (Sénégal) Traduitde l'arabe par Serigne Same M'Baye, Professeur de Lettres. (Vers 106 au Vers 109) 




L 'amour est patient, il est plein de bonté; l'amour n'est point envieux; l'amour ne se vante point, il ne s'enfle point d'orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s'irrite point, il ne soupçonne point le mal, il ne se réjouit point de l'injustice, mais il se réjouit de la vérité; il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout.


Christianisme Citation
Premier Epître aux Corinthiens, 13. 



C ' est un amour bien pauvre, Celui que l' on peut calculer


Divers Courants / Littérature Citation




U ne douleure désespérée se guérit par les langueurs d'une douleur nouvelle; que tes regards aspirent un nouveau poison, et l'ancien perdra son action vénéneuse.


Divers Courants / Littérature Citation
Roméo et juliette acte 1 scène 2 



L 'insondable faiblesse de l'homme laisse place aux désires commandés par sa propre nature, l'inévitable solution est donc le combat moral aux passions.


Islam / Soufisme Citation
Younouss ibn ismaël ait youb 




Q uand bien même tous les arbres de la terre se changeraient en calames [plumes pour écrire], quand bien même l'océan serait un océan d'encre où conflueraient sept autres océans, les paroles d'Allah ne s'épuiseraient pas.


Islam Citation
Sourate Loqman (31), verset 27 



L aisse subsister ce peu de moi par quoi,
je puisse te nommer mon tout.
Laisse subister ce peu de ma volonté par
quoi je puisse te sentir de tous cotés,
et venir à toi en toutes choses, et t'offrir
mon amour à tout moment.
Laisse seulement subsister ce peu de moi
par quoi je puisse jamais te cacher.
Laisse seulement cette petite attache
subsister par quoi je suis relié à ta volonté,
et par où ton dessein se transmet dans ma vie : c'est l'attache de ton amour.


Divers Courants / Littérature Citation
L'offrande Lyrique 



S elon `Abd-Allah ibn `Amr (qu'Allah soit satisfait de lui), un homme ayant demandé au Prophète quel était le meilleur Islam, celui-ci répondit: "Donne à manger et salue ceux que tu connais et ceux que tu ne connais pas".


Islam Citation
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 56 



S eigneur lama, je vous salue !
Bénissez le mendiant, qu'il vive au désert.
Tu t'affliges, ma sœur, de la confusion du monde,
Les joies et les peines pourtant sont éphémères.
Ta souffrance actuelle pourrait se transformer,
Devenir certainement un bonheur durable.
Aussi, écoute le chant de ton frère aîné !
Avec gratitude pour tous les êtres qui sont mes parents
Je pratique la doctrine en ce lieu.
Si je regardais mon repaire
Je le prendrais pour celui d'une bête sauvage,
D'autres s'ils le voyaient s'en indigneraient.
Si je regardais ma nourriture
Elle conviendrait mieux aux chiens ou aux porcs,
D'autres à la voir seraient pris de nausées.
Je pourrais regarder mon corps réduit à un squelette,
Même un ennemi à sa vue en pleurerait
Je pourrais prendre ma conduite pour celle d'un fou,
Ma sœur en ressent honte et déception.
Je verrais en mon esprit matière à l'éveil,
Le Victorieux se réjouirait de me regarder.
La chair transpercée sur mon lit de pierres froides,
J'ai fait montre d'endurance.
Dedans, dehors, j'ai pris la nature de l'ortie,
La couleur verte ne s'altère pas.
Dans les grottes désertes Il n'y a rien pour dissiper mon chagrin,
Mais mon cœur ne se sépare jamais
Du lama, bouddha passé, présent et futur.
Par la force de la méditation assidue
Je ne doute pas de créer des expériences et des réalisations.
Si vraiment elles apparaissent,
Survient fortuitement le bonheur en cette vie,
Et le parfait éveil dans la suivante.
Ainsi, ma chère sœur Péta,
N'exagère pas ta peine mi ta douleur,
Je te prie d'accepter les privations pour la doctrine.


Bouddhisme / Mahayana Citation
Extraits de La Vie, de Milarepa, Coll. Points, série Sagesses, Ed. Le Seuil, 2001 



L 'homme, quelque rabaissé qu'il soit au-dehors, se sent souverain dans sa propre âme. Il s'est forgé quelque part, au cœur de son moi, un organe de contrôle qui surveille si ses propres émotions et ses propres actions sont conformes à ses exigences. Ne le sont-elles pas, les voilà impitoyablement inhibées et reprises. La perception intérieure, la conscience, rend compte au moi de tous les processus importants qui ont lieu dans l'appareil psychique, et la volonté, guidée par ces renseignements, exécute ce qui est ordonné par le moi, corrigeant ce qui voudrait se réaliser de manière indépendante (…).
Dans certaines maladies, et, de fait, justement dans les névroses, que nous étudions, il en est autrement. Le moi se sent mal à l'aise, il touche aux limites de sa puissance en sa propre maison, l'âme. Des pensées surgissent subitement dont on ne sait d'où elles viennent ; on n'est pas non plus capable de les chasser. Ces hôtes étrangers semblent même être plus forts que ceux qui sont soumis au moi ; ils résistent à toutes les forces de la volonté qui ont déjà fait leurs preuves, restent insensibles à une réfutation logique, ils ne sont pas touchés par l'affirmation contraire de la réalité. La psychanalyse entreprend d'élucider ces cas morbides inquiétants, elle organise de longues et minutieuses recherches, elle se forge des notions de secours et des constructions scientifiques, et, finalement, peut dire au moi :
«Il n'y a rien d'étranger qui se soit introduit en toi, c'est une part de ta propre vie psychique qui s'est soustraite à ta connaissance et à la maîtrise de ton vouloir. C'est d'ailleurs pourquoi tu es si faible dans ta défense; tu luttes avec une partie de ta force contre l'autre partie, tu ne peux pas rassembler toute ta force ainsi que tu le ferais contre un ennemi extérieur. (…) La faute, je dois le dire, en revient à toi. Tu as trop présumé de ta force lorsque tu as cru pouvoir disposer à ton gré de tes instincts sexuels et n'être pas obligé de tenir compte le moins du monde de leurs aspirations. Ils se sont alors révoltés et ont suivi leurs propres voies obscures afin de se soustraire à la répression, ils ont conquis leur droit d'une manière qui ne pouvait plus te convenir.(…) Le psychique ne coïncide pas en toi avec le conscient : qu'une chose se passe dans ton âme ou que tu en sois de plus averti, voilà qui n'est pas la même chose(…).»
C'est de cette manière que la psychanalyse voudrait instruire le moi. Mais les deux clartés qu'elle nous apporte : savoir, que la vie instinctive de la sexualité ne saurait être complètement domptée en nous et que les processus psychiques sont en eux-mêmes inconscients, et ne deviennent accessibles et subordonnés au moi que par une perception incomplète et incertaine, équivalent à affirmer que le moi n'est pas maître dans sa propre maison.


Divers Courants / Psychologie Citation
Essais de psychanalyse appliquée, (une difficulté de la psychanalyse). 



N ier la moralité, cela peut signifier d'abord : nier que les motifs moraux invoqués par les hommes les aient véritablement poussés à agir comme ils l'ont fait, - c'est-à-dire, affirmer que la moralité n'existe qu'en paroles et fait partie des duperies grossières ou subtiles de l'humanité (celles particulièrement où l'on est sa propre dupe), et cela peut-être surtout chez les gens les plus renommés, précisément, pour leur vertu. Ensuite, cela peut signifier nier que les jugements moraux reposent sur des vérités. (…)
Je nie donc la moralité comme je nie l'alchimie : c'est-à-dire que je nie ses postulats mais non qu'il y ait eu des alchimistes qui croyaient à ces postulats et agissaient en fonction d'eux (…) Je ne nie pas - dès lors que je ne suis pas insensé - qu'il faille éviter et combattre de nombreuses actions dîtes immorales, ni qu'il faille encourager et accomplir de nombreuses actions dîtes morales ; mais je pense qu'il faut faire l'un et l'autre pour d'autres raisons que jusqu'à présent. Nous devons changer notre façon de juger, afin de parvenir finalement et peut-être très tard, à mieux encore : changer notre façon de sentir.


Philosophie Citation
Aurore, II, § 103 



L es êtres raisonnables sont appelés personnes, parce que leur nature même en fait des fins en soi, c'est-à-dire quelque chose qui ne peut pas être simplement employé comme moyen, quelque chose qui, par conséquent, met une limite à la faculté de chacun d'agir à son gré (et est un objet de respect). Les êtres raisonnables ne sont donc pas des fins simplement subjectives, dont l'existence, effet de notre activité, n'a de valeur que pour nous ; ce sont des fins objectives, c'est-à-dire des choses dont l'existence est une fin en soi-même, et même une fin telle qu'on ne peut la remplacer par aucune autre à laquelle celle-ci servirait simplement de moyen.


Philosophie / Kantisme Citation
Fondements de la métaphysique des mœurs. 



J 'appelle libre, quant à moi, une chose qui est et agit par la seule nécessité de sa nature ; contrainte, celle qui est déterminée par une autre à exister et à agir d'une certaine façon déterminée. (…) Vous le voyez bien, je ne fais pas consister la liberté dans un libre décret mais dans une libre nécessité.
Pour rendre cela clair et intelligible, concevons une chose très simple: une pierre par exemple reçoit d'une cause extérieure qui la pousse, une certaine quantité de mouvement et, l'impulsion de la cause extérieure venant à cesser, elle continuera à se mouvoir nécessairement. Cette persistance de la pierre dans le mouvement est une contrainte, non parce qu'elle est nécessaire, mais parce qu'elle doit être définie par l'impulsion d'une cause extérieure. Et ce qui est vrai de la pierre il faut l'entendre de toute chose singulière, quelle que soit la complexité qu'il vous plaise de lui attribuer, si nombreuses que puissent être ses aptitudes, parce que toute chose singulière est nécessairement déterminée par une cause extérieure à exister et à agir d'une certaine manière déterminée.
Concevez maintenant, si vous voulez bien, que la pierre, tandis qu'elle continue de se mouvoir, pense et sache qu'elle fait effort, autant qu'elle peut, pour se mouvoir. Cette pierre assurément, puisqu'elle a conscience de son effort seulement et qu'elle n'est en aucune façon indifférente, croira qu'elle est très libre et qu'elle ne persévère dans son mouvement que parce qu'elle le veut.
Telle est cette liberté humaine que tous se vantent de posséder et qui consiste en cela seul que les hommes ont conscience de leurs appétits et ignorent les causes qui les déterminent. Un enfant croit librement appéter le lait, un jeune garçon irrité vouloir se venger et, s'il est poltron, vouloir fuir. Un ivrogne croit dire par un libre décret de son âme ce qu'ensuite, revenu à la sobriété, il aurait voulu taire. De même un délirant, un bavard, et bien d'autres de même farine, croient agir par un libre décret de l'âme e non se laisser contraindre.


Philosophie Citation
Lettre LVIII à Schuller 



L a nature m'enseigne aussi par ces sentiments de douleur, de faim, de soif, etc., que je ne suis pas seulement logé dans mon corps, ainsi qu'un pilote en son navire, mais, outre cela, que je lui suis conjoint très étroitement et tellement confondu et mêlé, que je compose comme un seul tout avec lui. Car, si cela n'était lorsque mon corps est blessé, je ne sentirais pas pour cela de la douleur, moi qui ne suis qu'une chose qui pense, mais j'apercevrais cette blessure par le seul entendement, comme un pilote aperçoit par la vue si quelque chose se rompt dans son vaisseau ; et lorsque mon corps a besoin de boire ou de manger, je connaîtrais simplement cela même, sans en être averti par des sentiments confus de faim et de soif. Car en effet tous ces sentiments de faim, de soif, de douleur, etc., ne sont autre chose que de certaines façons confuses de penser, qui proviennent et dépendent de l'union et comme du mélange de l'esprit avec le corps.


Philosophie / Cartésianisme Citation
Méditations métaphysiques, méditation sixième. 



J e ne suis point cet assemblage de membres, que l'on appelle le corps humain ; je ne suis point un air délié et pénétrant, répandu dans tous ces membres ; je ne suis point un vent, un souffle, une vapeur, ni rien de tout ce que je puis feindre et imaginer, puisque j'ai supposé que tout cela n'était rien, et que, sans changer cette supposition, je trouve que je ne laisse pas d'être certain que je suis quelque chose. (…)
Mais qu'est-ce donc que je suis ? Une chose qui pense. Qu'est-ce qu'une chose qui pense ? C'est-à-dire une chose qui doute, qui conçoit, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi, et qui sent.


Philosophie / Cartésianisme Citation
Méditations métaphysiques, méditation seconde 



L 'homme est libre ; sans quoi conseils, exhortations, préceptes, interdictions, récompenses et châtiments seraient vains. Pour mettre en évidence cette liberté, il faut remarquer que certains êtres agissent sans jugement, comme par exemple, la pierre qui tombe ; il en est ainsi de tous les êtres privés du pouvoir de connaître. D'autres agissent d'après une appréciation mais qui n'est pas libre ; par exemple, les animaux ; en voyant le loup, la brebis saisit par un discernement naturel mais non libre, qu'il faut fuir ; en effet, ce discernement est l'expression d'un instinct naturel et non d'une opération synthétique. Il en est de même pour tout discernement chez les animaux. Mais l'homme agit par jugement, car c'est par le pouvoir de connaître qu'il estime devoir fuir ou poursuivre une chose. Et puisqu'un tel jugement n'est pas l'effet d'un instinct naturel, mais un acte de synthèse qui procède de la raison, l'homme agit par un jugement libre qui le rend capable de diversifier son action. En effet, à l'égard de ce qui est contingent, la raison peut faire des choix opposés.
Or, les actions particulières sont en un sens contingentes, aussi le jugement rationnel peut les apprécier diversement et n'est pas déterminé par un point de vue unique. Par conséquent, il est nécessaire que l'homme soit doué du libre-arbitre du fait même qu'il est doué de raison.


Christianisme / Catholicisme Citation
Somme théologique 



J ette tout, ne garde que ce peu de chose. Et encore souviens-toi que chacun ne vit que dans l'instant présent, dans le moment. Le reste, c'est le passé ou un obscur avenir.
Petite est donc l'étendue de la vie; petit, le coin de terre où l'on vit; petite, la plus longue renommée dans la postérité; elle dépend de la succession de petits hommes qui vont mourir très vite et qui ne connaissent ni eux-mêmes ni ceux qui sont morts il y a longtemps.


Philosophie / Stoïcisme Citation
Pensées pour moi-même 



S onge que notre pensée ne prend aucune part aux émotions douces ou rudes qui tourmentent nos esprits animaux, sitôt qu'il s'est recueilli en lui même et qu'il a bien reconnu son pouvoir propre, et toutes les autres leçons que tu as entendues sur la douleur et la volupté, et auxquelles tu as acquiescé sans résistance.
Serait-ce donc la vanité de la gloire qui viendrait agiter dans tous les sens ? Regarde alors avec quelle rapidité l'oubli enveloppe toutes choses, quel abîme infini de durée tu as devant toi comme derrière toi, combien est vain chose un bruit qui retentit, combien changeants, dénués de jugement, sont ceux qui semblent applaudir, enfin la petitesse du cercle qui délimite ta renommée. Car la terre tout entière n'est qu'un point; et ce que nous en habitons, quelle étroite partie n'en est-ce pas encore ? Et dans ce coin, combien y a-t-il d'hommes, et quels hommes ! Qui célébreront tes louanges ?
Il reste donc que tu te souviennes de te retirer dans ce petit domaine qui est toi-même. Et, avant tout, ne te laisse point emporter çà et là. Point d'opiniâtreté; mais sois libre, et regarde toutes choses d'un œil intrépide, en homme, en citoyen, en être destiné à la mort.
Puis, entre les vérités les plus usuelles, objets de ton attention, place les deux suivantes : l'une, que les choses extérieures ne sont point en contact avec notre âme, mais immobiles en dehors d'elle, et que le trouble naît en nous de la seule opinion que nous nous en sommes formés intérieurement ; l'autre, que tout ce que tu vois va changer dans un moment et ne sera plus. Remets-toi sans cesse en mémoire combien de changements se sont déjà accomplis sous tes yeux. Le monde, c'est transformation ; la vie, c'est opinion.


Philosophie / Stoïcisme Citation
Pensées pour moi-même. 


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