Le carnet de citations de  Sylvain (Fr)  2043 citations | Page 71 / 82


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L es corps ont, pour ainsi dire, quelques vestiges de cette unité, qui échappe toujours dans la division de ses parties ; et les esprits en ont une plus grande ressemblance, quoiqu'ils aient une composition successive de pensées.


Christianisme / Catholicisme Citation
Traité de l'existence et des attributs de Dieu, éd. cit., I, 2, pp 63. 

voir aussi Saint Augustin, De Trinitaie, VI, VI, 8 ; XI, I, 1 et saint Bonaventure, Itinerarium mentis in Deum.

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E n ce temps-là, Mahamati-Grand-Être dit au Bienheureux :
" Le germe de bouddha que mentionne le Bienheureux dans un sutra canonique [le Tathagatagarbha], Tu le dépeins en vérité comme originellement resplendissant, très pur, sans tache, muni des trente-deux marques, immanent au corps de tous les êtres. Telle une pierre de grand prix couverte d'ordures, il est couvert des vêtements des agrégats, des éléments, des sphères sensorielles et dominé par les impuretés des attractions, de la répulsion et de la confusion... Pourtant le Bienheureux le dépeint comme éternel, stable et permanent. Ce germe de bouddha ne ressemble-t-il pas Soi substantiel tel que le conçoivent les philosophes ? Car, Bienheureux, le Soi qu'ils enseignent est permanent, non agent, éternel, dépourvu de toute qualité, omniprésent et impérissable. "

A cela, le Bienheureux répond que son enseignement est intentionnel :

"Non, Mahamati, mon enseignement portant sur le tathagatagarbha ne ressemble nullement à la doctrine du Soi des philosophes, parce que l'embryon de bouddha enseigné par les Tathagata est vacuité, limite de l'existence, extinction [nirvana]. Il n'a ni naissance ni signe ni prise en considération. Si les Tathagata, saints et complètement Éveillés, donnent un enseignement qui débouche sur le germe de bouddha, c'est pour que les esprits puérils n'aient plus la terreur de l'absence de soi et que leur devienne accessible le domaine indifférencié et sans représentation (sous forme d'embryon de bouddha). Je désire, Mahamati, que les bodhisattva présents et à venir n'adhèrent pas au Soi. Tout comme un potier par son habileté fabrique des pots très variés à partir d'une même argile, en se servant de bâton, d'eau, de corde, de même les Tathagata enseignent ou bien l'insubstantialité des choses, ou bien l'embryon de bouddha en tout être afin de mettre un terme au fonctionnement de la totalité des différenciations; et comme le potier, grâce à l'habileté en moyens dus à la sapience..., à l'aide d'expressions, de suggestions et de synonymes appropriés, ils répandent leur enseignement mystique. C'est ainsi que la doctrine du germe de bouddha sert à tirer les philosophes de leur adhésion au Soi et à les éveiller à la complète illumination."


Bouddhisme / Mahayana Citation
p. 77-79, cité et traduit par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, pp.114 et 115 

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M encius a dit: " Qui épuise le potentiel de son esprit connaît sa nature. Or, connaître sa nature, c'est connaître le Ciel. " D'esprit, il n'y en a qu'un: le mien, celui de mon ami, celui du sage il y a des millénaires, celui du sage à venir dans des millénaires, tous participent de ce même esprit. L'esprit a une constitution immense, et pour peu que j'arrive à en épuiser le potentiel, je ne fais plus qu'un avec le Ciel.


Confucianisme / Néo-confucianisme Citation
Lu Jiuyuan ji 32 et 35, p. 376 et 444, cité et traduit par Anne Cheng, Histoire de la pensée Chinoise, Edition du Seuil, 1997 ; la citation de Mencius est tirée VII A 1, voir plus haut chap. 6, " Nature et destin " 

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L 'atman, c'est le tathagatagarbha. Tous les êtres possèdent la Nature de Bouddha : voilà ce qu'est l'atman. Cet atman, dès le début, est toujours couvert par d'innombrables passions : c'est pourquoi les êtres ne parviennent pas à le voir. C'est comme si, dans la cabane d'une pauvre femme, il y avait un trésor d'or pur sans que, dans sa famille, absolument personne ne le sache [...]. Le Tathagata aujourd'hui révèle aux êtres ce trésor précieux, à savoir la Nature de Bouddha. Quand tous les êtres l'ont vue, ils éprouvent une grande joie et prennent refuge dans le Tathagata. Celui qui excelle en moyens salvifiques, c'est le Tathagata; la pauvre femme représente les innombrables êtres; le trésor d'or pur, c'est la Nature de Bouddha.


Bouddhisme / Mahayana / Madhyamaka Citation
Vimalakirtinirdesa, introduction p. 56, traduction É. Lamotte, dans Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p.113 

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P uisque la Connaissance bouddhique est contenue dans l'ensemble des être (1), que la pureté est par nature sans dualité,
Et que son fruit [l'Eveil] réside métaphoriquement dans la lignée mystique de bouddha,
On déclare que tous les êtres incarnés ont en eux le germe du Bouddha.
Puisque le corps du parfait Éveillé irradie,
Que l'Ainsité et la lignée mystique sont inséparables,
Tous les êtres munis d'un corps ont en eux le germe du Bouddha.


Bouddhisme / Mahayana / Yogacara Citation
Ratnagotravibhaga, 1, 27-28, cité et traduit par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p.115 

(1) On peut lire aussi : puisque la masse des êtres est présente dans la Connaissance du Bouddha.

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L a nature du Bouddha est en vous, partout,
dans votre corps, vos cellules.


Bouddhisme / Mahayana / Zen Citation
Questions à un maître zen, trad. E. de Smedt, 1984 / 1990, Éditions Albin Michel, cité par Jean Biès dans Les Grands Initiés du XXe siècle, p. 64-66 

(1)"La nature de Bouddha est l'essence [dharmata] très profonde et vraie, elle est apaisée, quiescente, sans caractère comme l'espace." Avatamsakasutra, cité et traduit par Lilian Silburn, Aux sources du Bouddhisme, Fayard, p.118

La matrice de Bouddha, véritable nature originelle qui ne croît ni ne décroît, qu'elle soit éveillée ou latente, est immanente à tous les êtres mais seuls ceux qui en prennent conscience parviennent à l'Éveil. Le Ratnakuta la définit comme originellement immaculée, bien que souillée de façon accidentelle par les inclinations. C'est à cause d'elle qu'on ne peut assigner d'origine au devenir. Sans elle point de dégoût de la douleur, point d'aspiration au nirvana. En réalité ce tathaga-tagarbha ne naît ni ne meurt, il est identique au domaine absolu, au corps d'essence, à la lumière consciente originelle, à la lignée mystique, à l'Ainsité. Inconcevable, il relève du domaine des Tathagata. (cf. Siddhi, p.'756, condensé de la Srimalika)

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L a nature en l'homme n'a rien que de bon. Tout dépend de son aptitude à y faire retour. Dès qu'un être prend forme, il y a nature physique. Pour peu qu'il soit apte à faire retour à la nature du Ciel-Terre, celle-ci est préservée. Voilà pourquoi il y a dans la nature physique quelque chose que l'homme de bien se refuse à considérer comme sa nature. Qu'un homme soit ferme ou souple, indolent ou impatient, capable ou incapable, est dû à des déséquilibres de son qi. Le Ciel est à l'origine une harmonie à trois en équilibre parfait. Nourrir son qi et le faire retourner à cette origine sans pencher d'un côté ou de l'autre, c'est accomplir pleinement sa nature jusqu'à retrouver le Ciel.


Confucianisme / Néo-confucianisme Citation
Zhengmeng 6, in Zhang Zai ji p. 22-23, cité et traduit par Anne Cheng, Histoire de la pensée Chinoise, Edition du Seuil, 1997 

Une fois qu'il [le qi] se différencie dans les formes et les êtres particuliers, il n'est plus que qi physique, soumis à la tyrannie des désirs et des habitudes. Zhang Zai appelle " nature de matière-énergie " (qizhi zhi xing) ou nature physique, ce qi particulier à chaque individu qui explique les différences de qualité, de talent, de capacité, qui rend compte de la présence des désirs les plus bas, qui prend le pli des mauvaises habitudes mais qu'il s'agit de canaliser et d'orienter dans le sens de la nature foncière par l'apprendre.

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J ugeons de notre grandeur par l'infini immuable qui est empreint au dedans de nous et qui ne peut jamais y être effacé.


Christianisme / Catholicisme Citation
Traité de l'existence et des attributs de Dieu, éd. cit., I, 2, p.52. 

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A force d'être plusieurs pensées dont l'une n'est point l'autre, je ne suis plus rien, et je ne puis pas même voir d'une seule vue celui qui est un, parce qu'il est un, et que je ne le suis pas.


Christianisme / Catholicisme Citation
Traité de l'existence et des attributs de Dieu, éd. cit., II, ch. 5, art. 11, P. 155. 

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D ans le Christ, Dieu devient visage,
et l'homme à son tour connaît le sien.


Christianisme / Orthodoxie Citation
Le Sens de la création, trad. L. julien-Cain, Desclée de Brouwer, 1955 / 1976, cité par Jean Biès dans Les Grands Initiés du XXe siècle, p. 42-43 

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L e Christ est l'homme qui est totalement éveillé […], et en cela même il est Dieu.
En cela même il est l'Éveilleur par excellence.


Christianisme / Catholicisme Citation
Intériorité et Révélation, Présence, 1982, cité par Jean Biès dans Les Grands Initiés du XXe siècle, p. 143-145 

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E n révélant le secret de son être,
jésus a révélé le secret de chaque être.


Christianisme / Catholicisme Citation
La Montée au fond du cœur, année 1956, F. X. de Guibert, 1986, cité par Jean Biès dans Les Grands Initiés du XXe siècle, p. 143-145 

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V ous êtes Dieu, mais vous ne le savez pas.


Hindouisme Citation
Je suis, trad. S. Joaquin, 1982 / 1995. Sois! trad. P. Vervisch, 1983 / 1994, cité par Jean Biès dans Les Grands Initiés du XXe siècle, p. 171-172 

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L 'homme, c'est l'univers en miniature.
L'homme et le monde sont interdépendants.
L'homme est le garant de l'équilibre de la création.


Sagesses & Traditions / Africaines / Peuls Citation
Aspects de la civilisation africaine, 1972 / 1992, cité par Jean Biès dans Les Grands Initiés du XXe siècle, p. 105-107 

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D ès qu'une forme nous est donnée,
Elle persiste jusqu'à ce que vie s'épuise.
Qu'aux choses elle se tranche ou s'aiguise,
Qu'elle galope tel un coursier qui ne peut s'arrêter,
N'est-ce pas une misère?
L'homme finit ses jours épuisé:
Il ne voit pas le succès.
A bout de force, il ignore le lieu du retour.
N'y a-t-il pas lieu de s'affliger?
D'aucuns se disent immortels. A quoi bon?
Son corps se dégrade et avec lui l'esprit.
Peut-on nier l'immense regret?
La vie humaine est-elle si vaine?
Suis-je seul à le penser parmi d'autres moins niais?
A l'esprit défini l'homme se conforme
Et en fait son maître.
Qui donc est unique et s'en passe?
N'y aurait-il que l'homme pénétrant le principe des choses.
Capable d'attirer et de prendre ce maître?
Le sot a aussi bien le sien.


Taoisme Citation
Zhuangzi, chap.II, traduction par Isabelle Robinet 

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L a Voie est grande
Le Ciel est grand
La Terre est grande
Et l'Homme est grand
C'est pourquoi l'Homme est l'un des quatre
Grands du monde
L'Homme suit les voies de la Terre
La Terre suit les voies du Ciel
Le Ciel suit les voies de la Voie
Et la Voie suit ses propres voies.


Taoisme Citation
Tao-tê-king, chapitre 25, texte chinois présenté et traduit par François Houang et Pierre Leyris, coll. Sagesses 16, Seuil, Paris. 

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G rand savoir embrasse; petit savoir divise.
Grands mots s'enflamment; petits mots babillent.
Endormie, l'âme de l'homme voyage.
Eveillé, son corps s'agite.

S'il touche quelque chose, il s'y empêtre.
Jour après jour, il lutte avec aisance, ruse ou prudence.
Ses petites frayeurs s'agitent,
Ses grandes peurs flamboient.
Rapide comme une flèche, il file
Pour arbitrer le vrai et le faux..
Immobile comme celui qui jure,
Il garde jalousement sa victoire.
Comme ceux d'automne et d'hiver,
On peut dire que ses jours perdent leur éclat.
Englouti par ses actes, rien ne le fait revenir.
Comme s'il était scellé, il se ferme :
On peut dire qu'il dépérit.
L'esprit voisin de la mort,
Rien ne le fait revivre,
Joie et courroux,
Peine et plaisir,
Souci et regret,
Inconstance et raideur,
Insouciance et licence,
Insolence et contenance,
Musique venant du vide,
Champignons nés de vapeurs,
Jours et nuits alternant on ne sait comment!
Assez! Assez!
Ce qui du matin au soir nous est donné,
En connaîtrons-nous l'origine ?


Taoisme Citation
Zhuangzi, chap.II, traduction par Isabelle Robinet 

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L e néant n'a point de propriétés.
Je pense. Donc je suis.
Mais que suis-je, moi qui pense, dans le temps que je pense.
Suis je un corps, un esprit, un homme ?


Philosophie Citation
Entretiens sur la métaphysique et la religion, I, 1, 1, in OEuvres complètes, Paris, Vrin, 1965, t. XII-XIII, p. 32. 

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L orsque la sagesse l'aura [l'âme] définitivement purifiée de tous désirs, elle pourra désintégrer à leur tour les deux derniers réceptacles (1) : l'âme humaine (2) émerge alors, enfin libre, pour se fondre dans l'Absolue.[...]


Hindouisme / Kriya Yoga Citation
Autobiographie d'un YOGI, Éditions Kriya Yoga de Babaji, ©1946, chapXLIII, la résurection de Sri Yukteswar, p 402 à 418 

(1) Corps astral (l'intelligence, l'ego, le sentiment, l'esprit (conscience des sens), etc.), et causal (corps composé de " Thoughtrons", d'"idées premières ") (2) L'âme est alors dépourvu de l'ego, de l'intellect, etc. , comme de tout élément contenu dans les corps astral, physique ou causal.

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L e chercheur de Vérité
Meurt avant sa mort pour vivre en son Seigneur,
Puisque après cette mort se fait la migration suprême.
À rendre compte il s'appelle lui-même avant d'y être appelé. [ ... ]


Islam / Soufisme Citation
Dîwân, traduit par M. Lings, Les Amis de l'Islam, Tourrette-sur-Loup, 1984, cité par Jean Biès dans Les Grands Initiés du XXe siècle, p. 25-27 

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A s-tu perçu l'appel de Celui qui appelle,
À son ordre t'es-tu levé?
As-tu retiré tes sandales comme ceux qui sont imprégnés
De la courtoisie de la voie? L'infini s'est-il refermé
Autour de toi de toutes parts? Et venu l'instant
De l'union, d'un seul élan t'es-tu précipité?


Islam / Soufisme Citation
Dîwân, traduit par M. Lings, Les Amis de l'Islam, Tourrette-sur-Loup, 1984, cité par Jean Biès dans Les Grands Initiés du XXe siècle, p. 25-27 

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O te tes sandales ! en vérité, tu es dans la vallée sainte du Tuwa "
(Coran 20,12)

" Je pense que Moise entendit le commandement ôte tes sandales, comme la renonciation aux deux mondes ; il obéit littéralement et se déchaussa, il obéit spirituellement, et rejeta les deux mondes "


Islam / Soufisme Citation
Mishkat al anwar, cité et traduit par GG Anawati et Louis Gardet, " La Mystique Musulmane ", chap. " le thème du buisson Ardent " 

La vallée sainte dit le texte ghazzalien est la première étape de l'entrée des prophètes dans le monde de la Sainte transcendance, loin des troubles des sens et de l'imagination. Il leur est demandé de tourner la " face de leur âme " vers l'Unique Réalité, et donc de renoncer " aux deux mondes ", monde d'ici-bas, monde (créé) de l'Au-delà, qui sont corrélatifs, qui sont tous deux des accidents de la substance - lumière des hommes. C'est pour cela qu'il est dit à Moise : " ôte tes deux sandales ", commandement que Moise exécuta à double titre. Ansari avait déjà interprété ce même commandement comme un appel au dépouillement ascétique (tajrid). Au delà de toute attache créée, même en vie future (référence à l'enseignement habituel de l'Islam sur la jouissance de biens créés, sensibles et (ou) intelligibles, promis aux élus dans la vie future) - vers le seul Réel.

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L orsque l'âme s'est enfin arrachée de l'illusion des trois corps(1),
elle devient Une avec l'Absolu, sans rien perdre de son individualité (2).


Hindouisme / Kriya Yoga Citation
Autobiographie d'un YOGI, Éditions Kriya Yoga de Babaji, ©1946, chapXLIII, la résurection de Sri Yukteswar, p 402 à 418 

(1) Corps physique, astral (l'intelligence, l'ego, le sentiment, l'esprit (conscience des sens), etc.), et causal (corps composé de " Thoughtrons", d'"idées premières ") (2) L'âme est alors dépourvu de l'ego, de l'intellect, etc. , comme de tout élément contenu dans les corps astral, physique ou causal.

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D ans la pratique soutenue (gongfu) de l'étude, même à supposer que l'on ait réussi à se défaire de tout penchant, de tout désir de prestige et de profit, pour peu que l'on garde le moindre fil de pensée pour la vie et la mort, alors l'esprit tout entier ne pourra être parfaitement serein et délié. Les considérations sur la vie et la mort nous viennent avec la vie elle-même, aussi n'est-il pas facile de s'en défaire. Mais pour peu que l'on arrive à voir au travers, à les transpercer de part en part, alors c'est l'esprit tout entier qui coule de source sans obstacle. C'est là l'étude qui va jusqu'au fond de la nature pour rejoindre le destin.


Confucianisme / Néo-confucianisme Citation
Chuanxi lu III, in Wang Yangming quanji, p. 108, cité et traduit par Anne Cheng, Histoire de la pensée Chinoise, Edition du Seuil, 1997. 

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